Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par François Mars
Jamais film burlesque n'a été à ce point engagé. Cahiers du cinéma 87, septembre 58
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
C'est vrai, on avait fini par oublier de dire que le film est un sommet du cinéma comique. Mais est-il besoin de le préciser ?
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Cine Libre
par Sébastien Lecordier
Cinéaste visionnaire Chaplin ? Non. Homme éclairé par une trop grande lucidité pour ne pas tomber dans l'aveuglement des politiques. Et c'est réalisé à un tel degré d'humanité que l'on ne peut que fondre (en larmes).
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
France Soir
par Robert Chazal
"Le dictateur", c'est aussi une œuvre d'une drôlerie, d'une invention et d'une poésie fantastiques. France-Soir, 7 septembre 72
L'Humanité
par Vincent Ostria
Mieux que jamais, Chaplin parvient à mêler dans un même souffle humour, poésie et drame. Sans oublier une réflexion inspirée sur le racisme et la tyrannie, d'une pertinence et d'une actualité permanentes. Aussi drôle que déchirant.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Voilà l'occasion ou jamais d'aller voir ou revoir ce monument du cinéma comique, qui est aussi une oeuvre d'une stupéfiante audace (...).
Le Monde
par Jacques Siclier
On s'aperçoit aujourd'hui que, loin d'être une œuvre de circonstance destinée à se démoder, "Le Dictateur avait déjà pris dans ses rangs l'histoire, en 1940, par son aspect dénonciateur et prophétique. Le Monde, 7 septembre 72
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
Le mieux est quand même de regarder Le Dictateur. Pas le chef-d'oeuvre du cinéma mondial. (...) Et pas non plus la critique anticipée d'une mondialisation contemporaine que suggère son hasardeux slogan promotionnel. Le mieux est de regarder Le Dictateur, le film. C'est une merveille. Tout le reste vient à la suite.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Annie Coppermann
Mais c'est, aussi, du grand cinéma. Il n'est que de revoir la scène à juste titre mythique, où le dictateur aliéné jongle, dans son bureau, avec le globe terrestre...
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Inutile sans doute de présenter Le Dictateur, de répéter qu'il faut voir ce chef-d'oeuvre du cinéma sur un grand écran (...).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Gérard Lefort
Certes, Chaplin a écrit ultérieurement que s'il avait su l'ampleur de l'horreur nazie, il n'aurait pas tourné le Dictateur. On pourrait renverser la proposition : c'est parce qu'en 1940 Chaplin ne savait pas tout (et surtout l'inimaginable) que le Dictateur est un film génial, c'est-à-dire prophétique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Jean-Loup Bourget
"The great dictator" [est] un film remarquable par la rigueur et la complexité de son dessin. Sa structure est en effet fonction à la fois de l'opposition entre Hynkel et le Barbier, et de la subtilité de transitions qui tendent à effacer ce que cette opposition a de schématique. Positif 152-153, juillet 73
Télérama
par La rédaction
[Un] chef-d'œuvre de Chaplin, brûlot prophétique et émouvante profession de foi humaniste. Télérama, 19 octobre 2002
Télérama
par Pierre Murat
Proclamer Blancs et Noirs égaux dans l'Amérique de 1940 ? Rien que pour cette profession de foi, il faudrait voir et revoir Le Dictateur. Pour en célébrer, chaque fois davantage, l'audace et l'humanisme.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par N. T. Binh
Tout est dit. Tout jusqu'à l'absurde, avec une intelligence qui frôle sans temps mort le génie. Le Dictateur est sans conteste un chef-d'oeuvre absolu. Il est le film indispensable qui, à lui seul, légitime l'existence même du cinéma et lui donne ses lettres de noblesse, avec un tact, une modernité qui n'ont jamais depuis été égalés.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
Cahiers du Cinéma
Jamais film burlesque n'a été à ce point engagé. Cahiers du cinéma 87, septembre 58
Chronic'art.com
C'est vrai, on avait fini par oublier de dire que le film est un sommet du cinéma comique. Mais est-il besoin de le préciser ?
Cine Libre
Cinéaste visionnaire Chaplin ? Non. Homme éclairé par une trop grande lucidité pour ne pas tomber dans l'aveuglement des politiques. Et c'est réalisé à un tel degré d'humanité que l'on ne peut que fondre (en larmes).
France Soir
"Le dictateur", c'est aussi une œuvre d'une drôlerie, d'une invention et d'une poésie fantastiques. France-Soir, 7 septembre 72
L'Humanité
Mieux que jamais, Chaplin parvient à mêler dans un même souffle humour, poésie et drame. Sans oublier une réflexion inspirée sur le racisme et la tyrannie, d'une pertinence et d'une actualité permanentes. Aussi drôle que déchirant.
Le Figaroscope
Voilà l'occasion ou jamais d'aller voir ou revoir ce monument du cinéma comique, qui est aussi une oeuvre d'une stupéfiante audace (...).
Le Monde
On s'aperçoit aujourd'hui que, loin d'être une œuvre de circonstance destinée à se démoder, "Le Dictateur avait déjà pris dans ses rangs l'histoire, en 1940, par son aspect dénonciateur et prophétique. Le Monde, 7 septembre 72
Le Monde
Le mieux est quand même de regarder Le Dictateur. Pas le chef-d'oeuvre du cinéma mondial. (...) Et pas non plus la critique anticipée d'une mondialisation contemporaine que suggère son hasardeux slogan promotionnel. Le mieux est de regarder Le Dictateur, le film. C'est une merveille. Tout le reste vient à la suite.
Les Echos
Mais c'est, aussi, du grand cinéma. Il n'est que de revoir la scène à juste titre mythique, où le dictateur aliéné jongle, dans son bureau, avec le globe terrestre...
Les Inrockuptibles
Inutile sans doute de présenter Le Dictateur, de répéter qu'il faut voir ce chef-d'oeuvre du cinéma sur un grand écran (...).
Libération
Certes, Chaplin a écrit ultérieurement que s'il avait su l'ampleur de l'horreur nazie, il n'aurait pas tourné le Dictateur. On pourrait renverser la proposition : c'est parce qu'en 1940 Chaplin ne savait pas tout (et surtout l'inimaginable) que le Dictateur est un film génial, c'est-à-dire prophétique.
Positif
"The great dictator" [est] un film remarquable par la rigueur et la complexité de son dessin. Sa structure est en effet fonction à la fois de l'opposition entre Hynkel et le Barbier, et de la subtilité de transitions qui tendent à effacer ce que cette opposition a de schématique. Positif 152-153, juillet 73
Télérama
[Un] chef-d'œuvre de Chaplin, brûlot prophétique et émouvante profession de foi humaniste. Télérama, 19 octobre 2002
Télérama
Proclamer Blancs et Noirs égaux dans l'Amérique de 1940 ? Rien que pour cette profession de foi, il faudrait voir et revoir Le Dictateur. Pour en célébrer, chaque fois davantage, l'audace et l'humanisme.
Zurban
Tout est dit. Tout jusqu'à l'absurde, avec une intelligence qui frôle sans temps mort le génie. Le Dictateur est sans conteste un chef-d'oeuvre absolu. Il est le film indispensable qui, à lui seul, légitime l'existence même du cinéma et lui donne ses lettres de noblesse, avec un tact, une modernité qui n'ont jamais depuis été égalés.