Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Ouest France
par La Rédaction
Un peu de candeur dans le propos, mais les interprètes mettent de l'entrain à raconter leur quotidien.
Le Figaroscope
par La rédaction
S'il est bien joué et rythmé, ce "West side Story" espagnol est trop prévisible pour être passionnant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Jean-François Rauger
Du mélodrame social tout autant que du film noir, en décrivant l'amour interdit qui unit un jeune immigré haïtien à Saint-Domingue et la soeur d'un gangster.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Martin
“Cristo Rey” aligne les clichés en guise de personnages et réunit tous les ingrédients d'un mauvais soap. Et pourtant : en jouant crânement de sa veine fleur bleue, ce film charme de bout en bout.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Studio Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
Un bon polar des tropiques, dont la naïveté chronique est rattrapée par une fraîcheur savoureuse.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Nicolas Didier
(...) un polar efficace, où tout se joue dans les ruelles étroites de Cristo Rey, quartier labyrinthique de Saint-Domingue.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Clément Graminiès
La tragédie se voudrait shakespearienne mais elle ne fait que ramener chaque personnage au déterminisme d’une condition sociale qui le priverait presque de libre arbitre.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Un Roméo & Juliette un peu simplet.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Première
par Vanina Arrighi de Casanova
(...) "Cristo Rey" n'est habité ni par la force tragique de Shakespeare, ni par la musique du "West Side Story" de Leonard Bernstein.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
La carte postale dominicaine, de bruit et de poussière, manque singulièrement de hargne et de fureur, elle ne saisit pas l’essentiel d’une société gangrenée, se contentant d’un postulat binaire où tout n’est que schématisation miroir, et où le spectateur passif est seulement sommé d’assister à un récit sans pouvoir approfondir le sujet.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ouest France
Un peu de candeur dans le propos, mais les interprètes mettent de l'entrain à raconter leur quotidien.
Le Figaroscope
S'il est bien joué et rythmé, ce "West side Story" espagnol est trop prévisible pour être passionnant.
Le Monde
Du mélodrame social tout autant que du film noir, en décrivant l'amour interdit qui unit un jeune immigré haïtien à Saint-Domingue et la soeur d'un gangster.
Les Fiches du Cinéma
“Cristo Rey” aligne les clichés en guise de personnages et réunit tous les ingrédients d'un mauvais soap. Et pourtant : en jouant crânement de sa veine fleur bleue, ce film charme de bout en bout.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Un bon polar des tropiques, dont la naïveté chronique est rattrapée par une fraîcheur savoureuse.
Télérama
(...) un polar efficace, où tout se joue dans les ruelles étroites de Cristo Rey, quartier labyrinthique de Saint-Domingue.
Critikat.com
La tragédie se voudrait shakespearienne mais elle ne fait que ramener chaque personnage au déterminisme d’une condition sociale qui le priverait presque de libre arbitre.
Ecran Large
Un Roméo & Juliette un peu simplet.
Première
(...) "Cristo Rey" n'est habité ni par la force tragique de Shakespeare, ni par la musique du "West Side Story" de Leonard Bernstein.
aVoir-aLire.com
La carte postale dominicaine, de bruit et de poussière, manque singulièrement de hargne et de fureur, elle ne saisit pas l’essentiel d’une société gangrenée, se contentant d’un postulat binaire où tout n’est que schématisation miroir, et où le spectateur passif est seulement sommé d’assister à un récit sans pouvoir approfondir le sujet.