Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
35 critiques presse
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
On n’avait jamais vu Tarantino aussi ouvertement politique et aussi incisif. "Les Huit Salopards" apparaît comme son film le plus mature.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Adrien Dénouette
Jamais Tarantino n’avait atteint une hauteur de vue comparable à celle qui fait des "Huit Salopards" une œuvre majeure.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Elle
par Khadija Moussou
"Les Huit Salopards" est une belle réussite avec des dialogues intelligents dans une première partie, et de l’action nerveuse dans une seconde.
La critique complète est disponible sur le site Elle
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Trois heures durant, nous sommes dans le Tarantino nouveau, sans que jamais ne se manifeste la volonté d’en sortir. Pas de repos pour les salauds certes, mais surtout pas de répit pour le spectateur !
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
TF1 News
par Romain Le Vern
Son double-programme, à la fois film-somme et remake de "The Thing", revêt des allures de requiem, sublimé par la musique de Ennio Moriccone et dynamité par Jennifer Jason Leigh, exceptionnelle comme toujours.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Transfuge
par Damien Aubel
Faux western, vraie psychanalyse des Etats-Unis, grand film sur les séquelles de la guerre de Sécession.
Chronic'art.com
par Louis Blanchot et Yal Sadat
Davantage que Django et son Spartacus libertaire, "Les Huit Salopards" se dresse ainsi comme la véritable réponse de Tarantino à Naissance d’une nation de D.W. Griffith.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Culturopoing.com
par Pierre Audebert
Tarantino redistribue ses tics, motifs, réflexions et autres obsessions pour mieux jouer cartes sur table.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Ce huitième film du réalisateur américain centré autour de Huit salopards hauts en couleur est une vraie réussite autant visuelle que scénaristique, un grand huit cinématographique à vous décrocher le cœur mêlant action, humour noir, dialogues ciselés et violence grand guignolesque à la mode Tarantino, avec jets d'hémoglobine et giclées de cervelle grillée à la carabine.
La critique complète est disponible sur le site Femme Actuelle
Filmsactu
par Jonathan Butin
Résolument plus personnel que "Django Unchained" et "Inglorious basterds", "Les Huit Salopards" est le cadeau de Noël que Quentin Tarantino se fait à lui-même et à tous ceux qui adhèrent à sa vision du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Franceinfo Culture
par Boris Courret
Avec ces huit salopards, le cinéaste semble revenir à la quintessence de son cinéma. A son premier long métrage auquel celui-ci ressemble trait pour trait, "Reservoir Dogs".
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par La Rédaction
Moins spectaculaire que "Django Unchained", plus réussi que "Inglorious Basterds", "les 8 Salopards" est à la fois un hommage aux westerns en lieu clos (type "Rio Bravo") et une ode à la haine.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Tarantino réinvestit le western, le chargeant de toutes les violences de son univers baroque, en fouillant les démons identitaires qui hantent l’Amérique.
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Une synthèse du cinéma de Tarantino, entre longues plages dialoguées et violence en roue libre. En l'absence de carburant neuf, le moteur, même s'il tourne impeccablement, ne se débride jamais.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Guillaume Tion
Au fond, ces trois heures, c’est comme d’habitude du sang, des dialogues sans fin et une surenchère d’anecdotes, mais aussi un amour sincère des comédiens, le luxe de se tromper et l’envie de chercher hors des pistes balisées.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Cédric Delelée
Décidément, pourvu que QT continue à faire des westerns.
Paris Match
par Yannick Vely
C'est à la fois roublard et jubilatoire, excessif - trois heures tout de même - et unique, surtout dans le contexte hollywoodien actuel.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télé 2 semaines
par Emilie Leoni
Là où "Django Unchained" (2013) relevait du chef-d’œuvre, l’intrigue autour de ces huit desperados est moins aboutie. Et le film, construit en cinq chapitres pour une durée totale de près de 3 heures, accuse des longueurs. Toutefois, ce huis clos enneigé n’en reste pas moins drôle, violent et sanglant. Et n’est-ce pas là ce que l’on aime chez Monsieur Tarantino ?
La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines
Télérama
par Pierre Murat
POUR : « Kwin-tine », enfant gâté et capricieux, est un prestidigitateur superbe, un manipulateur hors pair, un technicien habile.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Fabio Martins
Slow-burner progressant avec assurance vers un pinacle de dégénérescence mentale servi par une violence extrême, mais plus enjôleuse que choquante, "Les 8 Salopards" parvient (presque) à rester fascinant d’un bout à l’autre.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Septième Obsession
par Ghislain Benhessa
"Les Huit Salopards" n’est pas une rupture au sein de la filmographie de Tarantino, mais signe au contraire ses retrouvailles avec l’épine dorsale de son cinéma, à savoir la gaudriole fantasque et la théâtralisation des codes du genre, en passant par le déferlement de violence.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Une œuvre âpre, sans foi ni loi, qui pratique ouvertement l’autocitation. On savoure cependant les règlements de comptes entre acteurs d’exception, la caméra virevoltant avec virtuosité de l’un à l’autre. Le racisme, sujet de prédilection du réalisateur américain, est toujours là. Sans oublier la partition flamboyante d’Ennio Morricone, qui renoue avec le western.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Tarantino propose une variation sur "Reservoir Dogs", catapulté en western (…) oeuvre à la fois bouffonne, médiatise, rusée et extrêmement rigoureuse, et sans doute un des films les plus fascinants de QT.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Virtuose dans l'art de faire sortir du placard les cadavres, Tarantino n'a sans doute jamais été si loin dans son goût pour la violence. Clouant au pilori les boucs émissaires d'une époque : la femme et le « nègre ». Tout est leur faute, bien sûr. Mais, sous le sang, le genre trouve ses limites.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
La leçon de cinéma impressionne, mais dans son hommage au western, le cinéaste a laissé ce qu'on aime chez lui : le fun et l'irrévérence.
CNews
par La Rédaction
La prédisposition du réalisateur de "Reservoir Dogs" au bavardage, brillant à ses débuts, peine à faire mouche ici, et laisse le spectateur sur le bas-côté. On appréciera quand même la beauté des images, les cadrages et l’atmosphère qui n’est pas sans rappeler le huis clos horrifique et «blizzardien» de "The Thing", de John Carpenter
L'Express
par Eric Libiot
Tarantino, lui, fonctionne en autarcie, s'appuie sur son talent, réel, se pousse du col et tourne à vide. Pire: il se prend au sérieux. Arrête de jouer à Shakespeare, Quentin, et redeviens le vilain petit canard du cinoche. Tu vas finir par y perdre des plumes.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Parisien
par Hubert Lizé
Les deux premiers tiers du film sont bavards au possible et d'un ennui assez plombant. La fin tourne à la tuerie ultra-gore. (...) On a juste envie que ça se termine.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Metro
par Mehdi Omaïs
En somme : un cocktail peu détonnant qui s’étale sur les deux-tiers du labeur avant d’ouvrir un boulevard à une débauche complaisante et perverse, sur fond de suspense aussi peu éclatant qu’une mauvaise partie de Cluedo. De ce jeu de massacres nait un sentiment mâtiné de frustration et d’incompréhension. Osons le mot : déception !
La critique complète est disponible sur le site Metro
Ouest France
par Pierre Fornerod
Ça bavarde à n'en plus finir, et ça ne bouge pas. Et pas question de rire. (...) Il faut patienter jusqu'à la deuxième mi-temps pour retrouver son style.
VSD
par Olivier Bousquet
Dans un dispositif théâtral assumé, la narration est moins portée par l’action que par la parole (...) Mais lorsque cette parole devient ressassement, l’overdose guette. Puis, l’ennui.
La critique complète est disponible sur le site VSD
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Tarantino s’est chargé lui-même de parodier le sous-genre le plus exténuant du cinéma contemporain : la tarantinade. De le parodier mais en oubliant tout ce qu’on avait aimé chez lui jusque-là : le sens du jeu, du décalage et de la percussion.
L'Humanité
par Vincent Ostria
À la longue, Tarantino finit par produire des machines creuses. Voir ce pseudo-western, en partie pompé sur un classique du cinéma d’arts martiaux, "Dragon Inn" de King Hu. Hélas, Tarantino substitue les acrobaties gracieuses de King Hu à du théâtre filmé. S’ensuit une apothéose de violence aussi vaine que les dialogues qui l’ont précédée.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Thomas Sotinel
La provocation n'ouvre pas de portes nouvelles, elle ramène à de vieux schémas, qu'on aimerait voir conservés dans les bocaux de la galerie des monstres plutôt que ramenés à la lumière.
Télérama
par Louis Guichard
CONTRE : Il fut un temps où Tarantino filmait des êtres humains, vulnérables, complexes, séduisants. A cette époque (1997), "Jackie Brown" semblait marquer son entrée tardive dans l'âge adulte. Comme c'est loin.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CinemaTeaser
On n’avait jamais vu Tarantino aussi ouvertement politique et aussi incisif. "Les Huit Salopards" apparaît comme son film le plus mature.
Critikat.com
Jamais Tarantino n’avait atteint une hauteur de vue comparable à celle qui fait des "Huit Salopards" une œuvre majeure.
Elle
"Les Huit Salopards" est une belle réussite avec des dialogues intelligents dans une première partie, et de l’action nerveuse dans une seconde.
La Voix du Nord
Trois heures durant, nous sommes dans le Tarantino nouveau, sans que jamais ne se manifeste la volonté d’en sortir. Pas de repos pour les salauds certes, mais surtout pas de répit pour le spectateur !
TF1 News
Son double-programme, à la fois film-somme et remake de "The Thing", revêt des allures de requiem, sublimé par la musique de Ennio Moriccone et dynamité par Jennifer Jason Leigh, exceptionnelle comme toujours.
Transfuge
Faux western, vraie psychanalyse des Etats-Unis, grand film sur les séquelles de la guerre de Sécession.
Chronic'art.com
Davantage que Django et son Spartacus libertaire, "Les Huit Salopards" se dresse ainsi comme la véritable réponse de Tarantino à Naissance d’une nation de D.W. Griffith.
Culturopoing.com
Tarantino redistribue ses tics, motifs, réflexions et autres obsessions pour mieux jouer cartes sur table.
Femme Actuelle
Ce huitième film du réalisateur américain centré autour de Huit salopards hauts en couleur est une vraie réussite autant visuelle que scénaristique, un grand huit cinématographique à vous décrocher le cœur mêlant action, humour noir, dialogues ciselés et violence grand guignolesque à la mode Tarantino, avec jets d'hémoglobine et giclées de cervelle grillée à la carabine.
Filmsactu
Résolument plus personnel que "Django Unchained" et "Inglorious basterds", "Les Huit Salopards" est le cadeau de Noël que Quentin Tarantino se fait à lui-même et à tous ceux qui adhèrent à sa vision du cinéma.
Franceinfo Culture
Avec ces huit salopards, le cinéaste semble revenir à la quintessence de son cinéma. A son premier long métrage auquel celui-ci ressemble trait pour trait, "Reservoir Dogs".
L'Obs
Moins spectaculaire que "Django Unchained", plus réussi que "Inglorious Basterds", "les 8 Salopards" est à la fois un hommage aux westerns en lieu clos (type "Rio Bravo") et une ode à la haine.
Le Dauphiné Libéré
Tarantino réinvestit le western, le chargeant de toutes les violences de son univers baroque, en fouillant les démons identitaires qui hantent l’Amérique.
Les Fiches du Cinéma
Une synthèse du cinéma de Tarantino, entre longues plages dialoguées et violence en roue libre. En l'absence de carburant neuf, le moteur, même s'il tourne impeccablement, ne se débride jamais.
Libération
Au fond, ces trois heures, c’est comme d’habitude du sang, des dialogues sans fin et une surenchère d’anecdotes, mais aussi un amour sincère des comédiens, le luxe de se tromper et l’envie de chercher hors des pistes balisées.
Mad Movies
Décidément, pourvu que QT continue à faire des westerns.
Paris Match
C'est à la fois roublard et jubilatoire, excessif - trois heures tout de même - et unique, surtout dans le contexte hollywoodien actuel.
Télé 2 semaines
Là où "Django Unchained" (2013) relevait du chef-d’œuvre, l’intrigue autour de ces huit desperados est moins aboutie. Et le film, construit en cinq chapitres pour une durée totale de près de 3 heures, accuse des longueurs. Toutefois, ce huis clos enneigé n’en reste pas moins drôle, violent et sanglant. Et n’est-ce pas là ce que l’on aime chez Monsieur Tarantino ?
Télérama
POUR : « Kwin-tine », enfant gâté et capricieux, est un prestidigitateur superbe, un manipulateur hors pair, un technicien habile.
aVoir-aLire.com
Slow-burner progressant avec assurance vers un pinacle de dégénérescence mentale servi par une violence extrême, mais plus enjôleuse que choquante, "Les 8 Salopards" parvient (presque) à rester fascinant d’un bout à l’autre.
La Septième Obsession
"Les Huit Salopards" n’est pas une rupture au sein de la filmographie de Tarantino, mais signe au contraire ses retrouvailles avec l’épine dorsale de son cinéma, à savoir la gaudriole fantasque et la théâtralisation des codes du genre, en passant par le déferlement de violence.
Le Journal du Dimanche
Une œuvre âpre, sans foi ni loi, qui pratique ouvertement l’autocitation. On savoure cependant les règlements de comptes entre acteurs d’exception, la caméra virevoltant avec virtuosité de l’un à l’autre. Le racisme, sujet de prédilection du réalisateur américain, est toujours là. Sans oublier la partition flamboyante d’Ennio Morricone, qui renoue avec le western.
Les Inrockuptibles
Tarantino propose une variation sur "Reservoir Dogs", catapulté en western (…) oeuvre à la fois bouffonne, médiatise, rusée et extrêmement rigoureuse, et sans doute un des films les plus fascinants de QT.
Sud Ouest
Virtuose dans l'art de faire sortir du placard les cadavres, Tarantino n'a sans doute jamais été si loin dans son goût pour la violence. Clouant au pilori les boucs émissaires d'une époque : la femme et le « nègre ». Tout est leur faute, bien sûr. Mais, sous le sang, le genre trouve ses limites.
Télé 7 Jours
La leçon de cinéma impressionne, mais dans son hommage au western, le cinéaste a laissé ce qu'on aime chez lui : le fun et l'irrévérence.
CNews
La prédisposition du réalisateur de "Reservoir Dogs" au bavardage, brillant à ses débuts, peine à faire mouche ici, et laisse le spectateur sur le bas-côté. On appréciera quand même la beauté des images, les cadrages et l’atmosphère qui n’est pas sans rappeler le huis clos horrifique et «blizzardien» de "The Thing", de John Carpenter
L'Express
Tarantino, lui, fonctionne en autarcie, s'appuie sur son talent, réel, se pousse du col et tourne à vide. Pire: il se prend au sérieux. Arrête de jouer à Shakespeare, Quentin, et redeviens le vilain petit canard du cinoche. Tu vas finir par y perdre des plumes.
Le Parisien
Les deux premiers tiers du film sont bavards au possible et d'un ennui assez plombant. La fin tourne à la tuerie ultra-gore. (...) On a juste envie que ça se termine.
Metro
En somme : un cocktail peu détonnant qui s’étale sur les deux-tiers du labeur avant d’ouvrir un boulevard à une débauche complaisante et perverse, sur fond de suspense aussi peu éclatant qu’une mauvaise partie de Cluedo. De ce jeu de massacres nait un sentiment mâtiné de frustration et d’incompréhension. Osons le mot : déception !
Ouest France
Ça bavarde à n'en plus finir, et ça ne bouge pas. Et pas question de rire. (...) Il faut patienter jusqu'à la deuxième mi-temps pour retrouver son style.
VSD
Dans un dispositif théâtral assumé, la narration est moins portée par l’action que par la parole (...) Mais lorsque cette parole devient ressassement, l’overdose guette. Puis, l’ennui.
Cahiers du Cinéma
Tarantino s’est chargé lui-même de parodier le sous-genre le plus exténuant du cinéma contemporain : la tarantinade. De le parodier mais en oubliant tout ce qu’on avait aimé chez lui jusque-là : le sens du jeu, du décalage et de la percussion.
L'Humanité
À la longue, Tarantino finit par produire des machines creuses. Voir ce pseudo-western, en partie pompé sur un classique du cinéma d’arts martiaux, "Dragon Inn" de King Hu. Hélas, Tarantino substitue les acrobaties gracieuses de King Hu à du théâtre filmé. S’ensuit une apothéose de violence aussi vaine que les dialogues qui l’ont précédée.
Le Monde
La provocation n'ouvre pas de portes nouvelles, elle ramène à de vieux schémas, qu'on aimerait voir conservés dans les bocaux de la galerie des monstres plutôt que ramenés à la lumière.
Télérama
CONTRE : Il fut un temps où Tarantino filmait des êtres humains, vulnérables, complexes, séduisants. A cette époque (1997), "Jackie Brown" semblait marquer son entrée tardive dans l'âge adulte. Comme c'est loin.