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FaRem
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3,0
Publiée le 25 novembre 2014
Après le Basketball avec "Coach Carter", Thomas Carter retrouve le cinéma avec ce film sur le football Américain et plus particulièrement sur Bob Ladouceur le célèbre entraîneur de l'équipe universitaire de De La Salle qu'il a amené vers cet incroyable record de 151 victoires consécutives ce qui est tout simplement extraordinaire peu importe le sport ou bien la catégorie d'âge. J'ai bien aimé ce film, car il n'est pas excluant même pour ceux qui n'y connaissent rien comme moi il n'y a rien de très technique ce n'est pas cet aspect qui est privilégié, mais plus le travail du coach sur ses joueurs et sur la cohésion de groupe ça n’empêche pas qu'on apprend des choses sur le déroulement des matchs qui sont très bien faits, complets et surtout intenses, c'est un des points forts du film, car ce n'est pas toujours le cas dans certains films sur le sport de plus je trouve toujours ça autant impressionnant l'engouement du public, les installations et le niveau très professionnel qu'il peut y avoir à ce niveau-là (scolaire), c'est vraiment dommage de ne pas avoir ça en France. Il y a toujours des trucs à revoir comme la morale très "Américanisé" mais bon ça reste un détail surtout que l'essentiel est assuré.
Ce film est tiré d'une histoire vrai. Mais je crois, que ce que leur apprend le coach, est une valeur infiniment plus riche de sagesse, de bonté, de surpassement. En équipe, pour ma part, les valeurs qu'il leur inculque sont enrichissantes. Si tous les sports pouvaient ressembler à ça ! Une très belle leçon de vie, ce sport en équipe. J. Caviezel tient à merveille sont rôle. Il y a des hommes de valeurs en ce monde, qui apportent leur faible contribution aux autres. C'est le fait qu'il soit unique, qui font leur richesse intérieure. Ils ont beaucoup à nous apprendre. Ce film, donne à réfléchir. Se battre en équipe, vaincre, mais pas seulement, être parfait dans l'acte. Sur une continuité. Ensemble plus fort, tous unie, telle une famille, des frères de sang. Bon film.
Inspiré d'une histoire vraie, ce biopic relatant les exploits sportif d'une équipe de football américain est doté d'un très bon scénario, de superbes reconstitutions des matchs, interprété par un convaincant casting dont la présence de Jim Caviezel. Un très bon divertissement !
Belle histoire mais contrairement à ce que je pensais, on ne suit pas la croissance de cette équipe et The streak mais l'histoire commence après cette suite de victoire et commence pas cet échec. Le film n'est donc pas sur cette évolution de l'équipe mais plutot sur sa survie.
Quoi qu'il en soit, c'est assez actif, on ne s'ennuie pas et pas besoin d'etre fan de football americain pour apprécier le film
Le film reste indéniablement très bien réalisé, normalement ce genre de film passe à la télévision mais dans ce cas là il peut passer au cinéma. C'est l'histoire d'une entraîneur de football américain dans un collège proche de San Francisco, l'équipe gagne tout le temps et c'est dû au facteur de motivation de l'entraîneur et à l'entraînement, pis aussi du choix des élèves à jouer. Je pense qu'on voit cela partout en club, l'histoire reste banale, mais elle mérite d'avoir été très bien tournée.
Comme tous les films qui traitent de baseball ou de football américain, ce long-métrage américain n'est pas sorti en France (je ne suis même pas sûr qu'il soit disponible en DVD !). De plus celui-ci est également une sorte de biopic basé sur la vie de Bob Ladouceur (oui, c'est son vrai nom!), entraîneur mythique du lycée californien De La Salle (eh oui, un nom français encore), qui durant 10 ans et 151 matchs n'a pas connu une seule défaite. Un record qui tient toujours. Plutôt que de raconter ces dix ans de triomphe, le film a au contraire décidé de narrer le coup d'arrêt durant la saison 2004 de cette incroyable série, coup d'arrêt concomitant à l'attaque cardiaque du coach (bien que les deux ne soient pas reliés) et à la mort d'un joueur de l'équipe. Cet angle d'attaque au-delà de mettre en exergue l'esprit d'équipe et les valeurs de ce sport qui ont permis à l'équipe de se relever après un début de saison catastrophique, montre plutôt la philosophie d'un homme pour qui au-delà du sport et de la victoire, a toujours voulu transmettre à ses joueurs des valeurs fortes qui devaient primer sur le résultat. En somme, plutôt que l'histoire de victoires sportives ou l'hagiographie d'un coach surdoué, le film met en avant l'éducateur qui s'est donné pour mission de former des hommes et des citoyens plutôt que des champions. C'est bourré de gimmicks propres à ces films américains sur le sport avec ici - lycée confessionnel oblige - plein de références à la religion, mais cela s'avère passionnant et parfois touchant. Pour les fans de ce sport et ceux qui sont curieux de l'Amérique profonde.
La bonne idée pour parler de cette équipe universitaire qui enchaîna les victoires pendant des années aura été de débuter au moment où cette légendaire série prit fin. Bonne idée mais traitée à l'américaine avec tous les clichés du film de sport habituels ce qui le rend presque à gerber parfois! Toutes les belles valeurs comme la solidarité, le dépassement de soi, la famille etc... y passent ! Malgré tout, en essayant de ne pas rester bloqué là dessus, tout n'est pas à jeter. Le metteur en scène aura su se contenir pour éviter l'écoeurement et nous même émouvoir, notamment par les images d'archive du générique de fin. Dans le style, on a vu mieux mais pour ceux qui apprécient les films sportifs, celui-ci devrait largement faire l'affaire!
J'adore les stories sportives mais celle ci est l'une des moins bonnes qui m'ait été donné de voir . Tout est moyen , le jeu d'acteur , les images des matchs , le film se sauve grâce à son angle narratif , plutôt que de dépeindre la série de victoires le film montre l'après série et comment les joueurs vont se relever . Film un peu long et loin d'être une référence du genre .
beau film qui comme souvent sur ce thème traite des valeurs humaines liées à celles du sport collectif.. où la fraternité, le courage, le don de soi, le partage sont au coeur du récit. quelques très bons passages. Le scénario inspiré d'une vraie et belle histoire aurait mérité un meilleur budget de production qui aurait amélioré probablement le script servit par un casting encore meilleur qu'il ne l'est déjà (avec kevin kostner par exemple en entraîneur). idem pour la mise en scène pourtant déjà très réussie !
Jim Caviezel dans une forme de biopic du plus fameux coach du football us lycéen Bob Ladouceur (1954) qui a multiplié les titres entre 1982 et 2012 et enseignant catholique, c'est un bon rôle pour celui qui aura joué entre autres choses un Jésus avec Mel Gibson 2004, un Luc en 2018 et un espion repenti dans la série Person of interest 2011/16. Si l'on n'aime pas trop le sport et spécifiquement ce sport très américain ce n'est cependant pas trop un film bien utile mais pour les valeurs du sport avec un minimum d'angle de vertus chrétiennes c'est un incontournable.
Au delà de la performance très moyenne des acteurs et des scènes de football soporifiques, le vrai défaut de ce film est son cruel manque de profondeur. À la différence d'Invincible, The Express, ou 42; où l'aspect émotionnel est omniprésent à travers l'esprit d'équipe et le dépassement de soi, When the Game Stands Tall ne jouit malheureusement pas de cette substance supplémentaire. Thomas Carter a donc semble t-il cette fois-ci échoué dans sa tentative à reproduire ce schéma synonyme de grands films sportifs. Et la déception est d'autant plus grande que l'on sait que c'est à lui que l'on doit l'excellent "Coach Carter"...
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1,5
Publiée le 4 novembre 2020
When The Game Stands Tall se sentait parfois déconnecté. On vous présente ce fabuleux entraîneur qui inspire toujours ses joueurs mais en même temps sa situation à domicile ne semble pas aller trop bien. Sa femme est jouée par Laura Dern et j'ai eu l'impression que ces moments de famille ne fonctionnaient pas du tout dans ce film car ils ne touchaient que la surface de leurs problèmes. La relation avec son fils n'a pas non plus été explorée et tout était en quelque sorte laissé dans les limbes lorsque la seconde moitié du film se concentre exclusivement sur les matchs de football et les entraînements. Le scénario est faible et finalement leurs personnages souffrent de ne pas avoir de profondeur. Il y a aussi une sous-intrigue impliquant certains des seniors qui se dirigent vers l'université qui est également un peu ignorée après le décès de l'un des joueurs. C'est un moment clé du film mais il s'est simplement senti déconnecté de tout le reste...
Inspiré d'une histoire vraie, When the game stands tall raconte l'histoire d'une équipe de football qui est parvenu à enchaîné 151 victoires d'affilées. Ce film nous entraîne dans l'univers sportif des lycées aux Etats-Unis, et de la place centrale qu'occupe l'équipe de football locale dans les petites villes qui vivent aux rythme des rencontres.
Le réalisateur Thomas Carter nous plonge au cœur d'une petite ville américaine dont la fierté réside dans son équipe de lycéens. Nous sommes donc amenés à suivre un coach très protecteur et très proche de ses joueurs. Enseignant également la théologie, ce film se veut aussi une leçon de vie à l'américaine. Autrement dit, si le sport est l'élément central, le réalisateur met en avant la solidarité dans l'équipe, la volonté de faire les bons choix, la place de la religion très forte et l'idée que le coach n'est pas là pour former des joueurs mais des hommes.
Tourner un film sur le sport est toujours un exercice difficile. Si dans cette catégorie on compte des chefs d’œuvres comme Coach Carter avec Samuel L. Jackson ou encore The Blind Side, film pour lequel Sandra Bullock reçu un oscar. When the game stand tall est tombé dans la facilité avec des clichés qu'il était facilement évitable. En plaçant en opposition le coach joué par Jim Caviezel qui ne parvient pas à assumer son rôle de père auprès de son fils et de l'autre côté un père tyrannique et violent qui pousse son fils à bout pour battre un record de touch down. L'autre critique concernant ce film concerne les stéréotypes raciaux, car si le message du film consiste à dire que quel soit la couleur ou l'origine tous sont des frères d'armes, en réalité on remarque que les joueurs blancs appartiennent tous à la classe moyenne alors que les joueurs noirs sont dans des situations difficiles. Il s'agit là encore d'un raccourci un peu rapide et qui manque de réalisme.
En conclusion, le message de ce film reste éminemment positif et véhicule des valeurs auxquelles tout le monde peut s'identifier. Hélas on regrettera le manque de profondeur donné aux personnages, l'histoire manque de rebondissement et ne permet pas de se plonger dans cet univers.
Au tour du foot américain de faire son teenage movie. C'est rempli de clichés, de sentimentalisme et de leçons de morale. Les scènes dites "sportives" sur le terrain sont mal filmées, on ne ressent jamais la tension du match ou des joueurs. Tout s'enchaîne trop vite et sans réelle cohésion. L'acting est pauvre, très plastique, peu d'émotions. Il n'y a au final pas grand chose à retenir de "When The Game Stands Tall".