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    Annabelle
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    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 2 novembre 2014
    Je fus agréablement surpris car quand j'ai vue les critique qui parlait d'un film tromatisant après l'avoir vu je m'attendais a quelque chose de vraiment horrifiant car j'ai aussi vu des bandes annonces à en faire des cauchemar la nuit et puis finalement il ne m'as pas autant apeuré que je l'avais imaginé. Mais il reste quand même bien.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 1 novembre 2014
    Que dire....film plat...Nous nous sommes ennuyés. Les scènes ne sont vraiment pas terrifiantes (d'ailleurs beaucoup de spectateurs rigolaient...)
    Film très décevant . Je ne le conseille vraiment pas aux amateurs de sensations fortes.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 31 octobre 2014
    Le film a plus fait parler de lui pour sa déprogrammation que pour sa qualité. En effet, le film a été déprogrammé de plusieurs salles françaises suite à des débordements avérés lors de sa retransmission mais, ce buzz essoufflé révèle des déceptions.

    Autant l'affirmer clairement, ce spin-off n’est clairement pas à la hauteur de son illustre aînée, Conjuring, à tel point qu'il est possible de compter sur les doigts d'une main le nombre de fois où l'on a vraiment sursauté.

    En effet, les mécaniques sont trop prévisibles, l’angoisse n’est pas au rendez-vous et le rythme s’essouffle trop souvent. Alors bien sûr le rythme n’est pas le problème cependant, quand ce dernier ralentit cela ne se fait pas au profit d’une angoisse grandissante mais plutôt d’un sentiment de passivité.

    Les tentatives de "jump scare" s’enchaînent mais les seules réussies le sont uniquement grâce aux performances sonores de la salle de cinéma, tout de même mention spéciale à un "jump scare" d'une scène particulière mais, là encore, celui-ci est terni d’un bémol car ce dernier était présent dans la bande-annonce.

    Tout n’est pas mauvais dans Annabelle, l'ennui n'est pas vraiment là, c’est même un agréable divertissement cependant, le film échoue dans sa mission principale à savoir : faire peur.

    Au final un film ni bon, ni mauvais, juste moyen.
    7fabcool7
    7fabcool7

    53 abonnés 595 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 novembre 2014
    Annabelle, ce film manque tt de même de rythme. Mais il reste plutot efficace, quelques trouvailles comme quand la fille court vite vers elle et plus elle avance elle devient adulte avant de s'évaporer (la ca a bien gueulé dans la salle car c'est bien fichu). Je mets un petit 14/20 mais c'est sur que ca ne vaut pas 'the conjuring' et encore moins 'Insidious 2'... De la à ce que des gamines hurlent dans la salle faut arreter quoi. Actrice qui joue la mère est excellente.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 13 janvier 2015
    Perturbant et flippant sans en montré beaucoup, tel est le parti pris d'Annabelle, j'ai sursauté plusieurs fois sur mon siège alors qu'il m'en faut d'ordinaire beaucoup, certains passages sont angoissant et l'histoire est simple et efficace, John R. Leonetti ( le real ) est vraiment extrêmement doué et dépoussière le genre, sa patte esthétique est reconnaissable et à chaque film il fait de l'excellent travail, a aller voir les yeux fermée.

    Les mauvaises critiques et la polémique autour du film ( bagarre dans les cinés ect...) montre simplement que les gens on peur et sont juste habitué au daube qu'on leurs jete entre les dents avec des saga pourries pour ados qui ne demande pas de réfléchir, c'est hyper drôle de voir les ptites frappes et racailles de bac à sable se faire dessus devant une poupée et sortir de la salle ^^
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 31 octobre 2014
    Annabelle fait tourner la petite entreprise Wan, dont le projet semble se clarifier de film en film : il s'agit de relire des classiques du genre – Shining dans Insidious 2, L'Exorciste et Amityville dans Conjuring – pour les nettoyer. Nettoyer ne veut pas dire pour ces entrepreneurs redonner du lustre, mais plutôt récurer, décaper, au point que les classiques dont ils s'emparent finissent par devenir entre leurs mains des objets presque inoffensifs, entièrement repensés en vue d'un happy end qui doit épargner les couples et les familles. Pour cela, chaque récit fait intervenir des personnages suffisamment investis dans l'occultisme (le couple Warren dans Conjuring, la voyante d'Insidious) pour affronter les démons et rétablir l'ordre moral. Avec Annabelle, ce projet devient absolument limpide. La poupée n'est en réalité qu'un prétexte pour redéployer la trame narrative de Rosemary's Baby : une femme seule dans un grand immeuble, une menace sataniste. Mais le film va plus loin dans la mesure où il rappelle aussi certains éléments de l'histoire personnelle de Polanski, notamment l'assassinat de Sharon Tate, implicitement évoqué dans l'ouverture. Cette double citation de Polanski fait d'Annabelle un cas étrange : Wan et Leonetti fouillent dans les placards du cinéma d'horreur et plongent en même temps dans l'inconscient de l'Amérique du début des années 70, époque déjà explorée dans Conjuring. Annabelle, précisons-le, est une sorte de spin-off de Conjuring. Au-delà des intérêts économiques qui justifient une telle entreprise, il faudrait se demander ce qui a conduit Wan et Leonetti a raconter deux fois la même histoire de possession et d'exorcisme. Il faut noter que dans cette entreprise – entendons le mot dans son double sens, économique mais aussi esthétique – l'horreur n'est jamais pensée comme la découverte d'un processus fécondé par le personnage à l'intérieur lui-même, mais plutôt comme un phénomène toujours extérieur, presque accidentel, lié à des entités errantes (esprits, démons ou diable) que chaque film a besoin de figurer, comme pour les stabiliser dans l'esprit du spectateur, lui prouver à tout instant à quel point elles sont extérieures aux corps qu'elles veulent habiter. La deuxième partie d'Annabelle n'échappe pas à cette logique, déjà éprouvée dans Conjuring: l'hypothèse de la folie de Mia, personnage dont le nom fait directement écho au film Polanski (où Mia Farrow jouait Rosemary) est très vite exclue, invalidée par des attaques démoniaques de plus en plus violentes, qui lèvent toute ambiguïté sur la nature du mal. Mais la première partie ? Le film commence par un double assassinat dans une maison de banlieue pavillonnaire à la Halloween. La scène, extrêmement maîtrisée, transforme la fenêtre des voisins de Mia en écran de cinéma : Mia se réveille en pleine nuit parce qu'elle croit avoir entendu un cri, elle a en réalité aperçu, peut-être dans son rêve, ce que le spectateur a déjà vu sur l'écran d'en face, à savoir l'horrible assassinat de la voisine de Mia. Ce film d'horreur, qui se prolonge au moment où les assassins entrent dans la maison de Mia, peut être vu comme une version de l'assassinat de Sharon Tate, dont on a par ailleurs entendu parler à la télévision dans la séquence d'ouverture. La poupée maléfique ne joue ici aucun rôle : tout se passe dans l'imaginaire d'une spectatrice et le film semble prendre acte de la façon dont l'horreur – venue du hors champ – s'est introduite dans les rêves de son personnage. Le processus élaboré dans Conjuring est donc en grande partie repensé : la poupée et plus généralement les esprits n'auront de pouvoir que dans la mesure où le personnage cristallisera sur eux une menace (sataniste) venue de l'extérieur. Sur ce principe, la première partie d'Annabelle fonctionne assez remarquablement, avec une économie de moyens rare dans le cinéma de genre contemporain. Dans la seconde partie du film, Wan et Leonetti proposent leur version de Rosemary's Baby : le couple formé Mia et son John (autre clin d'oeil à Polanski) va donc déménager dans un immeuble dont la façade et l'architecture rappellent celles du Dakota Building. La meilleure scène du film se situe précisément dans le sous-sol de cet immeuble. Bloquée dans l'ascenseur, Mia croit remonter mais les portes s'ouvrent plusieurs fois sur le même sous-sol noir, au fond duquel on distingue une poussette qui ressemble encore à celle que l'on voit sur l'affiche du film de Polanski. Vertige des ressemblances. Si cette scène est si effrayante, c'est parce que Wan et Leonetti veulent nous indiquer qu'il y a bien quelque chose à voir dans ce sous-sol et qu'il faut que leur héroïne le traverse pour rendre cette chose visible. Cette scène est un magnifique point de basculement : elle est le moment où l'angoisse qui s'est emparée de l'imaginaire de Mia doit prendre forme et, prenant forme, contraindre le film à déplier ensuite un bric-à-brac sataniste dont le personnage semble avoir besoin, étonnamment, pour se rassurer. L'hésitation, la suspension de cette scène sont très belles parce que Wan sait qu'il s'agit d'une scène à double tranchant : sa vertu est d'explorer l'inconscient d'un autre film (comme si Rosemary Woodhouse avait raison : il y avait bien un diable dans son immeuble), mais ayant fait ce travail, le film n'a plus qu'à restaurer pas à pas une forme d'ordre psychique et moral, comme dans Conjuring. Le dénouement d'Annabelle, de ce point de vue, ne déroge pas à la règle établie par les trois précédents films de Wan : on y voit un prêtre prenant sur ses genoux la petite Leah (l'enfant de Mia, tant convoité par le démon tout au long du film), tandis qu'un autre plan nous a montré précédemment le profil d'une gargouille. Il faut se rappeler que la fonction de ces ornements dans les églises gothiques consistait à recracher les mauvais esprits hors du temple. Or c'est bien ce qui se produit dans Annabelle : tous les démons ont été chassés du temple, à l'image de la poupée, qui après avoir servi de jouet au démon, est filmée dans une cage de verre, là où elle est enfermée, dit-on, chez les Warren. Cet épilogue, presque douteux à force de bienveillance, ne fait pourtant pas oublier la belle première partie, que l'on pourrait résumer par le titre du livre que Mia aperçoit dans la vitrine d'une librairie ésotérique : The Devil's Welcome. Curieux paradoxe d'un film où Wan et son équipe montrent comment le spectre du satanisme s'introduit dans l'esprit d'une femme avant de jouer aux ghotsbusters, ouvrant le crâne de Rosemary Woodhouse pour chasser les démons du Dakota Building.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 31 octobre 2014
    J'ai jamais vu des acteurs aussi mauvais... Le scenario est ultra prévisible...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 31 octobre 2014
    Ayant pour habitude de voir des films d'horreur celui là m'a bien plu! Plein de suspense et d'instants de sursaut!
    Je le conseille
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 30 octobre 2014
    Annabelle, ou le film vu, revu et re-revu. A aucun moment j'ai sursauté, j'ai même presque rigolé. Il n'y a aucune originalité dans ce film, et la bande annonce est encore une fois, mensongère; elle ne montre que des moments ''flippants'', et encore. J'ai été voir ce film, car je suis une adepte des films d'horreurs, mais franchement là je suis déçue. Même la poupée Annabelle ne fait pas excessivement peur.
    De plus, à ajouter en plus de ce film ''nul'', pour rester polie, nous avons le public qui va avec ! C'est à dire, des jeunes de 14-16 ans, qui viennent au cinéma juste pour crier, et faire la ''zizanie'' dans la salle. C'est du jamais vu !
    Très décevant, je ne vous le conseille vraiment, vraiment (vraiment) pas.
    Maxime TT web
    Maxime TT web

    21 abonnés 18 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 30 octobre 2014
    Vraiment pas un film qui fait peur. On s'ennuie ferme et la poupée n'est pas très bien faite.
    NOLOGIN
    NOLOGIN

    11 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 avril 2016
    Il y a effectivement quelques passages que je trouve personnellement réussis surtout avec le démon), mais malheureusement le réalisateur semble privilégier les "silences avant la tempête" et ce bien trop souvent.
    Pour moi, les films d'horreur qui sortent en ce moment portent mal leur genre "Horreur", ce sont plus des films à surprises (jump-scares) que des films d'horreur.
    Ex : Un porte qui claque fort à cause d'un courant d'air nous SURPREND (car on s'y attends pas, on est surpris), tandis qu'un chien qui bouffe tout ce qui lui passe devant les yeux aura tendance à nous faire PEUR, on aura PEUR du chien.
    Regarder ce chien bouffer des humains avec du sang qui dégouline de partout nous donnerait un sentiment de dégoût et... d'HORREUR, et là on pourrait réellement parler d'un film d'horreur.
    Le film peine à démarrer, on a du mal à accrocher au scénar, puis bon on se dit pourquoi pas, mais il y a toujours ce sentiment de lourdeur qui flotte autour du film, à certains moment ça sent tellement le réchauffé (église, exorciste, bouquins sur les diables, âmes, esprits & cie) qu'on a du mal à rester éveillé.

    "Annabelle", de Leonetti est, je trouve, plus un film de suspense qu'un film d'horreur.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 30 octobre 2014
    Ce film est bien mais sans plus je pensais qu'il ferai plus peur pour un film d'horreur. ...
    Malgré tous le suspense est bien là et il surprend pas mal!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 30 octobre 2014
    Franchement je suis une grande amatrice de films d horreur et j ai trouvé Annabelle super!
    Beaucoup de suspense et des jumpscares oui mais de très bons.
    Je le recommande vivement à tous ceux qui auraient envie de se faire une petite soirée flippe ??;)
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 29 octobre 2014
    C'est un film qui ne fait pas spécialement peur, je suis une fan des films d'horreurs! Et j'ai été déçu de ce film! Les âmes sensibles peuvent aller le regarder sans problème !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 29 octobre 2014
    Ne pouvant pas mettre 0 voici 0,5 étoile!

    Un film à SURTOUT ÉVITER, un soi disant film d'horreur-épouvante, et je peux vous assurer que l'on ne voit ni l'un ni l'autre!

    Au bout d'une demi heure de film, l'histoire démarre à peine et vous aurez la désagréable sensation d'avoir passe 3h déjà de film... Très long en impression pour un film d'une heure et demi!

    Si vous avez du temps à perdre alors ce film est pour vous sinon passez votre chemin
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