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    Ablations
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    2,0
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    64 critiques spectateurs

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    selenie
    selenie

    6 288 abonnés 6 192 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 juillet 2014
    Le film prend d'emblée le chemin du thriller froid avec un climax adéquate du thriller psy (-chologique et/ou -chopathe), on est bien loin du sens comique de Groland à l'exception,
    NEAMTSU
    NEAMTSU

    6 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 juillet 2014
    La sortie du film a été repoussée ? Mauvais signe .... Denis Ménochet toujours parfait, mais pourquoi s'est-il lancé dans ce film. M. Tarantino, donnez vite un nouveau rôle à cet acteur qui ne mérite pas de tourner ce genre de films médiocre comme Ablations.
    Les deux actrices sont en-dessous de leurs prestations habituelles.
    Pas de suspense, un banal scénario ... Très déçue.
    Guiciné
    Guiciné

    164 abonnés 1 241 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 juillet 2014
    Un film qui nous laisse sur notre faim avec un vrai goût d'inachevé, c'est regrettable car le scénario débutait bien, mais hélas tout stagne et l'invraisemblance en devient tellement grotesque, qu'il n'est plus possible d'adhérer à cette histoire. Dommage, car le potentiel du début présageait un film palpitant, ce qui n'en est rien.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 17 juillet 2014
    Le synopsis m'a emballé. Mais en voyant ce film, quelle déception! Je pensais. qu'on allait aborder le trafic d'organes mais non, on tombe sur un essai bourré d'incohérences. On y croit pas une seconde...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 juillet 2014
    La très bonne surprise de cet été! Je suis allé voir ce film sans grande attente, et force est de constater que Benoit Delepine et Arnold de Parscot savent s'y prendre.

    Une réalisation sans faille, la tension du thriller conjuguée à de l'humour noir savamment distillé tout le long du film nous font passer un excellent moment.

    Je recommande !!
    Julien D
    Julien D

    1 206 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 juillet 2014
    On aurait pu regretter que Benoit Delépine, plutôt que de remettre la réalisation de ce scénario, qu’il a élaboré à partir d’un cauchemar qu’il a lui-fait sous l’emprise de l’alcool, à un jeune et inconnu réalisateur, n’est entièrement pris en main le projet. Mais, à la vue du résultat final, il ne fait aucun doute que, malgré les maladresses dont fait preuve Arnold de Parscau tels que le maniérisme très académique des scènes de rêve, le travail d’écriture de Delépine est le maillon faible de ce thriller qui, s’il avait été -sur le fond comme sur la forme- moins poussif, aurait pu être réellement angoissant. Le parcours psychologique suivi par le personnage principal est d’une profonde cruauté mais passe par des étapes (le repli sur soi, l’éloignement de sa femme, l’investigation et le passage à l’acte) trop peu développés et dépourvus de réels rebondissements, rendant d’ailleurs le rôle de Virginie Ledoyen purement anecdotique, au profit d’un appui narratif sur la relation trouble qu’il entretient avec sa maitresse. C’est surtout grâce à l’interprétation de Denis Ménochet, comme à son habitude à la fois froide et brutale, que la folie meurtrière dans laquelle s’enferme son personnage acquiert, au fur et à mesure qu’avance l’intrigue, une crédibilité dérangeante. Mais si ce film noir réussit à inverser les clichés manichéens c’est avant tout grâce au twist final autour du couple Nahon/Moreau qui, s’ils peuvent sembler grotesques pendant une bonne partie du long-métrage, s’avèrent être des personnages ambigus qui mériteraient un scénario propre.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 16 juillet 2014
    Super !
    J'ai passé un très bon moment à l'avant première de ce film.
    Je ne connaissais pas Denis Ménochet. J'ai été scotché
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 16 juillet 2014
    Film très original, on n'a pas l'habitude de voir ce genre de polar en France ! La direction d'acteurs est maîtrisée, Denis Ménochet est excellent dans le rôle de Pastor et le couple Nahon-Moreau fonctionne très bien, comme à son habitude. La photographie est léchée, le travail sur la bande sonore est intéressant, quoique la musique paraît parfois un peu trop appuyée. Ce jeune cinéaste de 25 ans est décidément une étoile montante à suivre de près, car sa réalisation est très prometteuse. Beaucoup de plans très impressionnants, et un beau choix de décors. Plus sceptique sur le titre, qui réduit l'ensemble à un film de série B qu'il n'est pas.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 16 juillet 2014
    Pastor et sa logique bien à lui vont à l'encontre de ce qu'on attend, et c'est tant mieux.
    J'ai trouvé le scénario de Benoît Delépine très original, bien que dénué de rebondissements inattendus, comme on en voit bien souvent dans les "polars" classiques.
    J'ai trouvé que l'ensemble de la réalisation se tient très bien. Le rythme lent participe à la tension générale. Un petit bémol tout de même: Les 15 premières minutes font un peu téléfilm. Moins grave que si c'était les 15 dernières vous me direz...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 16 juillet 2014
    Un film qui valse habilement entre la terreur du drame psychologique et le loufoque de la comédie cynique. Une vraie réussite, très bien servie, en sus, par une photo ambitieuse et quelques scènes frôlant le psychédélique.
    Seul bémol, la performance un peu poussive, un peu hésitante (pour être gentil) de Virgine Ledoyen...
    J'attends le prochain de Parscau avec impatience !
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 16 juillet 2014
    Entre le thriller et la comédie grinçante, "Ablations" est un film qui en fait beaucoup (trop?) mais qui fonctionne bien. Avec Benoît Delépine au scénario, Arnold de Parscau nous concocte une histoire déjantée, froide et cruellement drôle. Ça part un peu dans tous les sens, ce qui donne au film un côté très instable : de nombreux personnages pas toujours utiles viennent se greffer à l'enquête et les dialogues ne sont pas des plus fins.

    Mais, de fil en aiguille, aidés par le charisme et l'intensité de Denis Ménochet, on se prend au jeu de se cache-cache rein. On ajoute à cela une véritable signature artistique d'un réalisateur très prometteur au regard aiguisé et on a un film décoiffant et inattendu.

    En Bref : "Ablations" ne vous laissera pas indifférent, alors on retient bien le nom d'Arnold de Parscau et on le suit de près !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 juillet 2014
    Une excellente surprise !
    Denis Ménochet est absolument bouleversant. Le couple Yolande Moreau / Philippe Nahon ne parvient pas à faire peur mais effraie tout de même par son étrangeté.
    La mise en scène est parsemée de très bonnes idées visuelles et sonores.
    Quelques plans trop longs à mon gout mais ce premier film est un OVNI dans le genre film noir français.
    Très beau coup d'essai du jeune réalisateur Arnold De Parscau entouré d'un Benoît Delépine aux idées toujours aussi déjantées. On en redemande !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 1 août 2014
    Représentation parfaite de l'éructation "française sans talent", Ablations mérite la note minimale en tant que symbôle de tout un pan de la pétomanie frenchie-bobo qui nous étouffe de ses effluves nauséabondes.

    Merci de nous donner une raison de nous battre.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 15 juillet 2014
    Benoît Delépine, auteur du scénario, l’explique lui-même : l’idée d’Ablations lui est venu d’un cauchemar. Et c’est justement ce que vit Pastor (Denis Ménochet) à son réveil : émergeant vaseux au bord d’un fleuve, il s’aperçoit très vite qu’une cicatrice parcoure son flanc gauche. Après une visite chez le médecin, une ex-prête à tout pour le reconquérir, il constate qu’on lui a bel et bien volé un rein. Ce n’est pas un mauvais rêve, c’est la réalité et celle-ci va plonger ce commercial dans une spirale de destruction et de folie.

    L’idée de départ était alléchante et on imagine ce qu’un Lynch aurait pu faire avec un tel matériau. Avec une simple oreille coupée, cela a donné Blue Velvet, alors vous pensez avec un rein ! On imagine la chute progressive du héros, la distorsion entre réalité et phantasme. Cela peut être troublant et passionnant quelqu’un qui devient fou et qui se bat contre lui-même. C’est ce qu’essaye de retranscrire le film mais maladroitement. Il faut dire que le scénario ne s’embarrasse pas de finesse psychologique, ôte vite les zones d’ombre (les voleurs d’organes sont identifiés, qui plus est tout de suite) et surtout, en animateur de Groland, Delépine ne peut s’empêcher de forcir un peu trop le trait. Ainsi traité, Ablations n’a pas l’épaisseur d’un drame psychologique, il n’entretient pas suffisamment le mystère pour devenir un thriller. Il n’est ni un film réaliste (le direction d’acteur approximative n’aide pas à rendre les personnages crédibles), ni un cauchemar éveillé, ni même une BD, entre horreur et humour noir, forme à laquelle on peut parfois penser. Les lieux visités (la bar à pute, la résidence de l’entraineur de foot…), les situations, l’ensemble des personnages, tout est caricatural ; la palme revenant à Yolande Moreau, en folle de Dieu se signant d’un « Ainsi soit-il » après chaque ablation.

    La mise en scène de Arnold de Pascau, nouveau venu et remarqué par Delépine pour sa réalisation de « Good Day Today » de David Lynch, aurait pu sauver le film mais, bien au contraire, accentue formellement ce que le fond, grossier, avait déjà installé (elle a au moins la mérite d’être raccord). Les visions imaginées veulent jeter le trouble mais se révèlent essentiellement tocs et convenus, dans un tape à l’oeil un peu daté. Pour un peu, on se croirait comme un film fantastique de série B des années 80 (le film a d’ailleurs été en sélection au Festival de Gerardmer 2014). Les prouesses techniques (comme cette scène d’opération chirurgicale au fond d’une piscine) apparaissent finalement un peu vaines. Car s’il manque un rein à Pastor, Ablations manque furieusement de chair et de substance. Un constat presque logique pour un film qui n’aura été qu’une bonne idée de départ.
    Bulles de Culture
    Bulles de Culture

    137 abonnés 634 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 juillet 2014
    Magnifique idée d'avoir pris ce solide roc qu'est Denis Ménochet (Inglourious Basterds, Les Adoptés) pour décrire cet homme qui peu à peu perd pied. Car, un rein volé, ça ne se voit pas de l'extérieur (une légère cicatrice si l'opération s'est bien passée) mais à l'intérieur, par contre, ça bouillonne. Alors quand ce grand gaillard qu'est Pastor se réveille au bord d'une rivière un lendemain de cuite sans se rappeler de quoi que ce soit, on imagine le pire.

    Au final, Ablations est un bon petit film de série B, à voir pour son inquiétante étrangeté.
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