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Lolo plays on
81 critiques
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2,5
Publiée le 19 septembre 2021
Un concept astucieux, assez original, même si les films de fantômes ont fait flores à Hollywood, toutes époques confondues ... les films de boxe aussi, d'ailleurs, mais plus rarement les deux en même temps. Malheureusement beaucoup d'interprètes sont sous-employés, à commencer par Edward Everett Horton, dont on se demande bien où est passé le génie comique. Pour faire bref, l'idée de départ n'a pas été exploitée à sa juste mesure. James Gleason dans le rôle du personnage que personne ne croit s'agite énormément pour générer des effets comiques, mais la mayonnaise ne prend pas vraiment. Regardable, mais sans plus.
J'ai trouvé cette comédie réussie avec un bon scénario, une photographie tout à fait correcte et un zeste d'humour qui rend le tout tout à fait plaisant. Les acteurs sont convaincants et l'histoire assez originale.
Une découverte et un régal pour moi. Un postulat de base sophistiqué, qui entraîne des situations d'une grande drôlerie. A mon avis, l'idée du milliardaire qui veut disputer un championnat du monde de boxe a dû inspirer celle du milliardaire qui veut devenir un champion d'Ultime Combat" dans Friends.
Il parait que cette insupportable niaiserie a beaucoup amusé les américains à sa sortie. Il n'y a pourtant pas de quoi s'affoler : exagérément bavard, lourdingue, inintéressant, (pour ne pas dire ridicule), et réalisé "à la paresseuse". Les personnages n'ont rien du tout d'attachants, Claude Rains joue de façon inconsistante un personnage débile, et Robert Montgomery semble constamment se demander ce qu'il doit dire ou faire. Au secours !
Un petit bijou de la comédie américaine, dans laquelle évolue une kyrielle de délicieux acteurs. Le film possède un excellent tempo, une belle photographie, et recèle de scènes croustillantes.
Si Le défunt récalcitrant (1941) est le principal titre de gloire d'Alexander Hall, on n'ose pas imaginer ce qu'a été le reste de la carrière de ce prolifique auteur de comédies. La réalisation plate et l'interprétation terne de R. Montgomery ne sont pas à la hauteur de l'originalité du sujet. W. Beatty en fera un remake plus abouti sous le titre Le ciel peut attendre (1978).