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    Caprice
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    177 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 30 avril 2015
    scénario insipide, dialogues mauvais et très mal joués, on a l'impression que les acteurs lisent leurs textes, aucune vie... c'est plat.
    LBDC
    LBDC

    104 abonnés 297 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 avril 2015
    (...) Encore une fois Emmanuel Mouret interprète lui-même le rôle principal de son film. Il joue Clément, un homme plein de naïveté et d’une maladresse burlesque. Sorte de Jerry Lewis ou de Pierre Richard, en moins extravagant. Face à lui se dresse Alicia, qu’interprète Virginie Efira. On retrouve en elle l’affection particulière du réalisateur pour les grandes blonde (il avait fait de Frédérique Bel sa « muse » dans quatre films). Ici, l’actrice désirable inspire ces femmes hitchcockiennes, par ses coiffures et ses tenues à la fois élégantes et simples, et Catherine Deneuve, par son calme et sa douceur. Lui, l’admire d’abord en tant que comédienne. Elle, est émue par son aura rassurante. Ce gentil couple, tout de même surprenant, se voit perturbé par l’arrivée d’Anaïs Demoustier (Caprice). Cette dernière rayonne toujours autant dans les histoires d’amour complexe – au cœur d’un triangle amoureux dans A trois on y va, ou dans une relation ambigu dans Une nouvelle amie. Elle fait de Caprice une délicieuse psychopathe. Une « pot de colle » prête à tout pour attirer l’attention de Clément, sans jamais agacer le spectateur, bien au contraire. Caprice amuse dans ses manipulations et son manque de tact, et devient attachante par son amour à sens unique. Le réalisateur gravite ainsi autour de personnages, même Thomas (Laurent Stocker), quatrième protagoniste légèrement en retrait, entiers qui n’alourdissent en rien l’intrigue. Ils portent cette histoire, offrent une vision particulière et personnelle de l’amour, susceptible de toucher chaque spectateur (...

    critique par PIERRE - l'intégralité sur Le Blog du Cinéma
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 28 avril 2015
    Caprice est le huitième film du réalisateur Emmanuel Mouret dont on avait malheureusement jusqu’ici, jamais entendu parlé. Nous battons notre coulpe devant cette grossière erreur tant ce long-métrage tendre, profondément sensible et fort bien écrit, nous donne envie de découvrir le reste de sa filmographie. Revenons sur cette agréable surprise sans tardé de peur d’en perdre la délicate saveur.

    Clément (Emmanuel Mouret), un instituteur devient l’homme le plus comblé du monde. En effet, la comédienne qu’il admire et dont il ne rate pas un spectacle, Alicia (Virginie Efira) va venir à sa rencontre sans qu’il s’y attende. En effet, son neveu a besoin de soutien et ce dernier est scolarisé dans son école. Avec l’entremise du directeur et ami de Clément, Thomas (Laurent Stocker), il va pouvoir la côtoyer. L’un et l’autre vont peu à peu tomber sous leur charme. Alors qu’il file le parfait amour, Clément fait la rencontre fortuite de Caprice (Anaïs Demoustier, jeune prodige que l’on ne présente plus et que l’on a vu dans La ritournelle, Au fil d’Ariane, Une nouvelle amie et A trois on y va), une jeune épicurienne qui va semer le doute dans l’esprit du maître d’école.

    La première impression est musicale. La musique jazzy, un brin manouche, oscille entre légèreté, joie de vivre et mélancolie. Comédie fine, Caprice prend le temps de laisser mûrir le verbe et de ce verbe fleuri fait naître l’émotion de sentiments contradictoires, parfois répréhensibles, mais toujours abordés avec empathie. Clément est un grand timide. Il vit dans le souvenir, saisissant chaque instant pour finalement les laisser filer. D’une certaine manière, on le comprend pleinement, Clément s’offre la fraîcheur de réminiscences toujours agréables. Vivant sa vie en spectateur, il saisit la beauté et la garde précieusement en son cœur. La mémoire de ces instants fugaces lui laisse le loisir d’imaginer ce qu’aurait pu être la suite. Grâce à Alicia, il va pouvoir vivre ses rêves d’idylle à livre ouvert. Cette dernière, en émerveillement constant incarne dans le couple cette beauté inlassable que Clément cherche à conserver dans un écrin de fantasme. Idéaliste, il écrivait sa vie sur du papier imaginaire, il va pouvoir écrire de nouvelles pages à disperser aux quatre vents. Il a d’ailleurs, analogie parfaite avec sa manière de vivre, l’idée d’écrire un scénario à sa bien-aimée, scénario qu’il conçoit comme un poème mais qui, à son image manque un peu de fantaisie.

    Ce brin de folie qu’il manque à sa vie, c’est ce petit caprice du destin lui tombera dessus comme la foudre. Caprice, dont l’interprétation mutine, un brin agaçante d’Anaïs Demoustier est parfaite, respire la liberté. Alors que Clément rêve sa vie, elle vit ses rêves. Touchante, elle ne renonce pas à ses objectifs sans pour autant calculer quoique ce soit. Caprice fait des bêtises mais toujours avec une candeur innocente. Certes, son obsession érotomane peut énerver mais la jeune femme respire tellement la gentillesse que l’on ne peut que la trouver agréable. Et puis, ses sentiments, bien qu’excessif, tout à fait déplacés, n’en sont pas moins le fruit d’un amour véritable. Clément aime Alicia, comédienne de talent jouant des classiques tandis que Caprice joue des pièces expérimentales de science-fiction. Alicia correspond à toutes ses attentes mais malgré tout, Caprice réussit à lui en créer de nouvelles. A moins que ce ne soit des illusions induite par ce plaisir de plaire. C’est troublé par cette épisode inattendu de sa vie que Clément devra faire un choix. Caprice est parfaite pour devenir un de ces souvenirs qu’il affectionne tant. Mais elle n’est pas qu’un souvenir, elle revient toujours à la charge et c’est pourquoi, ce qui le rend définitivement fascinant, il est tiraillé entre sa morale et des attachements qu’il ne sait pas définir correctement.

    Généralement, on apprécie pas trop les romances sur fond d’adultère ou le cocu passe à la trappe d’un scénario bateau pour laisser place à une histoire idyllique. A vrai dire, c’est aussi cet aspect de Caprice qui nous a séduit car Emmanuel Mouret traite de ce sujet avec une subtilité hors-norme. Les trois protagonistes, interprétés avec justesse, à part égale, donne corps au récit. Mouret ne laisse personne sur le bas-côté, n’épargne aucun questionnement et rend beaux ses personnages. C’est si rare de laisser autant de place à la poésie et à la beauté dans les comédies romantiques de nos jours qu’il faut le saluer. Chapeau bas !

    Retrouvez nos autres critiques sur Une Graine dans un Pot :
    tixou0
    tixou0

    695 abonnés 1 999 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 mai 2015
    "Caprice", que l'on pourrait sous-titrer : "Hasards ou coïncidences".... Mais rien à voir avec l'univers aseptisé d'un Lelouch. Cherchons plutôt du côté de l'allénien "Vous allez rencontrer un bel et sombre inconnu". La célèbre et embourgeoisée (mais pas bêcheuse) Alicia (Virginie Efira) est une comédienne à qui on a prédit que l'homme de sa vie serait lié à l'enfance - aussi quand le hasard (son jeune neveu Jacky lui est confié un petit moment, et elle cherche quelqu'un pour aider icelui dans son travail scolaire) lui fait rencontrer Clément (le réalisateur), elle pense que le destin a frappé. Cet instituteur, quadra timide et plutôt languide, est, à défaut d'être "beau" (j'ai toujours trouvé que Mouret avait de faux airs de Fernandel jeune) et "sombre" (sauf de poil - car il est plutôt lunaire), bien "inconnu", de la belle - très loin de son monde de théâtreuse. Les planches, la musique "jazzy" : voilà qui sonne aussi "allénien". Mais l'essentiel, c'est bien du Mouret pur jus ("Une autre vie", son film précédent mis à part), c'est-à-dire un marivaudage bien français. Avec des dialogues aux petits oignons, et des chassés-croisés amoureux délicieusement alambiqués entre les quatre protagonistes - outre Alicia et Clément, Thomas (Laurent Stocker), le directeur de l'école où ce dernier professe et... Caprice (à qui Anaïs Demoustier prête son minois mutin et sa fantaisie naturelle), une marginale, apprentie comédienne, de type envahissant (et flirtant avec l'érotomanie). Sans être son meilleur cru, un bon moment de comédie à la Mouret, entre folie douce et mélancolie.
    crachou94
    crachou94

    23 abonnés 427 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 avril 2015
    Une jolie comédie sentimentale, sur le désir amoureux et ses indécisions, dans lequel on retrouve avec plaisir la jolie Virginie Effira, mais c'est Anaïs Demoustiers qui donne toute l'étendue de son talent dans son rôle d'amoureuse envahissante.
    Fritz L
    Fritz L

    181 abonnés 767 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 avril 2015
    Depuis presque vingt ans, Emmanuel Mouret poursuit, plutôt bon an que mal an, son petit bonhomme de chemin cinématographique dont le dénominateur commun est Marivaux. Et de cette mécanique complexe des jeux de l’amour et du hasard, Mouret ne déroge pas. Cela marque l’empreinte d’un auteur, mais peut s’avérer fatigant car la forme comme le fond évoluent peu d’un film à l’autre (exception faite de « Une autre vie »). Les mêmes ingrédients donc et un même acteur (Mouret égal à lui-même, très comédien amateur), seules les actrices viennent apporter un peu de fraicheur à ces scènes de genre surannées. Ou pas. Dans « Caprice », on ne va pas s’extasier devant la prestation de Virginie Efira, toutefois elle apporte une tonalité sincère à son rôle. La plus grosse déconvenue du film vient de celle qui incarne le rôle titre de Caprice, Anaïs Demoustier. On pressentait déjà dans « Une nouvelle amie » tout le capital d’antipathie qu’elle dégageait, qui s’est confirmé avec « A trois on y va » et qui explose au grand jour ici. Dans le genre péronnelle disgracieuse et vulgaire elle s’impose avec un jeu linéaire, sans jamais avoir l’air de trop y croire, mais certaine de pouvoir se placer. Dans la carte du tendre des héroïnes de Marivaux, elle serait parfaite dans le rôle de la commère. Détenant un rôle clé, le film est quelque peu assombri par sa prestation, de même par quelques scènes vraiment ratées (le supplice du plâtre, la relation Alicia/Thomas…). Toutefois, le charme opère, parfois, surtout quand Mouret filme le bel amour (les échanges de regards et la connivence entre Alicia et Emmanuel sont attendrissants entre autre) et certaines répliques ou situations sont subtilement drôles. « Caprice » reste une œuvre trop inégale, comme souvent chez Mouret, qui oublie, pour paraphraser Marivaux , que dans le monde du cinéma, un film doit être trop bon pour l’être assez…
    annereporter94
    annereporter94

    49 abonnés 1 006 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 avril 2015
    J'ai toujours apprécié les films d'Emmanuel Mouret et ce n'est pas celui-ci qui me fera changé d'avis. Son côté tendre et romantique me bouleverse, comme a pu le faire en son temps Woody Allen. Donc, j'ai aimé et je ne peux qu'être satisfaite que Pierre Murat de "Télérama" n'ait pas apprécié...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 28 avril 2015
    C'est tellement mauvais que j'écris mon avis depuis la salle de cinéma. Je reste juste parce que je suis curieuse et je veux connaître la fin!
    Les 2 actrices principales sont bonnes mais les 2 hommes c'est une cata!!! Surtout le réalisateur ! Quelqu'un doit lui dire qu'il est un mauvais acteur! Il est mou, tellement mou! N'allait pas voir ce film, il ne sert à rien!
    Al F.
    Al F.

    21 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 28 avril 2015
    Contrairement a beaucoup, je ne critiquerai pas le jeu d'acteur que je trouve correct ( même si on a vu mieux).
    Le problème de ce film est le scénario qui est clairement mauvais.
    En particulier la fin qui n'a pas de sens et les raccourcies scénaristiques trop facile.
    L'ensemble des personnages sont vides ( exception de caprice qui avait du potentielle mais a été gâché).
    De plus, on a la sensation que les dialogues ont été écrit pour du théâtre et non pour un film.

    Pour résumer, je dirai qu'il est gnangnan.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 28 avril 2015
    Emmanuel Mouret réalise un joli film sur l'amour qui doit beaucoup à ses interprètes notamment Virginie Efira qui s'impose définitivement comme une actrice.
    Malgré quelques longueurs on passe un bon moment sur une musique charmante.
    benoitG80
    benoitG80

    3 408 abonnés 1 464 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 avril 2015
    "Caprice" nous laisse découvrir un Emmanuel Mouret moins en forme qu'à l'habitude...
    Non pas que cette dernière réalisation soit moins intéressante, mais par le fait qu'elle ne surprenne pas autant et qu'elle mette beaucoup de temps à démarrer et à fonctionner comme son cinéma nous y avait habitué le plus souvent...
    Il faut l'avouer de suite, tout s'enclenche et tourne comme une horloge avec l'arrivée de Anais Demoustier, espiègle et fraîche, piquante et manipulatrice, drôle et collante !
    Sans doute un de ses meilleurs rôles qui de ce fait, permet à Virginie Effira et Emmanuel Mouret de se réveiller par la même occasion...
    Comme souvent avec ce réalisateur/acteur, on retrouve ses thèmes favoris et son esprit si particulier, à savoir l'amour et les doutes qu'il procure, ses interrogations sur le choix de l'être aimé, sur les raisons et la justification de ce choix, avec la mise en place de situations compliquées et quelquefois bien embarrassantes !
    Mais durant un trop long moment, cette thématique bien présente tourne en rond, nous ennuie presque en devenant même surprenante et inquiétante.
    C'est donc bien la deuxième partie sur laquelle on restera qui rend ce film délicat, sensible et très amusant avec le charme qu'Emmanuel Mouret sait si bien distiller, tout comme l'est aussi son personnage réservé tout en retenue, dans les paroles et les actes, comme si un manque de confiance en lui l'envahissait de le paralysait pour un oui, pour un non...
    Cependant, il reste que notre mémoire préfèrera "Un baiser s'il vous plait" ou "Fais moi plaisir", tous deux nettement plus aboutis, plus réussis.
    Alors à voir tout de même sans trop de risque, ne serait-ce que pour Anais Demoustier et sa prestation au top !
    Wouppa
    Wouppa

    3 abonnés 115 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 avril 2015
    une comédie française.. bon, ok... mais drôle! et ça change, même si on reconnait la patte, des les premières minutes d'Emmanuel Mouret, et les similitudes avec fais-moi plaisir (petit bijou),
    quelques lenteurs, j'attendais un peu mieux de Virginie Efira, mais Demoustier, super! attachante, décalée, espiègle, marrante, vivante, elle incarne très bien le personnage, et donne un ton au film.
    Emmanuel Mouret comme acteur, un plaisir mais rien de nouveau, et sans y réfléchir davantage, oui, aller voir ce film
    Jérôme F
    Jérôme F

    13 abonnés 26 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 avril 2015
    Comédie romantique comme je les aimes
    De superbes acteurs et actrices
    Surtout Virginie efira et a anais desmoutier trop belle
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 28 avril 2015
    Un film tout en douceur aux allures théâtrales faisant l'apologie de l'homme foncièrement gentil et simple. Une réflexion mûrie et honnête sur les sentiments amoureux, sans artifices.
    Virginie Efira toujours aussi somptueuse dans son rôle; un petit bijou emprunt au doute et plein de lucidité.
    Ce film tout en poésie ne saurait plaire aux amoureux de l'action.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 28 avril 2015
    Si vous n’aimez pas Mouret, passez votre chemin ! Comment ne peut-on pas apprécier Mouret si on aime le cinéma ? OK on peut le trouver un peu répétitif, décalé, appliquant une « recette », voire un jeu un peu « faux »…… Mais il aime le cinéma, cela se voit, se sent. Il y a du travail derrière sa caméra, son banc de montage, ses castings…..et nous n’en avons plus « des masses » comme lui ! On n’a le droit d’avoir notre Woody Allen !
    Bien sur que ce n’est pas la réalité ses histoires, bien sur que c’est hésitant, lent, compliqué, indécis…..mais que c’est intelligent !
    Pas d’insultes dans nos commentaires, j’obéis, mais je ne comprends que l’on mette ½ étoile, c’est injuste, c’est ne pas percevoir le travail cinématographique de Mouret : il doit passer des HEURES sur ses films.
    J’attends le prochain, mais qu’il continue à travailler lentement. Merci à lui et à tous ses comédiens bien sur.
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