Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
CinemaTeaser
par Alex Masson
À mi-chemin entre les angoisses somatiques de Benoît Poelvoorde et le surréalisme de Bertrand Blier, voilà un parfait numéro de funambule, en équilibre entre fou rire et malaise.
L'Obs
par François Forestier
Auteur d’un documentaire sur les catcheurs belges, Xavier Seron possède un indéniable talent de metteur en scène, de scénariste et d’ironiste. Ses personnages de paumés sont dignes des récits de Charles de Coster, ses inventions picturales sont superbes, et ce film totalement déjanté est un ovni surréaliste. C’est du cinéma belge, et du meilleur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une sorte d’ovni à l’humour très belge, en noir et blanc, où la poésie du saugrenu se donne libre cours.
Les Fiches du Cinéma
par Aude Jouanne
Le premier long métrage du Belge Xavier Seron prolonge par l'humour et l'absurde les thèmes de la maladie et de la mort, déjà développés dans un court métrage du même nom en 2005.
Positif
par Yannick Lemarié
Le noir et blanc de l'image, les situations loufoques, les dialogues absurdes ou cyniques, les airs d'huluberlus des personnages rappellent les grandes heures de la "comédie noire", telle qu'elle a été défendue par Belvaux ou par le duo Kerven/Delépine.
Critikat.com
par Clément Graminiès
Sa capacité permanente à savoir rire des situations les plus tragiques sans nier leur potentiel dramatique confère au résultat un charme à la fois délicat et emprunt d’une énergie communicative.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Noémie Luciani
Cultivant un humour dépressif, Xavier Seron fait un portrait d’homme face à la mort original dans son approche sentimentale de l’absurde.
Première
par Vanina Arrighi de Casanova
Le décalage extrême entre les situations (...), la manière dont elles sont vécues (...) et celle avec laquelle elles sont énoncées (...) produit un comique absurde, un peu cruel, et un sentiment d'angoisse diffus devant ce qu'on qualifierait plus de drôle de film que de film drôle.
Télérama
par Mathilde Blottière
Humour noir, rencontre inattendue des univers d'Aki Kaurismaki et de Bertrand Blier... Visuellement ambitieuse (noir et blanc contrasté, cadres soignés), scandée par des musiques baroques, cette réflexion onirique et absurde sur la maladie, la mort et les rapports mère-fils s'appuie sur un trio renversant (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Entre noirceur extrême et ambiance insolite, le message sur cette relation mère-fils extrême n’est pas immédiatement identifiable.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Le moment de curiosité passé, cette farce atypique et décalée, visuellement trop stylisée (...), perd très vite de sa force dans son enchaînement de sketches absurdes et sa surenchère de tragicomédie.
CinemaTeaser
À mi-chemin entre les angoisses somatiques de Benoît Poelvoorde et le surréalisme de Bertrand Blier, voilà un parfait numéro de funambule, en équilibre entre fou rire et malaise.
L'Obs
Auteur d’un documentaire sur les catcheurs belges, Xavier Seron possède un indéniable talent de metteur en scène, de scénariste et d’ironiste. Ses personnages de paumés sont dignes des récits de Charles de Coster, ses inventions picturales sont superbes, et ce film totalement déjanté est un ovni surréaliste. C’est du cinéma belge, et du meilleur.
Le Dauphiné Libéré
Une sorte d’ovni à l’humour très belge, en noir et blanc, où la poésie du saugrenu se donne libre cours.
Les Fiches du Cinéma
Le premier long métrage du Belge Xavier Seron prolonge par l'humour et l'absurde les thèmes de la maladie et de la mort, déjà développés dans un court métrage du même nom en 2005.
Positif
Le noir et blanc de l'image, les situations loufoques, les dialogues absurdes ou cyniques, les airs d'huluberlus des personnages rappellent les grandes heures de la "comédie noire", telle qu'elle a été défendue par Belvaux ou par le duo Kerven/Delépine.
Critikat.com
Sa capacité permanente à savoir rire des situations les plus tragiques sans nier leur potentiel dramatique confère au résultat un charme à la fois délicat et emprunt d’une énergie communicative.
Le Monde
Cultivant un humour dépressif, Xavier Seron fait un portrait d’homme face à la mort original dans son approche sentimentale de l’absurde.
Première
Le décalage extrême entre les situations (...), la manière dont elles sont vécues (...) et celle avec laquelle elles sont énoncées (...) produit un comique absurde, un peu cruel, et un sentiment d'angoisse diffus devant ce qu'on qualifierait plus de drôle de film que de film drôle.
Télérama
Humour noir, rencontre inattendue des univers d'Aki Kaurismaki et de Bertrand Blier... Visuellement ambitieuse (noir et blanc contrasté, cadres soignés), scandée par des musiques baroques, cette réflexion onirique et absurde sur la maladie, la mort et les rapports mère-fils s'appuie sur un trio renversant (...).
aVoir-aLire.com
Entre noirceur extrême et ambiance insolite, le message sur cette relation mère-fils extrême n’est pas immédiatement identifiable.
Studio Ciné Live
Le moment de curiosité passé, cette farce atypique et décalée, visuellement trop stylisée (...), perd très vite de sa force dans son enchaînement de sketches absurdes et sa surenchère de tragicomédie.