Un film de SF totalement méconnu mais extrêmement intéressant sur de nombreux points de vue. Tout d'abord le réalisateur réussit à distiller un suspense très efficace montant crescendo tout au long du film, et qui réussit même à nous faire frissonner à quelques reprises. Ensuite le scenario très inspiré des plus grands chefs d’œuvre du genre, de "2001" à "Blade Runner" en passant par "Matrix" se révèle très mystérieux tout au long du métrage, au point que l'on ne sait vraiment jamais de quoi il s'agit, le réalisateur nous délivrant que quelques bribes d'explications ça et là avec beaucoup de talent. Même si parfois certaines choses sont un peu tiré par les cheveux tout comme certains effets de mise en scène dont il abuse quelque peu. Mis à part ces petits défauts, on est devant un film de SF ambitieux et original qui aurait mérité à avoir un budget plus conséquent afin d’être plus abouti sur la fin.
Vraiment bien ce The Signal certe le il ne manque pas de defauts mais on est Absorber Captiver par cette affaire on a envie d'en savoir plus ce qui fait la force de ce film de plus les personnages sont tous plus bizarre les uns aux autres, Un direct to DVD qui vaut vraiment le coup d’œil aux amoureux de la SF comme quoi des fois pas besoin de mettre des millions dans des merdes Blockbusterisé
The Signal est un film de science-fiction que j’attendais beaucoup d’une part pour ces images très belle et soigné que l’on pouvait voir dans la bande annonce du film et aussi pour son scénario qui promettait de nombreuses surprises au fur et à mesure.
Le film se concentre sur un groupe d’étudiants (deux garçons et une fille) qui suivent la trace d’un hacker afin de le dénoncé pour différents actes de hacking. Malheureusement pour eux, le groupe se retrouvera dans un lieu isolé et en quarantaine sans savoir comment ils ont atterries ici et pourquoi.
La première chose qui m’a impressionné est le soin apporté à chaque plan du film, certains plans sont incroyablement magnifique (très proche des plans façon « Space Opéra »).
Le gros point positif est celui de nous brouillé les pistes du début jusqu’à à la fin ; durant une bonne partie du film on a dans le brouillard complet !
Pour le casting, une grande majorité d’acteurs ne sont pas connus (à pars Laurence Fishburne), globalement les acteurs principaux font très bien leur boulot (mention spécial pour Brenton Thwaites qui arrive à dégager une forte atmosphère à travers son personnage qui souhaite découvrir le comment du pourquoi durant le film).
Ce qui intéressant à analyser ce sont les relations entre les trois étudiants : le personnage principal ne souhaitant pas devenir un fardeau pour sa copine à cause de ses problèmes de santé ; une sorte de « crise » plane dans le groupe ce qui permet à chacune des personnes de se dévoiler à l’autre (sans tombé dans le gnangnan ^^)…
La bande son du film est très sympa à écouter et elle se compose en deux parties : Des sons calmes, envoûtant et posant lors de certains flash-back des étudiants et pendant des plans large de la végétation du Sud-Ouest des USA. Des sons plus intense et mystérieux durant les scènes dans le lieu de quarantaine et en dehors.
J’ai personnellement adoré l’ambiance froide et inquiétante du lieu de quarantaine où le groupe d’étudiants sont pris au piège : le fait de voir des pièces avec autant de clarté, de n’entendre quasiment aucun bruit et de voir des individus assez froid pour quoique ce soit nous donne l’impression nous-même des sortes de cobaye.
Au niveau des effets spéciaux, pour un film de S.F à 2 millions de dollars (ce qui est presque rien pour du S.F), je m’attendais à pire mais ils sont bien foutus.
The Signal monte peu à peu en intensité jusqu’à une finale juste énorme et inattendu ! Malheureusement le film ne répond pas à toutes les questions qu’on se pose mais on peut toujours s’imaginer les réponses
The Signal est un très bon film de SF qui mérite d’avoir une plus grande notoriété et d’être diffusé dans les cinémas car il a beaucoup de potentiel et le film évite des clichés vu et revu (ex : genre le triangle amoureux entre les étudiants). On y découvre des jeunes acteurs talentueux, une atmosphère maîtrisé, une très bonne B.O et des images soignés plan par plan !
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0,5
Publiée le 20 novembre 2020
Tout commence avec un groupe d'adolescents intelligents appelé Nomad alors qu'ils font un détour vers un endroit qui mène à des incidents étranges. Ce qui est étrange dans l'incident sera expliqué assez rapidement par Laurence Fishburne qui s'y met avec sa performance la plus paresseuse de tous les temps. Les étudiants du MIT ne sont pas très malins pour éviter d'aller dans une maison de style Blair Witch pour explorer des choses. Puis les choses deviennent vraiment bizarres enfin pas tant que ça. Le scénariste est à court d'idées sur ce qu'il faut faire pour que le décor semble bizarre. Une demi-heure sera passée avec l'adolescent qui gémit et pleure et Fishburne qui sourit et note des choses sur un bloc-notes. Il n'y a pas de scènes dramatiques, pas d'imagerie et pas d'imagination du tout. Il s'ensuit une tentative d'évasion de l'institution psychiatrique pour se rendre au pays de massacre à la tronçonneuse. Les protagonistes ont également des membres en métal pour une raison quelconque et la fille du groupe est sauvée par les astronomes médecins suspects pour une future expérimentation. Il s'ensuit une série d'actions vraiment inutiles et mal exécutées...
Si la vérité est ailleurs une chose est certaine, avec The Signal, les amateurs de mystères et de fantastique en auront pour leur argent. En racontant l'histoire de Nick et ses amis kidnappés par l'armée après avoir traqué un mystérieux signal dans le désert du Nevada, le réalisateur William Eurbank nous fait replonger pour notre plus grand bonheur dans tous nos souvenirs de science-fiction, teintés d’enlèvements, de complots et de manipulations en tout genre. Ces thèmes qui, quelque soit l'époque, ne souffrent jamais des affres du temps. William Eurbank se sert habilement de toutes ces références connues pour nous servir une histoire vraiment originale qui fait travailler l'imaginaire du spectateur par moult indices et rebondissements.
S'il a tendance à un peu trop tirer sur la corde de l’expectative mystique avec notamment la présence d'un Laurence Fishburne bloqué en mode Morpheus, Eurbank réussit avec brio cette histoire d'enlèvement haletante qui, malgré son manque de moyens, parvient à proposer une image léchée et même de sacrées bonnes idées de mise en scène que l'on aurait aimé voir plus souvent exploitées sur grand écran.
Tout d'abord, la photographie de "The signal" est très réussie. Certains plans sont juste magnifiques (scène finale par exemple) avec une musique captivante qui colle parfaitement à l'ambiance. Les acteurs principaux s'en sortent pas mal aussi, notamment Brenton Thwaites qui est excellent et Laurence Fishburne qui dégage une certaine sérénité inquiétante (et pour cause...). L'histoire quant à elle tient en haleine jusqu'au bout malgré un rythme assez lent. Il est juste dommage que spoiler: la fin (et donc globalement l'histoire toute entière) manque d'originalité : en effet, comment ne pas penser à "Dark city", mais aussi à des films comme "The Truman show" ou encore "Passé virtuel" . Un manque d'originalité donc, qui altère un peu mon appréciation pour un film de science fiction qui n'en demeure pas moins intéressant. À voir...
Un bon thriller, qui vous mène doucement mais surement vers un monde auquel on ne s'attend pas. Ne cherchez pas d'action, ce n'est qu'un thriller dans un monde de science fiction. Je n'en dirai pas plus pour ne pas spoiler. Seul défaut de ce film : la fin! Oui, c'est bizarre cette fin. Elle ne nous dit rien de ce qu'il va advenir du héros, ni ou il se retrouve. Dommage! Avec une explication plausible, cela l'aurait fait grimper à 4 sans problème. A voir pour un bon moment de divertissement
On ne s'attend pas du tout à un changement aussi radical du scénario, c'est plutôt bien fait. Par contre comme souvent dans ce genre de film, aucune réponse n'est donnée, dommage !
Sans vouloir révéler quoi que ce soit, il faut dire que ce long-métrage intrigant de William Eubank se calque un peu trop sur le Dark City de Proyas pour que cela paraisse totalement un hasard. Il faut toutefois reconnaître au cinéaste une réelle capacité à créer le mystère et à multiplier les pistes qui font douter. Là où il est moins convaincant, c’est que certains rebondissements sont prévisibles bien avant leur révélation dans le film. On préférera retenir de ce deuxième métrage un réel talent de réalisation avec son final impressionnant qui semble avoir coûté une fortune alors que le long n’a semble-t-il coûté que 4 millions de dollars. Il faut donc avoir à l’esprit cet aspect indépendant pour apprécier pleinement la petite réussite que constitue cet inédit vidéo. Laurence Fishburne y est comme toujours excellent.
Long. Insupportable. Sans intérêt. Laurence Fishburne cachetonne ici dans ce long métrage dont l'histoire n'aurait mérité qu'un court métrage. Un de pires films que j'ai vus de toute ma vie.