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Votre avis sur American Ultra ?
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Sans pour autant constituer LA comédie d'action de l'année, American Ultra se laisse suivre sans déplaisir grâce à un univers et des personnages déjantés et à un second degré bien assumé. Le film parvient enfin à ma réconcilier avec le jeu d'actrice de Kristen Stewart malgré de nombreux défauts et un manque de moyens visible au premier coup d'oeil. Ce n'est pas excellent mais ça reste un bon film idéal pour ne pas se prendre la tête.
Sans trop pouvoir l'expliquer, j'ai bien aimé ce film.
Un espèce d'univers BD/Comics repris dans le film comme objet, c'est pas mal. Après Jesse et Kristen, j'adore les deux.
Je suis juste un peu déçu par le côté huis clos, une sorte de manque d'espace dans ce film, qu'on dirait presque sorti du théâtre. On reste presque sur sa faim. Après c'était peut-être plus osé de maintenir ainsi de l'action, sans déborder tel un blockbuster. Cool, semble être le descriptif approprié.
Un espèce d'univers BD/Comics repris dans le film comme objet, c'est pas mal. Après Jesse et Kristen, j'adore les deux.
Je suis juste un peu déçu par le côté huis clos, une sorte de manque d'espace dans ce film, qu'on dirait presque sorti du théâtre. On reste presque sur sa faim. Après c'était peut-être plus osé de maintenir ainsi de l'action, sans déborder tel un blockbuster. Cool, semble être le descriptif approprié.
Les comédies d'espionnage semblent connaître un retour en force depuis le début de l'année. Après le très étonnant Kingsman (Matthew Vaughn), c'est au tour de Nima Nourizadeh, réalisateur de Projet X, de nous offrir une vision farfelue, totalement « nerd » mais délectable, avec cette comédie romantique où l'action ressemble à un (bon) bad trip cinématographique. Vous l'aurez donc compris : spectateurs hermétiques à toute forme d'action « bête et méchante », ne partez pas tout de suite car, cette fois, nous vous offrons une mixture détonante de styles filmiques aussi variés que déroutants, permettant à American Ultra de convenir à toute personne qui cherche le plaisir du divertissement sans la politique, parfois trop clichée, du film de genre.
Mike Howell, jeune homme paumé et adepte des drogues douces, vit simplement et sans ambition au côté de l'amour de sa vie, Phoebe. Quelle n'est pas sa surprise lorsqu'un soir, alors qu'il se fait agresser par des tueurs surentraînés, il se découvre des facultés de combat insoupçonnées : il est temps, pour lui, de découvrir un passé qu'il avait oublié, plusieurs années auparavant. Si le synopsis ne nous présage rien de plus qu'une histoire d'espionnage classique, les petites mains au service de cette intrigue ordinaire le sont beaucoup moins.
Ainsi, American Ultra a l'avantage de fonctionner à partir d'un scénario qui, sans nous emporter par son originalité, utilise astucieusement les codes de nombreux genres dans un remarquable souci d'efficacité. L'oeuvre provoque simultanément rires, sursauts, émotion et parfois même peur et ne nous permet pas de nous ennuyer une minute. Nourizadeh choisit donc un casting assez étonnant : loin de l'homme séduisant en smoking soigné, un verre de dry martini à la main, c'est Jesse Eisenberg (The Social Network), à la coupe hasardeuse, vêtements « à l'arrache » et joint au bec, qui campe le rôle du super agent aux facultés combatives qui feraient frémir James Bond, lui-même. A l'occasion, le jeune acteur retrouve une ancienne partenaire coup de cœur, avec qui il avait partagé ses épreuves adulescentes dans Adventureland (Greg Mottola, 2008) : Kristen Stewart, tristement célèbre pour son rôle dans la saga Twilight, et force est de constater, qu'une fois encore, la magie opère et que ce couple aux expressions obsessionnelles et compulsives forme un parfait duo, à la fois drôle, romantique et terriblement touchant.
On regrettera, cependant, la tendance autodestructrice d'un réalisateur qui apprécie plus que tout les jeunesses chaotiques et manque, en ce sens, d'une certaine subtilité. Mais ce joyeux « bordel » trouve, finalement, un ordre à travers une bande originale dynamique et bien utilisée, transformant l'action en clips musicaux chamarrés d'onirisme tendant, bien évidemment, vers le pur psychédélisme. Max Landis, jeune scénariste et fils du célèbre John du même nom, nous emmène au rythme des scènes chorégraphiées, vers un hommage aux vieux films de monstres et épopées « King Kongiennes » où la bête, véritable machine à tuer, semble prête à tout pour qu'on lui rende ce qui lui appartient de droit, l'amour de sa vie.
Finalement, American Ultra tient les promesses du film d'espionnage typique en lui enlevant les longues explications ennuyeuses sur les origines de la théorie d'un complot qui n'a que peu d'importance. Le spectateur peut apprécier une comédie savoureuse qui refuse, à tout instant, de tomber dans les facilités caricaturales d'une parodie de genre. L'oeuvre n'est qu'un grand hommage aux amours d'un jeune réalisateur qui, encore à ses débuts incertains, a le mérite d'avoir trouvé une empreinte propre et une capacité à divertir son public ado-adulte.
Mike Howell, jeune homme paumé et adepte des drogues douces, vit simplement et sans ambition au côté de l'amour de sa vie, Phoebe. Quelle n'est pas sa surprise lorsqu'un soir, alors qu'il se fait agresser par des tueurs surentraînés, il se découvre des facultés de combat insoupçonnées : il est temps, pour lui, de découvrir un passé qu'il avait oublié, plusieurs années auparavant. Si le synopsis ne nous présage rien de plus qu'une histoire d'espionnage classique, les petites mains au service de cette intrigue ordinaire le sont beaucoup moins.
Ainsi, American Ultra a l'avantage de fonctionner à partir d'un scénario qui, sans nous emporter par son originalité, utilise astucieusement les codes de nombreux genres dans un remarquable souci d'efficacité. L'oeuvre provoque simultanément rires, sursauts, émotion et parfois même peur et ne nous permet pas de nous ennuyer une minute. Nourizadeh choisit donc un casting assez étonnant : loin de l'homme séduisant en smoking soigné, un verre de dry martini à la main, c'est Jesse Eisenberg (The Social Network), à la coupe hasardeuse, vêtements « à l'arrache » et joint au bec, qui campe le rôle du super agent aux facultés combatives qui feraient frémir James Bond, lui-même. A l'occasion, le jeune acteur retrouve une ancienne partenaire coup de cœur, avec qui il avait partagé ses épreuves adulescentes dans Adventureland (Greg Mottola, 2008) : Kristen Stewart, tristement célèbre pour son rôle dans la saga Twilight, et force est de constater, qu'une fois encore, la magie opère et que ce couple aux expressions obsessionnelles et compulsives forme un parfait duo, à la fois drôle, romantique et terriblement touchant.
On regrettera, cependant, la tendance autodestructrice d'un réalisateur qui apprécie plus que tout les jeunesses chaotiques et manque, en ce sens, d'une certaine subtilité. Mais ce joyeux « bordel » trouve, finalement, un ordre à travers une bande originale dynamique et bien utilisée, transformant l'action en clips musicaux chamarrés d'onirisme tendant, bien évidemment, vers le pur psychédélisme. Max Landis, jeune scénariste et fils du célèbre John du même nom, nous emmène au rythme des scènes chorégraphiées, vers un hommage aux vieux films de monstres et épopées « King Kongiennes » où la bête, véritable machine à tuer, semble prête à tout pour qu'on lui rende ce qui lui appartient de droit, l'amour de sa vie.
Finalement, American Ultra tient les promesses du film d'espionnage typique en lui enlevant les longues explications ennuyeuses sur les origines de la théorie d'un complot qui n'a que peu d'importance. Le spectateur peut apprécier une comédie savoureuse qui refuse, à tout instant, de tomber dans les facilités caricaturales d'une parodie de genre. L'oeuvre n'est qu'un grand hommage aux amours d'un jeune réalisateur qui, encore à ses débuts incertains, a le mérite d'avoir trouvé une empreinte propre et une capacité à divertir son public ado-adulte.
Un drogué qui se révèle être un agent dormant de la CIA, c'est pas spécialement original, mais servi avec un peu (beaucoup?) de dérision , ça donne quelque chose de plutôt sympa.
Le film ne se prend clairement pas au sérieux, ça explose de partout, l’histoire ne tiens pas vraiment debout, mais on s'en fiche.
C'est un bon divertissement, rien de plus.
Le film ne se prend clairement pas au sérieux, ça explose de partout, l’histoire ne tiens pas vraiment debout, mais on s'en fiche.
C'est un bon divertissement, rien de plus.
Comédie divertissante et rythmée, American Ultra n'est pas innovent dans son scénario mais offre quelques éléments de mise en scène stylisés. Via quelques ralentis, quelques jeux d'ombres et de lumières, certains plans se détachent du film. Étonnement pas assez tease et irrévérencieux, American Ultra n'est qu'un simplement divertissement.
https://m.facebook.com/la7emecritique/
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Nicothrash
American Ultra surfe sur un genre relativement nouveau, instauré par Kick Ass et qui fait encore apparemment des émules, on est en effet devant une comédie d'action qui se démarque par des scènes violentes et des effets gores. Si on considère Kick Ass comme la base de ce style de cnéma, American ultra ne sort pas spécialement des sentiers battus. On est sur du classique niveau scénario et même du déjà-vu plus d'une fois (Wanted et Hitman pour ne citer qu'eux ), ce n'est pas très creusé et on mise tout sur les effets comiques et sanglants. De ce côté c'est plutôt réussi, c'est assez drôle et très violent, par contre on n'évite pas les invraisemblances et les lieux communs et malheureusement les périodes de creux non plus. Au fond, ça reste fun, amusant et divertissant mais il ne faut pas aller chercher plus loin. A noter, les prestations intéressantes du duo Stewart/Eisenberg ainsi que quelques seconds rôles lorsqu'ils ne sont pas trop lourds. A voir.
Nyns
Je loupe souvent les films qui sortent l'été s'ils ne sont pas distribués longtemps, et j'ai l'impression que c'est ce qui s'est passé avec cet American Ultra. Quoi que de mémoire il ne m'attirait pas plus que ça. Dommage car finalement le moins qu'on puisse dire est que sa démarche est jusqu’au-boutiste et efficace. J'apprécie le fait que l'on nous serve une mise en situation en trompe l’œil, et que l'histoire par dans un n'importe quoi explosif à coup d'agent dormant, de magouille interne et de sous intrigue. Même si l’intérêt de ce film retombe vite et qu'il ne marquera pas les esprits, il fait le job d'un Teen-Movie survitaminé et sans être pris au sérieux n'en demeure pas moins bien travaillé et appréciable. Il faut dire que Jesse Eisenberg rentre dans la peau de l'anti-héro aussi desservi par son physique rachitique que son manque d'ambition comme dans un gant, et que le duo qu'il forme avec la délicieuse Kristen Stewart fonctionne on ne peut mieux. En un temps record pour un film vite réglé, ils arrivent à donner de l'iconique à leur duo improbable, chapeau les deux. American ben c'est le moins qu'on puisse dire, le film rassemble ce que le cinéma américain peut faire de pire comme de meilleur, mais c'est le plaisir qui l'emporte pour un pop-corn movie original et déjanté.
maxime ...
Un film d'action bien bordélique, sympathique et divertissant ! Kristen Stewart tire son épingle du jeu.
J'ai ressenti une franche déception avec ce film qui démarre si bien. American ultra est accrocheur, la présentation de l'histoire et sa mise en scène moderne, promettent dés le départ un film extra, violent et plein de surprise puis quand la petite surprise en question se dévoile, c'est le soufflet qui retombe. Pourtant le jeune acteur Jesse Eiseinberg a fait du chemin, il a muri et joue dans un registre de film violent car c'en est un. Malheureusement , la cause de tout ce bazar est bidon, on y croit pas et reste une excuse à un déchainement de violence à la fin. On croit revoir "Tueurs nés" version jeunes ados. Même si nos deux acteurs s'en sortent bien à l'ecran, le scénario, lui n'est pas crédible pour un rond.
darkvash
Si vous avez aimé la bande annonce, American Ultra ne vous decevra pas. Scénario simpliste mais réalisation nerveuse et efficace, le film se regarde sans déplaisir.
Les acteurs jouent bien, la durée est suffisante.
Maintenant rien de bien nouveau, l'histoire n'est pas inédite mais le divertissement est bien là.
Les acteurs jouent bien, la durée est suffisante.
Maintenant rien de bien nouveau, l'histoire n'est pas inédite mais le divertissement est bien là.
Un vague souvenir de la BA et du synopsis et un rappel de 1 ou 2 nom(s) du casting, c'est tout ce que j'avais en lançant le film. J'avais juste noté de le voir donc regardons !
Ceci explique pourquoi j'ai été surpris par toute cette explosion de couleurs et le côté ultra-vitaminé du scénario et du visuel. Mais surpris dans le bon sens, c'est-à-dire que j'y suis allé sans plus d'enthousiasme que cela et j'ai de suite accroché.
Ce n'est qu'au générique que j'ai compris comment un film passant aussi inapperçu avait pu réussir à fonctionner comme un film de studios avec de grosses scènes d'action et des explosions régulières, des accessoires chers et des stars en tête d'affiche. 2 noms l'explique :
- Nima Nourizadeh à la réalisation : son premier et précédent film, *Projet X*, avait affoler les compteurs du Box-office et avait eu un écho incroyable.
- Max Landis au scénario : fils de John Landis et surtout scénariste de *Chronicle*, autre gros film récent ayant eu un écho incroyable.
Quand on a ces 2 noms au générique, cela explique pourquoi le film donne l'impression qu'il a bénéficié d'un budget conséquent : ça a sûrement dû être le cas.
Je me suis donc retrouvé face à une comédie d'action, à prendre à plusieurs degrés, assez originale pour le coup (des mecs banals qui se trouvent être des spoiler: espions
, c'est pas nouveau, mais des drogués qui se trouvent être des spoiler: machines à tuer de la CIA
, ça c'est plus original) et avec une identité visuelle forte.
Quant à l'alchimie entre les 2 acteurs principaux, Jesse Eisenberg et Kristen Stewart, si elle ne paraissait pas aller de soi sur le papier, fonctionne parfaitement. Il faut avouer aussi que Jesse Eisenberg est un véritable caméléon et peut s'adapter facilement à n'importe quelle situation. Cela a pu aider à cette alchimie.
Cela dit, cet acteur, même dans une comédie d'action barrée, prend à coeur d'incarner vraiment son personnage et peut faire ressentir au spectateur de la pitié pour son personnages puis, dans la même scène, de la peur à son égard. En effet, Eisenberg est plutôt doué pour se montrer inquiétant et le montre à plusieurs reprises.
Quant à Kristen Stewart, elle n'est pas désagréable mais elle n'est pas exceptionnelle. Je n'ai pas grand chose à dire dessus.
En revanche, Topher Grace est assez horripilant. Le personnage veut ça mais il semble prendre un malin plaisir à le rendre ainsi (enfin j'imagine ...).
American Ultra peut donc se résumer à un mot : vitaminé. Visuellement et scénaristiquement. Cela me convient tout à fait parce que j'aime ce genre de film à l'identité visuelle forte mais qui ne néglige pas pour autant de faire passer un bon moment à ses spectateurs.
Cependant, qui dit identité forte, dit risque de se couper d'une partie du public. Donc, si je puis vous donnez un conseil, regardez la BA avant pour vous assurez que vous pourrez bien accrocher à cet univers qui semble très inspiré des comics américains et de toute cette culture.
Ceci explique pourquoi j'ai été surpris par toute cette explosion de couleurs et le côté ultra-vitaminé du scénario et du visuel. Mais surpris dans le bon sens, c'est-à-dire que j'y suis allé sans plus d'enthousiasme que cela et j'ai de suite accroché.
Ce n'est qu'au générique que j'ai compris comment un film passant aussi inapperçu avait pu réussir à fonctionner comme un film de studios avec de grosses scènes d'action et des explosions régulières, des accessoires chers et des stars en tête d'affiche. 2 noms l'explique :
- Nima Nourizadeh à la réalisation : son premier et précédent film, *Projet X*, avait affoler les compteurs du Box-office et avait eu un écho incroyable.
- Max Landis au scénario : fils de John Landis et surtout scénariste de *Chronicle*, autre gros film récent ayant eu un écho incroyable.
Quand on a ces 2 noms au générique, cela explique pourquoi le film donne l'impression qu'il a bénéficié d'un budget conséquent : ça a sûrement dû être le cas.
Je me suis donc retrouvé face à une comédie d'action, à prendre à plusieurs degrés, assez originale pour le coup (des mecs banals qui se trouvent être des spoiler: espions
, c'est pas nouveau, mais des drogués qui se trouvent être des spoiler: machines à tuer de la CIA
, ça c'est plus original) et avec une identité visuelle forte.
Quant à l'alchimie entre les 2 acteurs principaux, Jesse Eisenberg et Kristen Stewart, si elle ne paraissait pas aller de soi sur le papier, fonctionne parfaitement. Il faut avouer aussi que Jesse Eisenberg est un véritable caméléon et peut s'adapter facilement à n'importe quelle situation. Cela a pu aider à cette alchimie.
Cela dit, cet acteur, même dans une comédie d'action barrée, prend à coeur d'incarner vraiment son personnage et peut faire ressentir au spectateur de la pitié pour son personnages puis, dans la même scène, de la peur à son égard. En effet, Eisenberg est plutôt doué pour se montrer inquiétant et le montre à plusieurs reprises.
Quant à Kristen Stewart, elle n'est pas désagréable mais elle n'est pas exceptionnelle. Je n'ai pas grand chose à dire dessus.
En revanche, Topher Grace est assez horripilant. Le personnage veut ça mais il semble prendre un malin plaisir à le rendre ainsi (enfin j'imagine ...).
American Ultra peut donc se résumer à un mot : vitaminé. Visuellement et scénaristiquement. Cela me convient tout à fait parce que j'aime ce genre de film à l'identité visuelle forte mais qui ne néglige pas pour autant de faire passer un bon moment à ses spectateurs.
Cependant, qui dit identité forte, dit risque de se couper d'une partie du public. Donc, si je puis vous donnez un conseil, regardez la BA avant pour vous assurez que vous pourrez bien accrocher à cet univers qui semble très inspiré des comics américains et de toute cette culture.
Une comédie d'action original mais un peu décevante. Le scenario est brouillon, la distribution convainc à moitié et la mise en scène n'a rien de grandiose. Servit par une dose d'humour noir, ce " Jason Bourne " pour ados ne vaut que pour la prestation de son duo principale. Un divertissement basique et déjanté.
Cinéphiles 44
Si le film a été réalisé par le même que Projet X, il n’en est pas pour autant un navet. Nima Nourizadeh nous offre un scénario plutôt original racontant la double vie d’un couple has been et défoncé aux stupéfiants. Par logique, American Ultra est une comédie barrée mais qui nous envoi aussi des sensations fortes plein la vue. Pour une fois, l’humour beauf fait beaucoup rire grâce à un second degré inimaginable. Si le fond manque surement de richesses, la mise en scène sans répit est loufoque et capte totalement l’attention. Même l’irritable Kristen Stewart parvient à nous faire rire. Mais c’est vraiment Jesse Eisenberg qui dégage une prestance invraissemblable. American Ultra est un mélange de comédie, d’action , d’horreur et même de drame qu’il fait bon de voir entre amis.
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Ciné2909
Après avoir organisé la plus grosse fiesta avec Projet X, notre pote Nima Nourizadeh met le pied dans l’action avec American Ultra. L’histoire d’un mec lambda qui se transforme soudainement en une incroyable machine à tuer ce qui n’est pas sans nous rappeler un film comme Wanted : Choisis ton destin. Ici aussi on a droit à une réalisation dynamique avec des scènes d’action à la violence exacerbée mais on déplore tout de même un scénario qui manque clairement d’éclat. Le couple formé par Kristen Stewart & Jesse Eisenberg nous offre ainsi un petit divertissement qui n'a cependant rien d'extra et encore moins d'ultra.
blacktide
Le Jason Bourne Junkie !
American Ultra c'est un film qui a tout pour être fun mais qui n'exploite pas tout son potentiel. Le film plonge rapidement dans le mélodrame et la romance et délaisse par moment ce côté énergique et trépidant qui faisait notamment le charme de Kingsman. On aurait aimé retrouver cette ambiance constante de fun (de Kingsman) dans American Ultra. Certaines scènes restent cependant ultra jouissive comme celle du supermarché filmée en plan séquence où Jesse Eisenberg défonce tous à coup de poêles et sachet de biscuits... Cette scène plutôt mineure dans la durée générale du film aurait dû servir d'exemple à appliquer au film entier.
Basé sur un scénario classique, déjanté et d'une imagination débordante, ce teen-movie sanglant ne décolle jamais. A la place de se démarquer en employant un festival d'action absurde à gogo, le film se contente de la norme et le côté absurde recherché à la base n'a plus aucun sens. Mordant se conjugue avec désenchantement ; eh oui il y a pas assez de tripes là dedans. Le duo Eisenberg/Stewart fonctionne du tonnerre en couple à la fois explosif et attachant. Les seconds rôles complètement déjantés (Walter Coggins en rieur, énorme) contribuent aussi au ton délirant du film qui, on ne va pas se le cacher, apportent du rythme à l'ensemble.
Pour le coup, je reste un peu déçu par ce film pourtant très prometteur, divertissant et rondement mené mais qui manque véritablement de la touche "ULTRA", se contentant seulement d'être COOL.
Mais bon malgré ses nombreux défauts, on aime American Ultra parce qu'il ne se prend pas au sérieux (c'est comme dans Projet X) et après tout, on passe quand même un bon moment !
American Ultra c'est un film qui a tout pour être fun mais qui n'exploite pas tout son potentiel. Le film plonge rapidement dans le mélodrame et la romance et délaisse par moment ce côté énergique et trépidant qui faisait notamment le charme de Kingsman. On aurait aimé retrouver cette ambiance constante de fun (de Kingsman) dans American Ultra. Certaines scènes restent cependant ultra jouissive comme celle du supermarché filmée en plan séquence où Jesse Eisenberg défonce tous à coup de poêles et sachet de biscuits... Cette scène plutôt mineure dans la durée générale du film aurait dû servir d'exemple à appliquer au film entier.
Basé sur un scénario classique, déjanté et d'une imagination débordante, ce teen-movie sanglant ne décolle jamais. A la place de se démarquer en employant un festival d'action absurde à gogo, le film se contente de la norme et le côté absurde recherché à la base n'a plus aucun sens. Mordant se conjugue avec désenchantement ; eh oui il y a pas assez de tripes là dedans. Le duo Eisenberg/Stewart fonctionne du tonnerre en couple à la fois explosif et attachant. Les seconds rôles complètement déjantés (Walter Coggins en rieur, énorme) contribuent aussi au ton délirant du film qui, on ne va pas se le cacher, apportent du rythme à l'ensemble.
Pour le coup, je reste un peu déçu par ce film pourtant très prometteur, divertissant et rondement mené mais qui manque véritablement de la touche "ULTRA", se contentant seulement d'être COOL.
Mais bon malgré ses nombreux défauts, on aime American Ultra parce qu'il ne se prend pas au sérieux (c'est comme dans Projet X) et après tout, on passe quand même un bon moment !
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