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L’attaque de la ville par des toilettes géantes ou le pistolet capable de rétrécir ou d’agrandir les ennemis offrent de belles scènes, drôles et spectaculaires. On sort de la salle en chantant « Tralala », le cri de guerre du capitaine.
Avec un humour puéril étonnamment jouissif, Captain Superslip divertit et incorpore avec succès le panthéon des bons films du studio de Dragons, Madagascar et Kung Fu Panda.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Puisant dans l’univers de l’auteur Dav Pilkey, le film délaisse l’habituelle sophistication de l’animation 3D au profit d’un dessin plus simple et naïf.
Au 63e pet enchaîné à un 72e rot, les adultes commencent à trouver le temps long. Mais probablement pas les jeunes enfants, qui hurleront de rire à chaque « prout » et pourront apprécier ce scénario rocambolesque servi par une animation très colorée.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Hymne à l’humour régressif, critique de l’austérité scolaire, cette histoire d’enfants bédéistes créant un anti-super-héros en slip joue adroitement de l’autodérision, mais n’évite pas un certain nombre de situations stéréotypées.
Au menu (...) : humour potache, "rebelle attitude" à la Bart Simpson et délire omniprésent. Le résultat étonne et détonne, mais sur la distance la créativité s'essoufle. Et nous avec.
(...) ce superhéros est l’invention des deux jeunes personnages principaux du film, garnements fondus de comics. L’un dessine, l’autre imagine les histoires, et c’est la meilleure part de l’aventure, puisque les créateurs n’hésitent pas à insérer dans une lisse animation par ordinateur de malicieuses séquences façon dessins d’enfants ou d’hilarantes marionnettes-chaussettes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Malgré une folie communicative, on regrette le manque d’ambition du scénario, pourtant signé Nicholas Stoller ("Nos pires voisins") qui nous avait habitués à davantage d’impertinence et d’inventivité.
Plutôt inventif dans la forme de son récit (...) et dans sa façon de jouer avec différents types d'animation, ce film souffre d'avoir le cul entre deux chaises.
Bref, ce dessin animé (adapté des livres de Dav Pilkey, douze titres de la série déjà publiés) relève de la pénible blague d'ado attardé : les personnages sont sans intérêt, les péripéties sans ressort, le slip peu passionnant. L'ensemble est, euh, comment dire ? Très con.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Manque criant d’invention, gags largement en dessous de l’élastique et une animation étonnamment bâclée, "Capitaine Superslip" est un film qui finit par tacher… A jeter au linge sale.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
On sort épuisé de ce film. Et furieux de voir jusqu'où peut aller la crétinerie humaine - on reste poli, un autre mot eût mieux convenu - quand elle s'étale avec autant d'aplomb satisfait.
20 Minutes
L’attaque de la ville par des toilettes géantes ou le pistolet capable de rétrécir ou d’agrandir les ennemis offrent de belles scènes, drôles et spectaculaires. On sort de la salle en chantant « Tralala », le cri de guerre du capitaine.
Première
Un pas de côté réjouissant pour DreamWorks, qui après le sympathique Baby Boss semble bien décidé à revigorer sa branche animation.
Voici
Un dessin animé survolté et inventif.
aVoir-aLire.com
Avec un humour puéril étonnamment jouissif, Captain Superslip divertit et incorpore avec succès le panthéon des bons films du studio de Dragons, Madagascar et Kung Fu Panda.
Le Monde
Puisant dans l’univers de l’auteur Dav Pilkey, le film délaisse l’habituelle sophistication de l’animation 3D au profit d’un dessin plus simple et naïf.
Le Parisien
Au 63e pet enchaîné à un 72e rot, les adultes commencent à trouver le temps long. Mais probablement pas les jeunes enfants, qui hurleront de rire à chaque « prout » et pourront apprécier ce scénario rocambolesque servi par une animation très colorée.
Les Fiches du Cinéma
Hymne à l’humour régressif, critique de l’austérité scolaire, cette histoire d’enfants bédéistes créant un anti-super-héros en slip joue adroitement de l’autodérision, mais n’évite pas un certain nombre de situations stéréotypées.
Télé 7 Jours
Au menu (...) : humour potache, "rebelle attitude" à la Bart Simpson et délire omniprésent. Le résultat étonne et détonne, mais sur la distance la créativité s'essoufle. Et nous avec.
Télérama
(...) ce superhéros est l’invention des deux jeunes personnages principaux du film, garnements fondus de comics. L’un dessine, l’autre imagine les histoires, et c’est la meilleure part de l’aventure, puisque les créateurs n’hésitent pas à insérer dans une lisse animation par ordinateur de malicieuses séquences façon dessins d’enfants ou d’hilarantes marionnettes-chaussettes.
La Voix du Nord
Deux gamins créent une BD autour d’un super-héros un peu barré. Pas léger, léger !
Le Journal du Dimanche
Malgré une folie communicative, on regrette le manque d’ambition du scénario, pourtant signé Nicholas Stoller ("Nos pires voisins") qui nous avait habitués à davantage d’impertinence et d’inventivité.
Studio Ciné Live
Plutôt inventif dans la forme de son récit (...) et dans sa façon de jouer avec différents types d'animation, ce film souffre d'avoir le cul entre deux chaises.
L'Obs
Bref, ce dessin animé (adapté des livres de Dav Pilkey, douze titres de la série déjà publiés) relève de la pénible blague d'ado attardé : les personnages sont sans intérêt, les péripéties sans ressort, le slip peu passionnant. L'ensemble est, euh, comment dire ? Très con.
Le Dauphiné Libéré
L’esprit potache y manque d’invention, à l’image d’un titre du genre pipicaca manifestement ciblé premier âge.
Paris Match
Manque criant d’invention, gags largement en dessous de l’élastique et une animation étonnamment bâclée, "Capitaine Superslip" est un film qui finit par tacher… A jeter au linge sale.
Positif
On sort épuisé de ce film. Et furieux de voir jusqu'où peut aller la crétinerie humaine - on reste poli, un autre mot eût mieux convenu - quand elle s'étale avec autant d'aplomb satisfait.