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Un visiteur
2,0
Publiée le 9 avril 2019
C'est plat, c'est longuet, et au final, ca ne raconte pas grand chose. Une nouvelle preuve que tous les faits divers médiatiques ne font pas de bons scénarios de films...
Suite à une agression violente et homophobe un homme amnésique tente de se reconstruire en s’enfermant dans un univers de poupées. Par de délicats aller-retours entre réalité en image et imaginaire en animation, Zemeckis nous sert un film féministe et troublant sur les chocs post-traumatiques, la maladie mentale et même sur, chose plutôt gonflée pour un film de studio, le genre sexuel par l’attachement du héros aux souliers féminins. Idéalement interprété par un Steve Carell tout en douceur, on a quand même du mal à éprouver de l’empathie pour ce personnage perturbant qui sexualise ses poupées et devient obsédé par sa voisine.
Tout simplement fabuleux ! on a encore droit à un super film de Robert Zemeckis Le fim est visuellement superbe , et on ne voit pas le temps passé. superbe interprétation de Steve Carrel et Je pense que beaucoup de gens pourraient facilement s'identifier à notre héros. La référence à un certain "Retour vers le..." ne m'a pas choqué , bien au contraire , j'ai trouvé ça vraiment pas mal. Un film que je reverrai sans hésitation
Suite à une agression violente dans un bar, un américain s’est retrouvé amnésique des suites d’un coma. L’homme s’est alors réfugié dans un univers imaginaire en construisant une ville belge datant de la Seconde Guerre Mondiale. Les poupées représentent ses amis, son entourage et ses agresseurs sont les nazis en guise de thérapie. C’est Steve Carell qui se voit offrir le rôle principal. Les réalisateurs ont enfin compris que le comédien n’était pas juste bon pour la comédie et on commence à le voir de plus en plus dans des rôles dramatiques. Robert Zemeckis lui écrit ici un rôle subtilement sensible. « Bienvenue à Marwen », c’est aussi une prouesse technique où l’animation est superbement réalisée. Sous ses apparences de conte simpliste où les bons gagnent toujours contre les méchants, le réalisateur de « Forest Gump » et « Retour vers le futur » décrit la complexité d’une réalité qui se subit parfois plus qu’elle ne se décide. Une œuvre sur la tolérance de la différence brillamment manœuvrée. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
Film émouvant et très bien fait ;) Cette histoire vrai est incroyable, l'acteur principal joue bien, les effets spéciaux de ce monde miniatures sont très très bien fait. Je le recommande car j'ai passer un bon moment à partager ses histoires dans ce monde merveilleux !
L'histoire d'un homme qui essaye de résoudre ses traumatismes à travers l'imaginaire et l'amour des femmes.. C'est un thème sympa. Il y a de bonnes idées et des trouvailles, bien que Robert Zemeckis nous ait habitué à mieux. Un film qui essaye d'être touchant et humain, qui y parvient parfois, mais qui se révèle un peu ennuyeux simpliste et psychologisant par d'autres moments. Avec des réussites visuelles cependant. Naïf mais mignon.
Si les critiques ont été nombreuses et que le film a fait un flop, j'ai trouvé que ce "Welcome to Marwen" avait vraiment quelque chose. Avant même de savoir qui réalise, on peut deviner qu'il s'agit de Robert Zemeckis. Sans parler de la qualité intrinsèque du film, il dégage quelque chose comme c'était le cas pour un "Forrest Gump" ou "Back to the Future". Bien sûr, ce film n'atteint pas l'excellence de ces films, il est même moins bien que le récent "The Walk" par exemple, mais dans l'esprit et l'ambiance, c'est du très bon Zemeckis. Comme très souvent, le réalisateur adapte une histoire vraie à savoir celle de Mark Hogancamp, un homme devenu amnésique après avoir été passé à tabac qui trouve refuge dans le monde imaginaire de Marwen qu'il a inventé. Cette ville qui prend place pendant la Seconde Guerre mondiale est peuplée de poupées à son image et à celles des membres de son entourage. Marwen est le prolongement de ce qui reste de Mark. Les Nazis représentent ceux qui l'ont agressé et il les combat à travers ces alter ego qui sont toujours là pour le protéger dans cet univers. Cette façon de parler d'un traumatisme est vraiment originale surtout avec les deux univers qui sont liés. Les combats d'un monde ont un impact sur l'autre et vice versa. Mark se sert de ses poupées pour tenter d'aller mieux et se sert de sa vie pour les histoires de ses personnages imaginaires. Un récit vraiment touchant qui prend totalement vie lors de superbes scènes en motion capture qui nous plongent dans un univers très réussi dans lequel le réalisateur se permet même quelques libertés. Le combat de cet homme qui est matérialisé par ce monde imaginaire est parfaitement incarné par un Steve Carell une nouvelle fois bluffant. Attachant au possible comme un enfant qu'on a envie de protéger, l'acteur s'en sort merveilleusement bien. Vraiment, ce "Bienvenue à Marwen" est un bon film qui traite un sujet délicat avec beaucoup d'originalité et de sensibilité.
Zemeckis c'est le réalisateur avec qui j'ai plein de souvenirs de cinéphile : Retour vers le futur est une de mes sagas cinématographiques préférées et Forrest Gump un des meilleurs films que j'ai vus, donc je j'attendais beaucoup ce film et j'ai pas été déçu à la sortie.
Coté scénario :
L'histoire est originale, j'ai appris au cours de ce film que c'est tiré d'une histoire vraie et ça été intéressant de se documenter ensuite afin d'en savoir plus. Comme j'aime beaucoup les films sur la seconde guerre mondiale de base j'étais encore plus impatient et ce qui est drôle c'est que je ne suis pas fan du tout des poupées et marionnettes qui parlent à tel point que cela me donne parfois des cauchemars. Les poupées m'ont fait penser aux jeunes filles qui jouaient aux Barbies un peu et qui arrivaient à créer leurs propres histoires. On comprend bien la relation qui unit le personnage de Hogancamp à ses poupées, cela lui sert de protection et de réconfort quand quelque chose le stresse ou le perturbe. Ill y a efffectivement un petit coté dramatique dans l'histoire, mais cela m'as pas dérangé car ZEMECKIS à déjà tourné beaucoup plus dramatique (Seul au monde en 2000). Le seul petit point négatif, c'était la courte référence à Retour vers le Futur
avec une reconstitution de la DELOREAN faisant office de machine à voyager dans le temps.
qui n'était pas indispensable à l'histoire. C'est vrai que aujourd'hui ZEMECKIS est surtout reconnu pour la saga Retour vers le futur mais n'oublions pas que il n'a pas réalisé que ça.
Coté casting
J'ai beaucoup aimé les rôles de Steve CARELL et Leslie MANN surtout que ces deux-la ont déjà joué ensemble par le passé sur un même film (40 ans toujours puceau) , et donc en sentait la complicité entre les deux acteurs. J'ai pas reconnu Gwendoline Christie sur le coup et le reste du casting je ne connaissais pas à part Diane KRUGER qui jouait le personnage de Déja THORIS.
Coté décor :
J'avoue que sur ce film, je suis curieux de voir les bonus pour voir comment le film à été tourné car les décors sont bluffants, les petits détails bien visibles, les toutes petites maisons , les petites voitures, les armes, les symboles. C'est fascinant comment Zemeckis leur a donné vie à tous ces petits éléments.
J'ai pas vu passer les deux heures de film honnêtement car j'ai vu des gens dirent que c'était long mais "Seul au monde" dure à lui seul 2h20, Forrest Gump aussi dure 2h20 et les films Retour vers le futur durent chacun environ 1h50 donc c'est pas long du tout.
Je recommande grandement ce film qui pour moi vaut le détour pour l'histoire racontée et ses décors. Note : 8/10. C'est un film qui ira dans ma collection un jour j'en suis sur.
Excellent film, super réalisation, original, sors du lot des films actuel, plein d'émotions je le conseil beaucoup et je ke comprend pas pourquoi il est noté si mal..
Parce que c’est Robert Zemeckis derrière la caméra, parce que son héros est un homme qui respire la bonté et aussi parce qu’ils ne se sont pas foulé pour l’affiche ; on s’est dit qu’on tenait peut-être un nouveau Forrest Gump. Il faut savoir que l'histoire de Mark Hogancamp a déjà été contée à travers le documentaire Marwencol dont s’est inspiré le réalisateur. Rien à dire sur Steve Carell qui est investi à 100% dans son rôle mais cela est balayé par des scènes d’animation qui pullulent dans le film et qui finissent par reléguer la tragédie vécue par notre héros au second plan. Il y a donc un véritable déséquilibre au point que Bienvenue à Marwen semble davantage être un film d’animation qu’autre chose et là l’émotion n’est vraiment pas au rendez-vous !
ok acteurs super, ok histoire passionnante,ok prouesses avec ces poupées,mais....c'était tellement plat! y'a même pas d'intrigue, on regarde un instant de sa vie et basta, et puis tout est dejà dit dans la bande annonce y compris la fin. Avec une énoooorme dose de mièvrerie (la palme étant pour la voisine d'en face) ,qui fait que le message se retrouve étouffé spoiler: Les agresseurs qui pleurent à la fin c'est crédible,sérieux? C'est des néo-nazis sensibles,lol
Ce film ne m’a pas accrochée, la mise en scène a du mal à me captiver, c’est une réalisation affichant le même que « Forest Gump ». La tournure dramatique prend ce monde de fantaisie semi-réelle, l’esprit rêvé d’un passionné de figurine et maquette réplique de la seconde guerre mondiale, la Belgique fictive dans son jardin expérimental. Tabassée et laissé pour mort en sortant d’un bar très arrosée, une victime de « hate crime » homophobe, un déchaînement d’une telle violence inouïe, il a survécu mais laissera de grave séquelle physique perturbante sur son mental, l’amnésie crée cette bulle à lui. L’obsession centrale du pilote poupée soldat est le talon aiguille, c’est son goût qui ne sera discutable dans cet appel tolérant et une focalisation incessante, l’invention d’origine d’un objet de coquetterie féminine, étrange soit-il.
Beau film très original et touchant surtout qu'il s'appuie sur une véritable histoire. La mise en scène remarquable est très belle tout en étant très très originale alternant les vraies prises de vue avec l'animation 3D en partant des photos des poupées. Steve Carrel incarne à la perfection ce personnage détruit