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    Je me tue à le dire
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    2,9
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    12 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 13 janvier 2017
    Pour pouvoir apprécier ce film à sa juste valeur, il faut soit être belge, soit avoir une sensibilité telle que l'on puisse être réceptif à cet humour très particulier et pas franchouillard du tout. Sinon, il vaut mieux s'épargner et aller voir les visiteurs ou quelque chose du genre. C'est drôle, mais sensible, c'est triste, mais surréaliste. Si vous avez apprécié "Je suis mort mais j'ai des amis", vous adorerez... sinon... passez votre chemin ! ;-)
    lionelb30
    lionelb30

    446 abonnés 2 607 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 24 juillet 2016
    Attention , film presente comme une comedie mais qui n'est pas drole. Pas de rire dans la salle, bon j'etais seul...mauvais presage. Theme pas vraiment rigolo , le cancer , film en noir et blanc , personnages au physique atypique. Certes traite de maniere personnelle mais qui ne mene a rien et la fin est tres loin d'etre drole.
    velocio
    velocio

    1 321 abonnés 3 154 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 novembre 2016
    Il suffit de quelques secondes pour discerner le ton de "Je me tue à le dire" : des images en noir et blanc, on voit un cercueil et on entend quelqu’un qui dit : « Au début, ça surprend toujours, mais quand vous achetez une paire de chaussures, vous l’essayez, pas vrai ? ». Cette phrase est destinée à un homme qui est dans le cercueil, mais qu’on on ne va découvrir que quelques secondes plus tard. Cet homme, celui qui essaye le cercueil, c’est Michel Peneud, c’est le héros du film. Il a 37 ans et il est né, d’après son père, parce que sa mère refusait la sodomie. S’il entre donc sans conteste dans ce genre très particulier qu’est l’humour cinématographique en provenance de Belgique, "Je me tue à le dire" le fait par la porte d’un mélange de grande noirceur et de surréalisme. L’humour de Xavier Seron est fait de situations loufoques, ou absurdes, ou désespérantes, et, même si le but du réalisateur était de traiter avec ironie les thèmes de la maladie et de la mort, il n’était pas question, pour autant, de faire rire à tout prix. Résultat : Dans "Je me tue à le dire", lorsque les zygomatiques se contractent, il s’agit d’un rire qui se demande s’il peut s’exprimer tellement l’environnement est le plus souvent très sombre. "Je me tue à le dire" repose sur trois pieds : la maladie, la mort et le rapport entre un fils et sa mère, un rapport dans lequel les seins ont une grande importance, un rapport qui empêche le fils d’avancer, lui que sa mère considère comme le frère des nombreux chats qu’elle a accueillis dans sa maison. Comment arriver à concilier ce rapport avec sa mère avec un rapport amoureux solide, d’autant plus lorsque l’ex de sa petite amie Aurélie Aurélie revient, toujours aussi séduisant, d’un long séjour au Cambodge ?
    FaRem
    FaRem

    8 799 abonnés 9 642 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 novembre 2016
    Le style de Xavier Seron est particulier, j'avais pu le remarquer avec certains de ses courts-métrages seulement ce qui fonctionne dans un format court n'est pas toujours efficace dans un long... Le thème lourd du film est traité avec tendresse, émotion, et même humour, mais tout cela manque de constance. Plus qu'une réelle histoire, on assiste à des scènes qui sont souvent différentes les unes des autres avec chaque fois un registre bien à part donc c'est parfois drôle parfois touchant grâce notamment à Jean-Jacques Rausin qui est aussi fou qu'attachant, mais ces quelques sympathiques moments sont noyés dans un ensemble ennuyeux. C'est vraiment un film original, mais voilà, je n'ai pas spécialement accroché.
    VOSTTL
    VOSTTL

    100 abonnés 1 955 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 septembre 2021
    Une découverte sympa. Une comédie en noir et blanc, un brin absurde et noire sur des sujets relativement sérieux comme la maladie et la mort. C’est vrai, parfois, mieux vaut s’en amuser. C’est ce que fait Xavier Seron avec son acteur Jean-Jacques Rausin qui interprète un personnage hypocondriaque au point de somatiser. La mise en scène, sans être pour autant novatrice, inscrit habilement le personnage Michel Peneud dans quelques figures de styles, de décors et de sons. Certes, je n’ai pas le rire facile, certes, « comédie » n’est pas nécessairement synonyme de « comique » mais « hilarant » comme écrit sur l’affiche, me paraît très exagéré. En tout cas , je ne me suis pas ennuyé, c’est déjà ça.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 389 abonnés 4 208 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 décembre 2016
    Le premier long-métrage de Xavier Seron est une comédie à l’identité propre. Je me tue à le dire raconte l’histoire de Michel qui voit sa mère mourir mais qui est bien décidée à aimer son fils jusqu’à la fin et boire du mousseux comme si c’était du champagne. Cette mère imposante, prend souvent le pas sur la copine de Michel. Mais Michel a autre chose en tête. Il ressent quelque chose de différent dans sa poitrine, comme s’il avait un cancer du sein et il a peur. Je me tue à le dire est une comédie belge et cette distinction suffit à comprendre que l’humour sera particulier. Tourné en noir et blanc, l’image de Michel n’est pas à son avantage. Sa grosse barbe et ses poils de partout nous invitent à rire ou être dégoutés, mais surtout à aller au-delà de son aspect physique, car ce gros nounours en soit, on est obligé de l’apprécier. Voici un long-métrage très mélancolique qui cherche pourtant l’optimisme. C’est un film au rythme souvent lent mais où il ressort beaucoup de tendresse grâce à une écriture soignée.
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    Dik ap Prale
    Dik ap Prale

    215 abonnés 2 867 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 novembre 2016
    Rausin-Riaboukine, le duo d'illuminés. Le crabe, le rat, l'esprit belge mais la grivoiserie franchouillarde. La mère pleine d'authenticité pour un mal qui l'est tout autant. C'est revigorant, teinté d'un mal qui doit être compensé par tant de légèreté. Une vie elle aussi pleine d'authenticité.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 713 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 septembre 2020
    Quand je regarde une comédie la seule chose importante à laquelle je m'attends est de m'amuser et de bien rire. L'histoire n'est jamais trop importante quand c'est une comédie, tout est question de rire. Pour Je me tue à le dire je n'ai pas ri une seule fois peut-être un ou deux sourires timides forcés. Et même l'histoire était assez ennuyeuse si vous me le demandez. Je ne sais pas ce qu'ils ont essayé de faire probablement un film genre art ou quelque chose du genre mais c'est exactement le genre de films que je n'aime vraiment pas. Quand on fait des films spéciaux, pensant qu'ils sortent de l'ordinaire en les rendant bizarre. Mais il vous ferez mieux de proposer une histoire forte. L'histoire doit toujours être bonne même si vous faites un film bizarre ce qui n'était pas le cas avec ce film...
    jerome s.
    jerome s.

    5 abonnés 84 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 octobre 2023
    C'est du néoréalisme Belge avec de l'absurde à la place. Ce film est trop horrible pour être une comédie. Je trouve que ce mouvement artistique lui va à merveille. Tout est montré avec absurdité mais avec un réalisme dans les scènes qui nous pousse à croire qu'elle aurait totalement sa place dans la vrai vie.
    adrammalek
    adrammalek

    2 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 juillet 2016
    Premier film complètement atypique et personnel, horriblement drôle ou drôlement horrible, c'est selon.
    Avec son sujet ultra casse-gueule (le cancer, la fin de vie), et des partis pris formels tranchés (très beaux noir & blanc et travail du cadre) le film réussit à émouvoir sans (trop) plomber. L'interprétation est sans failles, avec en tête Jean-Jacques Rausin et Myriam Boyer composant le couple mère-fils, à la fois soudé et dysfonctionnel. En bref, "Je me tue à le dire" a l'étoffe d'un futur film culte.
    geodyssee
    geodyssee

    1 critique Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 mai 2016
    Entre Bosch, Ensor, "C'est arrivé près de chez vous" ou la "Merditude des choses"... un film détonnant, surprenant, limite trash. Le noir & blanc le magnifie, on se sent bien chez les baraquis. Des dialogues surprenants, ciselés à la hache, on ne les attend pas... Bienvenue en Absurdie ! Je souhaite que ce film ne plaise pas qu'aux seuls belges. La performance de Rausin est à saluer. Faut oser s'embarquer sur un tel scénario. Peut-être Depardieu ou Dujardin auraient pu...
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 10 janvier 2017
    Je critique rarement un film mais celui ci mériterai presque une exception. Le style, l'ambiance, l'histoire et même les personnages sont d'une étrangetés assez... indescriptible. Le scénario est existant mais indigeste. Il n'y a aucun rythme, c'est mou, lent, inintéressant une fois les quelques scènes émouvantes et les petits clins d'œil culturelles. Le côté noir et blanc n'aide pas à rehausser le ton, au contraire, s'en est presque plus étrange. Pour ne rien dire de trop, je me limiterai à vous conseillez de ne pas perdre votre temps.
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