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    Le Kid
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    Romain C.
    Romain C.

    79 abonnés 867 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 juin 2018
    The Kid est mon premier film de et donc avec Charlie Chaplin et mon premier film muet mais je dois dire que même presque 100 ans après ce film est drôle mais aussi touchant presque dramatique très bien servit par un Chaplin et un Jackie Coogan comme le reste du casting .
    Les images remplace les paroles qui aurait été inutile car on comprend très bien .
    Un film de Charlo avec une durée de 50 minutes qui est une comédie dramatique datant de 100 ans accompagné d'une musique ne faisant aucune pause .
    Un film culte méritant largement son succès !
    Jean-luc G
    Jean-luc G

    60 abonnés 765 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 décembre 2023
    Nouveaux petit-enfants, de bientot 7 et 8 ans, et rebelote pour l'initiation à Charlot. Ca marche, même s'il faut calmer quelques craintes lors de la bagarre avec le costaud, et commenter quelques "intentions" des protagonistes pour éviter des contresens liés au muet. Inoxydable
    DVD6 -décembre 2023

    Question à l'un de mes petits-enfants, 8 ans: tu veux revoir un Charlie Chaplin? Oui. Le quel? Le kid sans hésiter (on ne l'a pas vu depuis 4 mois…). Et c'est parti pour 50 mn de pur plaisir, une durée suffisante et adaptée aux enfants pour pleurer, compatir, rire, rêver et sourire. Indémodable et authentique. La brusque conclusion, un peu bâclée, est peut-être le seul tout petit maillon faible. Et largement compensé par la musique expressive de Chaplin himself!
    DVD4 - août 2018 -

    Près d'un siècle et pas une ride dans ce moyen-métrage. Un plaisir de le voir avec un petit-fils de 8 ans. De francs éclats de rire lors des courses poursuites et des bagarres mais aussi des larmes, de l'émotion, un peu mais pas trop. La scène de rêve avec tous les habitants habillés en anges dénote très légèrement mais dans l'ensemble Charlot réussit déjà là un film complet, avec une palette d'émotions variées. L'expression passer du rires aux larmes ne s'est jamais si mieux appliquée.
    DVD 3 - avril 2018
    S.i.n
    S.i.n

    8 abonnés 66 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 mars 2018
    Premier long-métrage de Chaplin, The Kid est encensé dès sa sortie en 1921, devenant le plus grand succès commercial de l’année derrière Les Quatre Cavaliers de l’Apocalypse. 90 ans plus tard, il est choisi par la Bibliothèque du Congrès (bibliothèque nationale américaine étant la plus grande au monde en nombre de livres et de références) pour entrer au National Film Registry, une sélection de films élus pour leur « importance culturelle, historique ou esthétique ».

    Nombreux sont les admirateurs de Chaplin qui considèrent The Kid comme son film le plus personnel et le plus achevé. Pourtant, il s’avère qu’il ait vu le jour dans un contexte de tourments affectifs intenses dans la vie privée de son auteur. Ce qui n’a pas empêché l’œuvre d’être un triomphe immédiat, peut-être même le plus grand de toute la carrière de Chaplin. Mais quelles sont donc les raisons de cette réussite foudroyante ? Analyse.

    Rappelons le contexte.
    Octobre 1918. Chaplin se fourvoie dans un mariage précipité avec une jeune actrice de 17 ans, Milfred Harris. Le couple a peu de choses en commun, et l’ennui et la frustration de Chaplin sur le plan personnel le conduisent à un grave blocage créatif. Il écrira plus tard dans son autobiographie : « Plusieurs mois s’étaient écoulés et je n’avais réalisé qu’une petite comédie de trois bobines, Sunnyside, en ayant l’impression de m’arracher une dent. Sans aucun doute, le mariage avait des conséquences sur mes facultés créatives. »
    Peu de temps après leur union, Milfred tombe enceinte et donne naissance à un petit garçon mal formé qui meurt à peine âgé de trois jours. A l’évidence, Chaplin dut vivre cette perte comme un profond traumatisme. Mais les réactions d’une âme d’artiste sont imprévisibles. Dix jours seulement après l’enterrement de son propre fils, Chaplin fait passer des auditions à des enfants dans son studio, absorbé et excité par un nouveau projet : une histoire dans laquelle Charlot deviendrait un père de substitution pour un enfant abandonné.

    Son impasse créative brusquement surmontée, il se rend par hasard dans un cabinet où se produit un danseur prodige. A la fin de son numéro, le danseur fait monter sur scène son fils de quatre ans, un ravissant et pétillant garçon du nom de Jackie Coogan.
    Le génie britannique tient là son acteur principal. Il décèle chez Jackie un don d’imitateur inné qui peut reproduire à la perfection n’importe quelle action ou expression que Chaplin lui enseigne, faisant de lui le collaborateur rêvé.
    Car il faut savoir que Charlie Chaplin était toujours le seul et unique créateur de ses œuvres. Tous ses collègues s’accordaient à dire que, s’il avait pu le faire, il aurait joué lui-même tous les rôles de tous ses films. À défaut, il recherchait des acteurs et actrices capables d’imiter précisément ce qu’il leur montrait, acceptant fidèlement cette tâche sans poser de questions. Il avait donc trouvé en Jackie Coogan son acteur idéal.

    Ainsi, The Kid deviendra trois ans plus tard un mariage des plus réussis entre la comédie et la grande émotion. L’histoire est celle d’une fille-mère qui abandonne son bébé, lequel est retrouvé et involontairement adopté par Charlot. Alors que le petit garçon atteint l’âge de cinq ou six ans, ils forment tous les deux une équipe efficace : l’enfant casse des vitres en jetant des pierres et son compère, vitrier, gagne sa vie en les réparant derrière lui. Par ailleurs, Charlot s’oppose farouchement aux efforts des travailleurs sociaux pour placer l’enfant à l’assistance publique, et il finit par retrouver sa mère, devenue entre-temps une célèbre chanteuse d’opéra.

    Sur le plan des comédiens, difficile d’émettre la moindre critique en ce qui concerne le binôme remarquable.
    D’une part, le britannique, qui, comme à son habitude, nous étonne toujours avec son interprétation de Charlot et ses talents remarquables de mimes.
    Ce dernier, qui, avec les moindres grimaces et les moindres gestes est capable de nous faire ressentir toutes les émotions, que ce soit la souffrance, l’amour ou encore la lassitude, à telle point que nous ne ressentons même plus le besoin d’entendre des paroles.
    Mais également de Jackie, qui, en plus d’obtenir plus de quatre millions de dollars à seulement sept ans, devient une star internationale, honorée par les princes, les présidents et le pape en personne au cours de la tournée européenne qu’il entreprend.

    Concernant la mise en scène, elle se montre à la fois délicate et bouleversante, oscillant entre moments de tendresses et instants dramatiques. Sans oublier les nombreux comiques de situation et quiproquo où l’on reconnaît bien là la patte de Chaplin.
    Quant à l’émotion du film, elle touche à son apogée dans la séquence poignante où les travailleurs sociaux essayent d’emmener l’enfant de force à l’orphelinat. L’angoisse et l’acharnement avec lesquels Charlot se bat pour garder le garçon s’inspirent sans aucun doute des souvenirs personnels de Chaplin et de sa propre douleur quand, à l’âge de sept ans, il a été arraché à sa mère et placé dans une maison pour enfants déshérités.

    Enfin, côté bande-originale, nous ne sommes pas en reste car c’est encore un sans faute de l’artiste britannique. Avec The Kid, Charlie Chaplin livre encore une fois une composition impeccable en totale adéquation avec l’atmosphère du film et les sentiments des personnages qui nous dépayse pendant près d’une heure.

    Somme toute, voici le portrait que l’on puisse tirer du premier film de longue durée de Chaplin : un succès avant l’heure plébiscité par le monde entier, au même titre que son duo que l’on pourrait qualifier d’anthologie. Le premier carton du film le décrit parfaitement, The Kid est : « Un film avec un sourire… et peut-être aussi, une larme. »

    Pour l’anecdote de fin, Jackie, la jeune vedette du film, se retrouve très vite sans le sou une fois adulte : sa mère et son beau-père ont mal géré ses économies de jeunesse, et le peu d’argent qui lui reste est englouti dans ses batailles juridiques. La seule issue positive de toute cette affaire est que les ennuis hautement médiatisés de Jackie conduisent à l’adoption d’une loi garantissant une protection financière aux enfants artistes. Encore aujourd’hui, cette loi est connue sous le nom de “loi Coogan�.
    Concrètement, cette dernière oblige l'employeur à verser une partie du salaire du mineur sur un compte d'épargne. Elle précise également que la totalité des sommes gagnées par l'enfant lui appartient, et que leur utilisation par ses parents, si elle n'est pas autorisée par l'enfant, est, légalement, du vol.
    mx13
    mx13

    239 abonnés 1 918 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 février 2018
    Film qui permet de voir le cinéma sous une autre époque et un autre aspect avec une mise en scène pure et réaliste. Je le déconseille aux moins de 7 ans. 3/5
    CE1SaintGilles
    CE1SaintGilles

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 décembre 2017
    Nous avons aimé ce film car il y a plusieurs sentiments et émotions: il y a de la tristesse car le petit garçon a été abandonné, il y a aussi de la joie à la fin du film car tout le monde se retrouve, c'est drôle grâce au personnage de Charlot et aux aventures du petit garçon, et il y a aussi des situations bizarres et étranges (le rêve, la maman qui abandonne son enfant et les voleurs qui ne font rien).
    Il y a quelques scènes que certains n'ont pas aimé:comme l'abandon du bébé, les voleurs avec leur pistolet.
    Le Français Glacé
    Le Français Glacé

    28 abonnés 328 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 octobre 2017
    Le Kid réalisé par Charles (Charlie) Chaplin en 1921.
    *Les points que j'ai appréciés →
    • L'histoire simple mais belle
    • La complicité entre Charlie Chaplin et l'enfant.
    • Le comique des scènes (souvent des petits détails)
    • La musique

    *Les points que je n'ai pas appréciés →
    • Absolument rien

    *Conclusion →
    J'ai aimé, c'est simple mais superbement réussi. 10/10.
    Cyril J.
    Cyril J.

    25 abonnés 625 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 février 2017
    Une cloche anonyme, dans la masse pouilleuse d’une Amérique d’après Grande Guerre, récupère un bébé abandonné dans une poubelle, l’élève et en fait son complice dans ses espiègles larcins alimentaires. Il faudra malheureusement composer avec la concurrence misérable du quartier, les rivalités entre gamins, la Police, les services sociaux, les marchands de sommeil, la médecine, et même la vraie maman du Kid devenue riche.
    Ce film muet, le premier de Charles Chaplin lui-même ancien enfant traumatisé, et âgé de près d’un siècle aujourd’hui, continue de fasciner par ses mille acrobaties, mimes, théâtralités et symboliques quasi-continues, et par les véritables qualités athlético-artistiques du célèbre clown-mime-acteur-réalisateur-monteur-musicien. En plus de servir une belle aventure sentimentale pour les petits, il révèle une puissante dénonciation de la misère américaine cachée dans les taudis urbains en 1921, les préjugés rétrogrades concernant les mères célibataires, la bureaucratie dramatique et brutale des autorités médicales, légales et sociales.
    Parvenir à concerner et interpeller tout le monde selon plusieurs modes, et ce sans un son, puis marier un spectacle rafraichissant, tendre et poétique tout en giflant la société d’une magistrale claque d’amour, de rédemption, de solidarité et d’héroïsme porte simplement le qualificatif de génial.
    Shephard69
    Shephard69

    329 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 juillet 2016
    Tantôt touchante, tantôt drôle, une superbe histoire d'amour paternel et un vrai questionnement sur l'abandon et l'adoption. Des scènes d'anthologie, un chef d'oeuvre d'une grande fraîcheur avec un Charlie Chaplin au sommet de son art.
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    190 abonnés 2 499 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 avril 2016
    Le Kid est un très bon classique de Chaplin. Contrairement à ce qu'on pourrait croire, l'humour de Chaplin ne vieillit pas tant que ça et sa force comique reste relativement intacte avec le temps. Charlie Chaplin est toujours très bon dans son éternel rôle de Charlot et son jeune acolyte Jackie Coogan est très naturel. Les gags sont immortels et l'histoire est très touchante. Un très bon classique !
    Alain D.
    Alain D.

    579 abonnés 3 272 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 mars 2016
    Le Kid est un Long-métrage écrit et réalisé par Charles Chaplin en 1921. Dans la lignée de « Les Feux de la rampe (Limelight - 1952)», Le Kid est une comédie dramatique émouvante dans laquelle Charles Chaplin se retrouve père adoptif : il est beau, attendrissant, et délivre beaucoup d’émotions. Il est bien secondé par la belle Edna Purviance, elle aussi bouleversante dans son rôle de maman.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 4 mars 2016
    Voilà, pour moi c'est le meilleur Chaplin. Pas forcément le plus drôle (Les temps modernes est bien meilleur de ce côté), mais le plus émouvant (oui plus que Les temps modernes), le plus beau et le plus touchant. La relation entre l'adorable enfant et Charlot, qui lui sert de père de substitution est magnifique et on y croit. D'autant plus que Chaplin joue ici plus sur un comique attendrissant que sur un comique burlesque (dont il sait aussi faire preuve, ne nous méprenous pas).
    En tout cas moi j'adore, ça rend le coeur léger et ça me rappelle de bons souvenirs.
    Karim A.
    Karim A.

    44 abonnés 615 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 janvier 2016
    C'est pas le meilleur film de Chaplin, mais je lui mets 5,5 étoiles
    le choix du gamin est excellent
    Chaplin sur un script solide bâti un gratte ciel d'"émotion et de fous rires
    Son visage quand les services sociaux lui retire le gamin....incroyable
    bien meilleur que Jim Carrey qui en fait trop, Chaplin fait le nombre pile de grimace quand il le faut.
    Merci CHarles Chaplin.
    Ozz .
    Ozz .

    3 abonnés 130 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 septembre 2024
    Que dire ? Ce film est juste magnifique dans toute sa simplicité ! Il s'agit du film de mon enfance, celui qui m'a marqué et qui à l'époque parvenait à me faire chopper une boule à la gorge durant la scène où l'on lui arrache son fils adoptif. C'est simple, efficace, émouvant et authentique....bref, du Chaplin ! Je regrette tellement ce genre de film qui vaut bien mieux que ceux de notre époque actuelle. Je viens de le visionner à l'instant après des années...la dernière fois, je devais avoir 7 ans. Et encore aujourd'hui, il arrive à me faire sourire, rire et pleurer ! A voir et revoir !
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    132 abonnés 1 618 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 décembre 2015
    Charlot, le vagabond solitaire, devient père bien malgré lui dans ce premier long métrage de Chaplin. Et ce fût le premier long métrage vu en famille avec mon fils de 7 ans ; le Kid a 6 ans dans le film. Le bon âge pour voir ce très grand classique du 7ème art, même s’il est conseillé d’accompagner les enfants pour décrypter les intentions du réalisateur… car comme l’annonce le panneau d’ouverture, nous passerons du rire aux larmes durant 50’.
    Dès l’ouverture, on voie une mère abandonnée son nourrisson. Ce dernier est recueilli, bien malgré lui, par un vagabond. Cet entame permet à Chaplin de distiller les premières scènes comiques burlesques du film. Les sketchs burlesques s’enchainent parfaitement ; mais ici, contrairement à ses courts, il y ajoute mélancolie et poésie. La mère du Kid devenue riche et célèbre va tenter de retrouver son petit 6 ans après, mais une vraie relation de complicité s’est tissée entre le vagabond et le petit. Ce film permet d’aborder les questions de parentalités, de pauvreté et d’exclusion avec les enfants. Très biographique car issu d’une famille très pauvre, Chaplin exploite ici sa peur d’enfant d’être enlevé à sa famille par la police et les services sociaux. Policiers, médecin, service sociaux ; les institutions, sont représentés chez Chaplin comme autoritaires et pas placés du côté du bien de l’enfant. Troublant pour un enfant d’aujourd’hui, car les choses ont tellement changé. Le vagabond, quant à lui brigand, entraine son fils dans des larcins très drôles obtenant l’adhésion des grands comme des petits ; car il s’agit de survie. Les valeurs sont donc renversées d’autant plus que l’enlèvement de la garde du petit par les autorités est une scène déchirante.
    Peut-être pas le plus abouti des Chaplin… Il progressera encore jusque « Les lumières de la ville », mais assurément un film universel à l’image du personnage qu’il a créé.
    stanley
    stanley

    66 abonnés 754 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 31 octobre 2015
    Le kid est sûrement le premier grand film de Charlie Chaplin dont Une vie de chien, un peu sur le même registre, avait annoncé celui-ci. Le kid aborde le thème de l'abandon, de l'humanisme, du manque de tolérance dans une société où la pauvreté domine et de une prise de responsabilité plus fort que son propre confort. Le film est à la fois drôle, intelligent dans son approche de la société de l'époque et très émouvant, voir à certains moments bouleversant. Accompagné par une musique sensible et recherchée, l'histoire de l'affection entre un homme pauvre et simple et un gamin abandonné est sublime. Le kid a servi d'inspirations à bien des films dont certains peu inspirés (La vie est belle de Roberto Begnini), voir à bien des oeuvres du néoréalisme italien (ceux de Vittorio de Sica). Les scènes de gag sont parfaitement travaillées (voir le berceau de l'enfant suspendu au lit de Charlot ou la scène de bagarre qui mime un combat de boxe). Brutalement, après l'humour, très vite, l'émotion rejaillit (la maladie de l'enfant). Le kid bénéficie de la belle interprétation de Jackie Coogan, très mature pour ses six ans et de Charlie Chaplin au corps toujours élastique. Le film se termine brutalement (trop ?) mais il ne pouvait verser dans une fin conformisme et niaiseuse. Un quasi chef d'oeuvre du cinéma muet qui se joue de l'imbécilité des hommes et de leur égoïsme.
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