Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaroscope
par E.F.
Devant l'objectif, Myles Berkowitz est totalement égocentrique, plutôt farfelu, souvent "beauf", par moment horripilant ou pathétique. Et drôle, à ses dépens.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Fluctuat.net
par M.Merlet
Bourré de préjugés (...), l'apprenti réalisateur a beau convoquer un certain cinéma romantique (...) pour tenter de s'en démarquer, il sombre irrémédiablement dans le cynisme et le mépris des autres.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Première
par Stéphanie Lamome
On nous présente ça comme une comédie sur la drague (...), et on n'assiste qu'à un vrai-faux docu dont les conditions de tournage sont plus édifiantes que son sujet. On aurait souhaité du Michael Moore frivole et on a du Bowfinger, sympathique certes, mais raté.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Louis Guichard
Prétendument filmées à leur insu, la plupart des interlocutrices de Berkovitz parlent faux. Et le réalisateur les regarde sans chaleur, ni désir, ni tact : il les voit à peine.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
Devant l'objectif, Myles Berkowitz est totalement égocentrique, plutôt farfelu, souvent "beauf", par moment horripilant ou pathétique. Et drôle, à ses dépens.
Fluctuat.net
Bourré de préjugés (...), l'apprenti réalisateur a beau convoquer un certain cinéma romantique (...) pour tenter de s'en démarquer, il sombre irrémédiablement dans le cynisme et le mépris des autres.
Première
On nous présente ça comme une comédie sur la drague (...), et on n'assiste qu'à un vrai-faux docu dont les conditions de tournage sont plus édifiantes que son sujet. On aurait souhaité du Michael Moore frivole et on a du Bowfinger, sympathique certes, mais raté.
Télérama
Prétendument filmées à leur insu, la plupart des interlocutrices de Berkovitz parlent faux. Et le réalisateur les regarde sans chaleur, ni désir, ni tact : il les voit à peine.