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Loin de se limiter à ce portrait impressionniste, le récit prend en charge une dimension sociale et judiciaire qui n’est pas sans rappeler celle du mélodrame "Poetry" de Lee Chang-dong.
Lee Sujin (...) fait preuve d'une grande maîtrise dans la mise en place de chaque scène, de chaque jeu d'acteurs, dans le rythme narratif général du film et dans l'élégance de certaines images.
Lee Su-Jin ose le sujet casse-gueule pour son coup d'essai et s'en tire honorablement, avec témérité, parvenant à traiter de la condition féminine dans la société sud-coréenne.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Le réalisateur Lee Su-jin aborde un sujet tabou en Corée du Sud, le viol, avec une délicatesse infinie (...) Malgré des longueurs, impossible de ne pas éprouver d’empathie pour l’héroïne vulnérable et dépréssive.
Lee Sujin s’affirme d’entrée de jeu comme un cinéaste, d’une part formaliste, dans le bon sens du terme, et d’autre part extrêmement délicat et sensible.
Lee Su-jin donne l’impression de vouloir honorer ses intentions liées à son lourd sujet tout en jouant avec habileté des ficelles du drame « à secret » – soit le conflit, trop familier, entre indignation sincère et application professionnelle académique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
20 Minutes
Si le film fonctionne si bien, c'est parce qu'il "dénonce l'injustice en tant que phénomène profondément ancré en Corée".
Cahiers du Cinéma
Loin de se limiter à ce portrait impressionniste, le récit prend en charge une dimension sociale et judiciaire qui n’est pas sans rappeler celle du mélodrame "Poetry" de Lee Chang-dong.
Elle
(...) le premier long-métrage du réalisateur coréen Lee Sujin se voit et se reçoit comme un coup de poing (...). Un film courageux et magnifique.
L'Humanité
Une histoire aussi troublante que brillamment déconstruite.
Positif
Lee Sujin (...) fait preuve d'une grande maîtrise dans la mise en place de chaque scène, de chaque jeu d'acteurs, dans le rythme narratif général du film et dans l'élégance de certaines images.
TF1 News
Lee Su-Jin ose le sujet casse-gueule pour son coup d'essai et s'en tire honorablement, avec témérité, parvenant à traiter de la condition féminine dans la société sud-coréenne.
aVoir-aLire.com
(..) le portrait brutal et salvateur, d'une jeunesse coréenne égarée qui laisse des traces indélébiles longtemps après la projection.
La Croix
Ce film coréen relate avec subtilité la renaissance d’une adolescente après un drame.
Le Journal du Dimanche
Le réalisateur Lee Su-jin aborde un sujet tabou en Corée du Sud, le viol, avec une délicatesse infinie (...) Malgré des longueurs, impossible de ne pas éprouver d’empathie pour l’héroïne vulnérable et dépréssive.
Les Fiches du Cinéma
Malgré un montage confus, “A Cappella” aborde intelligemment les aberrations et l'individualisme d'une société.
Les Inrockuptibles
Lee Sujin s’affirme d’entrée de jeu comme un cinéaste, d’une part formaliste, dans le bon sens du terme, et d’autre part extrêmement délicat et sensible.
Libération
"A Cappella" (...), vision terrifiante de la société coréenne (...).
Paris Match
(...) "A Cappella" de Lee Su-jin révèle une nouvelle voix dans le choeur du cinéma sud-coréen malgré quelques notes dissonantes.
Première
Bien que les nombreux détours scénaristiques affaiblissent sa force de dénonciation, ce puzzle narratif reste un cri brutal et révolté.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Télérama
Le tableau est si noir, si pessimiste, qu'il semble frôler l'excès, parfois.
Critikat.com
Lee Su-jin donne l’impression de vouloir honorer ses intentions liées à son lourd sujet tout en jouant avec habileté des ficelles du drame « à secret » – soit le conflit, trop familier, entre indignation sincère et application professionnelle académique.
Le Monde
Si la mise en accusation d'un système fondé sur la relégation sociale est efficace, la mise en scène laisse sceptique.
Ouest France
Le sujet se perd parfois dans les méandres de sa construction.