Un film assez réaliste sur l'arnaque à l'adoption. On se laisse entraîner dans cette dramatique aux ficelles bien visibles aussi. Ca parait un peu trop facile mais bon, il faut une fin hollywoodienne aussi. Pas mal donc.
Le synopsis donnait pourtant envie. Le début semblait nous mener sur un thriller "énervé". En fait pas du tout. Le rythme est nul. Le jeu est nul. la direction d'acteurs est nulle. Évitez de perdre une heure trente sur ce film.
le scénario est mal ficelé (dommage) car l'histoire qui y est traité est peu commune.la bande son n'est pas au rendez-vous.les acteurs ne sont pas convaincants.note:12/20
Un film de kidnapping banal à l'intrigue puérile et convenue. Même avec les efforts de John Cusack l'ensemble reste plat, mais regardable tout de même.
Nul ! Scénario bâclé et truffé d'incohérences. Le thème du trafic d'enfants n'est qu'un prétexte au lieu d'être le sujet central du film. Un navet de plus pour Cusack, dommage.
DTV bidon qui traite d'une arnaque à l'adoption , mal joué, mal filmé , ça vaut left behind avec Cage, c'est pour dire , vous noterez les quelques effets spéciaux dignes d'un film sur NRJ 12
Il n'y a pas de synopsis donc je résume c'est l'histoire d'un couple qui se rend à Porto Rico pour finaliser l'adoption d'une petite fille mais le bonheur de la famille ne dure pas longtemps car l'enfant disparaît, le couple se rend alors compte qu'ils sont victimes d'une arnaque. L'histoire de l'adoption qui tourne mal est quelque chose de déjà vue mais pourtant l'histoire est quand même "captivante" du moins au début mais pas sur la longueur et c'est bien là le problème de ce film c'est qu'il sonne trop comme un simple DTV sans ambition voir même comme un téléfilm d'ailleurs ce n'est même plus étonnant de voir John Cusack dans ce genre de production. Pendant la majeure partie du film on fait abstraction des défauts mais au plus l'histoire avance au plus je me suis ennuyé même dans le final où le rythme est plus élevé mais la banalité de l'ensemble à eu raison de l’intérêt du film.
Le thriller Reclaim s'ouvre sur l'adoption d'une orpheline haïtienne par un riche couple d'Américains, à Porto Rico. La photographie est très soignée, et met parfaitement en valeur les plages de Porto Rico, sa nature verdoyante et son univers urbain plein de contrastes. Niveau performance, j'ai trouvé Ryan Philippe très léger ; John Cusack (La ligne rouge, Dans la peau de John Malkovich, Le Majordome), seule vraie tête d'affiche de ce casting, s'en sort au contraire très bien. Le film à le mérite de nous intéresser à un sujet pas si traité que ça, le trafic d'enfants (plus d'1,6 million par an apparemment).
Mais voilà, Reclaim est trop gourmand : le Real Alan White, soucieux de l'esthétique de son film, en fait un peu trop, comme ce travelling au travers du prisme d'un verre, qui honnêtement n'apporte rien à la scène et menace même de déplacer l'attention du spectateur. Le montage est hyper dynamique (notamment quand il met deux actions séparés en parallèle), mais exagère sur certains procédés (les ralentis ou encore l'insert, certes esthétique, de plans de la faune porto-ricaine en pleine course-poursuite). Mais là où la lourdeur se fait le plus ressentir, c'est dans le scénario : au fil des rebondissements dramatiques, le film perd de sa saveur. Les scénaristes pensaient créer pouvoir créer plusieurs pics émotionnels très rapprochés, mais ça finit par être maladroit. Trop, c'est trop.
Un film d'abord plein de promesses, mais qui finalement cherche à en faire trop. Dommage.