Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Femme Actuelle
par La Rédaction
Par glissements imperceptibles, le spectateur plonge dans les méandres de l'âme humaine. De la légèreté, de la romance à l'épouvante, jusqu'à l'inconcevable dénouement. Un film puissant.
20 Minutes
par Caroline Vié
Si la mise en scène est parfois un brin chaloupée, c'est sans doute pour renforcer le malaise ressenti en découvrant ce couple presque ordinaire à la fois uni et séparé par son enfant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Dès les premières minutes, on est captif de l’atmosphère délétère de ce film qui, sous ses apparences de comédie romantique pleine de charme, se transforme insidieusement en drame psychologique glaçant. (...) Un huis clos angoissant qui met mal à l’aise mais fait preuve de courage.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Sandrine Marques
Construisant habilement son récit, Costanzo creuse le sillon d'un réalisme onirique où la chronique se mêle aux fantasmes. Il écorne au passage la comédie romantique, dont il livre un précipité presque ironique, pour montrer sans ambages quel séisme la naissance d'un enfant peut représenter pour un couple.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Alain Grasset
"Hungry Hearts" crée ainsi une atmosphère étouffante qui fait penser au "Rosemary's Baby" de Polanski.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Pas d'argumentaire psychanalytique dans ce récit impressionniste, judicieusement fondé sur la force des sensations et l'interprétation impeccable de ses acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Clément Ghys
Dans une image vieillie et tremblotante filmée par Costanzo lui-même, et qui accentue la claustrophobie de ce climat familial, s’esquisse une féroce dénonciation des ayatollahs du bien-être green et de la pureté. Mais celle-ci n’est que la toile de fond à un film psychologique très réussi, qui atteint des sommets d’horreur.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Pierre Fornerod
La chronique sentimentale vire au thriller psychologique dans une mise en scène tendue et rigoureuse de Saverio Costanzo.
Première
par Vanina Arrighi de Casanova
Adam Driver et Alba Rohrwacher, qui dansent ce ballet beau et macabre avec une justesse et une douceur étonnantes, emmènent le film vers de nouveaux rivages, très éloignés du flirt giallo de "La Solitude."
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TF1 News
par Romain Le Vern
Saverio Costanzo, réalisateur futé de La solitude des nombres premiers, bouleverse les codes des genres dans un film trompeur et déstabilisant, soutenu par deux excellents comédiens (Alba Rohrwacher et Adam Driver).
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télérama
par Jacques Morice
"Hungry Hearts" bascule dans le film de terreur psychologique (...) Saverio Costanzo (...) abuse parfois des effets d'anamorphose, surligne un peu trop l'ambiance oppressante. Mais il sait nous tenir en haleine, grâce une direction d'acteurs impeccable.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Dans un final douloureux, sombre et âpre, qui enterre plus que jamais la comédie romantique des premiers instants pour côtoyer aisément les sommets de la tragédie, Savernio Costanzo frappe les esprits et confirme donc l’auteur italien majeur qu’il est devenu à 40 ans, en une poignée de fictions.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Gaspard Nectoux
On a vu tant de films péchant par excès de scénario qu’il est bon, pour une fois, d’en voir un péchant par excès de mise en scène.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Étrange et très anxiogène.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'Obs
par Nicolas Schaller
Voir (Mina) sombrer dans la folie (...) est poignant. La réalisation, en revance, laisse à désirer, le film basculant maladroitement du drame intimiste au thriller anxiogène à coups de plans au grand angle hideux et de gimmicks musicaux citant "Psychose".
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Ce qui surprend encore une fois, c'est la faculté de Costanzo à infuser les codes d'un genre dans un pur récit psychologiques. (...) Une histoire d'amour pas anodine du tout, aux antipodes de la séduction et des conventions romantiques ayant un potentiel quasiment kafkaïen.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Critikat.com
par Josué Morel
Il aurait fallu à la fois davantage d’épure narrative et d’hétérogénéité de la forme, bien sage sous ses parures dissonantes, pour donner corps à cet intriguant projet.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Olivier Rossignot
Au lieu de s’affiner et de s’affirmer, la singularité de "La solitude des nombres premiers" se mue ici en un collage grossier de styles, des pièces éparses qui ne se rassemblent jamais.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Cette adaptation du roman de Marco Franzoso "Il bambino indaco", pèche par manque de soin, et on se sent vite oppressé dans ce petit appartement où la vie du trio tourne en boucle. Reste néanmoins une intensité dramatique incontestable, un vrai sujet contemporain et deux comédiens qui donnent le maximum pour défendre leur film.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Arnaud Schwartz
On peut certes trouver matière à défendre les prestations, dans ce qui s’apparente aussi à un huis clos conjugal, pleines d’une énergie proche de l’improvisation. Tout cela, hélas, ne suffit pas à convaincre.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Femme Actuelle
Par glissements imperceptibles, le spectateur plonge dans les méandres de l'âme humaine. De la légèreté, de la romance à l'épouvante, jusqu'à l'inconcevable dénouement. Un film puissant.
20 Minutes
Si la mise en scène est parfois un brin chaloupée, c'est sans doute pour renforcer le malaise ressenti en découvrant ce couple presque ordinaire à la fois uni et séparé par son enfant.
Le Journal du Dimanche
Dès les premières minutes, on est captif de l’atmosphère délétère de ce film qui, sous ses apparences de comédie romantique pleine de charme, se transforme insidieusement en drame psychologique glaçant. (...) Un huis clos angoissant qui met mal à l’aise mais fait preuve de courage.
Le Monde
Construisant habilement son récit, Costanzo creuse le sillon d'un réalisme onirique où la chronique se mêle aux fantasmes. Il écorne au passage la comédie romantique, dont il livre un précipité presque ironique, pour montrer sans ambages quel séisme la naissance d'un enfant peut représenter pour un couple.
Le Parisien
"Hungry Hearts" crée ainsi une atmosphère étouffante qui fait penser au "Rosemary's Baby" de Polanski.
Les Fiches du Cinéma
Pas d'argumentaire psychanalytique dans ce récit impressionniste, judicieusement fondé sur la force des sensations et l'interprétation impeccable de ses acteurs.
Libération
Dans une image vieillie et tremblotante filmée par Costanzo lui-même, et qui accentue la claustrophobie de ce climat familial, s’esquisse une féroce dénonciation des ayatollahs du bien-être green et de la pureté. Mais celle-ci n’est que la toile de fond à un film psychologique très réussi, qui atteint des sommets d’horreur.
Ouest France
La chronique sentimentale vire au thriller psychologique dans une mise en scène tendue et rigoureuse de Saverio Costanzo.
Première
Adam Driver et Alba Rohrwacher, qui dansent ce ballet beau et macabre avec une justesse et une douceur étonnantes, emmènent le film vers de nouveaux rivages, très éloignés du flirt giallo de "La Solitude."
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
TF1 News
Saverio Costanzo, réalisateur futé de La solitude des nombres premiers, bouleverse les codes des genres dans un film trompeur et déstabilisant, soutenu par deux excellents comédiens (Alba Rohrwacher et Adam Driver).
Télérama
"Hungry Hearts" bascule dans le film de terreur psychologique (...) Saverio Costanzo (...) abuse parfois des effets d'anamorphose, surligne un peu trop l'ambiance oppressante. Mais il sait nous tenir en haleine, grâce une direction d'acteurs impeccable.
aVoir-aLire.com
Dans un final douloureux, sombre et âpre, qui enterre plus que jamais la comédie romantique des premiers instants pour côtoyer aisément les sommets de la tragédie, Savernio Costanzo frappe les esprits et confirme donc l’auteur italien majeur qu’il est devenu à 40 ans, en une poignée de fictions.
Cahiers du Cinéma
On a vu tant de films péchant par excès de scénario qu’il est bon, pour une fois, d’en voir un péchant par excès de mise en scène.
CinemaTeaser
Étrange et très anxiogène.
L'Obs
Voir (Mina) sombrer dans la folie (...) est poignant. La réalisation, en revance, laisse à désirer, le film basculant maladroitement du drame intimiste au thriller anxiogène à coups de plans au grand angle hideux et de gimmicks musicaux citant "Psychose".
Les Inrockuptibles
Ce qui surprend encore une fois, c'est la faculté de Costanzo à infuser les codes d'un genre dans un pur récit psychologiques. (...) Une histoire d'amour pas anodine du tout, aux antipodes de la séduction et des conventions romantiques ayant un potentiel quasiment kafkaïen.
Critikat.com
Il aurait fallu à la fois davantage d’épure narrative et d’hétérogénéité de la forme, bien sage sous ses parures dissonantes, pour donner corps à cet intriguant projet.
Culturopoing.com
Au lieu de s’affiner et de s’affirmer, la singularité de "La solitude des nombres premiers" se mue ici en un collage grossier de styles, des pièces éparses qui ne se rassemblent jamais.
Franceinfo Culture
Cette adaptation du roman de Marco Franzoso "Il bambino indaco", pèche par manque de soin, et on se sent vite oppressé dans ce petit appartement où la vie du trio tourne en boucle. Reste néanmoins une intensité dramatique incontestable, un vrai sujet contemporain et deux comédiens qui donnent le maximum pour défendre leur film.
La Croix
On peut certes trouver matière à défendre les prestations, dans ce qui s’apparente aussi à un huis clos conjugal, pleines d’une énergie proche de l’improvisation. Tout cela, hélas, ne suffit pas à convaincre.