Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
A 54 printemps, le comédien s’offre des scènes de combats à mains nues proprement époustouflantes.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La Rédaction
Peut-être un peu moins convaincant que le premier volet, "Jack Reacher : Never Go Back" possède quand même son lot de bagarres et de fusillades bien senties.
LCI
par Romain Le Vern
À l’heure où les super-héros squattent le box-office, Tom Cruise propose une alternative badass dans "Jack Reacher Never Go Back", suite d’un génial premier volet aux allures de western urbain.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Public
par Florence Roman
Jack Reacher fait son retour en force (...) avec ses poings et son humour dévastateur.
Le Figaro
par Olivier Delcroix
On aurait aimé que le réalisateur Edward Zwick puisse rester au niveau du précédent film signé McQuarrie. Si la première heure reste bien bâtie, Cruise campant avec conviction le justicier solitaire, l'histoire accuse quelques faiblesses de rythme quand la jeune fille pourchassée fait son apparition.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Etienne Sorin
Si la première heure reste bien bâtie, le personnage de Reacher, toujours impeccablement campé par Cruise, le film accuse en revanche quelques faiblesses de rythme à partir de l’introduction du personnage de la jeune fille pourchassée.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Danel
Efficace comme une arme de guerre, toujours avec un Tom Cruise ineffable, mais moins drôle et surprenant que le premier volet signé Christopher McQuarrie.
Ouest France
par La Rédaction
C'est moins original mais c'est efficace.
Télérama
par Frédéric Strauss
Cette fois, on oublie les bonnes manières : méchants coups de latte et poings dans la gueule, voilà tout ce qu'on aura. Avec ce thriller où l'armée américaine est noyautée par des renégats, on se croirait dans le cinoche des années 70 ou 80. Un petit plaisir rétro et un peu rétrograde. Un petit plaisir quand même.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Yal Sadat
Quoi de pire, au fond, que le bégaiement apparemment incurable des licences hollywoodiennes ? Sans doute leurs tentatives ratées d’innovation. "Jack Reacher : Never Go Back" l’illustre bien, en prenant un peu n’importe comment le contrepied du premier film.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
L’adage selon lequel l’on prépare les meilleurs plats dans les vieux pots ne se vérifie pas toujours. Tout cela sent le plat à réchauffer, la cuisine industrielle, pour ne pas dire la "malbouffe".
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Thomas Baurez
Le scénario, laborieux, et la mise en scène, d'une linéarité rédhibitoire, franchissent sans heurt le mur de l'ennui. A part ça, Cruise contrôle.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
La suite des aventures du héros musclé, dans un film d’action à poursuites, explosions et tirs en rafales programmés, dans lequel un Tom Cruise recyclé cherche à trouver son deuxième souffle. Question de survie.
Le Parisien
par Tanneguy De Kerpoisson
S'il remplit sa mission de film d'action avec bagarres et échanges de tirs à foison, ce deuxième volet des aventures de Jack Reacher manque cruellement d'imagination.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par Emmanuel Raspiengeas
Noyé dans une esthétique indigne, l'acteur gâche son talent dans un jeu marmoréen, antinomique de sa figure d'histrion cartoonesque qu'il développe et remet en question depuis plus de vingt ans.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Quatre ans après l'excellent premier opus, on attendait beaucoup de cette suite. D'où la déception, tant ce thriller musclé se contente d'aligner des scènes d'actions mécaniques sans renouer avec la finesse scénaristique ni avec cette touche d'autodérision qui faisait le prix de l'original.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Hommage ostentatoire aux DTV improbables des années 90, Jack Reacher 2, avec sa star fatiguée, n’est qu’action passable, indigeste et souvent déraisonnable dans sa durée somnolente.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Josué Morel
En cherchant à enrichir la partition bien rodée que joue la star depuis quelques années, "Jack Reacher : Never Go Back" s’éloigne de l’essentiel et se révèle de fait le plus insipide des "Tom Cruise movies".
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
GQ
par Toma Clarac
Vite oublié, "Jack Reacher : Never Go Back", l'est assurément. Le problème, c'est qu'il n'est pas (ou pas assez) vite vu. Deux heures pour une histoire un peu pétée de trafic d'armes et de règlements de compte entre ex-troufions d'élites, c'est aussi long qu'une saison entière d'NCIS.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Obs
par Nicolas Schaller
Quelle mouche a piqué l’acteur, d’ordinaire inspiré dans le choix de ses collaborateurs, pour qu’il fasse appel à son réalisateur du "Dernier Samouraï", le laborieux Edward Zwick, sur un projet pareil ? Celui-ci vient de lui offrir un des pires films de sa carrière, le premier où il a l’air totalement has been.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Thomas Sotinel
(La) victoire (de Tom Cruise) sur les militaires dévoyés qui salissent l’honneur de l’armée des États-Unis ne faisant aucun doute, on aura le temps de faire le deuil des qualités qui furent celles de l’acteur – grâce, insolence, vivacité, perversité – et qui brillent toutes ici par leur absence.
Le Point
par Philippe Guedj
Comme Will Smith, Vin Diesel ou, dans un registre plus noble, Denzel Washington, Tom Cruise perpétue une tradition de vieux modèle mâle s'entêtant à ne choisir ou produire que des films alignés sur l'image du sauveur qu'il se plaît à se réserver. La recette pourrait bien déjà s'affadir avec ce médiocre "Never Go Back".
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Ni l'intrigue, une enquête cousue de fil blanc qui tente d'inventer un passé au personnage principal (contre-sens total), ni sa partenaire Cobie Smulders, censée contrebalancer la raider chucknorrissienne de l'ex-major (échec), ne parviennent à relever le niveau.
20 Minutes
A 54 printemps, le comédien s’offre des scènes de combats à mains nues proprement époustouflantes.
CNews
Peut-être un peu moins convaincant que le premier volet, "Jack Reacher : Never Go Back" possède quand même son lot de bagarres et de fusillades bien senties.
LCI
À l’heure où les super-héros squattent le box-office, Tom Cruise propose une alternative badass dans "Jack Reacher Never Go Back", suite d’un génial premier volet aux allures de western urbain.
Public
Jack Reacher fait son retour en force (...) avec ses poings et son humour dévastateur.
Le Figaro
On aurait aimé que le réalisateur Edward Zwick puisse rester au niveau du précédent film signé McQuarrie. Si la première heure reste bien bâtie, Cruise campant avec conviction le justicier solitaire, l'histoire accuse quelques faiblesses de rythme quand la jeune fille pourchassée fait son apparition.
Le Figaroscope
Si la première heure reste bien bâtie, le personnage de Reacher, toujours impeccablement campé par Cruise, le film accuse en revanche quelques faiblesses de rythme à partir de l’introduction du personnage de la jeune fille pourchassée.
Les Fiches du Cinéma
Efficace comme une arme de guerre, toujours avec un Tom Cruise ineffable, mais moins drôle et surprenant que le premier volet signé Christopher McQuarrie.
Ouest France
C'est moins original mais c'est efficace.
Télérama
Cette fois, on oublie les bonnes manières : méchants coups de latte et poings dans la gueule, voilà tout ce qu'on aura. Avec ce thriller où l'armée américaine est noyautée par des renégats, on se croirait dans le cinoche des années 70 ou 80. Un petit plaisir rétro et un peu rétrograde. Un petit plaisir quand même.
Chronic'art.com
Quoi de pire, au fond, que le bégaiement apparemment incurable des licences hollywoodiennes ? Sans doute leurs tentatives ratées d’innovation. "Jack Reacher : Never Go Back" l’illustre bien, en prenant un peu n’importe comment le contrepied du premier film.
Franceinfo Culture
L’adage selon lequel l’on prépare les meilleurs plats dans les vieux pots ne se vérifie pas toujours. Tout cela sent le plat à réchauffer, la cuisine industrielle, pour ne pas dire la "malbouffe".
L'Express
Le scénario, laborieux, et la mise en scène, d'une linéarité rédhibitoire, franchissent sans heurt le mur de l'ennui. A part ça, Cruise contrôle.
Le Dauphiné Libéré
La suite des aventures du héros musclé, dans un film d’action à poursuites, explosions et tirs en rafales programmés, dans lequel un Tom Cruise recyclé cherche à trouver son deuxième souffle. Question de survie.
Le Parisien
S'il remplit sa mission de film d'action avec bagarres et échanges de tirs à foison, ce deuxième volet des aventures de Jack Reacher manque cruellement d'imagination.
Positif
Noyé dans une esthétique indigne, l'acteur gâche son talent dans un jeu marmoréen, antinomique de sa figure d'histrion cartoonesque qu'il développe et remet en question depuis plus de vingt ans.
Télé 7 Jours
Quatre ans après l'excellent premier opus, on attendait beaucoup de cette suite. D'où la déception, tant ce thriller musclé se contente d'aligner des scènes d'actions mécaniques sans renouer avec la finesse scénaristique ni avec cette touche d'autodérision qui faisait le prix de l'original.
aVoir-aLire.com
Hommage ostentatoire aux DTV improbables des années 90, Jack Reacher 2, avec sa star fatiguée, n’est qu’action passable, indigeste et souvent déraisonnable dans sa durée somnolente.
Critikat.com
En cherchant à enrichir la partition bien rodée que joue la star depuis quelques années, "Jack Reacher : Never Go Back" s’éloigne de l’essentiel et se révèle de fait le plus insipide des "Tom Cruise movies".
GQ
Vite oublié, "Jack Reacher : Never Go Back", l'est assurément. Le problème, c'est qu'il n'est pas (ou pas assez) vite vu. Deux heures pour une histoire un peu pétée de trafic d'armes et de règlements de compte entre ex-troufions d'élites, c'est aussi long qu'une saison entière d'NCIS.
L'Obs
Quelle mouche a piqué l’acteur, d’ordinaire inspiré dans le choix de ses collaborateurs, pour qu’il fasse appel à son réalisateur du "Dernier Samouraï", le laborieux Edward Zwick, sur un projet pareil ? Celui-ci vient de lui offrir un des pires films de sa carrière, le premier où il a l’air totalement has been.
Le Monde
(La) victoire (de Tom Cruise) sur les militaires dévoyés qui salissent l’honneur de l’armée des États-Unis ne faisant aucun doute, on aura le temps de faire le deuil des qualités qui furent celles de l’acteur – grâce, insolence, vivacité, perversité – et qui brillent toutes ici par leur absence.
Le Point
Comme Will Smith, Vin Diesel ou, dans un registre plus noble, Denzel Washington, Tom Cruise perpétue une tradition de vieux modèle mâle s'entêtant à ne choisir ou produire que des films alignés sur l'image du sauveur qu'il se plaît à se réserver. La recette pourrait bien déjà s'affadir avec ce médiocre "Never Go Back".
Les Inrockuptibles
Ni l'intrigue, une enquête cousue de fil blanc qui tente d'inventer un passé au personnage principal (contre-sens total), ni sa partenaire Cobie Smulders, censée contrebalancer la raider chucknorrissienne de l'ex-major (échec), ne parviennent à relever le niveau.