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FaRem
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2,5
Publiée le 10 novembre 2015
Un film avec un certain potentiel qui n'est malheureusement jamais exploité. Je ne m'intéresse jamais aux bandes-annonces ni aux synopsis donc je ne savais pas de quoi ça parlait ce qui fait que j'étais un peu perdu au début vu qu'il n'y a aucun indice sur ce qui peut arriver jusqu'à l’élément déclencheur qui lance très bien le film seulement une fois l'idée générale installée, qui m'a fait penser à la série "Chuck", le réalisateur ne revient jamais dessus et ne la développe pas non plus ce qui m'a laissé un goût d'inachevé. Pour autant, le film réussi à être quand même divertissant grâce à un bon rythme et pas mal d'action (fusillades, explosions), mais comme l'histoire est peu intéressante et pas développée, ça reste un film sympa sans plus.
Je n'en attendais pas grand-chose, en tout cas beaucoup moins que certains films de cet été 2015, et finalement c'est peut-être celui-ci dont je sors le plus satisfait ! Alors attention, cela reste assez basique, gratuit voire un peu vain, mais si vous aimez les divertissements déjantés n'ayant pas peur de l'excès et des situations délirantes, « American Ultra » fait le job sans sourciller. L'œuvre parvient même à trouver un équilibre assez étonnant entre sérieux à toute épreuve et humour "destroy", si bien que les deux ont parfois tendance à se mélanger sans que l'on s'en rende vraiment compte. Le scénario a beau être ainsi modeste, il reste suffisamment barge pour qu'on se laisse porter jusqu'au bout, le tout sur un rythme assez punchy et fort de quelques seconds rôles vraiment réussis (la belle Connie Britton en tête). Après, j'oublierais sans doute ce joyeux bazar assez vite, mais j'ai passé un moment sympa et sans prise de tête : je m'en contenterais aisément.
Second long-métrage pour Nima Nourizadeh, qui s’était fait connaître avec le retentissant Projet X (2012).
Avec American Ultra (2015), il réunit un séduisant duo, en la personne de Jesse Eisenberg & Kristen Stewart et ça s’arrête là. En effet, l’entièreté du film pose sur un scénario laborieux et indigent, à travers lequel le réalisateur tente de faire coexister bon nombre de personnages tous plus ridicules les uns que les autres. Sans oublier l’absence de crédibilité, concernant les protagonistes ou le scénario, rien n’est fait pour nous aider à y croire.
Si vous avez déjà vu son précédent film, vous savez de quoi est capable Nima Nourizadeh (teen-comedy écervelée), il ne fallait pas s’attendre à un film d’action digne de ce nom, et ce, malgré une classification "R" qui aurait pu rassurer…
Le film se voulait drôle ? On attendait d’y esquisser ne serait-ce qu’un sourire mais trop tard, c’est déjà le générique de fin.
On ne s’étonnera même pas de son résultat catastrophique (et le mot est faible) au box-office (US & mondial).
Second long métrage pour le réalisateur (fils d'un politicien iranien pour l'anecdote) qui fut remarqué grâce à "Projet X" (2012), cette fois il réalise une comédie d'action déjantée surfant ainsi sur un sous-genre en verve en ce moment. C'est fun, parfois amusant, parfois assez jouissif mais on atteint certainement pas le niveau de qualité d'un "Kingsman" (21015) de Matthew Vaughn. Une comédie d'action sympa mais qui ne restera pas dans les mémoires.
J’y suis allé un peu à l’arrache, simplement attiré par cet étonnante association entre Nima Nourizadeh (le réalisateur de « Projet X »), Jesse Eisenberg et Kristen Stewart. Je ne savais pas trop de quoi cela parlait, mais je dois bien avouer qu’assez rapidement je me suis retrouvé assez intrigué par cette histoire un peu fon-fon, susceptible de basculer dans n’importe quoi. Et pour le coup, je dois bien reconnaitre un certain savoir faire à l’ami Nourizadeh puisqu’il fait avec ce postulat de base quelque-chose que j’aime beaucoup : il fait un numéro d’équilibriste. Il jongle sans-cesse entre un traitement sérieux et rigoureux de son intrigue d’un côté tandis qu’il n’oublie pas de nous rappeler par intermittence que cette histoire est tout aussi absurde et risible que ce que le cerveau « stupéfié » du héros est capable de pondre. De même, je dois bien avouer que j’apprécie assez la forme, là aussi bon équilibre entre un montage déjanté et des plans très propres et bien pensés, avec quelques scènes assez iconiques. Alors, ça ne casse pas trois pattes à un canard ; tout cela reste quand même bien basique ; mais il y a quand-même là-dedans un état d’esprit sympa qui rappelle un peu à la fois « Kick-Ass » et « Utopia » sans atteindre pour autant ces deux modèles. Au moins c’est bien mené et cohérent avec lui-même. Moi personnellement, j’adhère…
Mike Howell est un jeune homme simple qui aime fumer de l'herbe et passer du temps avec Phoebe, sa petite amie. Mais Mike ignore encore qu'il est une arme très puissante, un agent secret dormant que la CIA veut éliminer. Une des cadres de l'agence décide alors de passer outre ses ordres et "active" Mike pour le protéger... Comédie d'action écrite par Max Landis, "American Ultra" est typiquement le genre de film qui se veut "cool" par son humour décontracté et ses scènes d'action improbable. Si la recette a déjà fonctionné sur des films comme "Kick-Ass" ou "Kingsman", ici la sauce ne prend pas. Scénario bancal, personnages difficilement attachants (malgré le talent de Jesse Eisenberg et Kristen Stewart qui ne sont pas totalement au sommet de leur forme ici) et mise en scène à vous filer mal au crâne, le film a du mal à fonctionner à plein tubes comme il le voudrait. Si l'on retiendra quelques répliques et scènes sympas (une scène d'action dans un supermarché quasiment tournée en plan-séquence), la frénésie voulue par le réalisateur ne parvient pas à décoller.
La bande-annonce est trop vendeuse comparé au résultat du film ! Un mec camé qui vit avec sa copine se fait attaquer car c'est un ancien agent à la mémoire effacée, il tue et appelle sa copine en ne comprenant pas comment il a réussi à tuer, est à deux doigts de se pisser dessus, ça a l'air décalé et trash, mais pas du tout ! On ne peut pas tous avoir le talent de Matthew Vaughn (Kingsman, Kick-Ass
"American Ultra" se résume à une galerie de personnages géniaux lâchés dans un récit qui n'est jamais à leur hauteur.
N'arrivant jamais à atteindre le côté décalé qu'il souhaiterait tellement mettre en exergue, le film de Nima Nourizadeh se retrouve alors "le cul entre deux chaises" : jamais vraiment hilarant hormis quelques sourires (merci Walton Goggins !) et plombé par un scénario d'une banalité sans nom ne réservant pas la moindre surprise. Seules les séquences romantico-dramatiques parviennent à s'extirper de ce côté prévisible qui colle au film grâce au charme de son couple de personnages principaux attachants et interprétés par des Jesse Eisenberg et Kristen Stewart convaincants.
Mais sinon, l'ennui pointe souvent le bout de son nez, même l'aspect "comédie stone" mis en avant pour la promotion du film reste très en retrait, juste prétexte à deux ou trois vannes. On se retrouve devant un long-métrage très bancal, pas désagréable à suivre au demeurant, mais où l'on ne peut s'empêcher de penser que le réalisateur de "Projet X" a voulu à tout prix prouver qu'il pouvait lui aussi diriger un "vrai" film comme un grand.
Dommage, car, à part une chouette séquence de baston au supermarché, il aurait fallu une intrigue bien plus solide pour qu'on en retienne plus de cet "American Ultra". Il n'en résulte qu'un beau gâchis de personnages très attachants qui, à eux seuls, assurent heureusement un minimum de spectacle.
La drogue dans la peau !!! Seconde production pour le réalisateur de Projet X, American Ultra est une comédie d'action satisfaisante mais on aurait souhaité trouver un tout petit peu plus de mordant, à la Zombieland. On nous raconte ici spoiler: l'histoire d'un jeune homme qui a été le sujet d'une expérience de la CIA afin de le transformer en un sujet agent. C'est un genre de caricature des Bourne et autres films d'espionnage qui traite de la même thématique. Bien que tout le concept soit parfaitement loufoque et que l'agent débranché en question soit devenu un gars sans cervelle, l'ensemble conserve de trop de facilité pour séduire le cinéphile. Il faut dire par contre, que Jesse Eisenberg (le futur Lex Luthor) et Kristen Stewart (la Bella de Twilight) forment un beau couple de drogués avec un charme irrésistible. Topher Grace est aussi plutôt habile dans le rôle du méchant qui veut éliminer l'espion désactivé à tout prix et John Leguizamo est drôle dans sa performance. Beaucoup de séquences d'action au sein du récit, spoiler: celle du supermarché est bien orchestrée. Elles sont efficaces et sanglantes ! L'humour trash, décomplexé est au rendez-vous accompagnée d'une bande son sympathique. Une atmosphère nocturne intéressante qui apporte une certaine angoisse envers le spectateur. Pour tout vous dire, American Ultra est une comédie d'action prévisible mais assez prenante qui ravira les amateurs du genre. Face à Kingsman en début d’année, cet American Ultra ne fait pas le poids ! Mais, il s'avère un bon divertissement.
La volonté affichée d’« American Ultra » était clairement d’être au film d’espionnages type « La Mémoire dans la peau » et ses suites ou encore le prochain « Hitman » ce que « Kick-Ass » était aux films de super-héros. C’est-à-dire sa version décérébré, badass et complètement dingue. Mais « American Ultra » oublie une chose : il y a eu « Kingsman » en début d’année. Et niveau film d’espionnage qui se la joue cool, il était vraiment difficile de passer après un tel monument de coolitude sachant aussi bien allier humour, action, références, hommage et parodie. Et, tiens, qu’ont en commun « Kingsman » et « Kick-Ass » ? Le même réalisateur Matthew Vaughn qui semble donc être le porte flambeau du dézinguage des genres ! Mais n’est pas Matthew Vaughn qui veut ! Certes, ici, on ne lésine pas sur la violence et les gros mots. Les scènes d’action sont constamment inscrites dans un contexte humoristique et chaque moment trop sanglant ou s’annonçant sérieux est désamorcé par une blague ou un gag visuel. Le second degré est roi et on joue avec les codes du film d’espionnage pour en accentuer les effets (toujours plus improbables) tout en restant dans un contexte plus minimaliste (l’action est confinée dans une petite bourgade anonyme). Rien que de prendre Kristen Stewart et Jesse Eisenberg comme agents dormants souligne la volonté du film de casser les codes. Leurs rôles à contre-emploi leur vont comme des gants. Mais la sauce ne prend jamais vraiment. Les scènes d’action sont impeccables et folles comme il faut (le final dans le supermarché rappelle d’ailleurs une version barrée de celle du récent « Equalizer ») mais l’humour est plus forcé. Et bizarrement on a tendance a trouvé cela bête dans le mauvais sens du terme. « American Ultra » n’a jamais l’ampleur souhaitée et ne contient pas assez de scènes mémorables et inoubliables pour devenir culte. En l’état, c’est juste une petite comédie d’action un peu cintrée et nerveuse qui fait passer un bon moment mais qui n’atteint jamais son but. Un film à consommation rapide comme l’était le premier film du réalisateur Nima Nourizadeh, « Projet X ». On s’y éclate gentiment mais on l’oublie très vite.
American Ultra : Une comédie d’action bien délirante et surprenante qui fait beaucoup plus film que Projet X. Car oui, c’est le réalisateur de celui-ci qui nous livre une œuvre de chaos bien déjanté comme il le faut, ça marque est la mais je trouve que c’est plus abouti que Project X mais bon aussi, ça n’a rien avoir a part le délire commun. Puisque la, pour la petite histoire, c’est un mélange entre Jason Bourne et Very Bad Trip car tous ce concentre en 1 jour, et pour le délire aussi. Car, c’est un jeune amateur de pétard dans tous les sens du terme qui vie tranquille avec sa petite amie jusqu’au jour ou il est attaqué par la CIA et il se voit découvrir des compétences de tueur incroyable, ses instincts lui revint mais pas la mémoire. Et c’est la que la chasse a l’homme commence et coté action, ça assure, c’est bien barré, sanglant comme il le faut. Faut dire que la mise en scène a du style avec de beau ralenti et des combats bien chorégraphiés et nerveux. Et pour revenir au scénario, les personnages sont bien sympas, surtout le héros qui est un peu décalé, un peu fêlé avec ses crises… Et pour l’ambiance globale et le scénario, c’est complètement barré mais c’est cohérent. Et les acteurs sots formidables et crédibles et le duo marche a merveille. Donc voila, ça a du style, ça tape dedans, c’est parfois marrant grâce aux personnages donc on en redemande, et le délire est assumé jusqu’au générique : c’est good.
Si le film a été réalisé par le même que Projet X, il n’en est pas pour autant un navet. Nima Nourizadeh nous offre un scénario plutôt original racontant la double vie d’un couple has been et défoncé aux stupéfiants. Par logique, American Ultra est une comédie barrée mais qui nous envoi aussi des sensations fortes plein la vue. Pour une fois, l’humour beauf fait beaucoup rire grâce à un second degré inimaginable. Si le fond manque surement de richesses, la mise en scène sans répit est loufoque et capte totalement l’attention. Même l’irritable Kristen Stewart parvient à nous faire rire. Mais c’est vraiment Jesse Eisenberg qui dégage une prestance invraissemblable. American Ultra est un mélange de comédie, d’action , d’horreur et même de drame qu’il fait bon de voir entre amis. D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
Première partie du film : Longue, elle décrit la vie terne de Mike et Phoebe. Ils s'aiment et mènent chacun une petite vie paisible amoureuse sans grand intérêt. Un jour, Mike découvre sa vie antérieure, celle d'un agent secret dormant. L'action arrive après au moins 20 minutes de film ! Heureusement, les chorégraphies sont pro et les personnages sont loin d'être stupides, surtout les rôles secondaires. L'humour sonne juste pour une telle comédie-action. Mike est crédible, il offre un aspect schizophrène intéressant et bien exploité. Le film manque cependant d'un rythme soutenu et nous offre des flash-back mal fichus. On a l'impression qu'il va démarrer à chaque action, mais le tout s'estompe trop vite et repart dans du blabla inutile avant la prochaine action.
Je trouve que c'est un film super divertissant, sympa, marrant, décontracté. Surtout ne pas se fier aux grincheux qui n'ont pas pu et pas su savourer ce film. Moi qui n'aime pas trop la violence, je reconnais qu'il y en a pas mal mais le scénario est original, inventif, et l'ambiance générale du film m'a fait passer un excellent moment de détente.
C'est une histoire d'arbre et de voiture. Voilà comment Machin (enfin "Mike Howell") pourrait raconter leurs aventures (il le fait d'ailleurs !) à Machine, sa petite amie (enfin "Phoebe Marson"). C'est une histoire d'agent dormant réveillé (ne cherchez pas à comprendre pourquoi, au juste..), un (méga super) agent tout à fait improbable, en particulier au plan des performances physiques concevables (laideron petit et frêle, baba cool attardé adepte de la fumette). C'est une parodie. Pourquoi pas ? Mais lourdingue et ULTRA répétitive dans les "péripéties" (concentrées à Liman, Va - une bourgade fantôme et endormie). Du gore, comme s'il en pleuvait - pour toute imagination scénaristique. Comme on est loin, par exemple, d'un "Kingsman".... Le duo de vrais/faux losers (Mike/Eisenberg et Phoebe/Stewart) sauve un peu les choses - ils sont bien dans leur personnage, l'un et l'autre.