Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
GQ
par Toma Clarac
(...) le film, satire politico-absurde du pouvoir avec Philippe Katerine en Président de la République chansonnier, est de loin la meilleure comédie de ce début d'année.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Transfuge
par François Bégaudeau
Benoît Forgeard prend un malin plaisir à faire dérailler la comédie.
Culturopoing.com
par Xanaé Bove
À la fois, crâneur et fragile, "Gaz de France" séduit par sa virtuosité et sa capacité inattendue à s’inscrire sur la durée.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Loufoque et polémique, avec un Philippe Katerine au top.
Télérama
par Jacques Morice
Avec une étonnante économie de moyens, un décor minimaliste et une poignée d'acteurs talentueux (notamment Olivier Rabourdin, vu dans Eastern Boys, de Robin Campillo), le cinéaste nous enferme dans un étrange huis clos.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
L’acuité parodique du début se délite dangereusement et le faux rythme du film manque d’être celui d’un sketch démesurément étiré et filandreux. Mais il reste difficile de lui en faire grief tant c’est aussi par là que Forgeard construit (…) la vision malfaisante et quasi poétique d’un cloaque d’idiotie.
Critikat.com
par Julien Marsa
Cette inertie bien voulue par le réalisateur constituait à vrai dire à la fois la force et la faiblesse de son cinéma – force du décalage, faiblesse de l’ambition.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Tantôt gracieux, tantôt envasé, en lui, les puissances du faux propres tant au cinéma qu'à la politique se rencontrent, célébrant l'imaginaire comme seule voix d'accès à un réel qui ne cesse de se dérober.
Les Fiches du Cinéma
par Juliette Chartier
Catapulter Philippe Katerine à la tête de pouvoir : voilà le point de départ de l'intrigant “Gaz de France”. Benoît Forgeard signe une fiction à son image, fantasque et caustique, qui fait ici mouche.
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
On ne peut aujourd’hui imaginer plus juste et plus poétique représentation du pouvoir que celle-ci.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Christophe Narbonne
Ce ton iconoclaste, accentué par la présence de Philippe Katerine et par la musique de Bertrand Burgalat, détonne cependant dans le paysage français.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Humanité
par Vincent Ostria
La satire est de bon aloi, pointant l’aspect pompeux et l’incompétence de certains dirigeants, mais elle est un peu laborieuse. Il manque encore à Forgeard la liberté formelle et conceptuelle de ses collègues du nonsense Quentin Dupieux et Yorgos Lanthimos.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par La Rédaction
Voilà un film singulier, qui se dérobe sitôt que l’on pense en cerner les enjeux. C’est une qualité, peut-être, c’est aussi un handicap, en ceci qu’il n’offre pas de branche à laquelle se raccrocher, au point que le temps passe à se demander de quoi il retourne au juste. C’est amusant par instants, lassant très vite, anodin souvent.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Positif
par Vincent Thabourey
Quelques gags doublés d'une référence ornithologique au Judex ne suffisent pas à susciter l'intérêt pour ce bric-à-brac mollement anarchisant, mais tellement dandy.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Au fur et à mesure que n'avance pas l'intrigue, la cellule de crise, qui produit ânerie sur ânerie, est invitée à descendre de niveau en niveau. Le spectateur finit au 36e dessous.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
(...) le film devient rapidement, à son corps défendant, une démonstration que le timing est la clé de tout comique, et s’il est parfois nécessaire de laisser un temps de latence après les gags (...) la technique fonctionne le plus souvent à contre-courant, nous laissant, entre deux temps morts, nous enfoncer dans de profonds trous d’ennui.
La critique complète est disponible sur le site Libération
VSD
par Bernard Achour
Un délire politico-futuriste qui semble surtout amuser ceux qui l’ont fait.
GQ
(...) le film, satire politico-absurde du pouvoir avec Philippe Katerine en Président de la République chansonnier, est de loin la meilleure comédie de ce début d'année.
Transfuge
Benoît Forgeard prend un malin plaisir à faire dérailler la comédie.
Culturopoing.com
À la fois, crâneur et fragile, "Gaz de France" séduit par sa virtuosité et sa capacité inattendue à s’inscrire sur la durée.
Studio Ciné Live
Loufoque et polémique, avec un Philippe Katerine au top.
Télérama
Avec une étonnante économie de moyens, un décor minimaliste et une poignée d'acteurs talentueux (notamment Olivier Rabourdin, vu dans Eastern Boys, de Robin Campillo), le cinéaste nous enferme dans un étrange huis clos.
Cahiers du Cinéma
L’acuité parodique du début se délite dangereusement et le faux rythme du film manque d’être celui d’un sketch démesurément étiré et filandreux. Mais il reste difficile de lui en faire grief tant c’est aussi par là que Forgeard construit (…) la vision malfaisante et quasi poétique d’un cloaque d’idiotie.
Critikat.com
Cette inertie bien voulue par le réalisateur constituait à vrai dire à la fois la force et la faiblesse de son cinéma – force du décalage, faiblesse de l’ambition.
Le Monde
Tantôt gracieux, tantôt envasé, en lui, les puissances du faux propres tant au cinéma qu'à la politique se rencontrent, célébrant l'imaginaire comme seule voix d'accès à un réel qui ne cesse de se dérober.
Les Fiches du Cinéma
Catapulter Philippe Katerine à la tête de pouvoir : voilà le point de départ de l'intrigant “Gaz de France”. Benoît Forgeard signe une fiction à son image, fantasque et caustique, qui fait ici mouche.
Les Inrockuptibles
On ne peut aujourd’hui imaginer plus juste et plus poétique représentation du pouvoir que celle-ci.
Première
Ce ton iconoclaste, accentué par la présence de Philippe Katerine et par la musique de Bertrand Burgalat, détonne cependant dans le paysage français.
L'Humanité
La satire est de bon aloi, pointant l’aspect pompeux et l’incompétence de certains dirigeants, mais elle est un peu laborieuse. Il manque encore à Forgeard la liberté formelle et conceptuelle de ses collègues du nonsense Quentin Dupieux et Yorgos Lanthimos.
L'Obs
Voilà un film singulier, qui se dérobe sitôt que l’on pense en cerner les enjeux. C’est une qualité, peut-être, c’est aussi un handicap, en ceci qu’il n’offre pas de branche à laquelle se raccrocher, au point que le temps passe à se demander de quoi il retourne au juste. C’est amusant par instants, lassant très vite, anodin souvent.
Positif
Quelques gags doublés d'une référence ornithologique au Judex ne suffisent pas à susciter l'intérêt pour ce bric-à-brac mollement anarchisant, mais tellement dandy.
Le Parisien
Au fur et à mesure que n'avance pas l'intrigue, la cellule de crise, qui produit ânerie sur ânerie, est invitée à descendre de niveau en niveau. Le spectateur finit au 36e dessous.
Libération
(...) le film devient rapidement, à son corps défendant, une démonstration que le timing est la clé de tout comique, et s’il est parfois nécessaire de laisser un temps de latence après les gags (...) la technique fonctionne le plus souvent à contre-courant, nous laissant, entre deux temps morts, nous enfoncer dans de profonds trous d’ennui.
VSD
Un délire politico-futuriste qui semble surtout amuser ceux qui l’ont fait.