Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Le film ne révolutionne pas l’histoire du cinéma mais la performance de Valeria Golino est si vibrante de conviction passionnée qu’on se prend à aimer l’actrice et son modèle. "Comme le vent" entre dans la catégorie des films hautement respectables dont on aurait aimé que la forme soit à la hauteur de l’héroïne qu’il décrit.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Elle
par La Rédaction
Un hommage réussi à cette femme forte qui nous plonge dans une époque de violence qui n’est pas si révolue.
Gala
par Juliette Serfati
Marco Simon Puccioni signe une film à la fois politique et romanesque. Valeria Golino, (primée au Festival de Valenciennes) incarne avec brio ce personnage puissant.
La critique complète est disponible sur le site Gala
L'Express
par Christophe Carrière
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Portrait de femme intime et bouleversant.
Le Dauphiné Libéré
par La rédaction
Tiré d’une histoire vraie, un film fort, porté par une forte interprétation.
Ouest France
par La Rédaction
Une émouvante prestation de Valeria Golino dans un récit tout en flashbacks
Positif
par Jean A. Gili
La mise en scène de Marco Simon Puccioni s'appuie sur la justesse du cadre et la lumière métallique de Gherardo Gossi pour souligner la détresse qui sourd de l'univers carcéral. Valeria Golino révèle une fois de plus l'immensité de son talent.
Sud Ouest
par Sophie Avon
C’est une femme exceptionnelle dont Marco Simon Puccioni a eu envie de raconter l’histoire en apprenant son suicide, en 2003. Son film, qui raconte aussi l’Italie des années 1990, suit le destin de cette solitaire inflexible à qui Valeria Golino donne son beau visage et sa densité douloureuse.
aVoir-aLire.com
par Jean-Claude Arrougé
Dans un style simple et sobre et avec une grande maîtrise de la caméra, Mario Simon Puccioni réussit à nous faire entrer pleinement à fois dans un film engagé et dans une belle histoire d’amour.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
par Dominique Widemann
La mise en scène aurait gagné à des resserrements. Admettons ainsi qu'elle se conforme aux zones d'ombre suggérées, à l'énigme qui demeure des véritables ressorts de ces deux décès violents et que le film n'explore pas.
La Croix
par Arnaud Schwartz
En s’emparant de cette figure glorieuse d’une Italie intransigeante (...), le réalisateur Marco Simon Puccioni cherche moins à exalter des valeurs qu’à esquisser le portrait d’une femme à la fois forte et fragile. Baignant dans une atmosphère singulière, ce film lui rend un bel hommage, même si certaines scènes trop appuyées, trop maniérées, viennent en amoindrir l’impact à la fin.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Jean-Pierre Lacomme
A travers son interprétation tout en nuances, Valeria Golino rend justice à celle qui cachait son désarroi amoureux derrière une austérité de façade.
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Boudet
Valeria Golino incarne avec brio l'intense Armida Miserere, qui fut la première femme directrice de prison en Italie. Mais le portrait ainsi dressé néglige, hélas, l'impact de l'univers carcéral sur le personnage.
Première
par Isabelle Danel
La structure en flash-back et quelques sous-titres précisant dates et lieux alourdissent l'ensemble, mais cette femme éprise de justice et brisée (...), est un mystère captivant. Et Valeria Golino lui confère une belle humanité.
TéléCinéObs
par Sophie Grassin
Marco Simon Puccioni traite d'une histoire vraie qu'il aurait pu inscrire dans une veine politique à la Francesco Rosi. Il choisit le portrait de femme et un montage inutilement chahuté en lieu et place de la chronologie des faits.
Télérama
par Mathilde Blottière
Le film montre, parfois un peu trop, comment une tragédie personnelle peut forger un destin. S'il finit par emporter l'adhésion, c'est grâce à Valeria Golino. Ferme et fragile, tout en larmes rentrées, elle fait ressortir l'irréductible solitude de son personnage. Elle est bouleversante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Ce captivant portrait de femme dresse aussi le constat de l'effrayant pouvoir de destruction de la mafia.
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
"Comme le vent" se veut être le portrait d'une femme qui sombre lentement mais s'avère incapable de tenir ensemble l'intime et le politique, ce petit miracle qu'ont accompli tant de film de Rosi, Damiani, Petri et consorts.
Le Monde
par Sandrine Marques
La pesanteur de la mise en scène condamne le film à suivre dans les mémoires un programme aussi volatil que son titre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
20 Minutes
Le film ne révolutionne pas l’histoire du cinéma mais la performance de Valeria Golino est si vibrante de conviction passionnée qu’on se prend à aimer l’actrice et son modèle. "Comme le vent" entre dans la catégorie des films hautement respectables dont on aurait aimé que la forme soit à la hauteur de l’héroïne qu’il décrit.
Elle
Un hommage réussi à cette femme forte qui nous plonge dans une époque de violence qui n’est pas si révolue.
Gala
Marco Simon Puccioni signe une film à la fois politique et romanesque. Valeria Golino, (primée au Festival de Valenciennes) incarne avec brio ce personnage puissant.
L'Express
Voir le site de L'Express.
La Voix du Nord
Portrait de femme intime et bouleversant.
Le Dauphiné Libéré
Tiré d’une histoire vraie, un film fort, porté par une forte interprétation.
Ouest France
Une émouvante prestation de Valeria Golino dans un récit tout en flashbacks
Positif
La mise en scène de Marco Simon Puccioni s'appuie sur la justesse du cadre et la lumière métallique de Gherardo Gossi pour souligner la détresse qui sourd de l'univers carcéral. Valeria Golino révèle une fois de plus l'immensité de son talent.
Sud Ouest
C’est une femme exceptionnelle dont Marco Simon Puccioni a eu envie de raconter l’histoire en apprenant son suicide, en 2003. Son film, qui raconte aussi l’Italie des années 1990, suit le destin de cette solitaire inflexible à qui Valeria Golino donne son beau visage et sa densité douloureuse.
aVoir-aLire.com
Dans un style simple et sobre et avec une grande maîtrise de la caméra, Mario Simon Puccioni réussit à nous faire entrer pleinement à fois dans un film engagé et dans une belle histoire d’amour.
L'Humanité
La mise en scène aurait gagné à des resserrements. Admettons ainsi qu'elle se conforme aux zones d'ombre suggérées, à l'énigme qui demeure des véritables ressorts de ces deux décès violents et que le film n'explore pas.
La Croix
En s’emparant de cette figure glorieuse d’une Italie intransigeante (...), le réalisateur Marco Simon Puccioni cherche moins à exalter des valeurs qu’à esquisser le portrait d’une femme à la fois forte et fragile. Baignant dans une atmosphère singulière, ce film lui rend un bel hommage, même si certaines scènes trop appuyées, trop maniérées, viennent en amoindrir l’impact à la fin.
Le Journal du Dimanche
A travers son interprétation tout en nuances, Valeria Golino rend justice à celle qui cachait son désarroi amoureux derrière une austérité de façade.
Les Fiches du Cinéma
Valeria Golino incarne avec brio l'intense Armida Miserere, qui fut la première femme directrice de prison en Italie. Mais le portrait ainsi dressé néglige, hélas, l'impact de l'univers carcéral sur le personnage.
Première
La structure en flash-back et quelques sous-titres précisant dates et lieux alourdissent l'ensemble, mais cette femme éprise de justice et brisée (...), est un mystère captivant. Et Valeria Golino lui confère une belle humanité.
TéléCinéObs
Marco Simon Puccioni traite d'une histoire vraie qu'il aurait pu inscrire dans une veine politique à la Francesco Rosi. Il choisit le portrait de femme et un montage inutilement chahuté en lieu et place de la chronologie des faits.
Télérama
Le film montre, parfois un peu trop, comment une tragédie personnelle peut forger un destin. S'il finit par emporter l'adhésion, c'est grâce à Valeria Golino. Ferme et fragile, tout en larmes rentrées, elle fait ressortir l'irréductible solitude de son personnage. Elle est bouleversante.
Voici
Ce captivant portrait de femme dresse aussi le constat de l'effrayant pouvoir de destruction de la mafia.
Charlie Hebdo
"Comme le vent" se veut être le portrait d'une femme qui sombre lentement mais s'avère incapable de tenir ensemble l'intime et le politique, ce petit miracle qu'ont accompli tant de film de Rosi, Damiani, Petri et consorts.
Le Monde
La pesanteur de la mise en scène condamne le film à suivre dans les mémoires un programme aussi volatil que son titre.