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Hymne à l'amour, méditation politique, portrait d'une civilisation post-révolutionnaire et brillant exercice de style : ce premier long-métrage excelle sur tous les points.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
L’originalité du point de vue de Carlos Lechuga est qu’il part d’un noyau intime pour que les implications sociales et politiques endurées par ses personnages finissent par déborder ce sujet de toutes parts.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le film démarre par une critique du communisme made in Cuba pour enchaîner sur une chronique familiale qui aurait mérité un peu plus de peps. Une révélation : la sensuelle Yuliet Cruz.
Le quotidien d'une famille démunie permet au cinéaste de suggérer un portrait elliptique de la société cubaine (...) Mais au lieu d'emphase dramatique, une résilience humaine et tranquille.
Malgré son rythme engourdi, cette chronique au naturalisme moite reste assez attachante, grâce à sa sensualité et à sa palette colorée, faisant barrage au misérabilisme redouté.
Pour son premier long métrage, Carlos Lechuga pose un regard désabusé sur Cuba, pays censé défendre les travailleurs mais qui laisse les usines à l'abandon. Dénonciation féroce d'une économie à bout de souffle.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
Hymne à l'amour, méditation politique, portrait d'une civilisation post-révolutionnaire et brillant exercice de style : ce premier long-métrage excelle sur tous les points.
Les Fiches du Cinéma
“Melaza” est la juste chronique d'une société de laissés-pour-compte et davantage encore, l'histoire d'un amour des temps modernes.
aVoir-aLire.com
"Melaza" constitue une chronique sociale pertinente magnifiée par une romance atypique, dont la fébrilité parvient à nous toucher durablement.
Critikat.com
L’originalité du point de vue de Carlos Lechuga est qu’il part d’un noyau intime pour que les implications sociales et politiques endurées par ses personnages finissent par déborder ce sujet de toutes parts.
Le Journal du Dimanche
Le film démarre par une critique du communisme made in Cuba pour enchaîner sur une chronique familiale qui aurait mérité un peu plus de peps. Une révélation : la sensuelle Yuliet Cruz.
Positif
Le quotidien d'une famille démunie permet au cinéaste de suggérer un portrait elliptique de la société cubaine (...) Mais au lieu d'emphase dramatique, une résilience humaine et tranquille.
Première
Malgré son rythme engourdi, cette chronique au naturalisme moite reste assez attachante, grâce à sa sensualité et à sa palette colorée, faisant barrage au misérabilisme redouté.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Télérama
Pour son premier long métrage, Carlos Lechuga pose un regard désabusé sur Cuba, pays censé défendre les travailleurs mais qui laisse les usines à l'abandon. Dénonciation féroce d'une économie à bout de souffle.