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    Ave, César!
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    26 abonnés 163 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 24 septembre 2016
    Un scénario indigent (une succession de sketchs lourdingues), une mise en scène vulgaire et des acteurs en roue libre. Affligeant. Après pas mal de hauts et quelques bas, les frères Coen, cette fois, touchent le fond.
    landofshit0
    landofshit0

    278 abonnés 1 745 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 septembre 2016
    Dans un premier temps ave,césar m'a laissé d'une totale indifférence,il faut dire qu'il ne se passe rien ou quasi rien.Puis le film avançant je me suis laissé embarqué. Alors ce n'est surement pas ce que les Cohen ont fait de meilleur,ceci dit ce n'est pas non plus catastrophique et c'est loin d’être mauvais. L'image est toujours au rendez vous ainsi que la mise en scène. Cependant il est vrai que le film manque d'enjeu,on est baladé d'un personnage à l'autre sans réellement se sentir investi par ce que l'on nous montre. Ave, césar aurait mérite d’être plus caustique et plus cinglant sur le cinéma de l'age d'or d'Hollywood. Le film ne manque pas de critiquer le système hollywoodien,la discussion entre Clooney et les scénaristes est vraiment bonne et amusante. Il ressort d'ave césar un film plaisant à suivre,il est aussi parfois amusant mais il est vrai qu'il ne marque pas plus que ça.
    Jérémy J
    Jérémy J

    30 abonnés 653 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 septembre 2016
    Des passages vraiment très très drôle avec des acteurs au top (Chaning Tatum, Brolin, Clooney...) Un Casting cinq étoiles. Un portrait bien corrosif. Toutefois le film souffre de longueur et de problème de continuité. Ainsi certains passage manque cruellement d’Intérêt. Et c'est bien dommage
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 17 septembre 2016
    Film plutôt bon pendant 45min-1H, jusqu'à l'arrivée des Soviétiques. Suite à ça, le film devient du total n'importe quoi. C'est dommage 😢
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 17 septembre 2016
    Nul, plat, sans histoire, sans fin, sans intrigues, sans surprises, sans romance, sans intérêt.
    Film qui a du plaire a ceux qui ont 80 ou 90 ans et qui ont bossé à Hollywood dans les années 50....
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 18 août 2016
    Si le côté "travail d'incompris" des frères Coen peut en faire tiquer quelques-uns, il n'empêche que ce ramassis d'intelligents non-sens qu'est "Ave, César !" capte les projecteurs sans aucune modestie. C'est frais, joliment habillé, drôlement kitsch et parfaitement (sur)joué. Entre hommage et satire, la narration a certainement plus de crédit qu'on ne le croit, dévisageant non sans couleurs et avec un tout petit peu d'exagération un pan d'histoire du cinéma américain.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 15 août 2016
    Je dois avant tout signaler que j'aime le travail des frères Coen. Ma critique est donc favorablement influencée par leur nom.
    J'aime également Scarlett Johansson, Georges Clooney, Ralph Fiennes et tous les petits copains. Je ne serai donc pas objectif pour deux sous.
    Ne voulant pas rentrer dans le débat sur les "grands et petits films" des frères Coen, je le considèrerai donc comme partie intégrante de leur oeuvre globale.

    C'est à la fois une poésie, une rêverie d'enfant et une déclaration d'amour à "l'usine à rêve" (expression utilisée par le narrateur) qu'était Hollywood dans les années '50.
    1h46 de rêve, où l'on passe d'une scènette à l'autre, du Western au peplum, du peplum au film policier, du film policier à la comédie musicale.

    N'étant pas un grand connaisseur de techniques cinématographiques, je ne me permettrais pas de juger de la qualité des plans. J'ai trouvé en revanche que la musique était bonne et les acteurs convaincants.
    Le travail sur ce film a dû être titanesque. On se doit de rendre hommage à toutes les personnes qui s'y sont impliquées. Elles nous offrent là le joli spectacle d'une Amérique insouciante.

    Ainsi servi, le génie des frères Coen nous plonge à la fois dans un conte de fée merveilleux, mais aussi, pour qui regarde entre les images, un drame d'une froideur effrayante.
    bsalvert
    bsalvert

    418 abonnés 3 596 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 août 2016
    Un film décevant malgré la quantité impressionnante d'acteurs connus. On sent qu'il y a énormément de private joke qui du coup nous passent au-dessus. Après un film communautaire qui excluait aussi nombre de spectateurs, à quand un film destiné au public?
    PLV : quelques scènes sont distrayantes
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 25 juillet 2016
    Un formidable hommage à l'âge d'or d'Hollywood. Chaque scène est une référence à un film, on sent que les frères Coen ont pris un plaisir énorme à faire ce film de cinéphiles pursen conservant leur style de narration.
    C'est un film clivant, soit on adhère à l'hommage, soit on reste au bord de la route.
    Pour ma part, j'ai adhéré.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 202 abonnés 4 186 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 mai 2024
    Chaque film des frères Coen est attendu comme un événement. "Avé César !" qui marque leur grand retour au film purement satirique l'était d'autant plus que depuis "The Big Lebowski" en 1996 c'est principalement avec deux films noirs qu'ils ont eu les honneurs unanimes de la critique ("The Barber" en 2001 et "No Country for old men" en 2007). Film sur le cinéma, "Avé César !" qui complète de fort belle manière leur trilogie des idiots a tout de suite été comparé à "Barton Fink" Palme d'or à Cannes en 1991. Si la société de Production nommée Capitole au sein de laquelle se déroulent les deux films est la même, leur tonalité est diamétralement opposée. "Barton Fink", réflexion kafkaïenne et amère sur la place des scénaristes à Hollywood, virant au fantastique dans sa dernière partie est l'œuvre de deux jeunes réalisateurs encore débutants (il s'agit de leur troisième film) qui s'interrogent sur la réalité du monde dans lequel ils ont choisi d'évoluer.
    Aujourd'hui après trente ans de carrière et 17 films derrière eux, les deux frères bientôt sexagénaires accomplis ont forcément nuancé leur vision des choses. À cette aune, "Avé César !" peut-être vu avant tout comme une déclaration d'amour au Hollywood des années 1950 qui les a fait rêver dans leur jeunesse. Ils n'ont pas pour autant perdu leur causticité et comme on dit "qui aime bien châtie bien". C'est donc un florilège de tous les vices et vertus de la Mecque du cinéma de cette période qui nous est joyeusement proposé sans oublier la mise au pilori géniale de la grande paranoïa qui saisit tout ce petit monde refermé sur lui-même quand il emboîta le pas du sinistre sénateur McCarthy fondateur de la commission des activités anti-américaines.
    Le tout est vu à travers l'homme-orchestre qu'est Eddie Mannix (Josh Brolin), "fixeur" pour la firme Capitole, sorte d'homme à tout faire à la solde des directeurs de studio qui règle promptement les problèmes qui surviennent sur et hors des plateaux. Les acteurs et réalisateurs étant de grands enfants, la tâche est variée mais aussi harassante. Josh Brolin spoiler: devenu acteur récurrent des Coen campe avec toute sa force tranquille et sa nouvelle épaisseur ce bon samaritain des stars qui, paradoxe amusant, bien qu'habitué à tout voir et à tout entendre va se confesser tous les jours parce qu'il ment à sa femme à qui il a promis d'arrêter de fumer en attendant de peut-être répondre favorablement à la société Lockheed qui lui propose un contrat en or pour ses qualités de manager mais aussi un emploi du temps plus raisonnable.

    Comme Le Dude (héros de "The big Lebowki" joué par Jeff Bridges) qui s'était fait "pisser" sur son tapis, Mannix un peu tourneboulé va passer tout le film à rechercher Baird Whitlock (George Clooney) l'acteur vedette du studio un peu falot, et disparu en plein tournage d’un péplum. Les frères Coen brodent donc autour de cette trame pour livrer leur lot de saynètes drolatiques habituel mais aussi faire revivre les moments cocasses des tournages de cette époque sans doute un peu fantasmée où chaque rouage d'Hollywood au-delà de l'aspect mercantile toujours présent, avait conscience de son implication nécessaire pour faire du vocable "usine à rêves" autre chose qu'un slogan.
    C'est cette variété de décors et de situations que beaucoup de critiques ont reproché au film jugé moyen car ne maîtrisant pas sa continuité narrative, tombant ainsi avec facilité dans le travers du film à sketches. C'est sans doute avoir mal compris la démarche des frères Coen pour qui l'intrigue n'est cette fois-ci vraiment qu'un prétexte pour placer Scarlett Johansson (apparition courte mais tonitruante) dans la peau d'Esther Williams, Channing Tatum dans celle de Gene Kelly sur le tournage d'"Un jour à New York" (Stanley Donen en 1949), Alden Ehrenreichdans la panoplie du cow-boy chantant Gene Autry ou encore Ralph Fiennes dans la peau de Georges Cukor.
    Les affaires rentrant dans l'ordre à la fin du film, Eddie Mannix qui aura dû entre temps se frotter aux deux commères Louella Parsons et Hedda Hopper malicieusement réunies en deux sœurs jumelles interprétées par la filandreuse Tilda Swinton, choisira de garder son boulot de nounou des stars. Clin d'œil ultime des frères Coen qui comme lui ne quitteraient pour rien au monde l'usine à rêves qu'ils contribuent à préserver avec leur cinéma bariolé et iconoclaste. Il faut noter enfin que si la prestation remarquable du jeune Alden Ehrenreich a été justement soulignée, celle de George Clooney en jupette romaine campant ici son quatrième idiot pour les Coen mérite un véritable coup de chapeau. La scène de la rencontre avec les dix d'Hollywood qui l'ont kidnappé suivie de celle inénarrable où il explique à Mannix éberlué qu'il vient de prendre conscience de son statut d'agent exploité du grand capital montre à quel point le beau George est capable de se mettre minable pour la bonne cause. Ajoutez à l'ensemble une photographie somptueuse de Roger Deakins leur fidèle opérateur et les décors plus faux que nature de Cara Brower et vous obtenez un opus à classer dans la première moitié de la désormais imposante filmographie de ce duo qui est lui inclassable.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 22 juillet 2016
    Barton don't think. On a crié haut et fort, lors de la sortie de cette nouvelle comédie des frères Coen, qu'il s'agissait de la conclusion de leur "trilogie de la débilité" entamée avec "Oh brother" et poursuivie par "Burn after reading". Les spectateurs eux-mêmes s'attendaient à un franc fendage de poire façon "Big Lebowski". Sauf que comme d'habitude chez les frangins surdoués, c'est un peu plus compliqué, et nettement plus subtil que ça. Car en situant leur scénario dans les coulisses d'un studio de cinéma, les Coen en profitent certes pour pointer du doigt la futilité de ce microcosme particulier, mais en profitent également pour déclarer leur amour sans faille à cette futilité salvatrice de bien des maux. Il est ici sans cesse question de l'opposition entre monde réel et monde du cinéma, et sans trop en dire, le rôle d'Eddie Mannix (excellentissime Josh Brolin) est de garder cette frontière nette en évitant qu'un monde déborde sur l'autre, alors qu'il doit lui même choisir entre une entreprise de cinéma et une entreprise de fabrique d'armes. Car la débilité ambiante à Hollywood n'empêche pas l'industrie de produire les plus grandes histoires jamais contées, ce n'est pas pour rien si le film dans le film, "Avé César", est une histoire du Christ, comme ce n'est pas pour rien si l'intrigue évoque la phase "chasse aux sorcières" qui coûta sa carrière à Dalton Trumbo. Les auteurs soulignent ici avec brio la violence d'une incursion du réel dans un univers de paillettes et de carton-pâte. Même si le film n'est pas sans défauts (on peut regretter certaines baisses de rythme dues au montage, comme on peut regretter que Jonah Hill et Frances McDormand fassent de la figuration) l'ensemble n'en reste pas moins supérieur à 99% de ce qui sort actuellement, formellement parlant c'est un pur régal, entre la mise en scène toujours inventive de Joel et Ethan (dont un ébouriffant numéro de claquettes avec Channing Tatum) et la sublime photo de Roger Deakins, chaque plan m'a rappelé pourquoi j'attendais toujours un film des Coen avec une telle impatience. Le sujet le permettant, les frères en profitent pour caser un certain nombre de clins d'oeil malins, du studio Capitol pictures (tiens, le studio qui débauchait Barton Fink) à Carlotta Valdez (les fans d'Hitchcock feront le rapprochement) en passant par Wallace Berry, les références pleuvent, et puis détail amusant de leur part: ils nous abreuvent de caméos en ramenant à l'image des gueules qu'on aime bien (de Clancy Brown à Wayne Knight, en passant pas Christophe cocorico Lambert, ou encore le cultissime Robert Picardo, bien connu des fans de Joe Dante). En bref, "Avé César" a été pour moi un grand bonheur de cinéma, d'une intelligence scénaristique total et formellement brillant. Certains ont été déçus par le fait que le film soit moins délirant que prévu (la subtilité ne parle pas à tout le monde et c'est bien dommage) pour moi ce sera les deux pouces en l'air!
    Xanatos
    Xanatos

    7 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 juillet 2016
    Un beau combo de caricatures du cinéma, des clins d'oeil en pagaille, des acteurs qui jouent très bien leurs rôles, des scènes absurdes comme savent faire les frères Coen, des plans parfaitement composés, des détails drôles, en bref, un bon film ! Par contre, il y a parfois quelques longueurs.
    Kévin L.
    Kévin L.

    17 abonnés 316 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 septembre 2021
    D'un humour très fin et malin, les frères Cohen nous entraines dans cette parodie de l'Age d'or du cinéma hollywoodien grâce à des acteurs en forme. Certes les éclats de rires ne sont pas aux rendez vous mais on repartirais volontiers dans une nouvelle aventure de ce "Manix" se débâtant dans cet univers de personnages tous plus savoureux les uns que les autres. Propre et amusant... un bon moment.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 15 juillet 2016
    Un vrai plaisir de retrouver toute une belle bande d'acteurs ! Ce film est excellent et remet en cause le métier d'acteur mais aussi la fonction du cinéma dans les années où la technologie est en expansion.
    Uchroniqueur
    Uchroniqueur

    162 abonnés 2 376 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 juillet 2016
    Un film qui manque un peu de substance, mais qui est malgré tout jouissif et surtout magnifiquement beau. Un travail photo de qualité pour une reconstitution splendide de l'univers cinématographique des années 50. Une sorte de bordel truffé de clins d’œil cinématographique où il n'y a pas vraiment de personnage plus important qu'un autre, d'intrigue, de fond ou d'enjeu. C'est une suite de joyeux bazars sympathiques qui s’enchaînent autour du personnage fil rouge d' Eddy Mannix dans une journée qui semble très ordinaire dans la vie d'un directeur de studio. Cloney y interprète un personnage magnifiquement transparent. Un film qui, un peu à la manière de 1941, enchaîne des événements jubilatoires, qui n'ont pas forcément de liens ou d'importances avec un casting débridé.C'est ce joyeux fatras qui fait le caractère du film et nous transporte dans un univers féerique et drôle.
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