Désirs humides (21 ouvreuses en scène) : Critique presse
Désirs humides (21 ouvreuses en scène)
Note moyenne
3,6
5 titres de presse
Chronic'art.com
Le Monde
Les Inrockuptibles
L'Obs
Lenouveaucinema.com
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
Chronic'art.com
par Stéphane Aicardi
(...) la propension à accompagner, voire anticiper les évolutions sociales de son pays d'origine ne manque pas de surprendre et de rapprocher cette œuvre des préoccupations de la nouvelle vague japonaise emmenée par Nagisa Oshima.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Monde
par Jean-François Rauger
Visiblement moins préoccupé que d'autres de ses confrères par la perversion et la violence, Kumashiro filme, avec humour et une incroyable énergie amoureuse, des femmes à la sexualité conquérante.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Olivier Père
Enfin des films où le cochon (de payant) et le pervers (de cinéphile) en ont pour leur argent, ensemble et au même moment.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Une certitude parcourt les deux films, les distinguant à elle seule de la production érotique (...) habituelle : bien que considérée comme un but, la jouissance n'est pas un aboutissement, mais au contraire le début d'une autre histoire.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Lenouveaucinema.com
par Gilbert Louis
(...) à travers la peinture de la dureté d'un Japon moderne où les hommes et les femmes sont opposés par une guerre des sexes irréductible, le film réussit à prendre une tournure lyrique inattendue qui fait tout son intérêt.
La critique complète est disponible sur le site Lenouveaucinema.com
Chronic'art.com
(...) la propension à accompagner, voire anticiper les évolutions sociales de son pays d'origine ne manque pas de surprendre et de rapprocher cette œuvre des préoccupations de la nouvelle vague japonaise emmenée par Nagisa Oshima.
Le Monde
Visiblement moins préoccupé que d'autres de ses confrères par la perversion et la violence, Kumashiro filme, avec humour et une incroyable énergie amoureuse, des femmes à la sexualité conquérante.
Les Inrockuptibles
Enfin des films où le cochon (de payant) et le pervers (de cinéphile) en ont pour leur argent, ensemble et au même moment.
L'Obs
Une certitude parcourt les deux films, les distinguant à elle seule de la production érotique (...) habituelle : bien que considérée comme un but, la jouissance n'est pas un aboutissement, mais au contraire le début d'une autre histoire.
Lenouveaucinema.com
(...) à travers la peinture de la dureté d'un Japon moderne où les hommes et les femmes sont opposés par une guerre des sexes irréductible, le film réussit à prendre une tournure lyrique inattendue qui fait tout son intérêt.