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    La Tête haute
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    4,0
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    451 critiques spectateurs

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    GenevieveCavaye
    GenevieveCavaye

    4 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 mai 2015
    J'ai trouvé ce film bouleversant. Les acteurs sont criants de vérité. Catherine Deneuve toujours aussi excellente. Cependant, la fin un peu trop à "l'eau de rose" de mon point de vue car dans la vraie vie j'ai bien peur que le jeune Manony ne reproduise ce qu'il a vécu en tant qu'enfant. Heureusement la juge part à la retraite, elle ne verra pas la suite ! Un peu étonnant aussi que l'enseignante ne soit pas plus vigilante dans les fréquentations de sa fille. Sinon les dialogues sont d'un réalisme époustouflant. Un scénario très bien construit. Un film que je n'oublierai pas. A voir absolument.
    SuperJS
    SuperJS

    32 abonnés 218 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 mai 2015
    Admirablement bien joué par tous les acteurs. Un peu comme Momy, permet de porter un regard compréhensif sur l'éducation d'un enfant dans un contexte socio-familial très difficile.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 30 mai 2015
    tres bon film qui resume un parcours chaotique d un jeune dans la spirale educative , un peu de cliche tout de meme mais jolie histoire
    joelle g
    joelle g

    89 abonnés 869 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 mai 2015
    Magnifique ...fort ....d'un réalisme criant ....puissant ...et magistralement interprété ...par tous les acteurs ...Rod Paradot en tête ....bluffant en ado délinquant et torturé ..
    Un monde que je ne connais absolument pas ..mais qui laisser perplexe ...fait réfléchir ....
    À voir ...sans hésitation ..mérite les éloges qu'on a fait durant le festival de Cannes ....
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 mai 2015
    Très beau film, il est dur mais reflète la réalité de nos jours. Tous les acteurs jouent bien surtout le jeune héros .Sarah forrestier est méconnaissable
    Pierre L.
    Pierre L.

    20 abonnés 73 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 novembre 2016
    Film d'ouverture au Festival de Cannes, La Tête haute ne vaut pas que pour sa jeune notoriété, pourtant déjà gratifiante. Le nouveau film d'Emmanuelle Bercot a l'audace d'aborder une thématique que très peu remarquée dans le cinéma, celui de la protection de l'enfance dans sa généralité, à travers le cas typique du parcours éducatif d'un jeune délinquant, qu'une juge des enfants et un éducateur tentent coûte que coûte de sauver. Un film qui, d'une certaine manière, ne s'adresse qu'à un public ciblé, ayant déjà une certaine connaissance du contexte.

    Emmanuelle Bercot s'empare donc d'un cas d'école pour en livrer toute l'entendue et la complexité propres au domaine de la protection de l'enfance. Il est clair que le film, dès ses premières minutes, fait part d'un réalisme et d'une neutralité tels que tout spectateur un minimum concerné semble être comme absorbé de force au beau milieu des lourds et douloureux instant d'une audience de placement. Car ici, à travers son cas d'école, la réalisatrice semble avoir saisi depuis longtemps que cliché ne rime pas avec facilité. De là, il en ressort tous les acronymes propres à l'Aide Sociale à l'Enfance, que tous les travailleurs sociaux se feront un plaisir (ou pas !) de retrouver (OPP : Ordonnance de Placement Provisoire ; AEMO : Action Éducative en Milieu Ouvert ; CEF : Centre Éducatif Fermé...), une déchirante et pourtant évidente fidélité à la réalité.

    La réalisatrice semble également renforcer cet aspect réaliste en misant sur la performances de ses acteurs. Il en ressort des prestations d'une justesse saisissante, le jeune Rod Paradot en tête, qui, ici, trouvera probablement un véritable élan à sa carrière. Pièce centrale du film, il fait part d'une rage et d'une souffrance intérieure telles qu'il est possible d'en faire la comparaison avec un véritable reportage. A son propos, Cannes parle de la révélation de l'année... Catherine Deneuve en juge des enfants laisserait croire à juste titre qu'elle exerce ce métier depuis le début de sa carrière et Benoit Magimel, en éducateur référent, intègre et usé, prouve son réel talent, loin, très loin des films de bobos parisiens. En outre, il est difficile d'espérer davantage d'allégeance à la dure réalité de cette société.

    La Tête haute s'avère donc être le résultat du travail d'une réalisatrice qui croit indéniablement en son cinéma. Sombre mais émouvant, charnel mais social, le film d'Emmanuelle Bercot est une réussite en tous points, frisant la déchéance et défiant l'outrance. Un bras d'honneur à tous ces pseudo-drames français, qui se la jouent swag avec leur casting d'humoristes-néo-dramaturges et leurs propos niaiseux. La Tête haute est une drame vibrant, suscitant parfois le silence gêné ou le rire libérateur, mais qui ne fait appel à rien d'autre que la pure émotion, celle qui bouleverse et qui dérange. Emmanuelle Bercot est là pour rappeler que le cinéma est un art qui s'adresse à tous et prouve avec grande aisance que même le domaine de la protection de l'enfance mérite un brin d'encouragement et d'intérêt.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 mai 2015
    Ce film est un véritable chef d'oeuvre, Catherine Deneuve est parfaite dans son rôle ! Ce film montre avec justesse comment peut un môme peut mal tourner s'il n'est pas encadré psychologiquement ! A aucun moment on ne s'ennuie, le film est plein de rebondissements et une vraie morale ou tout fini bien ! Très bien tourné, avec des drames, de l'humour, de l'amour, du sexe et un véritable enjeu à la fin ! A voir absolument !!!!!
    laurentcmoi
    laurentcmoi

    18 abonnés 240 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 mai 2015
    Whoua ! Mais pourquoi ce film n'a t-il pas été mis en compétition à Cannes ! (Peut-être pour faire de la place à "La loi du marché" !). D'un réalisme désarmant ce film vous transporte, vous plonge au coeur de ce parcours chaotique de ce cas social. Ce jeune acteur est stupéfiant de justesse et crédibilité. Originaire du 9.3 il est allé à bonne école lol Catherine Deneuve est magistrale et joue avec une maîtrise magnifique. Pour moi ce film aurait dû avoir la palme d'or et ce jeune acteur la Palme du meilleur (espoir) acteur masculin.
    spoty753
    spoty753

    3 abonnés 67 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 mai 2015
    La Tête Haute :
    Un film poignant sur l'Amour à travers l'apprentissage de la vie d'un ado vers l'âge adulte entre délinquance et rebellion social. Un bijou de cinéma percutant, délivrant une lecon de vie sans pathos, le tout servi par des comédiens illuminés et époustouflants. Rod Paradot en tête, son interpretation du jeune Malony est bouleversante, criante de sincérité et de réalisme. Un talent et une véracité qui en fait de façon certaine LA révélation de cette année! En bref : mon coup de coeur 2015...on court le voir sans hésiter?! Une Claque!
    #movie #review
    Marie L.
    Marie L.

    18 abonnés 1 critique Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 28 mai 2015
    Grosse déception pour ce film que j'attendais avec impatience. L'interprétation de Catherine Deneuve est mauvaise, elle nous livre un rôle de juge paternaliste absolument pas crédible, les dialogues sont creux et surfaits, on n'évite pas certains clichés (il suffit de regarder la tenue vestimentaire de la greffière ou encore le coup de l'éducateur sauvé dans son adolescence par cette même juge qui s'identifie ensuite à l'ado qu'il suit...). On se demande si la réalisatrice s'est vraiment informée quant à la réalité d'une audience dans le bureau d'un JE (le parquet n'est jamais présent!).

    Ce qui sauve ce film est l'interprétation de Rod Paradot qui interprète son personnage de manière juste et convaincante.
    Isabelle E.C.
    Isabelle E.C.

    52 abonnés 298 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 mai 2015
    Fort, intense, bien construit, sans facilité, ce film nous fait ressentir la violence des rapports de cet enfant avec sa mère et le monde, dès son plus jeune âge, Le jeune héros se heurte aux murs de sa vie. Il porte sur le monde des adultes un regard sans concession traversé de déception.
    En face de lui, des repères représentant la loi, la puissance des mots, l'intégrité et la droiture : une juge pour enfant magnifiquement incarnée par Catherine Deneuve et des éducateurs remplissant plus ou moins bien leur rôle.
    Tout au long de ce film on reste sur une ligne de crête qui pourrait basculer vers la tragédie. L'amour ne peut pas tout, même s'il est présent partout.
    Sophie D.
    Sophie D.

    1 abonné 63 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 mai 2015
    Ou l'histoire d'une enfance bercée par les juges pour enfants qui le conduira à la délinquance...
    Mais aussi l'histoire d'une juge pour enfant qui se bat pour lui apporter le maximum de chance, d'un éducateur qui essai de le guider de son mieux, et d'une mère pommée à qui l'on a pas laissé le temps de grandir...
    Les 4 acteurs sont vraiment parfaits (dans l'ordre : Rod Paradot, Catherine Deneuve, Benoît Magimel, Sara Forestier) d'une justesse impressionnante, à deux pas du documentaire l'histoire nous touche et nous garde en haleine par son énergie et son intelligence.

    Du beau cinéma français avec une mention spéciale à sa réalisatrice Emmanuelle Bercot, qui vient également de recevoir un prix d'interprétation féminine au Festival de Cannes pour son rôle dans Mon Roi de Maïwenn, chapeau bas l'artiste !!

    Quand au jeune acteur du film, retenez bien ce nom Rod Paradot...
    Christoblog
    Christoblog

    827 abonnés 1 674 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 mai 2015
    Il y a une grande qualité dans le film d'Emmanuelle Bercot, rare dans le cinéma français : La tête haute parvient à donner l'exacte mesure du temps passe.

    Bien sûr le film possède bien d'autres atouts, à commencer par une mise en scène énergique et une interprétation hors pair du jeune acteur (sensationnel Rod Paradot) et des autres personnages, mais sa force subtile c'est bien de montrer l'évolution lente et erratique des différents protagonistes.

    Catherine Deneuve campe une juge patiente, mais qui sait faire évoluer ses options. Benoit Magimel, solide comme un roc dans les premières scènes, peut péter les plombs. Sara Forestier oscille entre démission dépressive, amour larmoyant et niaiserie blessante. Rod Paradot lui-même progresse par oscillations successives : tour à tour trublion explosif, blessé épidermique, amant violent, boule de nerf qui se raisonne.

    On assiste à son évolution comme à un combat de boxe. Sonné par les coups échangés, abasourdi par la violence des émotions, rivé à l'entretien d'une faible lueur d'espoir qui ne semble être vue que par les proches de Malony.

    Le film est une ode énergisante à la ferme bienveillance et à la résilience, un film d'amour gonflé à l'adrénaline, comme on en voit peu.
    Lu34s
    Lu34s

    60 abonnés 253 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 mai 2015
    Présenté en ouverture du Festival de Cannes, Emmanuelle Bercot repasse derrière la caméra après le sympathique Elle S’en Va, également avec Catherine Deneuve.
    La réalisatrice relate le parcours du Malony, de six à dix-huit ans, jeune homme très perturbé et violent, qu’une juge pour enfants et un éducateur tentent de sauver, malgré son comportement sans cesse remis en cause et des actions illégales.

    La réalisatrice parvient à attirer l’attention du spectateur dès la séquence d’ouverture, lorsque la mère du jeune Malony, interprété par une très bonne Sara Forestier, décide d’abandonner son enfant à la juge pour enfants. Vient un plan sur l’encore innocent petit garçon de six ans à l’écran, provoquant un sentiment d’empathie envers le personnage. Au travers des différents déboires que va faire et vivre l’adolescent, la réalisatrice arrive à alterner notre jugement sur le personnage principal jusqu’à se positionner clairement sur une pleine empathie sur celui-ci. Le film joue essentiellement sur Malony et la juge pour enfant, qui se font constamment face à face et ce durant tout le film. En effet, ce dernier ne s’attarde pas uniquement sur Malony, mais aussi sur la juge, interprété par Catherine Deneuve, qui n’est pas un personnage à part mais vraiment au cœur de la vie du garçon perturbé. C’est bien elle qui va lui tendre la main la première pour l’aider et va se nouer entre eux une certaine relation d’empathie avec quelques troubles mêlé à cet amour partagé. Un amour partagé avec la mère bien entendu, mais aussi avec son éducateur, lors d’une scène assez touchante dans un restaurant à la fin du film.

    Les personnages mis en scène par Bercot sont donc d’une force assez rare à l’écran à commencer par la juge des enfants, incarné par une Catherine Deneuve toujours aussi magistrale et rayonnante. Elle incarne quelque peu cette délicatesse à part du film qui se pose en plein milieu de ce monde brutal, de ces jeunes marginaux. La mère de Malony, interprété par une très convaincante Sara Forestier, incarne la cause de tous ces problèmes et pose une véritable réflexion sur l’éducation des enfants pouvant créer un sentiment d’effroi à l’idée de savoir que de telles personnes puissent avoir un enfant dans d’aussi mauvaises conditions. Le seul regret que l’on peut avoir vient du personnage de Benoît Magimel, qui incarne l’éducateur, personnage quelque peu oublié du reste du film et un peu sacrifié, son rôle n’étant qu’effleuré sur la fin du film. Mais la véritable révélation reste bien le jeune Rod Paradot, véritable espoir du cinéma français dont c’est ici le premier film. Jeune menuisier, il incarne à la perfection cet adolescent ravagé de colère et brisé par une famille éclatée commettant  ainsi délits sur délits.

    La Tête Haute ne s’attarde donc pas seulement sur la violence provoqué par Malony, mais sur les différentes relations affectueuses qui se nouent autour de lui afin de l’aider dans sa quête de reconstruction à laquelle il a du mal à comprendre. Emmanuelle Bercot arrive allègrement à représenter cela sur grand écran et fait figure de réalisatrice majeure dans le cinéma français actuel.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 27 mai 2015
    Présenté Hors Compétition pour l'ouverture du Festival de Cannes 2015, ce film tente de percer le comportement agressif manifesté par ces adolescents refusant conventions et autorité qui, si souvent, font la une de la rubrique faits divers de nos quotidiens. C’est en s’inspirant de l’expérience de son oncle qui œuvrait dans un camp de jeunes délinquants en Bretagne qu’Emmanuelle Bercot a su donner au scénario de son film une justesse et une force qui rendent ce poignant parcours initiatique aussi réaliste et percutant que le "Polisse" de Maïwenn. De plus, les interprétations des différents acteurs, qu’ils soient premiers rôles ou simples figurants méritent d’être applaudis. Sara Forestier affublée de mauvaises dents compose avec une force peu commune une jeune mère défavorisée. Benoit Magimel, en éducateur dont on devine l'enfance chahutée, convainc par son jeu opiniâtre et passionné. Impériale, Catherine Deneuve incarne avec brio et de manière lumineuse la justice, impressionnante d’autorité naturelle et de fébrile vulnérabilité. Quant à ce jeune acteur qui fait ses premiers pas dans le cinéma, Rod Paradot, bouillonnant, le regard fuyant, yeux fendus reflétant ou débordant de peur, contracté, noué, la tête baissée, il s’impose comme un comédien promis à un brillant avenir.
    Un peu documentaire, un peu premier épisode d’une saga qui ne demande qu’à être écrite, roman d’amour et road-movie, ce film est drame et lueur d’espoir. Mais plus que tout cela, il nous amène à nous poser des questions. Si on ne naît pas délinquant, comment le devient-on ? Suffit-il d’une famille fragile, d’une mère dépassée par l’ampleur de la tâche, d’acteurs éducatifs soucieux de ne pas s’encombrer d’enfants à problèmes ? Sans doute un peu de tout cela. Mais suffit-il d’être un enfant signalé à la Petite Enfance pour automatiquement le devenir ? Cela dit, si on n’est pas obligatoirement responsable de son passé, on l’est de plus en plus de son présent et surtout de son avenir. Alors, face à un délinquant, la société se doit de réagir. La solution qui satisferait nos instincts de peur serait de les bannir à jamais, de les rejeter, en prison, par exemple. Cela nous satisferait mais ne règlerait pas le problème. Une nécessaire facette éducative s’impose. C’est ce que le système français a bien compris en instaurant une justice pour mineurs qui se veut tout d’abord préventive et éducative avant d’être punitive ou répressive. Pour aider ces enfants en situation de pertes de repères, des assistantes sociales, des enseignants font de leur mieux quand d’autres confondent parfois diagnostic et pronostic, à l’instar de la principale du collège que veut rejoindre le héros du film. Ensuite viennent des juges, souvent très bienveillants, qui prennent des décisions pas toujours bien comprises et encore moins bien appliquées. Agissent enfin les éducateurs. Ils n’ont guère tâche aisée. Ils doivent faire face à toute cette agressivité concentrée dans ces aigris de la vie. Certains sont usés par des années d’échecs, d’autres font de leur mieux, quelques-uns, plus rares, sortant de ces enfants meurtris par la vie, sont plus que d’autres en mesure de les aider à redresser la tête. Mais tous n’ont qu’une idée. Tendre la main pour faire avancer ces mineurs vers une vie adulte assagie. Encore faut-il qu’à cette main tendue une autre main veuille bien s’accrocher. Dissimulé sous une capuche, symbole planétaire d'un mal-être jeune, le défi jeté au gosse incontrôlable, à l’élève déscolarisé, à cette graine crapule, c’est, un jour, de relever sa tête sans pour autant proférer une menace ou vomir une insulte. Devant l’ampleur de la gageure, le cheminement est erratique entre fêlures et souffrances, entre confiance et découragement, entre progrès et rechutes dans la violence, et ce chemin demande des hommes et des femmes solides et emplis d’un altruisme à toute épreuve. Le placement en famille d’accueil, les foyers éducatifs ouverts, les centres éducatifs fermés sont des outils qui certes coûtent chers comme se plaît à souligner le film mais aussi permettent à certains de revenir tenir une place dans la société. La fin du film est exemplaire en cela qu’elle est pleine d’un secret espoir que chaque spectateur emportera avec lui.
    Emouvant, violent mais aussi social et charnel, ce film méritait sûrement sa place à l’ouverture d’un festival.
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