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    Bienvenue à Marwen
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    219 critiques spectateurs

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    alex supertramp
    alex supertramp

    5 abonnés 117 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 mai 2020
    Bon tous d'abord je tien a dire que le visionnage du nouveau film de Robert Zemeckis a été un plaisir, un film original et inventif sur beaucoup de points comme celui-ci me fait toujours plaisir. Mais j'en ressort tous de même avec un avis mitigé très mitigé même. J'ai été ballotter durant toute ma séance entre surprise, monotonie, agacement, étonnement... Autant de ressentis différents et opposé donc. Le film débute de tel façon que l'on est tous de suite intrigué,( d'autan plus que je ne savais rien sur le scénario) on ce demande ce que l'on voit et dans quel genre de film on est tombé, la séquence d'introduction fait son petit effet et marche extrêmement bien. J'étais donc emballer et terriblement curieux de savoir la suite. Et la suite justement baaaa... sans être totalement ennuyeuse elle est quand même très répétitive sur une bonne heure, seul l'arrivé de la nouvelle voisine vient amené un élément nouveau mais rien de très bouleversant. Un schéma ce répète en boucle et aucune surprise ne vient chambouler tous ça : Présentation de la vie de Mark, vie rêvé de Mark, Présentation de la vie de Mark, vie rêvé de Mark... au bout d'un moment ça ressemble plus a une succession de sketch qu'a un véritable film, a tel point qu'on ce désintéresse complètement de la vie réel de Mark qui est noyé sous ces "sketch" de poupées. Bien que les séquences de la vie rêvé de Mark soit plutôt réussi et assez drôle ça reste du superflu, du moins c'est l'effet que ça donne, donc on est là en attente d'un début de film . Et ce début fini par venir avec une scène clés et très réussi de pare la tension quel amène en quelques secondes. Une scène qui laissait rêveur pour la suite spoiler: (la scène ou mark boit son café et que les personnages poupée font irruption dans sa vie réel) je me suis dit que mark allait petit a petit plongé dans la folie et que ces deux mondes allais ce mélanger jusqu’à ce confondre l'un et l'autre.
    Mais ensuite le film ne va pas assez loin,le virage sombre et psychologique qu'aurais pus prendre le film est trop court, pas assez travaillé et on revient très vite a une ligne droite bien moins excitante. Pourquoi ne pas avoir fait plus de scènes comme celle du tribunal, qui est un petit bijoux spoiler: qui plonge dans ce coté schizophrène de Mark
    , pourquoi ne pas en avoir fait plus, de plus en plus même c'était ça le vrai point fort de ce film le mélange de réalité. Raaaa quel dommage !! Un autre Evénement vient ensuite donné un nouvel espoir de voir le film prendre un autre virage spoiler: ( Quand Nicol refuse la proposition de Mark et le ramène dans le monde réel)
    Mais encore une fois rien de bien probant, Mark demeure le même et sont personnage ne prend pas plus de relief (pas assez du moins) et film va tomber dans une mécanique déjà vu, bien réalisé mais dèjà vu. Pour ce qui est de l'histoire avec les poupées (qui est en réalité un parallèle a sa propre vie) on ce doute quand même de façon évidente ce que représente la fameuse "poupée au gant" et la surprise final n'en est pas vraiment une spoiler: et ça parais même un peu facile la manière dont Mark ce défait de son "Mal".
    Malgré tous cela comme je l'est dit j'ai passé un bon moment devant un film original et remplis de belles trouvailles humoristique et visuel.
    Uncertainregard
    Uncertainregard

    117 abonnés 1 285 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 avril 2020
    Bienvenue dans le monde imaginaire de Mark Hogancamp et surtout dans l'univers visuel de Robert Zemeckis qui aura une fois de plus réussi une prouesse technique au cinéma. C'est un vrai régal d'alterner tout au long du film entre la réalité et ce monde des poupées avec beaucoup d'humour et un Steve Carell touchant. C'est assez bon enfant même si quelques scènes d'action sont assez violentes mais il n'y a pas de sang hormis à la fin. Je le déconseillerai tout de même aux plus jeunes...
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    365 abonnés 1 814 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 mars 2020
    J’ai trouvé ce film mi-figue, mi-raisin. Autant j’ai été emballé par l’histoire, par contre moins par la partie « poupée ». Pourtant, un très grand soin a été apportée à celle-ci même si par moments j’ai trouvé que les images de synthèse étaient trop voyantes. Ces parties apportent de la folie au récit et surtout elles nous montrent ce qui se passe dans l’esprit de Mark. Il retranscrit par ses histoires de poupées, ce qu’il subit. Il y a même un mélange réalité fiction qui se fait comme le refuge qui se crée dans sa tête. Au fur et à mesure qu’on avance, on comprendra mieux ce qui lui est arrivé et pourquoi il se retrouve dans cet état. On est cependant parfois tellement plongé dans cet univers de substitution que l’avancement du récit en pâtir comme pour une des dernières scènes où finalement le tournant sera assez mal présenté en étant centré sur le récit poupées. Je n’ai pas trouvé que le choix de Steve Carell pour ce rôle était des plus pertinents. Sa carrière a souvent été tournée vers des personnages comiques proche du ridicule comme dans la série THE OFFICE (US), que je n’arrive pas à dissocier cette image de lui. J’avais donc beaucoup de mal à le prendre aux sérieux. C’est un bon acteur, il n’y a rien à redire sur cela, mais le courant n’est pas passé. Il y a une émotion qui se dégage regardant BIENVENUE A MARWEN mais ce n’est pas à la hauteur que cela aurait pu être si l’histoire centrale avait été un peu plus appuyée.
    Inglorious_Ben
    Inglorious_Ben

    64 abonnés 1 515 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 mars 2020
    Bienvenue à Marwen est un drame poignant et sincère. Le personnage, superbement interprété par Steve Carell, se réfugie dans un monde imaginaire (mais inspiré par sa vie et son entourage) peuplé de poupées. Visuellement impressionnant, le film offre en plus une vision très intéressante et réaliste sur le syndrome post-traumatique et ses conséquences. Robert Zemeckis réalise un film réussi et parvient même à jouer avec ses propres références. A voir.
    Jonathan P
    Jonathan P

    69 abonnés 395 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 mars 2020
    Impossible de se souvenir du passé et pourtant ce village le propulse vers le futur. Voici le croquis d'une sublime souffrance.
    bobbyfun
    bobbyfun

    43 abonnés 1 253 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 février 2020
    Ecrire sa propre histoire à défaut d'avoir perdu la sienne. Par le prisme de l'imaginaire, se reconstruire pour s'affranchir.
    Marc L.
    Marc L.

    46 abonnés 1 607 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 janvier 2020
    Un rêveur inadapté au monde qui l’entoure mais qui s’en sort justement parce que ses rêves sont plus grands que la vie : il y avait là tout ce qu’il faut pour fasciner Robert Zemeckis, qui fut durant une dizaine d’année, de 1985 à 1995, le seul véritable rival de Steven Spielberg en terme d’entertainment global, avant d’entamer une seconde partie de carrière centrée sur l’expérimentation visuelle et des coups de coeur pour des sujets atypiques. D’autant plus que ce rêveur existe et a déjà eu un documentaire à sa gloire: son nom est Mark Hogancamp, c’est un artiste qui fut victime d’une agression brutale voici une vingtaine d’années, qui le laissa amnésique et psychologiquement fragilisé. Privé de ses souvenirs, de sa personnalité et des compétences qu’il possédait, Hogancamp se réfugia dans un monde imaginaire fantasmé, dont il a tiré des moyens de subsistance : petit à petit, il a bâti Marwen, un village belge (?) miniature de la seconde guerre mondiale où, sous les traits d’un impétueux soldat entouré d’une escouade de pétroleuses, il lutte contre des nazis sadiques et vit des romances torrides. A l’écran, on saute ainsi en permanence du monde réel, dans lequel Hogancamp joue son rôle de démiurge-photographe du village des poupées à ce qui se déroule virtuellement au sein de ce dernier, dans lequel toutes les figures familières du cercle relationnel (restreint) de Hogancamp cohabitent en motion-capture, au service de péripéties infantiles dont l’avatar de cet homme timide et diminué est le héros aux mâchoires serrées : l’intérêt de la chose consiste à observer et comprendre de quelle manière les éléments réels nourrissent le fonctionnement d’un monde miniature qui, à son tour, contamine le réel. Qu’il s’agisse de la mauvaise interprétation que Hogancamp fait de la bienveillance de certaines femmes à son égard, des hommes dont il redoute la violence et qu’il lui est vital de vaincre en simulacre ou de son accoutumance aux antidépresseurs qui s’incarne sous la forme d’une fée malveillante qui contrecarre systématiquement les aspirations du héros, ‘Bienvenue à Marwen’ est, sous des dehors bonhommes et ludiques et malgré sa fantaisie apparente et son happy-end en bonne et due forme, un film d’une évidente noirceur, dédié à une impossible résilience, et aux stratégies d’esquive mises en place pour survivre à un choc post-traumatique : la manière atypique dont Hogancamp a choisi de domestiquer ses névroses aura permis l’éclosion d’un des films les plus intrigants qui soient sur la question, même s’il est loin de creuser le sujet à fond et succombe fréquemment à certaines facilités narratives...ce qui ne lui a pas porté chance puisqu’à mêler pathologie, imagerie militaire, régression enfantine et pulsions sexuelles adultes, le film n’a pas manqué de mettre mal à l’aise le public américain, qui lui a accordé un accueil pour le moins glacial….
    pentarou
    pentarou

    5 abonnés 207 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 janvier 2020
    Je retire déjà une demie étoile pour le "50 million lightyear in the futur" année lumière c'est une unité de distance pas de temps.
    Sinon le film est intéressant. Basé sur une histoire vraie, elle nous montre ce que vit cet homme suite à son agression.
    Je trouve que Zemeckis a su nous faire comprendre le personnage, assez pour nous transmettre les émotions voulues dans les deux derniers tiers du film.
    Certaines scènes avec les poupées sont néanmoins un peu trop farfelues et nous sortent temporairement du film ce qui est dommage.
    Steven O.
    Steven O.

    29 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 janvier 2020
    Premier film de l'année 2020 et j'avoue être très embêté pour le noter.
    En effet ce film est véritablement un OVNI comme on en voit pas souvent et j'avoue ne pas savoir quoi en penser au final.

    Le long métrage a de vraies qualités d'une part visuel franchement c'est magnifique, les scènes d'action en poupées sont véritablement splendides et c'est tellement original bref un vrai vent de fraîcheur.
    Ensuite l'histoire du film en intéressante même si j'aurais aimé qu'on se penche un peu plus sur la vie d'avant du héros. Là le film ne traite vraiment que de la maladie mentale du protagoniste sans véritablement creuser sa vie d'avant et j'ai senti un petit manque à ce niveau.

    Steve Carrel fait le job même si parfois j'ai trouvé le rôle un peu trop grand et lourd pour lui. Je n'ai pas pu m'empêcher de penser qu'avec un autre acteur le film aurait encore gagner en justesse.

    Oui mais avec toutes ses qualités le film aussi a de nombreux défauts qu'il l'empêche de vraiment être un très bon film.

    Déjà les scènes d'action en mode poupée deviennent vite lassantes et on se demande pas si c'est pas un délire de Zemeckis plutôt que du héro lui même.

    Ensuite j'ai trouvé le personnage principal un peu antipathique voire très misogyne ce qui m'a empêché d'avoir réellement de l'anpathie pour lui.

    Bref le film alterne le très bon et le mauvais pour finalement flirter avec la moyenne
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 31 décembre 2019
    J'ai adoré cette réalisation, ce mélange de figurines et maquettes, ce scénario très original ! ! !
    Un excellent moment de détente avec un retour à l'enfance oubliée...
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    705 abonnés 3 059 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 décembre 2019
    En plaçant sa caméra au service d’une peinture des pouvoirs thaumaturgiques de la fiction, Robert Zemeckis offre à l’année 2019 un véritable acte de foi dans l’art qui seul est capable d’extirper un homme dévasté du champ de mines qui lui sert de for intérieur, d’extérioriser son mal par le biais de figures et par le prisme de la créativité. Car le petit monde de Marwen parle plus fort, tire plus vite, décuple la puissance dramatique et picturale du réel de sorte à tendre à ce dernier une lanterne magique imagogène autour de laquelle s’attirent, comme aimantées, les bribes de souvenirs encore douloureux et que les scénarios successivement concoctés par Mark Hogancamp développent. Et en dépit du traumatisme lié aux lyncheurs néonazis – cf. la croix sur leur bras –, le retour à l’Histoire raccorde notre personnage éponyme à l’origine de tous les maux, au méchant par excellence qui n’a de cesse d’obséder l’inconscient collectif : la période de la Seconde Guerre mondiale cristallise à elle-seule tout un imaginaire qui féconde la douleur d’un autre temps, qui lui sert de passerelle entre les barbaries érigée peu à peu au-dessus du gouffre individuel. La fiction se mue aussitôt en échappatoire, en lieu d’une distanciation du moi avec ses traumatismes ; les protagonistes féminins – les plus nombreux – incarnent l’ambivalence du héros, son goût pour les talons hauts. Il dit rechercher l’essence des femmes, c’est-à-dire sa propre essence éprouvée par le prisme de plusieurs personnages qui coïncident tous avec une rencontre, un fantasme, un pan de sa personnalité ombragée. La fiction vient redoubler le réel, elle grossit le trait, envahit l’espace par une musique grandiloquente et de l’action sans arrêt. Le village de Marwen – bientôt renommé Marwencol – résulte lui aussi d’une agglutination, soit l’alliance de trois diminutifs renvoyant aux femmes qui marquent l’existence de Mark. Avec un budget limité, Zemeckis réussit l’exploit de donner vie à un univers cohérent et techniquement superbe qui oscille entre Toy Story et le film de guerre ; et de cet improbable mélange naît une œuvre qui narre l’agonie d’un artiste heureusement sauvé par la foi qu’il place en son art. Les nombreux clins d’œil aux précédentes réalisations du cinéaste achèvent le rapprochement entre le personnage principal et Zemeckis lui-même, peint sous les traits d’un ancien propagandiste – il dessine la guerre et la bravoure des soldats américains – contraint de renoncer pour plonger en lui et continuer, contre vents et marées, à creuser son sillon artistique. L’indépendance va bien à Zemeckis, et Bienvenue à Marwen, s’il n’est pas exempt de longueurs et d’une certaine lourdeur dans l’application du dispositif vie réelle/vie fictive, le prouve une fois encore.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 novembre 2019
    Extraordinaire voyage entre réel et imaginaire, une retombée en enfance dans un univers de poupée. Magique !
    Ti Nou
    Ti Nou

    509 abonnés 3 509 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 novembre 2019
    Non dénué d'humour et de légèreté, via des séquences animées sonnant comme une série B d’antan, "Bienvenue à Marwen" aborde pourtant le sujet sensible du traumatisme. Les métaphores n'y sont pas toujours très subtiles mais le ton y est juste. Un joli film de Zemeckis.
    David-Alexandre G.
    David-Alexandre G.

    14 abonnés 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 novembre 2019
    Un vrai chef d'œuvre. Un film mêlant image de synthèse et reel qui donne terriblement envie de se créé son propre Marwen pour pouvoir nous aussi fuire la folie du quotidien.
    Cel H.
    Cel H.

    3 abonnés 33 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 septembre 2019
    déçu, l histoire qui a la base est intéressante, aurait pu être mieux tournée, ça manque d énergie. le platonique nous endort.. certaines scènes tournent au ridicule. dommage.
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