Avis : Divergente 3 : au-delà du mur - Page 2

Un monde après l'apocalypse incoherent ,un futur avec en majorité des jeunes beau, courageux , sans difficulté a se nourrir et pas une seul égratignure .
Biensur je ne parle pas des clichés comme savoir piloté un vaisseau jamais vu auparavant , piratage des système , tirer dans tout les sens et juste….

Toujours aussi sympathique cette série Divergente avec ce troisième opus qui permet d’en savoir plus sur ce qui se passe en-dehors de la cité forteresse de Chicago. On retrouve le casting de jeunes acteurs sympas, avec en plus le plaisir de retrouver un vétéran comme Jeff Daniels dans le rôle d’un gourou aux ambitions louches. L’intégralité du design futuriste louche fortement du côté d’Oblivion, tandis que la musique voudrait imiter celle de Tron. Ce sont d’excellentes références pour moi, mais cela enlève un peu de personnalité au film, d’autant que la réalisation de Robert Schwentke est efficace, mais plutôt impersonnelle. Il a au moins eu le mérite de faire passer la saga à la vitesse supérieure d’un point de vue visuel depuis le deuxième segment. Bref, du travail de pro pour un résultat calibré (peut-être un peu trop justement) afin de plaire aux ados, surtout aux filles d’ailleurs. Il n’est pas interdit d’y prendre plaisir, même si on a dépassé la limite d’âge prescrite depuis longtemps, comme votre serviteur.

Robert Schwentke réalise un troisième volet spectaculaire ! Le meilleur volet de la saga. Original et efficace, Divergente 3 : au-delà du mur est un divertissement impressionnant mené par un casting cinq étoiles.

Divergente 3, ou la suite plus décevante et ridicule du siècle. Même Twilight a fait mieux, c'est dire. Toujours réalisé par Robert Schwentke, à qui on doit le deuxième volet déjà très décevant, ce troisième et avant dernier opus est une catastrophe, la saga, qui avait un potentiel énorme, a complètement chuter. Ce troisième film, mal renommé Au-delà du Mur, n'a aucun point positif ni même un atout. Les acteurs sont "passables" meme si je supporte mal Miles Teller et Ansel Elgort. Kate Winslet, ma première raison d'avoir commencer à regarder cette saga, manque à l'appel et ça se ressent. Naomi Watts, une actrice que j'adore, n'apparaît qu'une dizaine de minutes, quel dommage. Et ces deux personnages sont clairement balayés pour laisser place à d'autres personnages sans intérêt et inutiles. Côté histoire, c'est vide, plat, sans intérêt non plus, zéro. Intrigues quasi-inexistantes et peu intéressantes, le détour derrière le "mur" ne sert strictement à rien, ça tourne en rond, ça rame, c'est lent et ennuyeux. Et les effets spéciaux/mise en scène on en parle? Tellement superflus, tellement sophistiqués et tellement abondants qu'on les remarque et qu'au final, c'est trop numérique, trop synthétique, trop voyant et donc ça fait très faux au final (tellement d'effets que ça éclate les yeux au bout des 2h, je suis devenue aveugle). Donc voilà, pour conclure, c'est très mauvais, très décevant et ça aurait mériter un travail plus approfondi et plus intelligent, parce qu'on au final, Divergente 3 n'est rien d'autre qu'un énième blockbuster inutile qui n'a qu'un but : divertir, en livrant un tsunami d'effets spéciaux. Très mauvais, à éviter, si vous n'avez pas apprécier le 2, n'y allez surtout pas, si vous avez aimer le livre et que vous voulez voir ce que donne le film, n'y allez pas non plus, c'est une déception générale.

Divergente confirme dans ce troisième film qu’elle est probablement ce que Hollywood a produit de pire en terme de saga post-apo adolescente. Bouffant sans aucune gêne à tous les râteliers, reprenant ici et là des éléments de gros succès pour les recycler sans faire l’effort de les comprendre . Une saga lisse, sans aspérité ni génie, se contentant d’une vague mise en contexte moralisatrice (le conformisme c’est pas bien), avant d’ouvrir grand les vannes du n’importe quoi.

troisième volet de la saga GÉNIAL ! J'ai passé un super moment devant ce film dont je suis fan. Le film est différent du livre mais lui ressemble. Des choses sont mieux expliquées dans le livre que dans le film & vise versa. Mais, les scènes humoristiques sont présentes & les scènes d'actions sont époustouflantes ! Hâte de voir la première partie du quatrième volet

Je vais commencer cet avis par un message d’alerte : attention, la qualité baisse dangereusement ! Après un premier volet très réussi et un second volet légèrement en-dessous, là on a clairement sauté le fossé qui sépare le bon de la médiocrité. Si l’adaptation de la saga littéraire semblait être une bonne idée à la base, pourquoi s’éloigner de plus en plus des recettes qui ont fait le succès de la trilogie manuscrite ? Car, d’après ma fille cadette qui a lu les trois volumes, en dehors de la trame générale, l'adaptation cinématographique s’éloigne de plus en plus du livre. Et son constat est sans appel : elle préfère largement le livre ! Mais revenons-en à ce 3ème volet cinématographique. Ma fille aînée s’est ennuyée devant. Quant à moi, j’ai été désarçonné par le changement brutal opéré pour passer de la science-fiction à de la science-fiction plus science-fiction que la science-fiction elle-même… Vous avez compris ? Relisez-cette phrase avec la plus grande attention. Ca y est ? Vous avez saisi ce que je veux dire ? Bon je continue alors. On se demande alors jusqu’où le délire va aller, dans un épisode où l’action est bien moins présente que dans les épisodes précédents. De plus, certaines d’entre elles ont été tournées au ralenti, ce qui casse le rythme, lui-même à la base pas terrible, en tout cas très inégal. De l’action en moins ? Apparemment, dans ce film, il n’y pas de place pour tout le monde. En effet, en y réfléchissant, on pourrait conclure que l’action a cédé sa place au profit de dialogues apportant un des débuts de réponses (mais pas plus), et des effets spéciaux. Parce que des effets visuels, il y en a, ça oui ! Mais apparemment, le staff technique n’a pas su allier tout cela. Auparavant, les effets visuels étaient particulièrement réussis, avec notamment un décor post-apocalyptique très bien rendu. C'est toujours le cas, mis à part que là, il a fallu tout réinventer, ou presque, puisque cette fois nous allons, comme le titre l’indique, au-delà du mur. Et ça en devient presque agressif à l’œil avec les couleurs vives de la terre vide de vie. Des couleurs vives qui entrent en total contraste avec les couleurs aseptisées de l’oasis que nos héros finissent par "trouver" bon gré mal gré. Je fais remarquer au passage que les décorateurs du nouveau décor ont poussé le vice jusqu’à concocter l’architecture des escaliers du bureau de la direction en forme de génome humain. Cela permet l’arrivée de nouveaux personnages, dont ce fameux David (Jeff Daniels) qui sort d’on ne sait où pour des raisons certes expliquées à qui ne veut pas trop creuser l’affaire, mais dont les véritables raisons restent encore floues spoiler: (hormis cette fameuse expérience dont on nous rabâche les oreilles)
… La réponse viendra sans doute dans le quatrième opus… Mais attention à ne pas tomber encore plus bas. En attendant, ce "Divergente3 : au-delà du mur" n’est ni plus ni moins qu’un étalage d’effets spéciaux de qualité pour lequel la bande son a été également soignée. Quant au casting, il semble plus en retrait aussi, moins impliqué dans l’histoire, presque aussi dubitatif que nous, noyé dans un scénario confus qui met en avant un fameux conseil spoiler: (qu'on ne verra pas)
au sein d’une entreprise dirigée par un gars assoiffé de pouvoir. L’inconvénient dans tout ça, c’est que si nous retrouvons assez rapidement le quatuor formé par Tris, Quatre, Caleb et Peter, rejoints par Christina, seule la première garde le haut de l’affiche, les autres étant gentiment éclipsés par David… A noter tout de même les nouveaux gadgets qui sauvent un peu le tout avec ces drôles de drones encore jamais vus, et qui rajoutent un peu d'intérêt. Ceci dit, dans les faits, je ne suis pas mécontent de ne pas avoir dépensé mon argent pour aller voir ce 3ème volet de "Divergente" au cinéma.

Je ne suis pas une de ces pleurnicheuses psychorigides qui fait une crise d'hystérie au moindre écart avec le matériau original. Mais là, comment dire, on n'en est plus à parler d'écart : on en est au carnage complet. Comment qualifier d'une autre façon un vaste bricolage, pour ne pas dire délire, informatique, où les personnages 1) en sont réduits à de la figuration dans des bulles de savon, 2) ne comprennent pas plus que nous pourquoi, soudain, Divergente se passe sur Mars et 3) passent la moitié du film à manipuler des soucoupes volantes miniatures ? Comment qualifier autrement un scénario qui noie ses revendications fondées (notamment la problématique de l’homme déficient, faisant partie des nombreux parallèles avec les camps de concentration) au milieu d’une intrigue soporifique, sans enjeux dramatiques fédérateurs et sans développement des personnages ? spoiler: Tous les nouveaux protagonistes, en particulier David, sont manichéens ; on ne voit jamais la souffrance de Quatre lorsqu’il apprend que ses gènes sont considérés comme impurs ; on passe au-dessus de la mort de Tori aussi facilement que si l’on rayait un élément de la liste des choses à montrer.
Pour rappel, le monde de Divergente est aux antipodes de l'avant-garde futuriste : c'est justement parce que la société, obsédée par les sérums et les génomes et la surveillance pointue, s’est autodétruite, a été obligée de faire table rase et d’en revenir aux gated communities, et n’a plus que de vieux avions sur un aérodrome en ruines pour rêver, que le message est fort. C'est un monde qui, par bien des aspects, est primitif, par rapport à notre époque. À partir de là, je pose la question : d'où sortent les vaisseaux spatiaux, les systèmes de camouflage par invisibilité, les villes à architecture futuriste ? Pourquoi sacrifier, clairement sans états d'âme, tout ce qui faisait la force d’âme du livre (les personnages, la réflexion), pour y substituer tout ce qu’Hollywood fait de plus superficiel (les effets spéciaux à tout va les premiers) ? L’équipe pense-t-elle que les spectateurs sont trop bêtes pour faire fonctionner leur cerveau et regarder un film en même temps ? Non, je ne suis pas une pleurnicheuse et, soyons honnête, j’ai été somme toute divertie, à force de m’amuser à dénombrer tout ce qui n’allait pas (d’où mon 1/5 particulièrement optimiste). Mais ici, force est de constater que la prise de liberté va trop loin, et de la pire manière : contrairement à ce que le titre prétend, la saga a foncé droit dans le mur. Pour résumer ma pensée en trois mots : c’était consternant. Et si la prochaine équipe de réalisation n’opère pas des changements drastiques de ligne, j'ai bien peur que le dernier opus se noie encore plus au fond de l’océan que celui-ci, qui vient d’y plonger la tête la première.

Divergente 3 est un très très mauvais film ; en résumé, il ne se passe rien pendant 2h, c'est plat, vide, combler par des dialogues interminables et ennuyants, et par des scènes de bastons sur-vitaminés, bien que ce soit assez restreint niveau action par moment. Trop de numérique et d'image de synthèse, pas assez d'histoire, trop focaliser sur les acteurs et le divertissement. Ce n'est plus un volet d'une franchise mais carrément un blockbuster indépendant qui réinvente une scénario. Décevant car trop superficiel, banal et absolument pas innovateur, la fin se voit venir à des kilomètres!

Plus de 2h d'ennuis, je me suis rarement autant ennuyé devant un film !
Les effets spéciaux (les vaisseaux notamment) sont dignes d'un épisode de Doctor Who (qui pour sa défense, n'a pas le même budget hein).
Film plat, humour lourd, peu d'actions, dialogues longs et prévisibles !
Le premier film était bon, le deuxième moins, le troisième est une catastrophe, j'espère vraiment que le quatrième sera à la hauteur !

Film a voir absolument ! Suite grandiose et effets spéciaux de haute volée, a couper le souffle !
Vivement la 4ème parties !!!

c'est simple le 1er était top .... la découverte ..... le 2eme était pas mal ..... l'action les personnages le réalisme était encore présent ..... la c'est réglé ils se sont planté , les effets speciaux détruisent la réalité du film , le réalisme n'est plus présent , cela impacts la crédibilité des acteurs et l'histoire sans queue ni tete ..... il n'y a pas d'action dans se film ,les acteurs sont présent mais on ne retiens riens d'eux mise a part pour 4 qui est bon on attend et on attend toujours ..... j'ai retenu 2 bonnes choses , la musique qui est vraiment prenante et attention spoiler le passage ou spoiler: ils s'évadent en passant par le mur est vraiment cool bien tourné et d'un profond réalisme
mais malheureusement c'est tout , dommage a voir comment va terminer le dernier

Pourris.
Jeu d'acteurs horrible. Répliques inutiles. Scènes digne de Bob l'éponge!
Nul. Nul. Nul.
Pourtant j'ai vraiment aimé les deux premiers.
Pas étonnant que le quatrième opus ne sera pas diffusé au cinéma.

J'ai rarement vu un film aussi mauvais. J'ai pourtant apprécié le 1er opus de la saga ainsi que le 2nd.
Dans ce 3ème volet, le jeu d'acteur est plat et mauvais, l'action n'est pas convaincante, le scénario n'est pas crédible... Seul point positif, les décors sont d'un futurisme post-apocalyptique réussi mais ils sont malheureusement fortement dévalorisés par une gestion et une réflexion sur les conditions d'une zone post-apocalypse très mauvaise, enlevant ainsi tout soupçon de réalisme.
En bref, ce film est à peine digne des films de série B que l'on peut voir à la télévision un après-midi de semaine.
Au bout d'une heure de film, j'ai sorti mon portable pour regarder autre chose et passer le temps.

On sort tout juste d’un deuxième opus particulièrement réussi et dont la fin semblait définitive et suffisante. Mais comme le veut l’adage quand il n’y en a plus, il y en a encore. Mais surtout les romans de Véronica Roth n’étant pas fini d’être adaptés, voici le troisième épisode déjà en salles avant le dernier l’année prochaine. Ici, le système des factions est devenu caduque puisque le mur entourant Chicago est tombé et ses habitants savent désormais qu’il y a un au-delà. Et ce que Tris et ses comparses vont y trouver ne vaut finalement pas forcément mieux…
On saura gré à ce troisième épisode d’élargir le champ de vision la saga comme dans les romans et de nous gratifier d’un nouvel univers visuel réussi dans sa créativité mais aux effets spéciaux parfois un peu trop voyants sans pour autant être ratés. Quand au rythme, il est impeccable. En effet, pas une seconde d’ennui ni de répit dans ces nouvelles aventures. Si les scènes d’action ne sont pas mémorables ni révolutionnaires, elles sont exécutées avec brio et savoir-faire et assez nombreuses pour nous tenir en haleine entre les séquences de découverte et d’explication, elles-mêmes bien intégrées.
On regrette l’absence de Kate Winslet, Jeff Daniels comme Naomi Watts n’arrivant pas à la cheville du personnage de Jeanine qu’elle interprétait et qui est décédé dans l’opus précédent. Quant à l’intrigue, elle est ici un peu plus nébuleuse et les motivations des nouveaux personnages ne sont pas vraiment claires. Attendons le dernier épisode pour en avoir le cœur net. Ce qui est plus gênant est l’incessant changement de camp de certains personnages et le manque de relief de la plupart d’entre eux. Ce n’est pas parce que les épisodes précédents avaient relativement bien défini le rôle de chacun qu’il est interdit de les faire évoluer au-delà de vignettes fonctionnelles. Ici ils agissent comme dans un mauvais soap-opéra et semblent unidimensionnels.
« Divergente 3 » assure cependant sans peine son rôle de divertissement réussi et permet de passer un bon moment. La conclusion donne peut-être moins envie de voir la suite qu’à l’accoutumée (peut-être la lassitude pour la saga ou même ce type de sagas young-adult en général) mais l’ensemble est de tenue et cohérent. Espérons un dernier épisode en grande pompe qui répondra à tous les points laissés en suspens en même temps qu’un bouquet final visuel et narratif à la hauteur des attentes.