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Votre avis sur Stan & Ollie ?
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Film qui montre très bien comment des vedettes mondiales deviennent en quelques années des has been, et qui évoque aussi avec délicatesse l'amitié et la vieillesse. Les deux acteurs sont formidables dans les rôles de L'autel et Hardie, ils ne surjouent pas. Film nostalgique de notre jeunesse mais qui reste quand même feel good. 1h30, pas de longueur, donc à regarder.
Roub E.
Le portrait d’un couple star qui a son succès derrière lui et qui espère retrouver la lumière en se lançant dans une ultime tournée en Grande Bretagne. Et dans ce cas on parle vraiment de couple car ce qui est intéressant dans ce Stan et Ollie est ce rapport développé au cours des années par ces deux artistes fait de compléments, de rancœurs, de connaissances de l’autre, d’inquiétudes... Bref un vieux couple touché par l’usure du temps mais dont chacun des membres a besoin l’un de l’autre. Vraiment dommage que le film ne soit trop plat car Steve Coogan et John C Reilly donnent beaucoup et s’avèrent être convaincants. Un film qui m’a paru assez désuet un peu comme ses personnages à l’époque où il sont décrits, des personnages d’un autre temps qui ont connu leur heure de gloire et qui tentent de retrouver un peu la lumière.
Un biopic crépusculaire plein de tendresse et d'humour sur l'un des plus célèbres duos de l'histoire du cinéma, porté les interprétations excellentes de Steve Coogan et John C.Reilly.
Quelle réussite ! Je n'aime pas les biopics ni spécialement Laurel et Hardy et encore moins les histoires tristes mais je me suis vraiment laissé séduire par ce film.
Malgré un choix risqué et limité (une fin de carrière médiocre), le scénario nous tient en haleine.
Mais surtout, bravo à ces acteurs formidables (les 2 héros, Madame Laurel, le producteur)
Malgré un choix risqué et limité (une fin de carrière médiocre), le scénario nous tient en haleine.
Mais surtout, bravo à ces acteurs formidables (les 2 héros, Madame Laurel, le producteur)
Très beau film racontant la fin d'un couple comique exceptionnel des années 1930.
Un film très poignant sur la fin de vies de ces icônes un peu oublié Par le public en 1950.
J'ai Fortement était surprit par les interprétations des acteur.
Je ne comprends pas pourquoi la distribution française cinématographique a boycotté ce film.
Dans ma ville, aucune projection du film comme beaucoup d'autres villes.
C'est une honte !
Un magnifique film ! Merci
Un film très poignant sur la fin de vies de ces icônes un peu oublié Par le public en 1950.
J'ai Fortement était surprit par les interprétations des acteur.
Je ne comprends pas pourquoi la distribution française cinématographique a boycotté ce film.
Dans ma ville, aucune projection du film comme beaucoup d'autres villes.
C'est une honte !
Un magnifique film ! Merci
Au-delà de la dernière tournée du duo comique mondialement célèbre, c'est une très belle histoire d'amitié entre deux hommes, sur fond de nostalgie et de temps qui passe. Le film est sans doute académique mais il parvient à être émouvant (jusque dans la dernière phrase qui précède le générique de fin) et offre deux performances d'acteurs magistrales. Steve Coogan et John C. Reilly n'imitent pas Laurel & Hardy, ils les incarnent véritablement. Une très belle surprise.
J'ai trouvé ce film très touchant.
Non pas sur la fin de carrière de ces deux acteurs, mais plus généralement sur la valeur de l'amitié.
Une relation vit toujours des moments haut et bas.
Mais l'amitié et l'amour lorsqu'ils existent ne meurent pas.
Ce film est une pure représentation de ces valeurs. Valeurs qui se perdent de nos jours, tournés sur nous mêmes, égoïstes au point de vivre une solitude devenant pesante.
Non pas sur la fin de carrière de ces deux acteurs, mais plus généralement sur la valeur de l'amitié.
Une relation vit toujours des moments haut et bas.
Mais l'amitié et l'amour lorsqu'ils existent ne meurent pas.
Ce film est une pure représentation de ces valeurs. Valeurs qui se perdent de nos jours, tournés sur nous mêmes, égoïstes au point de vivre une solitude devenant pesante.
gabdias
Biopic mélancolique sur la partie la plus sombre de l’un des plus grands duos comiques de l’histoire du grand écran : celle d’une tournée méconnue au UK à une époque où le succès n’est plus là et qui signera les derniers moments du duo. Interprétation magnifique pour un scénario et un projet au final trop classique pour éblouir complètement.
Quel bel hommage à ce duo qui a bercé mon enfance à la TV alors débutante (années 50). Je suis même étonné que personne ne se soit, jusque là, intéressé à ce "couple" le plus célèbre du cinéma mondial. Ici, le choix a été de se porter sur leurs dernières années avec la course infructueuse vers un nouveau film et au cachet dans des théâtres britanniques. De ce fait, l'émotion est omniprésente, beaucoup plus que leurs facéties comiques, et on assiste attristés à la fin d'une époque. On rage d'apprendre que leur producteur Hal Roach les a empêchés de toucher des royalties sur beaucoup de prestations, notamment des droits TV, à cause d'un contrat mal vu. Quant à la performance d'acteurs, elle est tout simplement bluffante. Intéressant et nécessaire (et à voir en VO, les voix françaises sont horribles).
Un film sur laurel et Hardy s'annonce compliquer quand on sait les talent monstrueux de ses 2 légendes (la le mot n'est pas galvaudée ) du cinéma personne ne peux faire mieux mais le duo d'acteur est plutôt bon leur ressemblance et incroyable on s'y croirait presque . On apprend énormément de chose sur la vie des 2 comique même si le scénario aurait plus mettre en valeur plus les acteur que leur scène ou leur pièce de théâtre quand il y joue. Le film raconte dans les année 50 après leur immense succès et l'arrivée du cinéma parlant laurel et Hardy pour relancer leur carrière décide une tournée de théâtre en Angleterre pour mais il vons vite déchanter surtout que de nombreux problème et un conflit entre les 2 stars va éclater. Un film touchant et qui révèle beaucoup de chose de la vie de Stan et Olliver . Je pense que tous les cinéphiles devrait voir un film sur le célèbres duo.
Œuvre intéressante mais cependant incomplète, certes si on voulait évoquer la vie de ces deux grands burlesques, il aurait fallu réaliser non pas un film, mais une mini-série TV ce qui eût coûté beaucoup plus cher.
En plusieurs téléfilms, on pourrait commencer par
-leurs naissances, leurs origines, leurs parents, leurs jeunesses
-leur rencontre, leurs débuts au cinéma...
-période de la Grande Guerre : ont-ils été inquiétés, surtout Stan Laurel sujet britannique et devant retourner en Europe pour faire la guerre ? Ollie est américain et en 1917, lors de la rentrée des USA en guerre, les a-t-on "protégés" ? Car n'oublions pas que le cinéma américain a été créé par des gens très riches, et en particulier les Juifs, qui ont un pouvoir décisionnel sur le gouvernement, Il est évident qu'ils ont exercé de leur influence pour les sauvegarder : ils allaient rapporter vraiment trop d'argent. Pour la guerre suivante, le problème ne s'est pas posé car étant trop vieux pour être de nouveau mobilisés.
-La formation du tandem, ce dernier s'impose dans tous leurs films, les autres acteurs devenant des faire-valoir.
-Leurs films les plus connus : "Maison de repos" en 1932 avec l'autobus à impériale roulant sur des montagnes russes (voir le commentaire)
-Anecdotes de tournage et leurs vies privées.
Ensuite vient le film "Laurel et Ollie". On terminerait sur leurs éventuelles descendances : petits-enfants... et des reportages sur ceux-là, s'ils existent...
Norman Nerville dit Ollie était fils de magistrat, avocat lui-même, il n'exerça jamais ce métier préférant gérer une salle de cinéma qu'il avait ouverte, et se dirigeant progressivement vers le théâtre et le music-hall. Marié trois fois, il n'eut pas d'enfant, se contentant de jouer son rôle et de proposer quelques idées de gags à son ami. Ecrire ne lui plaisait pas, préférant jouer au golf (il était rompu à ce sport) et surtout de parier aux courses de chevaux...Un véritable flambeur ! Presque tout son argent y passait ! Il faisait partie de la loge maçonnique de Miami. Atteint de la maladie d'Alzheimer, il ne reconnut pas Laurel quand il alla le voir chez lui, et manqua de le battre. Il décède d'un arrêt cardiaque trois mois après, en1957.
Arthur Stanley Jefferson dit Laurel est, toute sa vie, demeuré sujet britannique, n'ayant pas participé à la guerre de 14, il était mal vu en Angleterre, comme Chaplin : "Who's absent ?" Cette affiche réprésentant Marlborough montrant du doigt les déserteurs et les renégats traitres à la couronne.
Quelle importance ! Il s'installa et vécut aux USA, devenant le gardien du temple du tandem comique, car il s'occupait vraiment de tout : les textes, les costumes, la mise en scène.
Marié cinq fois, il n'eut que deux enfants Lois (1927-2017) et un garçon (1930) mort quelques jours après sa naissance pendant qu'il tournait un film, ce qui l'avait profondément affecté. Seule Lois survécut, et devenant la filleule de Ollie. Sur le web, on trouve une photo les montrant ensemble, Ollie en train de la faire sauter sur ses genoux, la considérant comme l'enfant qu'il n'avait jamais eue.
Les pensions alimentaires qu'il devait verser à ses ex-femmes le ruinaient.
En 1949, naît Randall dit Randy, son petit-fils qu'il a connu et qui disparaît en 2016, un an avant sa mère, laissant quatre arrières-petits-enfants âgés de 30 à 40 ans. Malheureusement, ils ne s'appellent pas ni Laurel, ni Jefferson.
En plusieurs téléfilms, on pourrait commencer par
-leurs naissances, leurs origines, leurs parents, leurs jeunesses
-leur rencontre, leurs débuts au cinéma...
-période de la Grande Guerre : ont-ils été inquiétés, surtout Stan Laurel sujet britannique et devant retourner en Europe pour faire la guerre ? Ollie est américain et en 1917, lors de la rentrée des USA en guerre, les a-t-on "protégés" ? Car n'oublions pas que le cinéma américain a été créé par des gens très riches, et en particulier les Juifs, qui ont un pouvoir décisionnel sur le gouvernement, Il est évident qu'ils ont exercé de leur influence pour les sauvegarder : ils allaient rapporter vraiment trop d'argent. Pour la guerre suivante, le problème ne s'est pas posé car étant trop vieux pour être de nouveau mobilisés.
-La formation du tandem, ce dernier s'impose dans tous leurs films, les autres acteurs devenant des faire-valoir.
-Leurs films les plus connus : "Maison de repos" en 1932 avec l'autobus à impériale roulant sur des montagnes russes (voir le commentaire)
-Anecdotes de tournage et leurs vies privées.
Ensuite vient le film "Laurel et Ollie". On terminerait sur leurs éventuelles descendances : petits-enfants... et des reportages sur ceux-là, s'ils existent...
Norman Nerville dit Ollie était fils de magistrat, avocat lui-même, il n'exerça jamais ce métier préférant gérer une salle de cinéma qu'il avait ouverte, et se dirigeant progressivement vers le théâtre et le music-hall. Marié trois fois, il n'eut pas d'enfant, se contentant de jouer son rôle et de proposer quelques idées de gags à son ami. Ecrire ne lui plaisait pas, préférant jouer au golf (il était rompu à ce sport) et surtout de parier aux courses de chevaux...Un véritable flambeur ! Presque tout son argent y passait ! Il faisait partie de la loge maçonnique de Miami. Atteint de la maladie d'Alzheimer, il ne reconnut pas Laurel quand il alla le voir chez lui, et manqua de le battre. Il décède d'un arrêt cardiaque trois mois après, en1957.
Arthur Stanley Jefferson dit Laurel est, toute sa vie, demeuré sujet britannique, n'ayant pas participé à la guerre de 14, il était mal vu en Angleterre, comme Chaplin : "Who's absent ?" Cette affiche réprésentant Marlborough montrant du doigt les déserteurs et les renégats traitres à la couronne.
Quelle importance ! Il s'installa et vécut aux USA, devenant le gardien du temple du tandem comique, car il s'occupait vraiment de tout : les textes, les costumes, la mise en scène.
Marié cinq fois, il n'eut que deux enfants Lois (1927-2017) et un garçon (1930) mort quelques jours après sa naissance pendant qu'il tournait un film, ce qui l'avait profondément affecté. Seule Lois survécut, et devenant la filleule de Ollie. Sur le web, on trouve une photo les montrant ensemble, Ollie en train de la faire sauter sur ses genoux, la considérant comme l'enfant qu'il n'avait jamais eue.
Les pensions alimentaires qu'il devait verser à ses ex-femmes le ruinaient.
En 1949, naît Randall dit Randy, son petit-fils qu'il a connu et qui disparaît en 2016, un an avant sa mère, laissant quatre arrières-petits-enfants âgés de 30 à 40 ans. Malheureusement, ils ne s'appellent pas ni Laurel, ni Jefferson.
videoman29
Tout le monde connaît ou a (au moins) entendu parler du duo comique formé par Stan Laurel et Oliver Hardy. En effet, leurs films ont largement envahi les écrans de cinéma dans les années 1940-1950 aux côtés d'autres grands clowns du 7ème Art comme Buster Keaton ou Charlie Chaplin. Une série animée leur a même été consacrée beaucoup plus tard et je me rappelle très bien l'avoir regardé, tout petit. C'est donc avec un plaisir non dissimulé que j'ai découvert « Stan et Ollie », ce joli biopic qui rend un vibrant hommage à l’œuvre de ces deux personnages particulièrement attachants. La reconstitution est d'ailleurs parfaite et on entre immédiatement dans le vif du sujet en découvrant l'envers du décor et des vieux studios du début du 20ème siècle. La magie prend alors le dessus et on se prend immédiatement d'affection pour eux, pour leur humour touchant et leur parcours semé d’embûches. Il faut dire que la qualité de l'interprétation est irréprochable, les deux acteurs interprétant leurs glorieux aînés avec beaucoup de tendresse et une réelle implication. Le résultat est absolument bluffant et il faut découvrir ce film de toute urgence, tant il a le pouvoir de rendre heureux.
Dans Stan & Ollie Steve Coogan disparaît de l'écran et devient Stan Laurel, vous savez qu'il y a une légère ressemblance physique mais vous ne voyez plus que Steve Coogan. Le film est engageant éclairant sur les vraies personnes qui existaient derrière Laurel et Hardy. C'est un beau plongeon dans leur relation personnelle. Sans aucune révélations sombres et sales qu'un sensationnaliste pourrait être tenté de mettre dans un film. Au lieu de cela ça reste pour la plupart du temps un voyage que vous faites avec eux et leur lutte dans un monde en évolution rapide. Mais surtout le film présente leur amitié profonde. J'ai pleuré, j'ai essuyé des larmes et j'en ai encore plus. Le genre de larme que vous avez quand vous êtes simplement ému par une telle amitié authentique. Le film semblait se terminer trop vite, il aurait dû continuer un peu plus. Bravo à tous...
J’ai apprécié ce film car il permet au plus jeune de découvrir des figures importantes du cinéma d’avant la Seconde Guerre mondiale. Un humour « old school » est remis au gout du jour le temps d’une séance. Je dois bien avouer que ce n’est pas trop mon style même si j’ai quand même rigolé par moments. Il faut dire qu’ils ont commencé avec le cinéma muet, une autre époque. Cependant, ce film ne se veut pas comme une comédie. Je l’ai d’ailleurs trouvé un peu trop tournée vers le drame. La tristesse l’emporte souvent sur la joie. Une touche de bonheur n’aurait pas été de refus pour parler de deux hommes qui ont marqué la comédie. Le réalisateur a vraiment voulu axer son film sur la « face caché » du duo comique. On ne va pas se concentrer sur les artistes qui font rire les foules ensemble mais sur les hommes. C’est d’ailleurs pour ça que le film s’appelle STAN & OLLIE et non LAUREL & HARDY. En dehors de la scène, tout n’est pas forcément rose. Surtout qu’on va atterrir à un moment critique de la carrière. Ils commencent à être oublié de tous et vont devoir rebondir. Le choix de prendre Steve Coogan et John C. Reilly est excellent. Le premier s’en sort remarquablement bien dans toutes les situations. Le second se prête d’habitude plus à la comédie, mais il arrive à nuancer son jeu de belle manière. Après, n’ayant jamais rien vue de Laurel et Hardy, je ne peux pas vous certifier qu’ils sont fidèles aux originaux.
Une réalisation qui retrace la fin de carrière de deux acteurs du burlesque, reconnus comme parmi les plus grands. Un couple qui a marqué le monde du cinéma muet et sonore dans les années 30/40. Olivier Hardi, corpulent et autoritaire, Stan Laurel, chétif et maladroit se lancent dans une tournée sur scène à travers l'Angleterre. Ces deux stars comme bien d'autres, en 1953 sont dépassées. Le cinéma leur tourne les dos, les salles de théâtres se vident. Un film qui nous fait découvrir les aspects de ces deux personnages à travers des relations fortes et unies, mais parfois ambiguës, Deux hommes qui s'aiment pour donner le meilleur de leur art, deux hommes dont les repères se perdent par l'absence de l'un, Un duo qui ne peut être modifié, une identité comique bien précise. Félicitation aux deux acteurs Steve Coogan et John C Reilly pour la perfection du mimétisme représentant ces deux personnages très singuliers. Une transformation physique incroyable, qui donne une ressemblance totale pour ce duo Stan&Ollie. Une époque bien reconstituée. Un scripte nous présentant deux personnages simples, attendrissants, nous entraînant dans leur tendre aventure de fin de carrière. Un bel hommage pour ces deux acteurs qui ont fait rire plusieurs générations, mais maintenant commencent à s'effacer et à rentrer dans l'oublie. Un film à ne pas rater.
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