Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
S’appuyant sur leur rencontre, Hiromasa Yonebayashi signe un conte onirique, entre exaltation et tristesse adolescentes, qui brouille les pistes entre rêve et réalité. Abordant le deuil, la solitude et le mal-être adolescent, son délicat long-métrage bouleverse.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Ce n’est pas tant par assaut de finesse psychologique que brille le film, mais par cette impulsion lyrique, où réside tout son propos : (…) une remontée aux sources vives de l’affection.
En ce flottement persistant, en cette propension à égarer dans un labyrinthe temporel, éclate un fantastique insidieux et métaphorique, quelque part entre la ferveur du fantôme et celle du fantasme. Il est le témoignage d'un vertige intime, d'une promenade mélancolique au fond de soi, de ses angoisses, de ses fissures.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
« Souvenirs de Marnie » décrit aussi avec une incroyable justesse la solitude immense que peuvent ressentir certains enfants. Ces séquences-là sont les plus fortes du long-métrage. Les plus tristes aussi.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Splendeur visuelle de chaque instant, "Souvenirs de Marnie" finit par s’imposer comme un film absolument bouleversant sur l’amour filial et le deuil de l’enfance.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Si Marnie, personnage à la Candide – grands yeux bleus, chevelure blonde en cascade et larmes faciles – agace quelque peu, les personnages secondaires, immédiatement attachants sont dépeints avec un grand sens du portrait.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Ce mélodrame, plein de nostalgie, d’onirisme et de délicatesse, qui parle du sentiment d’abandon, de l’importance de connaître ses racines et de transmission, frappe droit au coeur.
Ce probable dernier long métrage produit par Ghibli, réalisé par l'auteur d'“Arietty”, délaisse la tradition pour un mélange des styles ambitieux, partois touchant, parfois déconcertant.
En cherchant bien, on trouvera mille correspondances avec l’œuvre de Miyazaki et consorts, mais on aurait préféré qu’elles ne soient pas enfouies sous une gangue de vieux bonbon XIXe siècle.
C'est très joli, presque trop : une touche de mièvrerie dans les bloucles blondes de Marnie, un soupçon de mélo dans les larmes d'Anna. Il manque encore à la nouvelle génération Ghibli ce zeste de magie qui sépare l'habileté du génie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Esthétiquement splendide, certes, charmant, mais sans plus. Cela fait trop allégeance aux vieux clichés nostalgiques anglo-saxons, au détriment de la singularité nipponne qu’on aime.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
On aurait aimé des brumes envoûtantes, un romantisme échevelé. Mais ces considérations trop sérieuses seront balayées par les fans du studio Ghibli, petites filles sentimentales en tête.
20 Minutes
Cette histoire d'amitié entre une gamine solitaire et une étrange petite fille occidentale est une merveille de poésie.
Le Parisien
Merveilleux !
Metro
S’appuyant sur leur rencontre, Hiromasa Yonebayashi signe un conte onirique, entre exaltation et tristesse adolescentes, qui brouille les pistes entre rêve et réalité. Abordant le deuil, la solitude et le mal-être adolescent, son délicat long-métrage bouleverse.
Cahiers du Cinéma
Ce n’est pas tant par assaut de finesse psychologique que brille le film, mais par cette impulsion lyrique, où réside tout son propos : (…) une remontée aux sources vives de l’affection.
Culturopoing.com
En ce flottement persistant, en cette propension à égarer dans un labyrinthe temporel, éclate un fantastique insidieux et métaphorique, quelque part entre la ferveur du fantôme et celle du fantasme. Il est le témoignage d'un vertige intime, d'une promenade mélancolique au fond de soi, de ses angoisses, de ses fissures.
Elle
« Souvenirs de Marnie » décrit aussi avec une incroyable justesse la solitude immense que peuvent ressentir certains enfants. Ces séquences-là sont les plus fortes du long-métrage. Les plus tristes aussi.
L'Obs
Splendeur visuelle de chaque instant, "Souvenirs de Marnie" finit par s’imposer comme un film absolument bouleversant sur l’amour filial et le deuil de l’enfance.
La Croix
Si Marnie, personnage à la Candide – grands yeux bleus, chevelure blonde en cascade et larmes faciles – agace quelque peu, les personnages secondaires, immédiatement attachants sont dépeints avec un grand sens du portrait.
Le Dauphiné Libéré
Dans la lignée de Miyazaki, une belle histoire, sagement dessinée, mais émouvante à souhait.
Le Journal du Dimanche
Ce mélodrame, plein de nostalgie, d’onirisme et de délicatesse, qui parle du sentiment d’abandon, de l’importance de connaître ses racines et de transmission, frappe droit au coeur.
Ouest France
Poésie et tendresse d'un univers fantastique, bien dans l'esprit des studios japonais.
Première
Yonebayashi, qui s’est illustré comme animateur dans d’autres productions du légendaire studio, réussit là un émouvant récit d’apprentissage (...).
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Voici
Premier film post-Miyasaki, qui suit les traces du maître (...) et ne démérite pas, malgré une tendance mélo appuyée.
Les Fiches du Cinéma
Ce probable dernier long métrage produit par Ghibli, réalisé par l'auteur d'“Arietty”, délaisse la tradition pour un mélange des styles ambitieux, partois touchant, parfois déconcertant.
Les Inrockuptibles
En cherchant bien, on trouvera mille correspondances avec l’œuvre de Miyazaki et consorts, mais on aurait préféré qu’elles ne soient pas enfouies sous une gangue de vieux bonbon XIXe siècle.
Télérama
C'est très joli, presque trop : une touche de mièvrerie dans les bloucles blondes de Marnie, un soupçon de mélo dans les larmes d'Anna. Il manque encore à la nouvelle génération Ghibli ce zeste de magie qui sépare l'habileté du génie.
aVoir-aLire.com
(…) un film d’animation formellement correct mais sans surprise ni innovation, autant sur le plan scénaristique qu’esthétique.
Critikat.com
Yonebayashi parvient à exprimer des choses, plus par les images que par les mots : un authentique impressionniste.
L'Humanité
Esthétiquement splendide, certes, charmant, mais sans plus. Cela fait trop allégeance aux vieux clichés nostalgiques anglo-saxons, au détriment de la singularité nipponne qu’on aime.
Le Monde
Une adaptation sans éclat d'un succès de la littérature britannique.
Positif
On aurait aimé des brumes envoûtantes, un romantisme échevelé. Mais ces considérations trop sérieuses seront balayées par les fans du studio Ghibli, petites filles sentimentales en tête.