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    London Fields
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    12 critiques spectateurs

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    Aurélia Joy
    Aurélia Joy

    5 abonnés 17 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 mai 2021
    Franchement j'ai été agréablement surprise par ce London Fields. Les critiques ont été très dures envers ce film. C'est mystérieux, ambigue et à la fois romanesque. Amber Heard est tout simplement divine dans ce film. On la détèste mais qu'est ce qu'on l'adore. À la fois ange et démon face à des hommes qu'elles mènent par la barbichette. Billy Bob Thornton et Theo James jouent juste mais le lanceur de flechette en fait des tonnes quand même! Ce n'est pas un chef d'oeuvre mais ce film a une ambiance qui me rapelle les thrillers des années 90 et sort un peu de l'ordinaire. J'ai beaucoup aimé en tout cas.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 487 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 24 août 2020
    Amber Heard joue une femme qui a prévu son propre meurtre et passe le reste du film à essayer de déterminer qui sera son assassin, apparemment en couchant avec tous les suspects possibles. Le film essaie d'être un mystère mais il y a quelques problèmes avec ça. La première est que nous le public ne nous en soucions tout simplement pas au moment où la conclusion sera enfin conclue. Quel personnage a fait l'acte ne fait absolument aucune différence pour nous. Que ce soit a, b, c ou d à z ne modifie pas du tout le film à nos yeux. Les seuls points forts sont les quelques apparitions de Johnny Depp en tant que gangster Cockney joyeusement méchant mais il n'est pas crédité dans le produit final. On ne peut que présumer qu'il n'a pas voulu être associé à ce London Field. Un film prétentieux, mal joué et ennuyeux. Allez une étoile pour Amber Heard car malgré qu'elle couche avec tout le monde, elle est quand même bien mignonne...
    Serge_la
    Serge_la

    7 abonnés 718 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 juillet 2020
    On dirait un film réalisé pour Amber. De nombreuses séquences étaient volontairement érotiques. Alors que beaucoup d'autres étaient volontairement drôles. Ce film est comme une blague entre gens qui se connaissent. Regardable.
    Leo de Seine
    Leo de Seine

    17 abonnés 49 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 9 janvier 2020
    L'un des pires films de 2018 avec l'une des pires interprètes possibles en la personne de Amber Head.
    Anthony U.
    Anthony U.

    2 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 janvier 2020
    Incroyable et sensationnel
    Il sera satisfaire un grand public
    Histoire intrigante et mystérieuse
    selenie
    selenie

    6 188 abonnés 6 170 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 octobre 2019
    Une production castastrophique pour un film entré à la postérité comme étant le 2ème film du pire démarrage au box-office de l'histoire du cinéma américain après "Proud American" (2008) de Fred Ashman avec seulement 168 565 dollars !... La dimension presque post-apocalyptique est une option à peine exploitée, le film se focalise trop sur la sensualité de sa femme fatale façon Veronica Lake (qui était déjà la référence de Kim Basinger dans le chef d'oeuvre "L.A. Confidential"). Le vrai soucis réside dans le mobile de Nicola Six, dans le pourquoi du comment qui la pousse à aller vers son destin ?! Rien n'est expliqué, rien ne semble sensé, les tenants et aboutissants restent dans un flou artistique frustrant. Dommage pourtant, car le côté graphique du Film Noir a un attrait certain, encore faut-il des acteurs au diapason et une histoire qui tiennent à minima debout.
    Site : Selenie
    Fab X
    Fab X

    1 abonné 6 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 juillet 2019
    Amber Heard joue terriblement bien entre ange et demon magistral. le film lui je le trouve juste bien
    Shiwamada
    Shiwamada

    39 abonnés 556 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 mai 2019
    Un chef d'oeuvre de médiocrité. Un film qui a réussi l'exploit de réaliser l'un des pires résultats de l'histoire du box office américain, donc on est forcément intrigué. Et on comprend vite pourquoi, parce que l'histoire n'a ni queue ni tête et qu'elle est racontée n'importe comment. Ils se sont perdus tout seul dans l'écriture, qui est pourtant adaptée d'un livre, on se demande même s'ils l'ont compris avant de l'adapter... Amber Heard se contente d'aguicher la terre entière, elle a collé un procès aux producteurs pour des scènes de nu, elle aurait mieux fait d'utiliser comme prétexte qu'ils allaient définitivement enterrer sa carrière elle aurait eu gain de cause. La présence de Johnny Depp fait évidemment doucement rigoler puisque le film est sorti en 2018, mais plus de deux ans après le tournage du film et longtemps après leur rupture du coup. Et j'ai gardé la cerise sur ce gâteau immangeable : Jim Sturgess ! Son jeu rendrait jaloux un Robert De Niro par tant de cabotinage avec son accent à couper au couteau (ce qu'il a du faire avec sa langue je pense). Vraiment il y avait les ingrédients pour faire au moins un film correct, là je ne peux qu'applaudir le résultat.
    Rudy66
    Rudy66

    19 abonnés 787 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 mars 2019
    Vraiment pas terrible.
    On ne comprend pas bien le but de Nicola Six dans tout ça.
    Elle est certes somptueuse mais on dirait presque un film érotique sans les images de l'acte..
    L'acteur qui joue le rôle du drogué, surjoue tout le long du film, insupportable!
    Bref un film plat, sans véritable surprise. 2/5
    RedArrow
    RedArrow

    1 657 abonnés 1 527 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 19 mars 2019
    Si on devait faire une liste de films qui sentent la catastrophe à des kilomètres, "London Fields" figurerait parmi les sommets du classement...
    La qualité du matériau de base, le roman méta/néo-noir de Martin Amis sur une société anglaise en train de péricliter devant les conséquences des années Thatcher, n'est nullement à remettre en cause mais lorsqu'on voit que David Cronenberg ou Michael Winterbottom ont tous deux tourné les talons devant la difficulté d'une telle adaptation et que le projet a finalement échoué entre les mains de Mathew Cullen, un réalisateur connu essentiellement pour des clips de pop-stars, cela amenuise considérablement les chances de réussite de l'entreprise. Il restait dès lors trois possibilités sur l'issue de cette dernière : une réussite de premier long-métrage que l'on n'avait pas vu venir, un échec prenant néanmoins l'apparence d'une tentative glorieuse ou un ratage total.
    Les problèmes rencontrés par le film entre son tournage et sa sortie -sur une période de cinq ans tout de même, entre 2013 et 2018- ont clairement mis nos espoirs sur la première hypothèse de côté. En effet, entre Mathew Cullen qui accusait ses producteurs d'avoir remonté le film en y ajoutant des images sulfureuses pendant que ceux-ci l'attaquait pour avoir rompu son contrat et une Amber Heard crachant sur le résultat tout en proclamant que ces images avaient été retournées avec une doublure en violation de sa clause de non-nudité, il devenait désormais impossible d'espérer que quelque chose d'un tant soit peu bon ressorte d'un projet renié par ses participants eux-mêmes. Si l'on y ajoute le fait que le film réunit à l'écran le couple Amber Heard et Johnny Depp (ce dernier y a un second rôle) dont l'échec du mariage a eu des proportions nauséabondes dans tous les tabloïds du monde entier, "London Fields" avait tout du destin d'un film maudit où seul manquait son visionnage pour mesurer l'ampleur de la catastrophe. C'est, aujourd'hui chose faite et, effectivement, le parfum de désastre est bel et bien au rendez-vous...
    Le temps d'un séjour pour trouver l'inspiration, un écrivain new-yorkais échange son appartement avec celui d'un de ses confrères londoniens. Là-bas, il fait la connaissance d'un chauffeur de taxi/petite frappe amateur de fléchettes et d'un riche héritier un brin naïf. Ces deux derniers vont peu à peu devenir les jouets d'une femme fatale ayant prédit que sa prochaine mort serait causée par l'un d'eux. L'écrivain y voit là un parfait sujet pour son prochain roman et conclut un pacte avec la jeune femme pour retranscrire ses manipulations...
    Ce qui frappe, en premier lieu, dans "London Fields", c'est que toutes les composantes du roman sont à l'écran. En en reprenant mot pour mot des dialogues ou bon nombre de passages incontournables, Mathew Cullen fait bizarrement preuve d'une très grande fidélité au fond du propos sans jamais parvenir à l'extirper du filtre que représente la forme si particulière (et complexe) de l'écriture de Martin Amis. De ce fait, on se retrouve avec une espèce de paradoxe d'adaptation où le respect de l'histoire et de sa dimension métaphorique est bien présente mais où, qu'on la prenne au premier degré ou symboliquement, absolument rien ne fonctionne...
    Du point de vue du simple film néo-noir, "London Fields" firte en permanence entre l'abracadabrantesque et le banal. Comment tout simplement avaler le postulat de base qui voit cette femme fatale -et donc fataliste- prévoir son propre meurtre et, pour soi-disant chercher à l'éviter, faire tout ce qui est en son pouvoir afin de le provoquer in fine ? Au lieu de partir à l'autre bout de la planète (elle dira que ça ne sert à rien... on en doute un peu), cette manipulatrice au physique plus qu'avantageux va passer l'intégralité du film à jouer de ses charmes à travers différentes personnalités dans le but de monter l'un contre l'autre (et ensuite contre elle) ses deux potentiels assassins avec l'écrivain comme arbitre quasiment omniscient. Hormis voir la belle Amber Heard endosser un spectre d'habits (souvent légers) allant de la fille facile à la pureté virginale, le récit proposé ne semble déboucher sur rien sinon une interminable représentation de clichés du genre et de dialogues bien trop abscons pour vivre au-delà de leur accouchement sur papier.
    En plus, le tout n'est pas aidé par une interprétation soit en roue-libre avec un Jim Sturgess en surcharge pondérale, soit transparente avec un Theo James toujours aussi charismatique qu'une racine de rutabaga ou soit absente avec un Billy Bob Thornton qui n'a jamais l'air d'y croire. Si Johnny Depp, Cara Delevingne, Jamie Alexander ou Jason Isaacs passent rapidement quelques têtes, "London Fields" se concentre avant tout sur son plus bel atout physique en la personne d'Amber Heard, évidemment très convaincante en femme fatale faisant chavirer tous les hommes sur sa route mais, au final, on ne peut être qu'un peu triste de voir l'actrice encore prisonnière d'une variante d'un rôle qui l'a révélé voilà plus ou moins dix ans avec "All The Boys Love Mandy Lane".
    Au moins, Mathew Cullen n'a de cesse de mettre cet atout en valeur (accompagné donc de l'ajout d'une nudité contestable des producteurs), ce qui, on ne va pas se mentir, rend "London Fields" agréable à regarder avec cette mise en scène loin de nuire à l'oeil par ses décors à l'architecture souvent originale. Mais, comme le film ne semble aller nulle part à cause de la pauvreté de ses enjeux et que l'on se fiche royalement de la question du meurtrier vu les agissements contradictoires de sa future victime, le tout tourne en permanence à vide. Et, bon sang, que c'est long !
    Au-delà du premier degré noir de cette histoire, il y a bien sûr un discours sous-jacent plutôt malin faisant du personnage d'Amber Heard en danger de mort la représentation même d'un Royaume-Uni au bord du précipice qui sert de cadre au film. Comme on l'apprendra à un moment de l'histoire cette jeune femme a trop joué avec le Diable, comprendre le gouvernement anglais a trop joué à l'apprenti-sorcier avec le thatchérisme. Condamnée à sa propre chute, la jeune fille va faire miroiter à ses deux prétendants et potentiels meurtriers une idylle amoureuse / le gouvernement est ainsi conscient que le peuple, représenté ici dans sa totalité par les extrêmes de classes sociales de ces deux hommes, peut causer sa chute et il les maintient dans une forme d'illusion. Sans trahir le peu de surprise que réserve la chute, on vous laisse comprendre la symbolique de la révélation du meurtrier tout en gardant à l'esprit que sa victime représente l'Angleterre.
    Même si on a simplifié la teneur de ce discours afin de le résumer en quelques lignes, il est impossible de nier sa pertinence ou sa portée et c'est ce qui faisait la réussite de l'essence même du livre de Martin Amis en la conjuguant à son intrigue de polar rétro. Seulement, à l'écran, Mathew Cullen se montre beaucoup trop timide pour la traduire pleinement, se contentant de simples plans et allusions à une ville en plein chaos (l'exemple d'une certaine illusion médiatique en est un parfait exemple parmi tant d'autres). Le réalisateur ne paraît à aucun moment capable de la mettre en exergue et, qui plus est, se prend les pieds dans le tapis en essayant d'y adjoindre une réflexion sur la création artistique. On aboutit ainsi sur un long-métrage qui échoue à rendre sa trame globale un minimum intéressante en étant dans l'incapacité flagrante de mêler les différentes strates de son récit.
    Même si tout le monde ayant de près ou de loin un lien avec "London Fields" préfère poliment oublier le résultat final, on voit mal comment dès le départ, avec une telle écriture hasardeuse (Martin Amis y a pourtant participé) et une impossibilité de retranscrire le coeur même du roman, les protagonistes de cette étrange affaire ont pu croire à la viabilité du projet. Le livre était de toute évidence inadaptable et personne ne paraît s'en être rendu compte vu les abysses de médiocrité dans lequel le film ne cesse de plonger en gesticulant sans raison autour d'une histoire dont il ne recrache que des bribes à l'écran. Un ratage invraisemblable que seule la beauté d'Amber Heard tente vainement d'éclairer... avant de s'éteindre. Comme tout le reste.
    Patricemarie
    Patricemarie

    41 abonnés 1 280 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 mars 2019
    Un film onirique et soporifique destiné à exposer la plastique presque parfaite de Amber Heard (sans toutefois qu'elle ne se dénude), avec une voie off très grave et berçante du narrateur. Film relaxant pour une fin de soirée, purement esthétique, rien sur le fond, style film érotique des année 80.
    FaRem
    FaRem

    8 565 abonnés 9 472 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 février 2019
    Je ne sais pas vraiment quelle version j'ai vue entre celle des producteurs et celle du réalisateur, il y a des acteurs qui sont au casting que je n'ai même pas vu dans le film, mais au final, peu importe... "Je connais le meurtrier. Je connais l'assassinée. Je connais l'heure. Je connais l'endroit. Je connais le motif et je connais les moyens." On pourrait croire que l'on va voir un thriller sur une enquête pour connaître le tueur ou autre, mais il n'en est rien... Nicola se rapproche de trois hommes et joue un peu avec eux à travers une succession de scènes qui n'ont parfois rien à voir les unes avec les autres. Surement une première conséquence de cette bataille entre les producteurs et le réalisateur. L'histoire n'a ni queue ni tête et est un peu débile sur les bords à de nombreuses reprises... Un film maudit qui n'a honnêtement pas grand intérêt. Je dois quand même reconnaître que le fait que tout cela soit si brouillon et illogique rend l'ensemble mystérieux et même fascinant par moment. Le cadre est également intrigant, car le Londres présenté est étrange en étant à la fois un peu sordide et délabré comme si c'était un univers alternatif. Dernière "bonne" chose, c'est Amber Heard dont le charme opère pendant tout le film. C'est la seule à vraiment sortir du lot contrairement à ses collègues peu inspirés comme Jim Sturgess dont la performance est pas loin d'être affligeante avec ses mimiques dignes d'un De Niro du pauvre. Ces derniers points ainsi que le côté néo-noir font que le film n'est pas désagréable à suivre, mais il n'en reste pas moins raté.
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