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moket
526 abonnés
4 331 critiques
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3,5
Publiée le 13 août 2017
Un peu décevant par rapport au premier, ce second volet manque un peu d'humour, même s'il n'est pas en reste côté action. Tout doucement, le poids des années commence à se faire sentir chez le bon Tom qui ne semble plus aussi à l'aise qu'avant. Cela reste un bon film d'action un peu rétro.
J'avais bien aimé le 1. Il faut dire que c'était McQuarrie aux commandes qui est peut-être l'un des scénaristes américains le plus talentueux du moment. Là, il y a un petit changement de cap avec l'arrivée d'Edward Zwick que Cruise connaît bien également pour avoir tourné avec lui Le Dernier samouraï. Plus monolithique que jamais, Cruise accompagné de l'ex mannequin Cobie Smulders lèvent un fameux lièvre. Un trafic d'armes au sein de l'armée américaine. C'est pas à l'époque de Chuck Norris qu'on aurait vu ça même si la personnalité de Jack Reacher s'en approche. Car le bougre met les pieds, enfin les poings en l’occurrence, où il veut et c'est souvent dans la gueule. Ce côté western urbain rappelle les films d'Andrew Davis (avec qui le grand Chuck a tourné d'ailleurs) fin des années 80/début des années 90. Et je suis sûr, qu'en son for intérieur, Cruise ne serait pas contre une telle filiation. D'un autre côté, ça peut se comprendre. Quand il a essayé de changer de registre avec Lions et Agneaux et Walkyrie à la fin des années 2000, il a bidé. Avec ce Jack Reacher never go back, il donne exactement ce que le public attend de lui. En 2016, j'aurais aimé un peu plus d'imagination qu'une frêle adolescente comme ressort dramatique et un méchant à la tête de méchant tout droit sorti d'un DTV avec Scott Adkins mais les amateurs du beau Tom s'en contenteront quoi qu'il arrive. Les années passent et peut-être commence-t-il à se douter que les films où il joue les justiciers invincible se compteront désormais sur les doigts de la main.
Plus dynamique encore que le premier film, une suite qui vaut surtout pour ses scènes d'actions, de courses-poursuites et pour Tom Cruise, convaincant dans son personnage de justicier. 100% pop-corn, un film d'action efficace qui maintiens son suspense jusqu'à la fin.
Il fut un temps où Tom Cruise semblait courir après la récompense suprême : l’Oscar du meilleur acteur, avec des films comme « Né un quatre Juillet », où il y mettait vraiment ses tripes. Malheureusement, à tort ou à raison, l’Académie ne lui a jamais décerné la statuette tant rêvée. A un moment il a dû donc se dire, « tant pis pour ces colifichets » et se consacrer plutôt à des projets qui feraient de lui également une star mondiale, mais qui seraient beaucoup plus rémunérateurs. D’où la profusion de films d’action dont sa filmographie regorge ses dernières années avec des franchises comme « Mission Impossible ». « Jack Reacher » est dans la même veine, quoi de façon beaucoup plus industrielle. Il revient, ici, avec un deuxième opus qui, autant le dire de suite, est plus décevant que le premier qui n’était déjà pas une œuvre d’orfèvre. L’intrigue recycle du déjà-vu, avec ses militaires corrompus, sa société militaire privée qui a viré entreprise criminelle, son trafic d’armes et de drogue et l’Afghanistan (il faut dire aux scénaristes que l’armée américaine a quitté le pays depuis un moment, les scénarios de ce type font donc un peu datés !) et au milieu de tout cela un héros en fuite qui tente de réhabiliter son nom. C’est vraiment du pur convenu et cela donne un film distrayant, mais franchement pas prenant et qui, donc, fait dans la facilité pour ne pas dire dans la grosse ficelle. Reste un Cruise qui fait le job, mais qui (évidemment puisqu’il est producteur), est totalement dans sa zone de confort. Un film qui meuble aisément deux heures que vous auriez à tuer, mais qui peut être évité sans grand regret.
Film qui repose sur une histoire et un casting intéressant ! Trop de régularité à mes yeux, garde ENORMEMENT le style AMÉRICAIN ! Pas à la hauteur d'un Mission Impossible par exemple mais on retrouve quelques nuances appartenant à ces films ! Le film était relativement prenant !
Cette suite m'a encore plus plu que le premier volet. Cobie Smulders est étonnamment convaincante dans ce rôle et son duo avec Cruise fonctionne très bien. On retrouve encore plein d'action dans ce film et de l'émotion aussi avec la présence de Danika Yarosh au casting. Je vous le conseille !
Retour aux années 90 dans une genre de traque policière sans inquiétude et sans enjeu. Le seul avantage lorsqu'il y a si peu d'action est qu'on gagne en crédibilité : Tom Cruise ne tue pas 10 hommes d'un coup à bras nues avant de sauter sur un avion qui décolle, mais a au contraire du mal à en tuer un malgré l'aide de sa collègue... Les deux autres femmes de l'histoire ne donnent aucune profondeur ou intensité au récit. Décevant.
Jack Reacher : Never go back se laisse suivre mais n'est pas transcendant. Ce deuxième volet est moins bon que le premier, la tension est peu présente, Tom cruise est peu impliqué et semble s'ennuyer... comme nous ! Le film est trop long (2h) et la présence de la supposée fille du héros est plus un boulet qu'une idée de génie dans le scénario, cette dernière casse le rythme du film et transforme la fin du film en Taken du pauvre !
Le premier épisode de Jack Reacher m'avait laissé totalement indifférent. Ni bon, ni mauvais, c'était un vulgaire film d'action avec en tête d'affiche Tom Cruise. Pourquoi ne pas reprendre une formule qui avait fonctionné dans le box-office mondial ? Ainsi, Jack Reacher est de retour, avec un opus plus réjouissant et plus dramatique même si l'oeuvre n'est pas avare en défaut. Si les personnages sont attachants (grâce à la partition toujours impeccable de Cruise et de sa camarade de jeu, Cobie Smulders), on tombe très rapidement dans les caricatures. Les thématiques autour de la paternité, de l'égalité homme-femme tombe rapidement en désuétude, au profit de scènes d'actions plus réfléchies mais également plus rares que dans le précédent opus. Edward Zwick fait un boulot convaincant au niveau de la réalisation même si je peste encore sur certains faux-raccords particulièrement visibles (à 2 reprises, on voit l'ombre de la caméra se balader sur les acteurs - un comble pour 2016 !! ) et qui frôle parfois, l'amateurisme. On sent même parfois quelques coupes dans le budget (notamment l'affrontement final sur les toits qui a certainement été tourné en studio). Au niveau du scénario, le film navigue dans la catégorie série B et quelques incohérences scénaristiques feront parfois tiquer le spectateur (si celui-ci n'est pas encore perdu par le flot d'information). En bref, Jack Reacher : never go back ne révolutionne pas le genre mais parvient à capter la sympathie du spectateur. Divertissant à défaut d'être marquant ou révolutionnaire !
Quand j'ai vu la bande annonce de cette suite des aventures de Jack Reacher, j'ai eu très envie d'aller le voir au cinéma. Je n'ai pas eu l'occasion d'aller le voir à l'époque et ce n'est que hier soir, que j'ai enfin eu ce déplaisir de le découvrir dans mon salon.
Cette suite est d'un ennui et d'un prévisible mortel. Le seul passage que j'ai apprécié, c'est le tout début, dans le café/brasserie, autrement dit, ce qu'on voyait dans la bande annonce.
J'ai trouvé les personnages secondaires hyper clichés. Le rôle de la fille du héros, un peu rebelle sur les bords et qui passe son temps à faire tout ce qu'on lui interdit, alors qu'elle est en danger de mort. Ou celui de la militaire qui se bat pour qu'on la respecte en tant que personne, et non qu'on la traite en femme.
D'ailleurs, en parlant de la fille, il faudra qu'on m'explique une chose. spoiler: Comment Jack Reacher peut il se retrouver à être potentiellement le père de la gamine, si il n'a jamais connu et encore moins eu de relation sexuelle avec la mère ? Parce que bon, si encore les 2 personnes s'étaient connues, ça aurait pu être le cas. Mais là, non. Ils n'ont jamais entendu parler l'un de l'autre. Alors comment son nom a pu être cité ?
Voilà le genre d'absurdité qu'on rencontre tout au long de ce film.
Bref, à tout les amateurs du premier volet, je vous conseille de passer votre chemin si vous ne voulez pas perdre votre temps.
Un scénar peut-être un peu moins fouillé que le précédent mais le climat est toujours aussi brut fonderie et captivant. Tom Cruise apporte pas mal de finesse au personnage, il le tient jusqu'au bout des ongles. Le film est bien réalisé, j'ai passé un très bon moment.
Un film d'action totalement cliché et banal. On reprend tous les codes du classique avec des punchlines évidentes, un twist basique, des scènes d'actions, un méchant, un peu d'amour et un happy end à vomir. Dommage car le premier sortait du lot et proposait quelque chose de différent. Ici, on ne fait qu'un simple film d'action et ca s'arrête la.
Un accent grave est à prévoir dans ce second volet, testant de nouvelles affinités avec un héros solitaire. La recette d’Edward Zwick donne une adaptation d’un Reacher essayant de prendre son envol d’une certaine manière. Le héros charismatique de Lee Child ne perd pas en volonté, on le sent bien mais de la retenue se fait sentir à plusieurs reprises. Non pas que le rôle et la mentalité du personnage l’impose, mais l’arrivée d’un « équivalent » féminin complexifie bien les choses. On comprend rapidement où veut en venir l’intrigue et vers quoi on s’oriente, malgré la lourde contrainte scénaristique, jouant sur un dynamisme sacrifié. Autant, le premier film abordait les transitions de manières à faire suer nos personnages de temps à autre. Ici, Tom Cruise remplit son contrat à merveille, toujours avec cette ironie du genre le plongeant dans ses années 80, glorieuses. L’introduction Cobie Smulders est saisissante, tout comme le héros principal. Cet air pourtant mystérieux parvient à se démythifier lorsque le gars ou la fille cherche à prendre le dessus. La collision de ces deux êtres forts et indépendants n’est pas toujours implicite au point de signer un véritable contraste, faisant directement contradiction avec la personnalité initialement présentée.
Et même en dehors de ce cadre, la profondeur est à déplorer devant une aventure riche en intention, mais peu investie dans son exécution. Quelques touches émotionnelles nous invitent tout de même à rester éveillé, malgré quelques freinages qui en découlent, pas toujours subtils et efficace. De ce fait, « Jack Reacher : Never Go Back » ne saute pas le pas que nous aurions espéré, en dépit d’une association trop nuancée dans la forme au lieu de développer un postulat qui s’écrase à mi-parcours. A délecter sans enjeu, devant un divertissement globalement « vide » !