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    Bienvenue à Marwen
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    219 critiques spectateurs

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    remimor
    remimor

    5 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 janvier 2019
    Film moyen mais qui peut faire sourire car décalé. Beaucoup de scène sont à prendre au 2nd degré. Car si on prends tout au 1er degré on pourrait vite se dire que ce mec est un vulgaire fétichiste des talons aiguilles un peu flippant. Cependant j'ai quand même trouvé que les scènes des poupées sont un peu répétitives et cela peut devenir ennuyant.
    martin14
    martin14

    7 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 janvier 2019
    Affligeant ! !! Certains spectateurs ont quitté la salle j'ai bien failli en faire autant. ... c'est une erreur que de se revendiquer de forest gump pour faire la promo de ce film. Ça n'à vraiment aucune comparaison tant dans la qualité du scénario que des personnages. C'est parfois très près du ridicule. Insipide.
    Christophe M
    Christophe M

    9 abonnés 328 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 juin 2019
    2 étoiles pour le visuel impressionnant et la perfomance de steve carrel sionon le film est lent, ennuyeux . On n'accroche pas à l'histoire
    Artriste
    Artriste

    123 abonnés 2 024 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 novembre 2024
    Drame biographique, coécrit et réalisé par Robert Zemeckis, Bienvenue À Marwen est un très beau film. L'histoire nous fait suivre Mark Hogancamp, un homme qui, après s'être fait tabasser dans un bar et être resté plusieurs jours dans le coma, est frappé d'amnésie à son réveil. Il va alors se créer un monde imaginaire baptisée Marwen, où il fait évoluer des figurines dans un village belge fictif durant la Seconde Guerre mondiale que Mark fabrique en miniature. Cela devient une véritable obsession pour lui, comme une auto-thérapie. Dans cet univers fantastique, son alter ego, Captain Hogie, est entouré de poupées représentant principalement des femmes de son entourage et de son passé, avec lesquels il combat des nazis et une sorcière, alors que dans la réalité, Mark doit se rendre au procès de ses agresseurs. Ce scénario, s'inspirant du documentaire Marwencol de Jeff Malmberg, sur la vie et l'œuvre du véritable Mark Hogancamp, s'avère particulièrement prenant à visionner pendant toute sa durée de près de deux heures. L'intrigue nous plonge dès les premiers instants dans cet univers fictif miniature dans lequel l'homme se plonge la majorité de son temps pour échapper à la dure réalité et au traumatisme vécu. Car le métrage traite parfaitement, via ces deux mondes fictif et réel, du traumatisme subit par un homme hanté par son tabassage en se réfugiant dans un univers où il se venge de ses agresseurs. Il évoque également ses démons liés à l'alcoolisme et la souffrance endurée par tout cela. Le ton se veut dramatique mai aussi amusant par moments, notamment lors des séquences se déroulant dans son univers miniaturisé. L'ensemble est porté par des personnages appréciables, interprétés par une très bonne distribution comprenant dans le rôle principal un Steve Carell touchant. Il est entouré par de nombreuses femmes protectrices jouées par Leslie Mann, Diane Kruger, Merritt Wever, Janelle Monáe, Eiza González, Gwendoline Christie, Leslie Zemeckis ou encore Stefanie von Pfetten. Tous ces soldats entretiennent des relations d'entraide et de soutien procurant de nombreuses émotions. Des échanges soutenus par des dialogues d'une belle sincérité. Sur la forme, la réalisation du cinéaste américain se veut qualitative. Sa mise en scène nous fait passer d'un monde à taille humaine à un monde miniature avec brio à travers ses scènes aux transitions particulièrement travaillées. De plus, elle évolue dans un univers d'une grande créativité avec des environnements variés. Les effets spéciaux permettant à tout ce beau monde de rapetissir et d'avoir cette apparence de figurine sont pour leur part excellents et très ludiques. Ce visuel soigné est accompagné par une bonne b.o. signée Alan Silvestri. Ses compositions, tantôt aux mélodies douces, tantôt aux airs militaires, est en parfait accord avec l'action et les images. Reste une jolie fin mettant un terme à Bienvenue À Marwen, qui, en conclusion, est un long-métrage méritant grandement d'être découvert tant son sujet à la fois grave et récréatif nous fait passer un moment inoubliable.
    Ti Nou
    Ti Nou

    509 abonnés 3 509 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 novembre 2019
    Non dénué d'humour et de légèreté, via des séquences animées sonnant comme une série B d’antan, "Bienvenue à Marwen" aborde pourtant le sujet sensible du traumatisme. Les métaphores n'y sont pas toujours très subtiles mais le ton y est juste. Un joli film de Zemeckis.
    elriad
    elriad

    440 abonnés 1 869 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 avril 2019
    Tant sur la forme que le fond, voici une petite perle intelligente et pleine de poésie. quand un traumatisme pousse à s'inventer un autre monde pour s'y réfugier, un alter ego courageux, un héros toujours prêt à prendre le relais quand les choses sont trop dures à assumer. C'est le but de ce village où chaque personnage est tiré du réel, où les choses sont plus vivables. Et qui permettront au héros de se reconstruire, de dépasser ce traumatisme pour en ressortir grandi. une petite merveille de bout en bout comme on aimerait en voir plus souvent. un coup de coeur !
    Inglorious_Ben
    Inglorious_Ben

    64 abonnés 1 515 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 mars 2020
    Bienvenue à Marwen est un drame poignant et sincère. Le personnage, superbement interprété par Steve Carell, se réfugie dans un monde imaginaire (mais inspiré par sa vie et son entourage) peuplé de poupées. Visuellement impressionnant, le film offre en plus une vision très intéressante et réaliste sur le syndrome post-traumatique et ses conséquences. Robert Zemeckis réalise un film réussi et parvient même à jouer avec ses propres références. A voir.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 389 abonnés 4 208 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 mars 2019
    Suite à une agression violente dans un bar, un américain s’est retrouvé amnésique des suites d’un coma. L’homme s’est alors réfugié dans un univers imaginaire en construisant une ville belge datant de la Seconde Guerre Mondiale. Les poupées représentent ses amis, son entourage et ses agresseurs sont les nazis en guise de thérapie. C’est Steve Carell qui se voit offrir le rôle principal. Les réalisateurs ont enfin compris que le comédien n’était pas juste bon pour la comédie et on commence à le voir de plus en plus dans des rôles dramatiques. Robert Zemeckis lui écrit ici un rôle subtilement sensible. « Bienvenue à Marwen », c’est aussi une prouesse technique où l’animation est superbement réalisée. Sous ses apparences de conte simpliste où les bons gagnent toujours contre les méchants, le réalisateur de « Forest Gump » et « Retour vers le futur » décrit la complexité d’une réalité qui se subit parfois plus qu’elle ne se décide. Une œuvre sur la tolérance de la différence brillamment manœuvrée.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Fabien S.
    Fabien S.

    564 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 octobre 2021
    Un très bon film de Robert Zemeckis avec Steve Carrell. Une très bonne comédie fantastique sur un monde imaginaire.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 2 janvier 2019
    Film assez monotone et franchement angoissant et gênant selon les scènes, je comprend les spectateurs qui sont parti pendant la sceance.
    A éviter totalement
    Adelme d'Otrante
    Adelme d'Otrante

    179 abonnés 1 165 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 avril 2019
    Suite à une agression violente et homophobe un homme amnésique tente de se reconstruire en s’enfermant dans un univers de poupées. Par de délicats aller-retours entre réalité en image et imaginaire en animation, Zemeckis nous sert un film féministe et troublant sur les chocs post-traumatiques, la maladie mentale et même sur, chose plutôt gonflée pour un film de studio, le genre sexuel par l’attachement du héros aux souliers féminins. Idéalement interprété par un Steve Carell tout en douceur, on a quand même du mal à éprouver de l’empathie pour ce personnage perturbant qui sexualise ses poupées et devient obsédé par sa voisine.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    705 abonnés 3 059 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 décembre 2019
    En plaçant sa caméra au service d’une peinture des pouvoirs thaumaturgiques de la fiction, Robert Zemeckis offre à l’année 2019 un véritable acte de foi dans l’art qui seul est capable d’extirper un homme dévasté du champ de mines qui lui sert de for intérieur, d’extérioriser son mal par le biais de figures et par le prisme de la créativité. Car le petit monde de Marwen parle plus fort, tire plus vite, décuple la puissance dramatique et picturale du réel de sorte à tendre à ce dernier une lanterne magique imagogène autour de laquelle s’attirent, comme aimantées, les bribes de souvenirs encore douloureux et que les scénarios successivement concoctés par Mark Hogancamp développent. Et en dépit du traumatisme lié aux lyncheurs néonazis – cf. la croix sur leur bras –, le retour à l’Histoire raccorde notre personnage éponyme à l’origine de tous les maux, au méchant par excellence qui n’a de cesse d’obséder l’inconscient collectif : la période de la Seconde Guerre mondiale cristallise à elle-seule tout un imaginaire qui féconde la douleur d’un autre temps, qui lui sert de passerelle entre les barbaries érigée peu à peu au-dessus du gouffre individuel. La fiction se mue aussitôt en échappatoire, en lieu d’une distanciation du moi avec ses traumatismes ; les protagonistes féminins – les plus nombreux – incarnent l’ambivalence du héros, son goût pour les talons hauts. Il dit rechercher l’essence des femmes, c’est-à-dire sa propre essence éprouvée par le prisme de plusieurs personnages qui coïncident tous avec une rencontre, un fantasme, un pan de sa personnalité ombragée. La fiction vient redoubler le réel, elle grossit le trait, envahit l’espace par une musique grandiloquente et de l’action sans arrêt. Le village de Marwen – bientôt renommé Marwencol – résulte lui aussi d’une agglutination, soit l’alliance de trois diminutifs renvoyant aux femmes qui marquent l’existence de Mark. Avec un budget limité, Zemeckis réussit l’exploit de donner vie à un univers cohérent et techniquement superbe qui oscille entre Toy Story et le film de guerre ; et de cet improbable mélange naît une œuvre qui narre l’agonie d’un artiste heureusement sauvé par la foi qu’il place en son art. Les nombreux clins d’œil aux précédentes réalisations du cinéaste achèvent le rapprochement entre le personnage principal et Zemeckis lui-même, peint sous les traits d’un ancien propagandiste – il dessine la guerre et la bravoure des soldats américains – contraint de renoncer pour plonger en lui et continuer, contre vents et marées, à creuser son sillon artistique. L’indépendance va bien à Zemeckis, et Bienvenue à Marwen, s’il n’est pas exempt de longueurs et d’une certaine lourdeur dans l’application du dispositif vie réelle/vie fictive, le prouve une fois encore.
    daniel freeman
    daniel freeman

    1 abonné 9 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 18 septembre 2019
    Fan de Robert zemeckis je me suis dit que ca aller être un bon film mais non non ce film à été survolé ,rien est réellement détaillé dans ce qui aurait pu prendre un envol. Carell rempli son rôle mais ca ne suffit pas dans cette histoire vrai qui me reste fade. En un seul mot ce fut soporifique !
    Arthur Guezou
    Arthur Guezou

    162 abonnés 1 538 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 août 2019
    Le film est tellement feel good et l'histoire est cool. Il y a beaucoup de clin d’œil au film de Zemeckis. L'animation est aussi très jolie.
    L'AlsacienParisien
    L'AlsacienParisien

    637 abonnés 1 403 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 janvier 2019
    "Bienvenue à Marwen" étonne avant tout par sa forme mais aussi par son histoire hors-du-commun, qui s'avère vraie. Entre un monde imaginaire fait de poupées et de décors minuscules et une réalité plus sordide et cruelle, le personnage principal s'est inventé sa propre thérapie pour gérer au mieux son amnésie suite à son accident. Traité de façon légère, souvent décalé avec ces doubles miniatures plus forts et plus aventureux, cette histoire nous touche quand on découvre ce qui se cache derrière cette forme a priori enfantine. Cette célébration de la force de l'imagination sous-entend les thèmes de la maladie mentale, du post-traumatisme et de la reconstruction. La folie devient art, le jeu de rôle une voie vers la guérison. Il y a une grande part de mystère, bien sûr, autour du cadre spatio-temporel du petit village belge pendant la Seconde Guerre Mondiale mais aussi autour du personnage de Diane Krüger, poupée-sorcière, n'ayant pas de réel double. Et voir Zemeckis aux commandes de cette forme hybride, atypique et assurément féministe ne fait qu'attiser encore plus notre curiosité.
    Ce qui peut paraitre redondant, ce sont les nombreux allers-retours du monde réel au refuge fictif. Ça apporte parfois des longueurs dans les dialogues, ainsi qu'une confusion dans les genres un peu déroutante. La part psychologique du récit aurait pu gagner en profondeur et en complexité. Steve Carrell, dans ce double rôle, est brillant et aurait été largement capable de se frotter un peu plus à l'ambivalence mentale de son personnage. Cet attroupement de femmes bienveillantes et rassurantes agit comme un remède des plus efficaces sur ce dernier et on aurait aimé plus d'égalité et de singularité entre chacune d'elles, car elles sont parfois cantonnées à de la figuration.
    Néanmoins, ce récit est pour le moins inattendu et séduisant, que ce soit par ses nombreux motion capture ou son récit troublant. La douleur est ici traitée d'une façon joyeuse et violente, entre clin-d'oeil, aventures et retours à la réalité qui secouent. J'aurai personnellement aimé voir plus, être davantage happé mais bon quand c'est Zemeckis qui réalise, on ferme sa gueule !
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