Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
20 Minutes
par Stéphane Leblanc
Si le film fonctionne si bien, c'est parce qu'il "dénonce l'injustice en tant que phénomène profondément ancré en Corée".
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Loin de se limiter à ce portrait impressionniste, le récit prend en charge une dimension sociale et judiciaire qui n’est pas sans rappeler celle du mélodrame "Poetry" de Lee Chang-dong.
Elle
par Françoise Delbecq
(...) le premier long-métrage du réalisateur coréen Lee Sujin se voit et se reçoit comme un coup de poing (...). Un film courageux et magnifique.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Humanité
par Vincent Ostria
Une histoire aussi troublante que brillamment déconstruite.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Positif
par Hubert Niogret
Lee Sujin (...) fait preuve d'une grande maîtrise dans la mise en place de chaque scène, de chaque jeu d'acteurs, dans le rythme narratif général du film et dans l'élégance de certaines images.
TF1 News
par Romain Le Vern
Lee Su-Jin ose le sujet casse-gueule pour son coup d'essai et s'en tire honorablement, avec témérité, parvenant à traiter de la condition féminine dans la société sud-coréenne.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
aVoir-aLire.com
par Virginie Morisson
(..) le portrait brutal et salvateur, d'une jeunesse coréenne égarée qui laisse des traces indélébiles longtemps après la projection.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Ce film coréen relate avec subtilité la renaissance d’une adolescente après un drame.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le réalisateur Lee Su-jin aborde un sujet tabou en Corée du Sud, le viol, avec une délicatesse infinie (...) Malgré des longueurs, impossible de ne pas éprouver d’empathie pour l’héroïne vulnérable et dépréssive.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Delphine Cazus
Malgré un montage confus, “A Cappella” aborde intelligemment les aberrations et l'individualisme d'une société.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Lee Sujin s’affirme d’entrée de jeu comme un cinéaste, d’une part formaliste, dans le bon sens du terme, et d’autre part extrêmement délicat et sensible.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
"A Cappella" (...), vision terrifiante de la société coréenne (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
(...) "A Cappella" de Lee Su-jin révèle une nouvelle voix dans le choeur du cinéma sud-coréen malgré quelques notes dissonantes.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Damien Leblanc
Bien que les nombreux détours scénaristiques affaiblissent sa force de dénonciation, ce puzzle narratif reste un cri brutal et révolté.
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Cécile Mury
Le tableau est si noir, si pessimiste, qu'il semble frôler l'excès, parfois.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Benoît Smith
Lee Su-jin donne l’impression de vouloir honorer ses intentions liées à son lourd sujet tout en jouant avec habileté des ficelles du drame « à secret » – soit le conflit, trop familier, entre indignation sincère et application professionnelle académique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Jean-François Rauger
Si la mise en accusation d'un système fondé sur la relégation sociale est efficace, la mise en scène laisse sceptique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
par Pierre Fornerod
Le sujet se perd parfois dans les méandres de sa construction.
20 Minutes
Si le film fonctionne si bien, c'est parce qu'il "dénonce l'injustice en tant que phénomène profondément ancré en Corée".
Cahiers du Cinéma
Loin de se limiter à ce portrait impressionniste, le récit prend en charge une dimension sociale et judiciaire qui n’est pas sans rappeler celle du mélodrame "Poetry" de Lee Chang-dong.
Elle
(...) le premier long-métrage du réalisateur coréen Lee Sujin se voit et se reçoit comme un coup de poing (...). Un film courageux et magnifique.
L'Humanité
Une histoire aussi troublante que brillamment déconstruite.
Positif
Lee Sujin (...) fait preuve d'une grande maîtrise dans la mise en place de chaque scène, de chaque jeu d'acteurs, dans le rythme narratif général du film et dans l'élégance de certaines images.
TF1 News
Lee Su-Jin ose le sujet casse-gueule pour son coup d'essai et s'en tire honorablement, avec témérité, parvenant à traiter de la condition féminine dans la société sud-coréenne.
aVoir-aLire.com
(..) le portrait brutal et salvateur, d'une jeunesse coréenne égarée qui laisse des traces indélébiles longtemps après la projection.
La Croix
Ce film coréen relate avec subtilité la renaissance d’une adolescente après un drame.
Le Journal du Dimanche
Le réalisateur Lee Su-jin aborde un sujet tabou en Corée du Sud, le viol, avec une délicatesse infinie (...) Malgré des longueurs, impossible de ne pas éprouver d’empathie pour l’héroïne vulnérable et dépréssive.
Les Fiches du Cinéma
Malgré un montage confus, “A Cappella” aborde intelligemment les aberrations et l'individualisme d'une société.
Les Inrockuptibles
Lee Sujin s’affirme d’entrée de jeu comme un cinéaste, d’une part formaliste, dans le bon sens du terme, et d’autre part extrêmement délicat et sensible.
Libération
"A Cappella" (...), vision terrifiante de la société coréenne (...).
Paris Match
(...) "A Cappella" de Lee Su-jin révèle une nouvelle voix dans le choeur du cinéma sud-coréen malgré quelques notes dissonantes.
Première
Bien que les nombreux détours scénaristiques affaiblissent sa force de dénonciation, ce puzzle narratif reste un cri brutal et révolté.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Télérama
Le tableau est si noir, si pessimiste, qu'il semble frôler l'excès, parfois.
Critikat.com
Lee Su-jin donne l’impression de vouloir honorer ses intentions liées à son lourd sujet tout en jouant avec habileté des ficelles du drame « à secret » – soit le conflit, trop familier, entre indignation sincère et application professionnelle académique.
Le Monde
Si la mise en accusation d'un système fondé sur la relégation sociale est efficace, la mise en scène laisse sceptique.
Ouest France
Le sujet se perd parfois dans les méandres de sa construction.