AlloCiné
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Je mes 3 étoiles,car le scénario du début n'est pas crédible,bon l'histoire commence bien,le jeune qui se fait tabasser et finit a l'hosto,voila c'est là que c’est pas logique,des morceaux d'un téléphone dans son crâne qui donne de super pouvoir laisse pour ma part à désirer,on aurait pu changer le scénario en disant que plutôt que c'est à l'hosto,qu'on aurait implanté une technologie futuriste du style une puce qui lui donne une super intelligence,comme un robot et qui revient pour se venger,le scénario aurait pu être mieux travaillé,pas mal,mais ne mérite que 3.
MaCultureGeek
Netflix, Netflix, Netflix... Comme toute nouveauté, l'effet de mode arrive d'un coup et repart tout aussi soudainement; si les séries continuent de faire tout autant de bruit (encore que les estampillées Marvel tombent de haut), les films représentent la partie Leader Price des sorties directes en VOD. Entre les Death Note, War Machine et autres Bright, autant dire que la célèbre chaîne américaine n'a pas la meilleure réputation qui soit, ni les artistes les plus complets que l'on puisse trouver dans le métier.
Devait donc sortir iBoy au milieu de toutes les daubes que le cinéma de divertissement américain aura pu nous fournir l'année dernière; et si le concept de base est relativement nanardesque, le résultat final est loin de la daube escomptée. Certes pas d'une grande qualité, ce petit teen movie sans prétention ne pourra pas égaler ses sinistres prédécesseurs dans l'agacement d'un public déjà bien lassé par les long-métrages d'une plate-forme qui manquent clairement de travail.
Si l'histoire d'amour développée dégoulinera de niaiserie, le concept même du film amènera à l'un des plus étranges développements de pouvoirs vus dans les films de super-héros modernes; on y appliquera plutôt le concept de Vigilante, le protagoniste se qualifiant plus comme un justicier que comme le bon samaritain de service. Tout aussi héroïque et exemplaire qu'il nous est présenté, l'on n'oubliera finalement pas qu'il n'est devenu méta-humain que parce que c'est un lâche, pis qu'il s'attaque au crime seulement pour conquérir les yeux (du haut comme du bas) de la petite Arya.
Voilà un protagoniste des plus humains (représentation parfaite de l'adolescent travaillé par ses hormones, qui plus est) torturé par des manifestations d'énergie à la photographie Lucyenne (pas la meilleure qui soit, donc), quelques incrustations de discussions rappelant vaguement les Jaume Collet-Serra periode Liam Neeson (Non Stop et Passenger, principalement) et qui n'ont aucun sens dans leur déroulé narratif.
Le p'tit Bill Milner découvre ses pouvoirs en même temps que nous, et semble tout aussi perturbé par le manque de logique terrible du scénario; mais il y a ce côté léger rafraichissant dans le petit iBoy, sorte de ton grave atténué par la débilité de ses idées, et le je-m'en-foutisme assumé de ses scénaristes shootés. Il tentera donc de rendre son acting crédible, avec sa gueule atypique changeant des habituels critères de beauté insupportables visant à plaire aux gamines de 14 ans; accompagné de la sympathique Maisie Williams (idem que pour Bill, version jeunes mâles), ils feront face à la bande la plus clichée qui soit, évidemment menée par la grande gueule nazie du bahut, lâche de surcroit.
Tous ces clichés, menés avec une certaine sincérité par l'équipe technique qui semblait croire à leur délire cosmique, en plus des deux gueules d'affiche (même si l'on ne s'appesantira pas sur le niveau Photoshop collégien du poster de promo) et de la pub la plus ouverte qui soit à la marque Appel (commencé par de la promo dans un titre, c'est quand même un tour de force) assènent un certain charme à l'ensemble, n'enlevant pas ses mauvais côté mais transformant ses défauts les moins prononcés en sympathiques traits d'une oeuvre certes sans utilité, mais qui divertit tout autant qu'elle est prévisible et what the fuck.
L'on n'aura presque jamais vu trip si perché dans les productions super-héroïques indépendantes et en même temps aussi classique dans sa mise en scène et son schéma narratif; un drôle de mélange faisant d'iBoy l'un des Netflix les plus agréables à voir, seul ou en soirée. Mais rappelons tout de même aux scénaristes en herbe qui voudraient se lancer que l'abus de cocaïne est dangereux pour la santé.
Devait donc sortir iBoy au milieu de toutes les daubes que le cinéma de divertissement américain aura pu nous fournir l'année dernière; et si le concept de base est relativement nanardesque, le résultat final est loin de la daube escomptée. Certes pas d'une grande qualité, ce petit teen movie sans prétention ne pourra pas égaler ses sinistres prédécesseurs dans l'agacement d'un public déjà bien lassé par les long-métrages d'une plate-forme qui manquent clairement de travail.
Si l'histoire d'amour développée dégoulinera de niaiserie, le concept même du film amènera à l'un des plus étranges développements de pouvoirs vus dans les films de super-héros modernes; on y appliquera plutôt le concept de Vigilante, le protagoniste se qualifiant plus comme un justicier que comme le bon samaritain de service. Tout aussi héroïque et exemplaire qu'il nous est présenté, l'on n'oubliera finalement pas qu'il n'est devenu méta-humain que parce que c'est un lâche, pis qu'il s'attaque au crime seulement pour conquérir les yeux (du haut comme du bas) de la petite Arya.
Voilà un protagoniste des plus humains (représentation parfaite de l'adolescent travaillé par ses hormones, qui plus est) torturé par des manifestations d'énergie à la photographie Lucyenne (pas la meilleure qui soit, donc), quelques incrustations de discussions rappelant vaguement les Jaume Collet-Serra periode Liam Neeson (Non Stop et Passenger, principalement) et qui n'ont aucun sens dans leur déroulé narratif.
Le p'tit Bill Milner découvre ses pouvoirs en même temps que nous, et semble tout aussi perturbé par le manque de logique terrible du scénario; mais il y a ce côté léger rafraichissant dans le petit iBoy, sorte de ton grave atténué par la débilité de ses idées, et le je-m'en-foutisme assumé de ses scénaristes shootés. Il tentera donc de rendre son acting crédible, avec sa gueule atypique changeant des habituels critères de beauté insupportables visant à plaire aux gamines de 14 ans; accompagné de la sympathique Maisie Williams (idem que pour Bill, version jeunes mâles), ils feront face à la bande la plus clichée qui soit, évidemment menée par la grande gueule nazie du bahut, lâche de surcroit.
Tous ces clichés, menés avec une certaine sincérité par l'équipe technique qui semblait croire à leur délire cosmique, en plus des deux gueules d'affiche (même si l'on ne s'appesantira pas sur le niveau Photoshop collégien du poster de promo) et de la pub la plus ouverte qui soit à la marque Appel (commencé par de la promo dans un titre, c'est quand même un tour de force) assènent un certain charme à l'ensemble, n'enlevant pas ses mauvais côté mais transformant ses défauts les moins prononcés en sympathiques traits d'une oeuvre certes sans utilité, mais qui divertit tout autant qu'elle est prévisible et what the fuck.
L'on n'aura presque jamais vu trip si perché dans les productions super-héroïques indépendantes et en même temps aussi classique dans sa mise en scène et son schéma narratif; un drôle de mélange faisant d'iBoy l'un des Netflix les plus agréables à voir, seul ou en soirée. Mais rappelons tout de même aux scénaristes en herbe qui voudraient se lancer que l'abus de cocaïne est dangereux pour la santé.
Un teenage movie fantastique qui a le mérite de ne pas perdre trop de temps et ne s'attache à aucun détail. Dommage pour le scénario un peu bâclé ou les facilités scéniques qui rendent le film assez léger, voire par moments, incohérent. Les acteurs assurent malgré tout.
stallonefan62
L’idée de départ n'est pas si mauvaise que ça mais l'ensemble est mal exploité avec une histoire simpliste et prévisible !! Et j'ai pas aimé le jeu de l'acteur principal Bill Milner qui manque de charisme à l'écran
Il fallait oser un tel concept tiré par les cheveux. C'est finalement pas aussi mauvais qu'on aurait pu le craindre mais bon...
Je n’avais plus revu Dora l’exploratrice depuis que ma fille a fêté ses 6 ans. Ça m’a fait tout chou de la revoir dans ce film. Non ? Ce n’est pas le DA préféré de fifille ? Je me disais aussi qu’il y manquait « la carte »
Et il faut attendre la fin pour enfin avoir une torride scène de bisous bisous dignes dignes d’un monastère.
Dès demain je m’injecte par les oreilles des poussières de iPhone juste pour voir.
Ce navet est navrant.
Et il faut attendre la fin pour enfin avoir une torride scène de bisous bisous dignes dignes d’un monastère.
Dès demain je m’injecte par les oreilles des poussières de iPhone juste pour voir.
Ce navet est navrant.
Film formaté et convenu, scénario sans surprise... Si vous avez plus de 16 ans vous risquez de vous ennuyer.
rien qu'en regardant ce film il m'a fait un peu penser a l'univers de watch dogs ou le personnage peut tout pirater avec son telephone et je trouve que l'idee d'avoir la possibilite de pouvoir pirater tous les objets electroniques pour faire regner la justice c'est comme un reve pour plusieurs personnes et je pense que si j'etais un juge des oscars il en voudrait 2 un pour le meilleur acteurs et le 2 eme pour la realisation
Petit film de SF de et par Netflix. Agréablement surpris par la qualité du scénario, des acteurs et des effets spéciaux.
Film Netflix mettant essentiellement en scène des adolescents, iBoy narre l’histoire d’un lycéen joué par Bill Milner (Erik jeune dans l’intro de X-Men le commencement) qui va obtenir d’étranges pouvoirs lors d’une attaque à main armée en recevant des éléments d’un iPhone dans son cerveau. Il peut alors intercepter des connexions Internet et téléphoniques, mais aussi délivrer des électrochocs et provoquer une insupportable nuisance sonore directement dans les tympans de son entourage. Tous les jeunes du quartier se connaissent depuis la maternelle et son amie de toujours, la jeune Lucy interprétée par Maisie Williams (Arya de Game of Thrones), est à la fois protégée par Tom mais sait aussi se défendre en bon garçon manqué qui en jette. Le visuel est bien rendu avec tous ces écrans et chiffres digitaux qui apparaissent, les bruitages reconnaissables de sonneries, de vibrations et de claviers, Tom essayant de faire le bien en piratant les données bancaires et en mettant le feu aux voitures de malfrats, à tel point qu’on se demande même s’il n’y a pas un autre personnage dans l’ombre avec les mêmes pouvoirs. Le plus intéressant reste sans doute sa communication en mode anonyme, ayant la capacité d’envoyer des SMS à qui il veut par la simple pensée, les messages s’affichant directement à l’écran pour qu’on puisse suivre sans lourdeur. Pour le reste, le scénario reste assez classique et prévisible, mais l’action rend bien, le film fait son taf de bon divertissement avec concept original.
"iBoy" est un excellent film de science-fiction produit par Netflix. L'histoire est originale mais ressemble aux scénario du jeux vidéo WatchDog, les acteurs jouent super bien et rendent leur personnages attachants et dommage qui est pas un peu plus de scènes d'action. Les personnages principaux je l'ai est trouver trop jeunes pour un telle scénario, j'aurai sûrement préférer des personnes avec 4 ou 5 ans en plus mais le film reste super bien. Le rythme du film est trés bien soutenue et un autre point faible c'est que le personnage principal ne soit pas plus badasse mais super acteur il est super comme acteur.
Un bon film qui tient ses promesses. De bons effets spéciaux et un scénario qui malgré quelques maladresses vous immerge dans ce monde rude de la banlieue Londonienne.
Un ado victime d'une agression se retrouve avec de débris de son nouvel iPhone dans le cerveau qui lui permettent de se connecter mentalement à Internet et de hacker n'importe quel téléphone ou ordinateur. L'idée de départ était suffisamment loufoque et barrée pour qu'on ait pu espérer un film amusant. Netflix et l'origine britannique du film laissait présager / espérer un féroce satyre des films de super-héros doublée d'un critique sociale du Royaume uni actuel, le héros vivant dans une banlieue craignos de Londres. Que nenni, le film est d'un premier degré total. Comment ne pas être stupéfait devant la scen dans laquelle le héros, le plus sérieusement du monde, télécharge des vidéos de combats d'art martiaux pour devenir un expert en Kung fu ?
Le second problème du film est qu'il aborde plusieurs thèmes, sans jamais les approfondir et sans jamais choisir ce qu'il veut être vraiment, devenant au final un version cheap et ridicule des Spiderman de Garfield
Le second problème du film est qu'il aborde plusieurs thèmes, sans jamais les approfondir et sans jamais choisir ce qu'il veut être vraiment, devenant au final un version cheap et ridicule des Spiderman de Garfield
Une sorte de Watchdog version film sans prétention. Ce n'est pas le film de l'année il n'en a pas la prétention d'ailleurs mais je ne suis pas déçu.
Maladroit, perfectible voir gentillet. Interprétations amateurs typé ado, peu de moyens et pourtant, l'accroche est là par le biais de l'histoire. Bourré de clichés, rien de surprenant avec les méchants et les gentils mais on regarde quand même.
Pas un mauvais film ni un bon. moyen au final (il aurait mérité un autre traitement). 2.5/5 !!!
Pas un mauvais film ni un bon. moyen au final (il aurait mérité un autre traitement). 2.5/5 !!!
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