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    Les Huit salopards
    Note moyenne
    3,3
    35 titres de presse
    • CinemaTeaser
    • Critikat.com
    • Elle
    • La Voix du Nord
    • TF1 News
    • Transfuge
    • Chronic'art.com
    • Culturopoing.com
    • Femme Actuelle
    • Filmsactu
    • Franceinfo Culture
    • L'Obs
    • Le Dauphiné Libéré
    • Les Fiches du Cinéma
    • Libération
    • Mad Movies
    • Paris Match
    • Télé 2 semaines
    • Télérama
    • aVoir-aLire.com
    • La Septième Obsession
    • Le Journal du Dimanche
    • Les Inrockuptibles
    • Sud Ouest
    • Télé 7 Jours
    • CNews
    • L'Express
    • Le Parisien
    • Metro
    • Ouest France
    • VSD
    • Cahiers du Cinéma
    • L'Humanité
    • Le Monde
    • Télérama

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    35 critiques presse

    CinemaTeaser

    par Aurélien Allin

    On n’avait jamais vu Tarantino aussi ouvertement politique et aussi incisif. "Les Huit Salopards" apparaît comme son film le plus mature.

    La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser

    Critikat.com

    par Adrien Dénouette

    Jamais Tarantino n’avait atteint une hauteur de vue comparable à celle qui fait des "Huit Salopards" une œuvre majeure.

    La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

    Elle

    par Khadija Moussou

    "Les Huit Salopards" est une belle réussite avec des dialogues intelligents dans une première partie, et de l’action nerveuse dans une seconde.

    La critique complète est disponible sur le site Elle

    La Voix du Nord

    par Philippe Lagouche

    Trois heures durant, nous sommes dans le Tarantino nouveau, sans que jamais ne se manifeste la volonté d’en sortir. Pas de repos pour les salauds certes, mais surtout pas de répit pour le spectateur !

    La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord

    TF1 News

    par Romain Le Vern

    Son double-programme, à la fois film-somme et remake de "The Thing", revêt des allures de requiem, sublimé par la musique de Ennio Moriccone et dynamité par Jennifer Jason Leigh, exceptionnelle comme toujours.

    La critique complète est disponible sur le site TF1 News

    Transfuge

    par Damien Aubel

    Faux western, vraie psychanalyse des Etats-Unis, grand film sur les séquelles de la guerre de Sécession.

    Chronic'art.com

    par Louis Blanchot et Yal Sadat

    Davantage que Django et son Spartacus libertaire, "Les Huit Salopards" se dresse ainsi comme la véritable réponse de Tarantino à Naissance d’une nation de D.W. Griffith.

    La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com

    Culturopoing.com

    par Pierre Audebert

    Tarantino redistribue ses tics, motifs, réflexions et autres obsessions pour mieux jouer cartes sur table.

    La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com

    Femme Actuelle

    par Amélie Cordonnier

    Ce huitième film du réalisateur américain centré autour de Huit salopards hauts en couleur est une vraie réussite autant visuelle que scénaristique, un grand huit cinématographique à vous décrocher le cœur mêlant action, humour noir, dialogues ciselés et violence grand guignolesque à la mode Tarantino, avec jets d'hémoglobine et giclées de cervelle grillée à la carabine.

    La critique complète est disponible sur le site Femme Actuelle

    Filmsactu

    par Jonathan Butin

    Résolument plus personnel que "Django Unchained" et "Inglorious basterds", "Les Huit Salopards" est le cadeau de Noël que Quentin Tarantino se fait à lui-même et à tous ceux qui adhèrent à sa vision du cinéma.

    La critique complète est disponible sur le site Filmsactu

    Franceinfo Culture

    par Boris Courret

    Avec ces huit salopards, le cinéaste semble revenir à la quintessence de son cinéma. A son premier long métrage auquel celui-ci ressemble trait pour trait, "Reservoir Dogs".

    La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture

    L'Obs

    par La Rédaction

    Moins spectaculaire que "Django Unchained", plus réussi que "Inglorious Basterds", "les 8 Salopards" est à la fois un hommage aux westerns en lieu clos (type "Rio Bravo") et une ode à la haine.

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    Le Dauphiné Libéré

    par Jean Serroy

    Tarantino réinvestit le western, le chargeant de toutes les violences de son univers baroque, en fouillant les démons identitaires qui hantent l’Amérique.

    Les Fiches du Cinéma

    par Nicolas Marcadé

    Une synthèse du cinéma de Tarantino, entre longues plages dialoguées et violence en roue libre. En l'absence de carburant neuf, le moteur, même s'il tourne impeccablement, ne se débride jamais.

    La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma

    Libération

    par Guillaume Tion

    Au fond, ces trois heures, c’est comme d’habitude du sang, des dialogues sans fin et une surenchère d’anecdotes, mais aussi un amour sincère des comédiens, le luxe de se tromper et l’envie de chercher hors des pistes balisées.

    La critique complète est disponible sur le site Libération

    Mad Movies

    par Cédric Delelée

    Décidément, pourvu que QT continue à faire des westerns.

    Paris Match

    par Yannick Vely

    C'est à la fois roublard et jubilatoire, excessif - trois heures tout de même - et unique, surtout dans le contexte hollywoodien actuel.

    La critique complète est disponible sur le site Paris Match

    Télé 2 semaines

    par Emilie Leoni

    Là où "Django Unchained" (2013) relevait du chef-d’œuvre, l’intrigue autour de ces huit desperados est moins aboutie. Et le film, construit en cinq chapitres pour une durée totale de près de 3 heures, accuse des longueurs. Toutefois, ce huis clos enneigé n’en reste pas moins drôle, violent et sanglant. Et n’est-ce pas là ce que l’on aime chez Monsieur Tarantino ?

    La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines

    Télérama

    par Pierre Murat

    POUR : « Kwin-tine », enfant gâté et capricieux, est un prestidigitateur superbe, un manipulateur hors pair, un technicien habile.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    aVoir-aLire.com

    par Fabio Martins

    Slow-burner progressant avec assurance vers un pinacle de dégénérescence mentale servi par une violence extrême, mais plus enjôleuse que choquante, "Les 8 Salopards" parvient (presque) à rester fascinant d’un bout à l’autre.

    La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com

    La Septième Obsession

    par Ghislain Benhessa

    "Les Huit Salopards" n’est pas une rupture au sein de la filmographie de Tarantino, mais signe au contraire ses retrouvailles avec l’épine dorsale de son cinéma, à savoir la gaudriole fantasque et la théâtralisation des codes du genre, en passant par le déferlement de violence.

    Le Journal du Dimanche

    par Stéphanie Belpêche

    Une œuvre âpre, sans foi ni loi, qui pratique ouvertement l’autocitation. On savoure cependant les règlements de comptes entre acteurs d’exception, la caméra virevoltant avec virtuosité de l’un à l’autre. Le racisme, sujet de prédilection du réalisateur américain, est toujours là. Sans oublier la partition flamboyante d’Ennio Morricone, qui renoue avec le western.

    Les Inrockuptibles

    par Théo Ribeton

    Tarantino propose une variation sur "Reservoir Dogs", catapulté en western (…) oeuvre à la fois bouffonne, médiatise, rusée et extrêmement rigoureuse, et sans doute un des films les plus fascinants de QT.

    Sud Ouest

    par Sophie Avon

    Virtuose dans l'art de faire sortir du placard les cadavres, Tarantino n'a sans doute jamais été si loin dans son goût pour la violence. Clouant au pilori les boucs émissaires d'une époque : la femme et le « nègre ». Tout est leur faute, bien sûr. Mais, sous le sang, le genre trouve ses limites.

    La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest

    Télé 7 Jours

    par Isabelle Magnier

    La leçon de cinéma impressionne, mais dans son hommage au western, le cinéaste a laissé ce qu'on aime chez lui : le fun et l'irrévérence.

    CNews

    par La Rédaction

    La prédisposition du réalisateur de "Reservoir Dogs" au bavardage, brillant à ses débuts, peine à faire mouche ici, et laisse le spectateur sur le bas-côté. On appréciera quand même la beauté des images, les cadrages et l’atmosphère qui n’est pas sans rappeler le huis clos horrifique et «blizzardien» de "The Thing", de John Carpenter

    L'Express

    par Eric Libiot

    Tarantino, lui, fonctionne en autarcie, s'appuie sur son talent, réel, se pousse du col et tourne à vide. Pire: il se prend au sérieux. Arrête de jouer à Shakespeare, Quentin, et redeviens le vilain petit canard du cinoche. Tu vas finir par y perdre des plumes.

    La critique complète est disponible sur le site L'Express

    Le Parisien

    par Hubert Lizé

    Les deux premiers tiers du film sont bavards au possible et d'un ennui assez plombant. La fin tourne à la tuerie ultra-gore. (...) On a juste envie que ça se termine.

    La critique complète est disponible sur le site Le Parisien

    Metro

    par Mehdi Omaïs

    En somme : un cocktail peu détonnant qui s’étale sur les deux-tiers du labeur avant d’ouvrir un boulevard à une débauche complaisante et perverse, sur fond de suspense aussi peu éclatant qu’une mauvaise partie de Cluedo. De ce jeu de massacres nait un sentiment mâtiné de frustration et d’incompréhension. Osons le mot : déception !

    La critique complète est disponible sur le site Metro

    Ouest France

    par Pierre Fornerod

    Ça bavarde à n'en plus finir, et ça ne bouge pas. Et pas question de rire. (...) Il faut patienter jusqu'à la deuxième mi-temps pour retrouver son style.

    VSD

    par Olivier Bousquet

    Dans un dispositif théâtral assumé, la narration est moins portée par l’action que par la parole (...) Mais lorsque cette parole devient ressassement, l’overdose guette. Puis, l’ennui.

    La critique complète est disponible sur le site VSD

    Cahiers du Cinéma

    par Joachim Lepastier

    Tarantino s’est chargé lui-même de parodier le sous-genre le plus exténuant du cinéma contemporain : la tarantinade. De le parodier mais en oubliant tout ce qu’on avait aimé chez lui jusque-là : le sens du jeu, du décalage et de la percussion.

    L'Humanité

    par Vincent Ostria

    À la longue, Tarantino finit par produire des machines creuses. Voir ce pseudo-western, en partie pompé sur un classique du cinéma d’arts martiaux, "Dragon Inn" de King Hu. Hélas, Tarantino substitue les acrobaties gracieuses de King Hu à du théâtre filmé. S’ensuit une apothéose de violence aussi vaine que les dialogues qui l’ont précédée.

    La critique complète est disponible sur le site L'Humanité

    Le Monde

    par Thomas Sotinel

    La provocation n'ouvre pas de portes nouvelles, elle ramène à de vieux schémas, qu'on aimerait voir conservés dans les bocaux de la galerie des monstres plutôt que ramenés à la lumière.

    Télérama

    par Louis Guichard

    CONTRE : Il fut un temps où Tarantino filmait des êtres humains, vulnérables, complexes, séduisants. A cette époque (1997), "Jackie Brown" semblait marquer son entrée tardive dans l'âge adulte. Comme c'est loin.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama
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