Note moyenne
2,5
16 titres de presse
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Franceinfo Culture
Malgré quelques longueurs et des dialogues parfois un peu surécrits, Susanne Bier nous livre un film sordide et complexe sans jamais verser dans le mélodramatique. Brutal et réaliste.
La Voix du Nord
Un thriller qui vous prend aux tripes, encadré avec réalisme et minutie.
Le Dauphiné Libéré
Un thriller cruel, traité d’une façon frontale qui ne manque pas de susciter un profond malaise.
Le Parisien
Malgré un sujet a priori sordide, ce film présenté au Festival international du film policier de Beaune l'an dernier, qui oscille en permanence entre thriller dramatique et crise familiale, est plutôt bien ficelé.
L'Express
Sans doute l'histoire est-elle à ce point singulière qu'elle sort parfois du cadre de la vraisemblance, mais les enjeux dramatiques sont là, le suspense présent, et la performance de Nikolaj Coster-Waldau remarquable.
Les Fiches du Cinéma
Un thriller sombre et efficace, doublé d'un conte moral cruel qui interroge sur la fragilité des relations humaines face à des situations incontrôlables.
Télérama
Le récit est construit comme un thriller dans lequel le suspense repose sur le comportement des personnages : de quoi sont-ils vraiment capables ? C'est efficace, bien mené et bien joué. Mais on garde le sentiment d'un exposé sur nos pires ou nos meilleurs instincts...
aVoir-aLire.com
Oscillant entre le thriller et le drame personnel, A second chance pousse la tension dramatique à son paroxysme, faisant croître les degrés de la souffrance psychologique à mesure que l’intrigue s’assombrit. Dommage que l’on ait parfois du mal à y croire.
Le Journal du Dimanche
Malgré une idée de départ vertigineuse, ce mélo n’évite pas le pathos et se révèle prévisible.
Les Inrockuptibles
Le scénario s’avère malgré tout plus retors qu’il n’y paraissait au premier abord, même s’il faut attendre une bonne heure et quart avant qu’un twist vienne nous réveiller vaguement de ce cinéma de ronronneur. En prime time un mercredi soir d’hiver, ce serait tout bath pour ne pas trop se secouer les neurones.
Première
Las, Susanne Bier empêtre ses personnages hystériques dans un drame aux effets de manche appuyés (lapsus du héros, twist insistant), noyé dans une musique sursignifiante et une grisaille chic.
Studio Ciné Live
La question morale est passionnante, le film, bien moins, à force de lourdeur et de misérabilisme.
Critikat.com
Ce régime de téléfilm crapoteux, dont la forme prétend imiter la fébrilité du réel, s’avère atrocement symptomatique d’un académisme polluant l’acuité sociale du cinéma en général.
L'Obs
Il faut au critique pas mal de conscience professionnelle pour ne pas quitter la salle avant la fin. Le sort du spectateur est plus enviable, qui l’autorise à passer son chemin.
Le Monde
"A second chance" est proprement interprété et pas dépourvu de perspectives intéressantes (...), ce qui ne justifie en rien l'heure trois quarts d'abominations morales à laquelle il invite.
TF1 News
Inflation glauque, traitement impossible. Susanne Bier se fourvoie.