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« Bonne mère » est un grand film sur la pauvreté, très actuel, mais ce cinéma naturaliste, porté par des interprétations incroyables de vérité, des dialogues savoureux et des personnages attachants, n’accable pas le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Halima Benhamed, actrice non-professionnelle, est éblouissante dans le rôle d'une quinquagénaire courageuse prête à tous les sacrifices pour la survie de sa famille.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Comme Soria Zeroual dans Fatima , de Philippe Faucon, film aux trois César, l’actrice non professionnelle Halima Benhamed crève l’écran dans le rôle de la bonne mère.
Débutant comme la chronique humble d'un quotidien dédié aux autres, le récit de vie de cette Bonne Mère prend une folle ampleur à mesure que Hafsia Herzi déploie toute l'étendue d'un cinéma du regard et de la lumière.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Plus posé, plus mûr que le gracieux « Tu mérites un amour », « Bonne Mère » cueille la vie, la tchatche, l’amour qui circule. On la comparera à Kechiche, elle a l’humanité d’un Renoir.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Pour sa deuxième réalisation, après Tu mérites un amour, l’actrice a tourné chez elle Bonne Mère, ce film à la fois modeste et grand sur des gens ordinaires : il dresse un portrait de femme solaire, un beau personnage fort et attachant, servi par une réalisation maîtrisée, délicate et sensible.
Une fiction qui raconte le quotidien dans les « quartiers difficiles » avec plus de pertinence que la plupart des longs discours sociologiques et politiques.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
En suivant le quotidien d’une mère et sa famille dans l’attente du procès du frère aîné, H. Herzi signe un second film sensible et authentique, qui rend hommage à ces femmes dont la vie est consacrée aux autres et qui, malgré les embûches, continuent à avancer.
La caméra de Herzi est aussi aspirée par la puissance d’abnégation de cette mater dolorosa dont elle interroge les ressorts sacrificiels. Quand don de soi et dépouillement deviennent un piège.
La mosaïque que le film compose autour de cette femme [...] est électrisée par la tchatche pétaradante d’excellents comédiens, pour la plupart non-professionnels, que Herzi sait magnifier [...], la caméra s’arrêtant sur les gestes du quotidien, petits doigts potelés aidant à la cuisine, tout un naturalisme sous influence Kechiche qui densifie la matière du film à mesure qu’il progresse.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cet éloge fervent d’une héroïne du quotidien (incarnée par une sidérante actrice non professionnelle : Halima Benhamed), à sa manière, renseigne sur une certaine France d’aujourd’hui.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Bonne mère est le portrait de cette résistante qui plie mais ne rompt pas. Le regard qu’Hafsia Herzi pose sur elle est bouleversant d’humanité mais dépourvu d’angélisme.
La critique complète est disponible sur le site Première
Adoptant un point de vue essentiellement féminin – les hommes sont absents ou en prison – le film est poignant quand il reste centré sur le personnage de la mère, un peu moins quand il suit les aventures de sa fille, Sabah, tentée par des relations tarifées avec les hommes dans une digression un peu longue qui nous fait perdre le fil du récit.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Avec une sincérité confondante, mais sans rien inventer, Hafsia Herzi touche plutôt juste et affirme sa place dans un cinéma français friand de drames sociaux.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Rien ici n’est surdramatisé, sortie de prison de son fils ou tentation de sa fille de se prostituer : tout élément potentiellement misérabiliste s’intègre au portrait de famille, à la vie qui continue, à l’insurrection qui ne viendra pas.
Sans échapper à une certaine lourdeur démonstrative, Bonne mère produit une tension intéressante par cette construction en miroir, qui oppose l’inébranlable Nora à ses enfants.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Bande à part
Un portrait bouleversant et généreux, qui rend hommage aux mères, aux femmes et à Marseille.
Elle
Le portrait hommage que Hafsia Herzi dresse de sa mère est magnifique.
Le Parisien
« Bonne mère » est un grand film sur la pauvreté, très actuel, mais ce cinéma naturaliste, porté par des interprétations incroyables de vérité, des dialogues savoureux et des personnages attachants, n’accable pas le spectateur.
Positif
En un mot comme en cent, Bonne Mère est un film magnifique d’élégance, formelle et morale.
20 Minutes
Halima Benhamed, actrice non-professionnelle, est éblouissante dans le rôle d'une quinquagénaire courageuse prête à tous les sacrifices pour la survie de sa famille.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Comme Soria Zeroual dans Fatima , de Philippe Faucon, film aux trois César, l’actrice non professionnelle Halima Benhamed crève l’écran dans le rôle de la bonne mère.
Ecran Large
Débutant comme la chronique humble d'un quotidien dédié aux autres, le récit de vie de cette Bonne Mère prend une folle ampleur à mesure que Hafsia Herzi déploie toute l'étendue d'un cinéma du regard et de la lumière.
L'Obs
Plus posé, plus mûr que le gracieux « Tu mérites un amour », « Bonne Mère » cueille la vie, la tchatche, l’amour qui circule. On la comparera à Kechiche, elle a l’humanité d’un Renoir.
Le Dauphiné Libéré
Pour sa deuxième réalisation, après Tu mérites un amour, l’actrice a tourné chez elle Bonne Mère, ce film à la fois modeste et grand sur des gens ordinaires : il dresse un portrait de femme solaire, un beau personnage fort et attachant, servi par une réalisation maîtrisée, délicate et sensible.
Le Journal du Dimanche
Derrière le deal, la prostitution et le langage fleuri des cités, c'est avant tout l'extrême douceur qui se dégage de ce film, réaliste mais lumineux.
Les Echos
Une fiction qui raconte le quotidien dans les « quartiers difficiles » avec plus de pertinence que la plupart des longs discours sociologiques et politiques.
Les Fiches du Cinéma
En suivant le quotidien d’une mère et sa famille dans l’attente du procès du frère aîné, H. Herzi signe un second film sensible et authentique, qui rend hommage à ces femmes dont la vie est consacrée aux autres et qui, malgré les embûches, continuent à avancer.
Les Inrockuptibles
La caméra de Herzi est aussi aspirée par la puissance d’abnégation de cette mater dolorosa dont elle interroge les ressorts sacrificiels. Quand don de soi et dépouillement deviennent un piège.
Libération
La mosaïque que le film compose autour de cette femme [...] est électrisée par la tchatche pétaradante d’excellents comédiens, pour la plupart non-professionnels, que Herzi sait magnifier [...], la caméra s’arrêtant sur les gestes du quotidien, petits doigts potelés aidant à la cuisine, tout un naturalisme sous influence Kechiche qui densifie la matière du film à mesure qu’il progresse.
Marianne
Cet éloge fervent d’une héroïne du quotidien (incarnée par une sidérante actrice non professionnelle : Halima Benhamed), à sa manière, renseigne sur une certaine France d’aujourd’hui.
Première
Bonne mère est le portrait de cette résistante qui plie mais ne rompt pas. Le regard qu’Hafsia Herzi pose sur elle est bouleversant d’humanité mais dépourvu d’angélisme.
CinemaTeaser
L’énergie et la gratitude mélancolique que dégage ce double portrait sensible remportent la mise, haut la main
La Croix
Adoptant un point de vue essentiellement féminin – les hommes sont absents ou en prison – le film est poignant quand il reste centré sur le personnage de la mère, un peu moins quand il suit les aventures de sa fille, Sabah, tentée par des relations tarifées avec les hommes dans une digression un peu longue qui nous fait perdre le fil du récit.
La Septième Obsession
Dans la chronique familiale d'Hafsia Herzi, il s'agit de montrer, sans juger, sans dramatisation.
Le Monde
Un élan de vitalité et de fierté.
Télérama
Une impression de déjà-vu plane, mais Hafsia Herzi filme ses acteurs avec tendresse.
aVoir-aLire.com
Avec une sincérité confondante, mais sans rien inventer, Hafsia Herzi touche plutôt juste et affirme sa place dans un cinéma français friand de drames sociaux.
Cahiers du Cinéma
Rien ici n’est surdramatisé, sortie de prison de son fils ou tentation de sa fille de se prostituer : tout élément potentiellement misérabiliste s’intègre au portrait de famille, à la vie qui continue, à l’insurrection qui ne viendra pas.
Critikat.com
Sans échapper à une certaine lourdeur démonstrative, Bonne mère produit une tension intéressante par cette construction en miroir, qui oppose l’inébranlable Nora à ses enfants.