Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
CNews
par La Rédaction
A la fois satire et hommage à Hollywood, cette comédie grinçante montre les coulisses de l’industrie du 7e art en un panaché de tableaux parodiques jouissifs. La distribution éclatante fait office de cerise sur le gâteau.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Première
par Christophe Narbonne
"Ave, César !" établit, in fine, le constat que malgré la luxure et la médiocrité, indépendamment des rivalités et des pressions extérieures, Hollywood incarne à jamais le cinéma dans toute sa noblesse artistique et populaire que les Coen perpétuent à leur manière.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Fabio Martins
Le film propose un divertimento d’une richesse et d’une liberté admirables, rendant hommage au médium cinématographique tout en exposant sans retenue tout ce qu’il a de plus frivole.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Culturopoing.com
par Jean-Nicolas Schoeser
Naïf parfois, imparfait, mais profondément honnête, pas étonnant qu’il s’ouvre et se ferme sur un double-confessionnal : car il faut bien rêver, quand le monde risque d’exploser. Nous sommes les frères Coen, et voici nos histoires.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Un film délicieusement kitsch, une énorme sucrerie que ses auteurs s'emploient à dynamiter régulièrement en y introduisant des personnages forts en gueule, campés par des (vraies) stars qui en font délibérément des tonnes.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
GQ
par Toma Clarac
Cet étalage de la force de frappe des présidents du jury du dernier festival de Cannes aurait pu vite tourner à vide (...). C'était sans compter sur Eddie Mannix. Mi-détective privé à la Bogart, mi-super-nanny, il voue un amour immodéré pour son travail, abordé comme un sacerdoce.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Obs
par François Forestier
POUR : Foire aux cabots et carrousel des vanités, Hollywood vu par les Coen est un bonheur : ils se moquent de tout, avec talent. On rit avec eux.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Marie Soyeux
Un très bon film, mais pas à un grand cru des frères Coen (...). On ne boudera pas son plaisir pour autant !
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Sans égaler "Barton Fink", "Fargo" et "The Big Lebowski", figures phares du tandem, cet "Ave César" n’en constitue pas moins un spectacle d’une espèce rare. Sacrément jubilatoire.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
L’occasion pour les frères Coen de laisser parler leur amour du cinéma, dans un film qui cultive avec autant de bonheur le parfum de la nostalgie que le sourire irrésistible de la parodie.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Ce pourrait être trop, c'est en fait juste assez. (...) Juste assez parce que, en y réfléchissant bien (et rarement farce a exigé autant de l'intellect), "Ave, César!" choisit son camp, celui des images auxquelles on a cru quand on les a créées.
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Hommage roboratif à l'âge d'or d'Hollywood, le nouveau film des frères Coen, doté d'un casting royal, multiplie les figures excentriques et les visions rêveuses.
Libération
par Clémentine Gallot
Ce nouveau regard critique s’inscrit, plutôt qu’en tableau à charge contre la frivolité et les paillettes, comme une malicieuse satire «méta» qui n’ôte rien à l’enchantement de l’entertainment, présenté ici dans tout son artisanat familial rédempteur.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Pierre Fornerod
Une fiévreuse déclaration d'amour au cinéma.
Positif
par Jean-Loup Bourget
Les frères Coen, sans illusions sur le cinéma (...), se contentent d'être des amuseurs, mais réaffirment haut et fort, en tant que scénaristes-réalisateurs, leur statut d'auteurs, au sens où l'entendaient aussi Wilder et Mankiewicz.
Sud Ouest
par Sophie Avon
La rigueur de la reconstitution, la volonté de rester dans le jus des mises en scène de l'époque - les cinéastes se comportant comme des héritiers aussi aimants qu'ironiques -, donnent au film un air de fête qui n'est pas sans mélancolie. Hilarant toujours, nous prenant à témoin d'une usine à rêve aussi creuse que puissante.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
VSD
par Olivier Bousquet
Ne comptez pas cependant sur les frères Coen pour jouer la vieille rengaine du « C’était mieux avant ». L’humeur est badine. Le talent, comme toujours, immense.
Voici
par La rédaction
Un réjouissant hommage de cinéphiles au cinéma des années 50 et à l'âge d'or des studios, avec un casting en or massif.
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Les frères Coen nous ont habitués à jongler entre grands et petits films, dont fait partie "Ave, César !", qui dépasse néanmoins le statut de petite fable de brocanteurs que son intrigue laissait redouter.
Critikat.com
par Josué Morel
[...] faussement satirique, le film interroge en vérité, autant sur un versant parodique que dans sa chair même, la croyance que l’on peut avoir dans une image fabriquée.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Autant de savoureux numéros d’acteurs pour une comédie légère et résolument vintage.
Le Parisien
par Alain Grasset
L'ensemble manque de souffle et l'on s'ennuie un peu (...). Mais ce Coen léger, voire mineur, est à voir pour une scène formidable où un metteur en scène dirige un jeune acteur de western qui a beaucoup de mal avec ses dialogues.
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
Par moments tout de même, le récit se disloque un peu en succession de sketches inégalement inspirés et l’enchaînement s’essouffle. Un Coen mineur donc, mais au charme tenace, qui réussit à combiner la satire acide et la nostalgie aimante, sans jamais sacrifier l’une pour l’autre.
Télérama
par Louis Guichard
Le film, aussi mineur que fastueux (dans ses reconstitutions), se savoure donc par fragments. C'est presque une comédie à sketches, une succession de parodies des différents genres de cinéma usinés à l'époque.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Pascal Mérigeau
CONTRE : Il faut les apparitions de Tilda Swinton dans le double rôle de sœurs jumelles échotières et rivales pour retrouver la verve habituelle des Coen, ici loin de leurs réussites majeures, "A Serious Man" ou "Fargo".
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Metro
par Mehdi Omaïs
Si quelques traits cinglants enjolivent le tableau –mention spéciale au travail du chef décorateur Jess Gonchor–, les frangins cinéastes échouent dans leur estimable ambition de bâtir une grande comédie sur le cinéma, l’argent, le sexe et la foi.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Paris Match
par La Rédaction
ON attendait mieux des réalisateurs de "The Big Lebowski", plus de mordant dans la satire et moins de grimaces face caméra. C’est le propre des génies, quand ils s’amusent beaucoup, on s’ennuie un peu.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
TF1 News
par Romain Le Vern
Un hommage à l'âge d'or hollywoodien qui tient de l'aimable succession de vignettes et qui, faute de mordant, génère une impression tenace de futilité.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
CNews
A la fois satire et hommage à Hollywood, cette comédie grinçante montre les coulisses de l’industrie du 7e art en un panaché de tableaux parodiques jouissifs. La distribution éclatante fait office de cerise sur le gâteau.
Première
"Ave, César !" établit, in fine, le constat que malgré la luxure et la médiocrité, indépendamment des rivalités et des pressions extérieures, Hollywood incarne à jamais le cinéma dans toute sa noblesse artistique et populaire que les Coen perpétuent à leur manière.
aVoir-aLire.com
Le film propose un divertimento d’une richesse et d’une liberté admirables, rendant hommage au médium cinématographique tout en exposant sans retenue tout ce qu’il a de plus frivole.
Culturopoing.com
Naïf parfois, imparfait, mais profondément honnête, pas étonnant qu’il s’ouvre et se ferme sur un double-confessionnal : car il faut bien rêver, quand le monde risque d’exploser. Nous sommes les frères Coen, et voici nos histoires.
Franceinfo Culture
Un film délicieusement kitsch, une énorme sucrerie que ses auteurs s'emploient à dynamiter régulièrement en y introduisant des personnages forts en gueule, campés par des (vraies) stars qui en font délibérément des tonnes.
GQ
Cet étalage de la force de frappe des présidents du jury du dernier festival de Cannes aurait pu vite tourner à vide (...). C'était sans compter sur Eddie Mannix. Mi-détective privé à la Bogart, mi-super-nanny, il voue un amour immodéré pour son travail, abordé comme un sacerdoce.
L'Obs
POUR : Foire aux cabots et carrousel des vanités, Hollywood vu par les Coen est un bonheur : ils se moquent de tout, avec talent. On rit avec eux.
La Croix
Un très bon film, mais pas à un grand cru des frères Coen (...). On ne boudera pas son plaisir pour autant !
La Voix du Nord
Sans égaler "Barton Fink", "Fargo" et "The Big Lebowski", figures phares du tandem, cet "Ave César" n’en constitue pas moins un spectacle d’une espèce rare. Sacrément jubilatoire.
Le Dauphiné Libéré
L’occasion pour les frères Coen de laisser parler leur amour du cinéma, dans un film qui cultive avec autant de bonheur le parfum de la nostalgie que le sourire irrésistible de la parodie.
Le Monde
Ce pourrait être trop, c'est en fait juste assez. (...) Juste assez parce que, en y réfléchissant bien (et rarement farce a exigé autant de l'intellect), "Ave, César!" choisit son camp, celui des images auxquelles on a cru quand on les a créées.
Les Fiches du Cinéma
Hommage roboratif à l'âge d'or d'Hollywood, le nouveau film des frères Coen, doté d'un casting royal, multiplie les figures excentriques et les visions rêveuses.
Libération
Ce nouveau regard critique s’inscrit, plutôt qu’en tableau à charge contre la frivolité et les paillettes, comme une malicieuse satire «méta» qui n’ôte rien à l’enchantement de l’entertainment, présenté ici dans tout son artisanat familial rédempteur.
Ouest France
Une fiévreuse déclaration d'amour au cinéma.
Positif
Les frères Coen, sans illusions sur le cinéma (...), se contentent d'être des amuseurs, mais réaffirment haut et fort, en tant que scénaristes-réalisateurs, leur statut d'auteurs, au sens où l'entendaient aussi Wilder et Mankiewicz.
Sud Ouest
La rigueur de la reconstitution, la volonté de rester dans le jus des mises en scène de l'époque - les cinéastes se comportant comme des héritiers aussi aimants qu'ironiques -, donnent au film un air de fête qui n'est pas sans mélancolie. Hilarant toujours, nous prenant à témoin d'une usine à rêve aussi creuse que puissante.
VSD
Ne comptez pas cependant sur les frères Coen pour jouer la vieille rengaine du « C’était mieux avant ». L’humeur est badine. Le talent, comme toujours, immense.
Voici
Un réjouissant hommage de cinéphiles au cinéma des années 50 et à l'âge d'or des studios, avec un casting en or massif.
Cahiers du Cinéma
Les frères Coen nous ont habitués à jongler entre grands et petits films, dont fait partie "Ave, César !", qui dépasse néanmoins le statut de petite fable de brocanteurs que son intrigue laissait redouter.
Critikat.com
[...] faussement satirique, le film interroge en vérité, autant sur un versant parodique que dans sa chair même, la croyance que l’on peut avoir dans une image fabriquée.
Le Journal du Dimanche
Autant de savoureux numéros d’acteurs pour une comédie légère et résolument vintage.
Le Parisien
L'ensemble manque de souffle et l'on s'ennuie un peu (...). Mais ce Coen léger, voire mineur, est à voir pour une scène formidable où un metteur en scène dirige un jeune acteur de western qui a beaucoup de mal avec ses dialogues.
Les Inrockuptibles
Par moments tout de même, le récit se disloque un peu en succession de sketches inégalement inspirés et l’enchaînement s’essouffle. Un Coen mineur donc, mais au charme tenace, qui réussit à combiner la satire acide et la nostalgie aimante, sans jamais sacrifier l’une pour l’autre.
Télérama
Le film, aussi mineur que fastueux (dans ses reconstitutions), se savoure donc par fragments. C'est presque une comédie à sketches, une succession de parodies des différents genres de cinéma usinés à l'époque.
L'Obs
CONTRE : Il faut les apparitions de Tilda Swinton dans le double rôle de sœurs jumelles échotières et rivales pour retrouver la verve habituelle des Coen, ici loin de leurs réussites majeures, "A Serious Man" ou "Fargo".
Metro
Si quelques traits cinglants enjolivent le tableau –mention spéciale au travail du chef décorateur Jess Gonchor–, les frangins cinéastes échouent dans leur estimable ambition de bâtir une grande comédie sur le cinéma, l’argent, le sexe et la foi.
Paris Match
ON attendait mieux des réalisateurs de "The Big Lebowski", plus de mordant dans la satire et moins de grimaces face caméra. C’est le propre des génies, quand ils s’amusent beaucoup, on s’ennuie un peu.
TF1 News
Un hommage à l'âge d'or hollywoodien qui tient de l'aimable succession de vignettes et qui, faute de mordant, génère une impression tenace de futilité.