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    Le Dictateur
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    451 critiques spectateurs

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    Wagnar
    Wagnar

    80 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 décembre 2016
    Premier film véritablement parlant de Chaplin, le film, mêlant de manière très adroite comique et tragique, montre l'extraordinaire habilité du cinéaste à utiliser le son comme élément d'un comique qui reste fondamentalement muet (voir les irrésistibles discours incompréhensibles de Hynkel. On retrouve dans ce film par ailleurs la délicieuse Paulette Goddard en jeune juive courageuse.
    Mais le plus beau dans tout ça, c'est que le film est en soi un très beau plaidoyer pour la paix et la tolérance comme en témoigne le discours final où Chaplin mêle défense de la démocratie (sans voir qu'Hitler est justement un pur produit démocratique) et appel à la fraternité humaine, critique de la mécanisation de l'humanité et foi dans le Progrès, utopie d'un monde sans frontière et citation de l'Evangile de saint Luc : "le Royaume de Dieu est en chacun de nous". Ce magnifique discours n'a rien perdu de sa force émotionnelle et continue toujours à nous toucher. En même temps qu'il signe le dernier grand film de sa carrière, Charlie Chaplin signe son chef-d'oeuvre.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 2 septembre 2017
    Quand le poète de l'amour et de l'universel s'en prend à l'ordure ultime de son temps, ça donne forcément un film explosif. Ecrit et tourné dès 1939 donc pendant la guerre et avant le drame de la Shoah (je crois d'ailleurs que Chaplin a lui-même dit que s'il avait pu prévoir un tel carnage, il n'aurait pu rire de cette période obscure), ce film engagé et profondément humaniste met tout le génie comique de son auteur en oeuvre pour ridiculiser Hitler, à la fois pathétique, névrosé, fanatique. Le résultat est grandiose. Une autre rumeur dit que Chaplin était fiché "Juif" chez les nazis mais qu'il n'a jamais démenti, malgré la fausseté, considérant que ce serait s'abaisser à leur niveau. Bref il y a pour moi un héros devant mais surtout un héros derrière la caméra, un héros qui a un temps voulu rester au muet et qui a finalement pris la parole dans l'urgence pour délivrer un film d'une grande satire mais surtout un speech mémorable où l'auteur semble avoir mis dans ses mots tout l'amour de l'humanité qu'il mettait jusqu'alors dans sa fantaisie muette, du temps de l'insouciance...
    Adrien H.
    Adrien H.

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 septembre 2016
    Ce film est absolument magnifique! Une satire politique dont seul Charlie Chaplin a le secret à mon sens! Pendant le visionnage de ce pur chef-d'oeuvre, j'ai beaucoup rit, pleuré, et même eu la chair de poule! Je conseille vivement à l'humanité entière de regarder ce film, par contre, petit conseil personnel, regardez-le en VO, cela vaut vraiment le coup d'oeil!
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    194 abonnés 2 509 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 juin 2016
    Un film particulièrement réussi réalisé par un Charlie Chaplin au meilleur de sa forme.
    La critique du nazisme et du fascisme, qui aujourd'hui semblerait facile, ne l'était pas du tout à la sortie du film, en plein conflit mondial.
    Les gags sont percutants et arrivent à nous faire rire d'une réalité monstrueuse. Le passage au film parlant se fait plutôt bien dans la filmographie du réalisateur (on n'est pas choqué par la voix de Chaplin).
    Charlie Chaplin est excellent mêlant à la fois gags et performance d'acteur puisqu'il interprète deux rôles. Ses partenaires à l'écran (Paulette Goddard, Jack Oakie et Reginald Gardiner pour ne citer qu'eux) jouent également très bien.
    Un film particulièrement brillant.
    Black-Night
    Black-Night

    184 abonnés 421 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 avril 2016
    Le Dictateur est un très bon film. Je n’ai cependant pas vu le chef d’œuvre que tout le monde acclame, je préfère de loin par exemple son précédent film, son chef d’œuvre pour moi avec « Les Temps Modernes » mais je reconnais que celui dont je vais parler reste une grande œuvre. À son retour de la Première Guerre Mondiale, un petit barbier juif a perdu la mémoire. Il découvre un monde en proie à la folie. Un dictateur hystérique, Adenoïd Hynkel, son parfait sosie, sème la terreur dans le pays. À la veille de la Seconde Guerre Mondiale, Chaplin attaque le totalitarisme avec la seule arme dont il dispose, la dérision avec audace.
    Pour aiguiser sa satire du totalitarisme, Chaplin utilise un héros double, qui a deux âmes pour un seul visage. On ne soulignera jamais assez le génie comique de cette trouvaille où Chaplin joue les deux rôles. Le juif traqué et le dictateur criminel constituent les deux faces d'une même humanité. Le mal absolu incarné par Hitler n'est donc pas inhumain, il est nôtre. La caricature du dictateur, où se révèle le génie du mimétisme de Chaplin, est d'une vérité saisissante. Au-delà des vociférations de Hynkel devant le micro, Chaplin stigmatise son hypocrite douceur, ses sourires de commande, ses caresses aux enfants, ses évasions dans la musique et la solitude. Ce portrait réaliste provoque le rire mais malheureusement pour moi plus le sourire, je reproche d’ailleurs certaines scènes de s’éterniser un peu trop surtout lors des discours bien qu’ils restent dans l’ensemble bien plaisants et plutôt marrants mais j’ai plus accroché au burlesque du barbier.
    Le barbier juif est un lointain cousin de Charlot qui aurait perdu son insouciance et son universalité. La tragédie du Dictateur n'est plus existentielle mais politique. Par son sens incroyable de la satire et son ironie mordante, Chaplin montre tout ce qu'il y avait d'artificiel, de vaudevillesque dans l'atroce bouffonnerie de l'Axe, notamment à l'occasion des trois ballets, celui du barbier sur un air de boîte à musique, la danse de Hynkel jonglant avec un monde en ballon de baudruche et ma séquence préférée puisque très drôle chez le barbier.
    Réalisé en 1940, le film précède la découverte des camps de concentration. Ce premier film dialogué représenta un déchirement pour Chaplin, qui n'assume pas encore le parlant. La langue imaginaire vomie par Hynkel s'oppose à l'extrême discrétion d'un barbier étranglé par l'émotion, qui semble toujours s'excuser de ce nouveau don. Sa montée à la tribune, pour l'homélie finale, est le symbole évident de celui qui doit surmonter sa peur du parlant. Sur cette minute angoissante, Chaplin, comme le barbier, jouent leur avenir.
    La voix qui se détache, limpide, de la tribune, devient celle de l'homme persécuté, par-delà les époques et les régimes, qui crie sa souffrance et appelle à la pitié, invoque Dieu et cite l'Évangile. Les réactionnaires y ont vu de la propagande communiste, les radicaux en ont rejeté la naïveté. Or, ce laïus émouvant est le sens profond d'une œuvre candide et ingénue.
    Sur le plan de la musique tout est parfaitement bien placé, dosé et gérer, une merveille avec des titres de Wagner et Brahms entre autres.
    Charlie Chaplin signe ici donc son premier film parlant mais son déjà 7ème long métrage en tant que cinéaste avec réussite. Il joue tout aussi bien qu’il réalise par ailleurs. Les acteurs Jack Oakie, Paulette Goddard, Reginald Gardiner, Henry Daniell, Billy Gilbert, y sont notamment très bons.
    Le Dictateur est un classique traversant les époques.
    Ma note : 8/10 !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 avril 2016
    Pour un acteur muet que tout le monde attendait au virage, Chaplin en a laissé plus d'un pantois devant "Le Dictateur". Certes il reste peu loquace mais le peu qu'il dit rayonne de justesse dans l'explosion du discours final. Quand on sait que le film a été réalisé en 1940 cela nous démontre que "Charlot" était aussi un bon visionnaire des événements qui menaçaient l'Europe à ce moment-là. il laissera dans le domaine du cinéma parlant deux autres chefs-d’œuvre, "Les feux de la rampe" et "Monsieur Verdoux" une curieuse version de l'affaire Landru dans laquelle il joue le tueur !!! Il était vraiment un génie du cinéma.
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    692 abonnés 2 746 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 octobre 2024
    Au sortir de la guerre, Charlie Chaplin, maître du burlesque et de l'humour comme étendard de message social, dévoilait Le Dictateur, une comédie dramatique présentant le fuhrer sous un attrait assez ridicule. Drôle et touchant, le metteur en scène de Les Lumières de la Ville, signe avec Le Dictateur une de ses oeuvres emblématiques, un film fédérateur qui trouve sa quintessence dans une séquence où le tyran joue avec le monde, un passage poétique et lourd de sens. 2 nominations aux Oscar.

    https://hitek.fr/actualite/top-26-des-celebres-films-les-plus-censures-de-tous-les-temps_35142
    P-a G
    P-a G

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 février 2016
    Dans ce film,Chaplin dénonce avec humour l'horreur du nazisme par son jeu de scène,et il nous rire aussi en parodiant Hitler(Hynkel) et Mussolini(Napaloni).Ce film est à voir au moins une fois dans sa vie.
    Karim A.
    Karim A.

    45 abonnés 615 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 janvier 2016
    Le maître incontesté du cinéma muet à l'oeuvre dans une caricature d'un dictateur
    on s'amuse de sa maladresse, dans un contexte de 2nde guerre mondiale, il arrive à nous arracher des pleurs et à les remplacer par des rires.
    Merci M. CHaplin.
    NoSerious Man
    NoSerious Man

    181 abonnés 178 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 avril 2020
    Le genre comique désigne ce qui provoque le rire, par les gestes, les dialogues ou la situation, aux spectateurs. Le genre dramatique désigne les films traitant d’un sujet tragique de manière sérieuse, voire malheureuse. Nous pouvons alors nous demander comment certains cinéastes (Chaplin, Benigni, Lubitsch, Oury), dans l’évocation de la Seconde Guerre Mondiale, font franchir au spectateur la frontière entre un contexte historique tragique et son traitement cinématographique sous le mode de la comédie. "Le Dictateur" (ou "The Great Dictator" en VO) est une comédie américaine de et avec Charlie Chaplin, interprétant un double rôle : celui du barbier, et du dictateur Adenoid Hynkel. Le film met également en scène Paulette Goddard (Hannah), Jack Oakie (Benzino Napoleoni) et Reginald Gardiner (commandant Schultz). Il s’agit du premier film entièrement parlant du Chaplin, tourné en 1939 mais sorti en France qu’en 1945.
    En Tomania, pays imaginaire parodiant l’Allemagne, un barbier Juif (Charlie Chaplin) devient amnésique suite à un choc survenu lors de la Première Guerre Mondiale, durant laquelle il a été engagé comme soldat. Après avoir passé de nombreuses années à l’hôpital, il découvre que la Tomania est dominée par le régime nazi d’Adenoïd Hynkel, symbolisant Adolf Hitler, ordonnant une persécution omniprésente des juifs. Poursuivi par des soldats nazis après avoir essayé de récupérer sa boutique, il est finalement confondu avec le dictateur Hynkel, lui ressemblant beaucoup. Contraint d’effectuer un discours, il va donc profiter de cette confusion pour changer le cours des choses. Chaplin a lancé le projet en 1938, après avoir lu un ouvrage le concernant : "Les Juifs vous observent", dans lequel il est décrit comme un "écoeurant acrobate Juif". Le tournage débute le 9 septembre 1939, soit huit jours après l’invasion de la Pologne par les nazis. Le film sort en 1940 aux Etats-Unis. Si le succès commercial est au rendez-vous, les critiques sont mitigées. Chaplin est accusé de faire de l’anti-propagande nazie en faisant d’un sujet tragique une comédie, en plus d’avoir écrit un discours final trop engagé. Nous allons à présent étudier comment le film s'affranchit: le film comporte de nombreux éléments comiques, mais aussi tragiques, que l’on retrouve dans différentes scènes, notamment lors des discours d’Hynkel pour le comique, ou encore lors des scènes de persécutions nazies envers les Juifs pour le tragique. Certaines scènes jonglent entre le comique et le dramatique, notamment durant l’extrait présentant le dictateur Hynkel qui, seul dans son bureau, s’empare d’un globe terrestre pour jouer avec. Cette scène est comique parce que dans cette scène, le « monstre » redevient en quelque sorte enfant et joue avec le monde (donc la population mondiale) tel un enfant avec un ballon. Néanmoins, ce « rêve » est de courte durée puisqu’à la fin de cette scène, le globe éclate entre ses mains. Elle symbolise la joie du dictateur d’être en possession du monde, mais aussi la spontanéité de la disparition de son jouet. La scène a la structure d’un ballet, avec une musique douce, en adéquation avec les gestes du personnage de Chaplin. Sa chorégraphie donne une image ridicule du dictateur puisqu’elle est en totale contraction avec son statut, celui de chef d’état tyrannique. La considération du monde comme d’un jouet est d’une part tragique, puisque tout le monde y est impliqué. Chaplin contraste dans la narration le sérieux et le comique. Ainsi, cette réflexion nous a permis d’étudier 2 aspects bien distincts de la guerre à travers 2 genres cinématographiques, la comédie et le drame. La comédie permet d’aborder certains sujets sous un autre point de vue que celui qui lui est le plus souvent enseigné. Sans le décrédibiliser, rendre comique un sujet a pour résultat d’ajouter une nouvelle vision qui peut être celle d’autres personnes. L’humour permet à la société de prendre du recul. "L’humour est la politesse du désespoir", a dit un jour le réalisateur Chris Marker. Nous retrouvons ce procédé dans les films "Papy fait de la résistance" de Jean-Marie Poiré (1983), "Mais ou est donc passée la 7ème compagnie ?" de Robert Lamoureux (1973) ou encore dans "La folle histoire de Max et Léon" de Jonathan Barré avec l’équipe du Palmashow (2016). Au contraire, le drame offre un aperçu plus sérieux de ces faits, le rendant ainsi plus réaliste. Nous retrouvons ce procédé dans les films "La Liste de Schindler" de Steven Spielberg (1993), "La Rafle" de Roselyne Bosch (2010), "Le Pianiste" de Roman Polanski (2002), "La Chute" d’Oliver Hirschbiegel (2004), "Rhapsodie en août" d’Akira Kurosawa (1991) ou encore "Train de vie" de Radu Mihaileanu (1998).
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 8 octobre 2015
    Un culte toujours aussi drôle malgré les années passés
    Couscous
    Couscous

    37 abonnés 434 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 octobre 2015
    Si une scène devait résumé ce film, ce serait son discours de fin. Un humour très fin et placé qui donne une grande claque au régime nazi de l'époque, un film culte qui traverse les décennies sans prendre une ride.
    Extremagic
    Extremagic

    67 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 septembre 2015
    Parce que moins drôle que d'autres de ses films, mais aussi moins approfondi, Le Dictateur est loin d'être le meilleur Chaplin. On s'ennuie par moments mais le génie se manifeste à bien des moments. Le passage au parlant ne réussit pas vraiment à cause d'une trop grande attention portée à l'intrigue qui aurait pu être condensée et aurait sûrement gagnée à arriver beaucoup plus tôt (je pense à la confusion entre le barbier et le dictateur). Les meilleurs passages restent ceux en charabia ou purement visuels. La mise-en-scène millimétrique permet encore de donner toute l'ampleur à certaines scènes, la rythmique est au poil, c'est du grand burlesque à n'en pas douter. Mais je continue de préférer les temps modernes, je trouve qu'ici Chaplin ne va pas assez loin, l'idée de la voix est excellente mais au fond la critique - peut-être était-ce visionnaire pour l'époque - a déjà été vue et revue depuis. Le monologue de fin est vraiment chouette mais encore une fois c'est lisse, on connaît la chanson c'est assez bienpensant même. Mais des scènes typiquement burlesques sont vraiment fendantes genre quand les deux dictateurs ne cessent de s'engueuler, c'est tarte à la crème comme humour mais quand on a le génie de Chaplin ça passe... crème pour le coup. Bref du bon, mais pas son meilleur non plus.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 28 août 2015
    Parmi les intouchables du septième art, il y a ce Dictateur que (honte à moi) je n'avais jamais vu. Et bien c'est chose faite. Alors, en regardant ce film avec des yeux d'aujourd'hui on ne pourrait voir qu'un pastiche du nazisme, mais n'oublions pas qu'on est en 1940, les États-Unis n'étaient pas encore engagés dans la seconde guerre mondiale et Chaplin leur balançait à la figure le fait qu'il était temps de réagir. Ce qui est drôle, c'est que Chaplin arrive à tourner en ridicule le régime nazi (j'aurais bien aimé voir la tête d'Hitler quand il a vu le film), tout en gardant un message très fort. Alors après l'humour est basé sur les cabrioles de Chaplin, moi ça me fait sourire, mais pas franchement rire, sauf quand le film se concentre sur Hinkel (j'aime beaucoup moins la partie du barbier) et ose vraiment un gros humour noir décalé (le discours du début, ou quand le personnage qui caricature Goering dit tout joyeux, comme un gamin qui va recevoir le jouet qu'il voulait à Noël "la bombe est prête, on va pouvoir les tuer tous !", j'adore ce genre de décalage). Je trouve aussi dommage que l'inversion des rôles soit si peu exploitée et arrive si tard alors que je pense que ça aurait pu être poilant. Après je ne vais pas chipotter : les acteurs jouent bien, Chaplin en tête et l'émotion est toujours là.
    Un incontournable, pas parfait selon moi, mais au discours fort. A voir.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 31 juillet 2015
    Histoire touchante et drôle à la fois. C'est finalement là que l'on se rend compte du grand talent du plus grand du cinéma, Charles Chaplin.
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