AlloCiné
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Votre avis sur Final Hours ?
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Sur le fond, le film est ridicule: pourquoi s'emmerder à sauver quelqu'un, sachant qu'à la fin de la journée, tout le monde va mourir ?! Donc on voit tous les autres faire ce qu'ils veulent: sexe, fête, drogue, bruit et dégoût de voir une petite fille mêlée à ça. Certains jeux sont grotesques (la blonde en maillot de bain la, une horreur), et l'intérêt du film est léger. La gamine est attachante c'est vrai, mais pas suffisant pour qu'elle nous procure un intérêt immense. J'ai même été plus happé par les muscles de l'acteur principal. La fin est attendue certe, mais pour une fois qu'on a pas un vieux Happy end pourri, c'est plaisant. Et mention spéciale pour les images sublimes du film.
excellent divertissement, aucun ennuie. bonne histoire de fin du monde. Tout est concordant dans ce film
Nicothrash
Une vision assez originale pour ce thriller pré-apocalyptique qui s'il a un budget serré ne manque pas d'idées. Je m'attendais à une petite tuerie au vu des critiques mais c'est un peu en dessous de mes attentes. Ce n'est en premier lieu pas très bien joué et les personnages manquent cruellement de profondeur. Pour autant l'émotion réussit à filtrer de temps à autre et le fait qu'il n'y ait pas de l'action à tire-larigot nous laisse le temps de réfléchir et de nous mettre à la place des personnages. Ce n'est clairement pas une révolution mais ça reste sympa à découvrir et la vision d'ensemble change un peu des nombreux métrages sur le sujet.
Final Hours est un film plutôt rare en son genre, pas par son thème, la fin du monde, ça on connait, mais la façon dont Zak Hilditch traite le sujet, c'est là qu'est la nuance et où les avis divergents. On est pas dans les effets visuels ou le spectacle haut en couleur, on est simplement dans l'état d'esprit que chacun pourrait éventuellement avoir si quelque chose comme ça se produisait. L'aspect psychologique des gens, l'anarchie totale des dernières heures, les enfants, les jeunes, les adultes, les personnes âgées, on voit un peu tous les plans. C'est assez bien réalisé pour que l'on se prenne au jeu et que l'on suive avec beaucoup d'attention James dans ces dernières heures. Tout est dit dès le départ et pourtant on reste surpris et émotionné par ce qu'il se passe dans cette réalisation australienne peu connue mais qui vaut le détour de par son originalité et sa puissance.
Si le sujet de la fin du monde n’est pas nouveau – il a déjà été traité sous le même angle poétique dans le Last Night de Don McKellar en 1998 – il faut bien avouer que le petit nouveau Zak Hilditch s’y entend pour créer une ambiance. Il utilise des ressorts similaires à ceux de Danny Boyle, à savoir une image colorée, des montées en puissance sonores qui donnent le frisson et des personnages typés qui finissent par se révéler moins bruts de décoffrage que prévu. L’image est superbe, les situations se révèlent de plus en plus poignantes au fur et à mesure et cette histoire de paternité vécue en accéléré, comme par procuration, est finalement très touchante. Loin d’être uniquement un objet cool ou un film de genre basique, Final Hours est surtout devenu une bête de festival, et on comprend aisément pourquoi. Dommage que les exploitants ne donnent plus leur chance à des œuvres ambitieuses de ce type.
Film catastrophe avec une fin progressive et inéluctable pour tous. Il y a des clichés sordides mais ils ne sont pas l'essentiel et servent plutôt à l'histoire qui est celle d'un homme qui sauve une fillette et c'est un road movie intimiste. Le film parle des choix d'une personne qui est confuse et répond à son environnement ses pensées, ses sentiments, des circonstances, ses amis, sa famille, la folie, le désarroi. C'est un film qui a des péripéties assez finement faites pour montrer le procédé et la valeur de ses choix L'acteur principal Nathan Philips qui est australien le tout étant australien est très bien dans le rôle. Une mention très bien aussi pour le titre en français qui enlève juste These à l'anglais en restant très compréhensible et juste.
Des films sur la fin du monde il y en a eu des tas, des films qui traite de façon aussi intimiste et humaine les quelques heures avant une fin du monde programmée et inéluctable, il y en a moins et des réussis encore moins.
Par chance, celui ci s'en sort bien! Un personnage principal sorte de loubard au grand coeur finalement qui face à la mort revois ses priorités, des effets spéciaux absents (et finalement on ne s'en plaint pas), des acteurs crédibles tout autant que les situations présentées font la force de ce film tout simple qui à le mérite aussi de nous faire nous questionner sur ce que nous, nous ferions dans une telle situation.
A voir
Par chance, celui ci s'en sort bien! Un personnage principal sorte de loubard au grand coeur finalement qui face à la mort revois ses priorités, des effets spéciaux absents (et finalement on ne s'en plaint pas), des acteurs crédibles tout autant que les situations présentées font la force de ce film tout simple qui à le mérite aussi de nous faire nous questionner sur ce que nous, nous ferions dans une telle situation.
A voir
Ce genre de film invite à se projeter et à se mettre dans la peau des protagonistes. Il en découle un sentiment de mélancolie, de tristesse, et d'impuissance qui aide à adorer ce film. Comme le dirait "I am" : Qu'est ce qu'on peut faire, qu'est ce qu'on peut dire ?
Un road-movie sur fond d'apocalypse...
Très peu de moyens sur ce film qui en fait raconte l'histoire d'un homme qui essaie de s'offrir un semblant de rédemption sur le peu de temps qu'il lui reste à vivre.
Ca se laisse regarder, la lenteur n'est pas sans rappeler "The Rover" (d'ailleurs les deux films sont australiens), ce n'est pas forcément mauvais ni vite oublié mais ça ne restera pas dans les annales...
Très peu de moyens sur ce film qui en fait raconte l'histoire d'un homme qui essaie de s'offrir un semblant de rédemption sur le peu de temps qu'il lui reste à vivre.
Ca se laisse regarder, la lenteur n'est pas sans rappeler "The Rover" (d'ailleurs les deux films sont australiens), ce n'est pas forcément mauvais ni vite oublié mais ça ne restera pas dans les annales...
Les petits formats ont la côte comparé à certains œuvres longues et ennuyeuses : ici la fin du monde se fait simplement et efficacement !
Le partie pris tourné vers les personnages et leurs relations, dans ce road-movie au bord de l'apocalypse, prend aux tripes. et se laisse vivre.
Moins violent que La Route, mais plus basé sur ce côté dramatique dont la fin justifie toutes ces possibilités de choix humains, on se laisse entraîner par le charisme de ce personnage principal dans ses choix à lui sur "avec qui et où en finir".
Le partie pris tourné vers les personnages et leurs relations, dans ce road-movie au bord de l'apocalypse, prend aux tripes. et se laisse vivre.
Moins violent que La Route, mais plus basé sur ce côté dramatique dont la fin justifie toutes ces possibilités de choix humains, on se laisse entraîner par le charisme de ce personnage principal dans ses choix à lui sur "avec qui et où en finir".
Un film sans prétention sur la fin du monde vécu par un gars un peu paumé. Le grand mérite de ce film est d'éviter de tomber dans du déjà vu et d'éviter aussi certains clichés du genre.
C'est la fin du monde. C'est la fin du monde depuis de nombreuses années, depuis de nombreux films. On se voit mourir régulièrement - petite mort -, quelque part dans notre subconscient. On nous fait mourir sans qu'on ne nous demande notre envie. On nous fait mourir parce que ça impressionne et que ça fascine, notre mort. Parfois encore, on nous fait mourir parce qu'on veut nous faire comprendre qu'il n'y a plus d'espoir et que l'humain s'est éteint avec tout ce qu'il représente. Puis enfin, parfois on nous fait mourir pour nous dire qu'il reste encore quelque chose à sauver, un petit quelque chose de rien du tout, une infime part de nous-même que l'on souhaite à tout prix dévoiler le jour de ladite mort. These Final Hours dévoile cet aspect de l'humain, quoiqu'il en fasse après. L'intention est belle, et Zak Hilditch nous le montre en conséquence. Dommage que certains détails ne viennent tuer cette mort tranquille, car sans eux, nous l'aurions bien accepté sans mot dire. La relation James/Rose est bien construite, mais on la veut plus développée, on veut que Rose se confie plus sur sa personnalité et nous dise pourquoi on s'attacherait à elle, pas seulement car c'est une fillette, ce serait trop simple, mais parce qu'elle est qui elle est et ne nous laisse pas d'autres choix que de l'aimer. Alors, on veut proposer l'inspiration "The Last of us" pour ce type de relation filiale adoptive, mais on ne peut pas exiger une telle qualité partout. On se contente pourtant de ce que l'on nous tend, et c'est déjà pas mal, vraiment. These Final Hours est plein de bonnes idées et d'intentions bienveillantes, malgré cette tragédie de fin du monde, libératrice pour beaucoup, qui met chacun en phase avec sa vraie personnalité avant d'y passer. Surprenant par son originalité banale. A voir.
Une ambiance étrange, entre action de survival sur la première partie, crédible et pas trop glauque non plus, et angoisses liées à la condition humaine sur la deuxième partie, l'instinct grégaire, les liens familiaux. Parce qu'apocalypse ou pas, toute la force du film est dans le questionnement sur la séparation. En cela, il est vraiment intéressant.
Le cinéma australien prouve une nouvelle fois toute sa puissance avec ce film au budget limité. Cette parabole philosophique, bien avant d'être un film d'action, de science-fiction ou d'anticipation, montre qu'au moment où il n'y plus lieu d'espérer quoi que ce soit, il reste toujours une place pour l'amour, le pardon et la rédemption. C'est beau, c'est dur; mise en scène, interprétation et musique atteignent parfaitement leur cible. Oh oui, il faudra préparer des mouchoirs.
Road movie sur fond de fin du monde, Final Hours est un film assez trash.
spoiler:
la gamine droguée.
Comment chacun réagit alors qu'il se sait condamné ? Cet anti-héro s'entiche d'une enfant qui a perdu son père. Au gré des péripéties, il va devenir son protecteur jusqu'au twist final (d'ailleurs les acteurs incarnant James et Rose jouent très bien). Le film est très correct, il se démarque des blockbusters américains avec les effets spéciaux qui en mettent plein les mirettes mais il n'est pas parfait. La BO est horrible et il y avait pleins de musiques mieux que la techno pour symboliser la fin du monde, de même que je ne suis franchement pas convaincu par l'actrice interprétant Vicky mais qui n'est pas forcément bien aidée par la VF.
Comment chacun réagit alors qu'il se sait condamné ? Cet anti-héro s'entiche d'une enfant qui a perdu son père. Au gré des péripéties, il va devenir son protecteur jusqu'au twist final (d'ailleurs les acteurs incarnant James et Rose jouent très bien). Le film est très correct, il se démarque des blockbusters américains avec les effets spéciaux qui en mettent plein les mirettes mais il n'est pas parfait. La BO est horrible et il y avait pleins de musiques mieux que la techno pour symboliser la fin du monde, de même que je ne suis franchement pas convaincu par l'actrice interprétant Vicky mais qui n'est pas forcément bien aidée par la VF.
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