Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
TéléCinéObs
par Marie-Elisabeth Rouchy
Soutenu par un texte très littéraire récité en voix off par Eric Caravaca, porté par un trio de jeunes acteurs formidables et une mise en scène épurée à l'extrême, le film, bouillonnant d'émotions rentrées, est un magnifique poème sur la déshérence.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Le Monde
par Noémie Luciani
Trop englué dans l'exercice de style pour charmer vraiment, le film s'arrache cependant in extremis à l'artifice au détour de quelques scènes de la vie quotidienne d'une simplicité plaisante.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Damien Leblanc
Malgré son dénouement esthétique, la mise en scène parvient au bout du chemin à réunir les solitudes, distillant au coeur de ses plans une frémissante sensibilité collective.
Télérama
par Mathilde Blottière
Le réalisateur joue avec l'idée même de fiction, en dévoilant, de loin en loin, ses secrets de fabrication, mais aussi en conjuguant son récit au conditionnel.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Fiches du Cinéma
par Paul Fabreuil
Mal joué, mal écrit et mal mis en scène, “Les Enfants rouges” manque cruellement de conviction et de désir.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Didier Péron
Projet collaboratif où les gens n’ont pas été payés, ce film en noir et blanc sur des jeunes Parisiens entre amour et politique est si verbeux et si dénué d’idée neuve de mise en scène qu’en faire un contre-programme semble très aventureux.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Grégory Valens
On aurait pu commencer notre papier comme ça : sans rien dire vraiment, pour laisser transparaître notre agacement. Les mots se seraient couchés spontanément, pour dire la prétention, la vacuité, le néant même. On aurait pu dire à l'auteur pourquoi il s'est trompé d'époque, pourquoi il ne sera jamais Garrel, Eustache - encore moins Godard. On aurait tout aussi pu ne rien dire.
La critique complète est disponible sur le site Positif
TéléCinéObs
Soutenu par un texte très littéraire récité en voix off par Eric Caravaca, porté par un trio de jeunes acteurs formidables et une mise en scène épurée à l'extrême, le film, bouillonnant d'émotions rentrées, est un magnifique poème sur la déshérence.
Le Monde
Trop englué dans l'exercice de style pour charmer vraiment, le film s'arrache cependant in extremis à l'artifice au détour de quelques scènes de la vie quotidienne d'une simplicité plaisante.
Première
Malgré son dénouement esthétique, la mise en scène parvient au bout du chemin à réunir les solitudes, distillant au coeur de ses plans une frémissante sensibilité collective.
Télérama
Le réalisateur joue avec l'idée même de fiction, en dévoilant, de loin en loin, ses secrets de fabrication, mais aussi en conjuguant son récit au conditionnel.
Les Fiches du Cinéma
Mal joué, mal écrit et mal mis en scène, “Les Enfants rouges” manque cruellement de conviction et de désir.
Libération
Projet collaboratif où les gens n’ont pas été payés, ce film en noir et blanc sur des jeunes Parisiens entre amour et politique est si verbeux et si dénué d’idée neuve de mise en scène qu’en faire un contre-programme semble très aventureux.
Positif
On aurait pu commencer notre papier comme ça : sans rien dire vraiment, pour laisser transparaître notre agacement. Les mots se seraient couchés spontanément, pour dire la prétention, la vacuité, le néant même. On aurait pu dire à l'auteur pourquoi il s'est trompé d'époque, pourquoi il ne sera jamais Garrel, Eustache - encore moins Godard. On aurait tout aussi pu ne rien dire.