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    Bienvenue à Marwen
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    3,6
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    Votre avis sur Bienvenue à Marwen ?

    219 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 31 janvier 2019
    Steve Carell incarne à merveille son personnage. Le scénario est efficace, il n'y en a ni trop, ni trop peu.
    Quel plaisir de suivre un film où les gens qui entourent le personnage principal sont bienveillants !

    Les avis des @supergeekettes sur les films 2018 et nos attentes sur les sorties 2019 --> https://super-geekettes.com/
    lenaolivier
    lenaolivier

    3 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 janvier 2019
    " Bienvenue à Marwen" est un film totalement bluffant de Robert Zemeckis. Le pari été risqué d'alterner entre le monde imaginaire de Mark et de ses poupées et sa vie réelle. Mais ce monde imaginaire permet de mieux comprendre l'état post-traumatique de Mark Hogancamp dans sa vie réelle. En effet, tous ce qu'il se passe dans les scènes de son monde de poupées à un écho dans sa vie. De plus, les effets spéciaux sont bluffant et Steve Carell signe une prestation exceptionnelle. Un film à aller voir au cinéma absolument !
    Cpt-Mc-Givre
    Cpt-Mc-Givre

    18 abonnés 60 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 janvier 2019
    C'est toujours un plaisir de voir un film avec Steve Carell. L'hisoire est belle, le côté "animation 3D" est superbement créé.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 27 janvier 2019
    Original, ce film à la fois animation décontenance quel que peu. A l'origine d'une histoire vraie, bien scénarisé. A voir
    Stéphanie G
    Stéphanie G

    21 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 janvier 2019
    Une petite merveille signée Zemeckis. Poésie, humour et émotion sont au rendez-vous de ce film qui se double d'une réflexion sur la solitude de la création et le sentiment de culpabilité des victimes.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 27 janvier 2019
    Un film original qui invite à la rêverie. Mettre en scène ce genre d'idée change de ce que l'on a l'habitude de voir.
    eleonora
    eleonora

    21 abonnés 314 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 janvier 2019
    Robert Zemeckis a l'art de dénicher des sujets originaux en marge du quotidien.Steve Carrell apporte toute sa folie dans l'interprétation de ce personnage qui se réfugie dans un monde imaginaire de poupées. Je n'ai pas reconnu Diane Kruger ,en poupée Deja. Les effets spéciaux de motion capture sont bluffants, on voit bien le coté lisse et en plastique des poupées sur les têtes des acteurs.Qu'est ce qui ne fonctionne pas ? les scènes de seconde guerre mondiale jouées et rejouées sans cesse par les poupées, difficile de s'y intéresser étant donné le peu d'enjeu scénaristique.Le côté fétichiste des chaussures et les filles sexy,mettent plutôt mal à l'aise,au lieu d'être drôles, car le personnage principal est présenté comme un benêt.Heureusement les scènes où on revient au monde réel sont chargées d'émotion, notamment sur la fin.Bref le film est assez bancal.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 25 janvier 2019
    Ce film est pour moi un chef d’œuvre passé inaperçu. Les effets spéciaux, la musique, le scénario, tout s'entremêle parfaitement bien. Le jeu de Steve Carell est excellent. Surtout, l'histoire, en plus d'être originale, est touchante, juste. Rien à redire quant à la réalisation. Cela faisait longtemps qu'un film ne m'avait pas autant touché. A voir absolument
    Franz A
    Franz A

    28 abonnés 20 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 janvier 2019
    >>> Ouaouh ! Quel film ! O.K, j'adore Zemeckis... Suis-je d'ailleurs encore clairvoyant quand ses films souvent remarquables à mes yeux m'ont converti peu à peu en adepte inconditionnel ?

    >>> Donc : Quel film ! Mais jetons au diable ce trop plein d'enthousiasme et conjurons-le par des cris de joie : que d'ambition ! d'originalité ! de créativité ! de sensibilité ! de méticulosité ! de rigueur ! d'inventions ! de maîtrise ! de grâce ! d'esthétisme ! de profondeur ! de sens artistique !.. Voilà, ça va mieux. Allez, un dernier : Youpie.

    >>> La réalité fournit bien malheureusement la matière première du film : il s'agit d'une histoire tragiquement vraie vécue par Mark Hogancamp. A cet homme revient le mérite premier d'avoir changé un funeste destin en leçon de vie. Restait à lui donner la force d'un message universel : Zemeckis l'a fait.

    >>> La scène d'ouverture donne le ton : un avion chasseur essuie des tirs de DCA avant de s'écraser. Il a des allures de jouet et son pilote, un profil de figurine. Mais on y croit car le réalisme est saisissant. Pas de doute : c'est la 2nde guerre mondiale, les méchants sont des nazis et le pilote, le héros. Des poupées, au même corps sculptural de "pépées" comme les appellera le héros, volent à son secours dans un déferlement tonitruant de détonations de mitraillettes. Le décor qui habille l'imaginaire de Mark est posé. Voilà son refuge, créé pour échapper au traumatisme de l'agression qui a dévasté sa mémoire et sa vie passée. Sa vraie vie est ailleurs : on y rencontre en chair et en os les êtres dont on a vu les avatars de plastique.

    >>> Le dispositif, magistralement exposé où vont se succéder des aller-retour entre la scène de la réalité et les coulisses de l’imaginaire, est lancé. Il va devenir la source d'une jubilation permanente. Evidemment, les nazis fictifs sont les vrais agresseurs et les "pépées", des amies véritables. Dans l'espace amoral de l'imaginaire, la vengeance peut dès lors s'assouvir dans un déferlement de violence sans limite où les gentils massacrent inlassablement les méchants.

    >>> Là, Zemeckis, use de la motion capture en maître absolu. Le « Pôle express » et la « Légende de Beowulf » déjà mémorables trouvent dans ce film un accomplissement technique proche de la perfection.

    >>> Mais cette prouesse technique demeure un moyen : user d’une parabole artistique pour exprimer en langage cinématographique les tréfonds de l’homme. Zemeckis fait un film d'action visuellement éblouissant avec une histoire que d’autres auraient allongée sur un divan de psychanalyste. Tout est dit mais l’éloquence est muette, la profondeur, formelle et l’explication suggérée.

    >>> Et les enseignements sont innombrables.

    >>> Oui, l'art est une transcendance, un dépassement par lequel l'homme trouve sa grandeur et sa nécessité ! Mais là, on voit un homme sauver sa peau en donnant –littéralement- vie aux poupées qu’il fabrique et photographie.

    >>> Oui, la vie s'écrit dans le double langage permanent de la réalité et l'imaginaire où les phantasmes s’écrasent contre le mur de l’expérience et réveillent la conscience ! Mais là, on voit le héros déclarer aveuglément sa flamme avant d’en être consumé et d’ouvrir les yeux sur sa fausse culpabilité.

    >>> Oui l’homme porte l’infini à la fois par sa bestialité et sa sensibilité ! Mais là, on voit cinq brutes massacrer à mains nues une sorte d’artiste poète parce qu’il avoue porter des talons hauts pour se rapprocher de la « quintessence » de la femme.

    >>> Oui, l'homme est aux prises avec les prisons qui lui sont infligées et la lutte éperdue contre l'enfermement est le prix de la liberté ! Mais là, cette solitude, notre solitude, on la partage. Et on exulte de lui échapper le temps d’un film.

    >>> Enfin, oui, un homme peut-être profondément féministe ! Mais là, c’est un chef d’œuvre de Zemeckis.

    Vive le cinéma !
    Franz | https://latlas.paris
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 20 janvier 2019
    Basé sur une histoire vraie, Bienvenue à Marwen, raconte l'histoire d'un homme brisé après avoir été sauvagement battu qui sera sauvé par les femmes et des poupées. En effet, il s'imagine une vie dans un village en Belgique pendant la seconde guerre mondiale, vie qu'il fait jouer à des poupées (genre poupées Barbies mais bien plus articulées). Il immortalise ces moments pas des photos et devient par là un artiste reconnu. L'histoire est originale et l'on s'attache rapidement à cet artiste cabossé et écorché vif. Steve Carell y est parfait. Mais la vraie prouesse est dans le fait de donner vie à ce village de Marwen et à toutes les poupées qui le peuplent (les sexies (et caricaturales) habitantes, le pilote Hogie et les méchants nazis, plus la sorcière belge). On oublie rapidement que ce sont des poupées, l'animation est parfaite, les expressions parfaitement rendues et l'on se prend à être plus captivés par les péripéties de Marwen que par ce qui se passe dans la vraie vie. Une belle ode à l'imaginaire, la tolérance et la folie douce. Mais attention, ce n'est pas un Disney non plus. Les méchants nazis (notamment) sont tués de multiples et violentes façons et les obsessions du personnage principal pour les chaussures de femmes à talons hauts et les poitrines dénudées placent le film dans la case pour adultes... (message à ceux qui pensent pouvoir y aller avec des enfants.) D'une façon globale, le film aurait gagné à être un peu plus court, les passages sur les névroses de Mark étant un peu répétitives et lassantes. Mais l'originalité du traitement, le propos pour la tolérance, et sa réalisation sans faille en font un film dans la lignée directe des autres Zemekis.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 janvier 2019
    Un film émouvant et innovant qui change nos habitudes au cinéma !
    La réalisation est incroyable, les détails sont minutieux et ingénieux.
    La moral de cette histoire est réellement touchante.
    Annabonfilm
    Annabonfilm

    4 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 janvier 2019
    Difficile d'accrocher au film de prime abord. Il faut bien une heure pour que cela décolle, ou s'anime...et que l'on commence à comprendre; mais n'est-ce pas le but finalement?
    Bernard M
    Bernard M

    26 abonnés 461 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 janvier 2019
    ' Bienvenue à Marwen' est un film parfois un peu déroutant: il règne une certaine confusion qui se débroussaille au fur et à mesure qu'on avance dans l'action sans jamais disparaître complètement ce qui rend la deuxième partie plus intéressante que la première. Ceci ne remet pas en cause tout le savoir faire de Robert Zéméckis qui joue avec sa propre oeuvre avec des clins d'oeil sur Roger Rabitt et sur "Retour vers le futur" .Nous sommes en présence d'un personnage insolite qui n'est pas sans rappeler un certain " Forrest Gump".On finit par trouver le personnage central attachant et ce film comme le savoir faire d'un vieux routier du cinéma même si ce n'est pas son meilleur.
    circusstar
    circusstar

    141 abonnés 719 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 janvier 2019
    Je n’ai franchement pas accroché de la façon de traiter le traumatisme. Steve Carrell est parfait mais cela n’a pas réussi à me toucher, et pour tout dire : pas mal de moments ennuyeux. Bien en dessous de mes attentes.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 356 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 janvier 2019
    Ah moi je l’aime bien ce Robert Zemeckis… L’air de rien, ce mec est responsable de films très marquants dans la culture populaire (« Retour vers le futur », « Qui veut la peau de Roger Rabbit ? », « Forrest Gump »), de même qu’il témoigne toujours d’une véritable sensibilité dans sa mise en scène. Et pourtant ses films sortent sans que jamais son nom ne soit vraiment mis en avant. Dommage parce que pour moi, le nom de Zemeckis est plus que vendeur. La preuve, quand j’ai appris que c’était lui qui était aux commandes de ce « Bienvenue à Marwen », je me suis précipité pour le voir… Seulement voilà, en le voyant ce « Bienvenue à Marwen », je me suis soudainement rappelé que Robert Zemeckis, c’était aussi le réalisateur de films comme « Le Pôle Express », « Flight » ou encore le récent « The Walk ». Bref, des films pas forcément honteux, mais des films quand même bien dégoulinants et pas très subtils dans le discours. Pourtant ça commençait bien. L’introduction était malicieuse, techniquement habile, et surtout très intrigante pour la suite. Mais à peine cette introduction fut-elle finie que le film enchaîne sur le quotidien de Mark qui, lui, n’a clairement pas eu la chance de bénéficier de la même inventivité formelle. Mise en scène classique. Musique mielleuse comme on en trouve malheureusement trop souvent dans les films de Zemeckis. (En plus – pas de chance ce coup-ci – Alan Silvestri, peu inspiré, pompe le « Killing Fields » de Mike Oldfield de manière assez disgracieuse.) Et, pire que tout, Zemeckis et Thompson n’ont rien trouvé de mieux pour nous faire l’exposition de la situation que de faire parler le héros avec lui-même. Ça n’aurait pu être qu’un problème passager, mais malheureusement, cette scène-là, c’est elle qui va donner le ton de tout ce qui va suivre. A partir de ce moment, le film se retrouve en panne sèche d’inspiration. La mécanique revient tout le temps à l’identique sans parvenir à s’enrichir. Vie réelle et vie fantasmée se répondent en posant systématiquement les mêmes problématiques. Mark va-t-il surmonter ses angoisses ? Mark va-t-il oser se confronter à ses anciens agresseurs ? Mark va-t-il oser avouer sa flamme à Nicol ? A chaque fois les saynètes à base de poupées intègrent les éléments de la vie réelle de Mark afin que celui-ci s’en serve pour surmonter ses défis. Le problème c’est que ces saynètes ont beau être jolies et techniquement pertinentes, elles n’en restent pas moins dramatiquement pauvres, simplistes, et peu évolutives. Alors d’accord, j’entends que ce choix a certainement été dicté par la vraie histoire de Mark Hogancamp dont ce film s’inspire. Seulement ce choix je le trouve inefficace pour alimenter une fiction. Si j’avais eu affaire à un monde fantasmé aussi riche de sens et aussi subtil en symboles que celui du « Labyrinthe de Pan », j’aurais pu me projeter dans ces saynètes. Seulement, là, on a affaire à un personnage de gros bidasse entouré de ses groupies qui ne passe son temps qu’à vouloir tuer des nazis et sauter des « pépées ». C’est con mais, du coup, ce mec n’est pas parvenu à m’intéresser. Pire, quand il se met à parler comme un gros beauf en se rapprochant de Nicol, moi mon premier réflexe ça a été de le percevoir davantage comme une menace potentiellement dangereuse pour la jeune-femme plutôt que comme un personnage touchant et attachant qu’on a envie de voir s’en sortir. Et que le film affiche ce type de personnalité là à son personnage central, sans que ça ne suscite la méfiance chez toutes ces femmes qui l’entourent, j’ai trouvé ça limite malsain. Au bout d’un moment, j’ai même fini par craindre le pire : spoiler: que la romance entre Mark et Nicol aille jusqu’au bout, sans accroc
    . Heureusement, ce film a quand même eu l’intelligence de poser le seul événement pouvant donner de l’intérêt à l’intrigue ( spoiler: le fait que Nicol brise le fantasme de mariage de Mark
    ). Seulement – premier souci – ce premier élément vraiment intéressant et dynamisant de l’intrigue ne survient qu’au bout d’une heure et vingt minutes. Et deuxième souci : cela n’empêche pas le film de rester sur une ligne assez convenue pour tout le temps restant. Pire, dans son final, Zemeckis va carrément jusqu’à se vautrer dans une forme de larmoiement assez lamentable ( spoiler: Les agresseurs de Mark qui finissent en pleurs au tribunal : worst idea ever.
    ), ce qui ne rend clairement pas service à son film. Autant dire qu’arrivé au générique de fin, ce ne fut pas l’émotion qui m’a assailli. Plutôt le soulagement. C’était comme si je venais de finir un plat bien plus bourratif qu’affiché sur le menu. Autant dire que maintenant je m’en souviendrai la prochaine fois que je verrai le nom de Zemeckis associé à la réalisation d’un film. Je repenserai certes à « Retour vers le futur » ou bien à « Qui veut tuer Roger Rabbit ? », mais bon, j’essaierai cette fois-ci de ne pas oublier « Pôle Express », « The Walk »… et maintenant ce « Bienvenue à Marwen… »
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