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Votre avis sur Bienvenue à Marwen ?
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Deroutant au début mais on se laisse prendre par ce film qui est fort bien monté et bien joué. Tiré d’un histoire vrai le monde imaginaire dans lequel on nous entraîne est bien reproduit. Cet homme a tout perdu et se réinvente au travers de figurines qui nous livrent ses peurs et ses angoisses. J’espère que ce film trouvera son public car il en dit beaucoup sur la violence et ses conséquences
Après avoir subi une violente agression qui lui coûtera plusieurs traumatismes ainsi qu'une perte de mémoire , un homme , dépassé et seul , décide de s'inventé et de se réfugié dans une ville imaginaire durant le Seconde Guerre mondiale , constituée de poupées , fruit de sa propre création à partir de fragments de mémoire et de son quotidien ,un imaginaire où il est le seul maître . Le visuel est bluffant et le film entremêle les scènes de réalité et d'imaginaire de fort belle manière . Steve Carell livre une excellente prestation , sincère et touchante ; tiré d'une histoire vraie , ce film traite en premier lieu la difficulté de reconstruction suite à un traumatisme , de l'acceptation de soi , ainsi que de la volonté de s'en sortir par n'importe quel moyen , dans ce cas là un univers imaginatif assez incroyable et prenant . Robert Zemeckis signe un retour réussi ! Ma note : 8,5/10
Robert Zemeckis réalise une fois de plus, un bijou cinématographique inspiré d'une histoire vraie.
Incarnée admirablement par un Steve Carell touchant par sa sobriété et naïveté, le personnage de Mark Hogancamp rappelle parfois le célèbre Forrest Gump tant il ressemble à un enfant dans un corps d'adulte.
C'est d'ailleurs cette particularité qui fait que l'oeuvre n'est pas dérangeante malgré le fait que le fantasme soit poussé ici à son paroxysme, il ne sombre jamais dans la perversion. Mieux, il est stylisé de manière extraordinaire par la richesse émotionnelle de son héros à travers ses projections fantasques.
Véritable ode à l'imaginaire bercé par la musique de l'immense Alan Silvestri (également compositeur de Forrest Gump), ce film m'a bouleversé tant l'identification au personnage incarné par Steve Carell était puissante.
L'année cinématographique 2019 commence bien.
Incarnée admirablement par un Steve Carell touchant par sa sobriété et naïveté, le personnage de Mark Hogancamp rappelle parfois le célèbre Forrest Gump tant il ressemble à un enfant dans un corps d'adulte.
C'est d'ailleurs cette particularité qui fait que l'oeuvre n'est pas dérangeante malgré le fait que le fantasme soit poussé ici à son paroxysme, il ne sombre jamais dans la perversion. Mieux, il est stylisé de manière extraordinaire par la richesse émotionnelle de son héros à travers ses projections fantasques.
Véritable ode à l'imaginaire bercé par la musique de l'immense Alan Silvestri (également compositeur de Forrest Gump), ce film m'a bouleversé tant l'identification au personnage incarné par Steve Carell était puissante.
L'année cinématographique 2019 commence bien.
Film absolument bouleversant qui montre l'intolérance stupide des Hommes. J'ai pleuré 2 fois : la première fois en voyant une scène qui montre
spoiler:
le désarroi et le traumatisme du héros par rapport à la violence qu'il a subi. La seconde fois, en écoutant son discours lors du procès de ses agresseurs.
C'est absolument inouï comment les hommes peuvent être durs entre eux quand il s'agit de défendre leurs valeurs aussi débiles qu'ils soient. spoiler: L'origine de ce déchaînement de violence contre lui est vraiment ridicule parce qu'on l'associe à un homosexuel alors que le film montre à quel point il est hétérosexuel notamment via son coup de foudre envers Nicol.
Petit bémol : dommage que le film ne dit pas spoiler: ce que ses agresseurs ont finalement eu comme sanction au tribunal.
C'est absolument inouï comment les hommes peuvent être durs entre eux quand il s'agit de défendre leurs valeurs aussi débiles qu'ils soient. spoiler: L'origine de ce déchaînement de violence contre lui est vraiment ridicule parce qu'on l'associe à un homosexuel alors que le film montre à quel point il est hétérosexuel notamment via son coup de foudre envers Nicol.
Petit bémol : dommage que le film ne dit pas spoiler: ce que ses agresseurs ont finalement eu comme sanction au tribunal.
R. Zemeckis est un grand cinéaste et fait toujours de grands films réussis.
Voilà son nouvel opus qui est magnifique.
C'est d'une grande humanité, d'une grande profondeur.
L'acteur principal est parfait.
J'ai été émue par cette belle histoire.
Et je tiens à préciser, que ce jour, date de sortie du film, la salle était bien remplie et absolument personne n'est sorti avant la fin !
Voilà son nouvel opus qui est magnifique.
C'est d'une grande humanité, d'une grande profondeur.
L'acteur principal est parfait.
J'ai été émue par cette belle histoire.
Et je tiens à préciser, que ce jour, date de sortie du film, la salle était bien remplie et absolument personne n'est sorti avant la fin !
Très bon film décrivant comment cet homme a transposé dans la reconstitution de ce village imaginaire et de tous les personnages ses propres hantises, séquelles de cette attaque insensée contre lui. Un excellent moment. De plus, sans parler de l’exutoire que représentent les histoires qu’il se construit et des poupées, sur un autre plan j’ai été ravi de voir la mécanique que l’on mettait en place lorsque enfant nous jouions avec ce genre de soldats et poupées et que l’on s’inventait des histoires. Fascinant. J’ai passé un bon moment
Une jolie histoire touchante par la sensibilité de ses protagonistes. Steeve Carell interprète excellemment bien le rôle.
La réalisation passant des images live à la synthèse est réussie. L’univers est vraiment original et bien pensé.
Malgré cela, le film souffre de quelques longueurs, si bien que l’on se demande par moment si l’auteur n’a pas perdu le fil de son histoire.
En somme, un joli film émouvant certes, mais pas comparable à l’IMMENSE Forrest Gump, comme la promo aime à faire l’allusion.
La réalisation passant des images live à la synthèse est réussie. L’univers est vraiment original et bien pensé.
Malgré cela, le film souffre de quelques longueurs, si bien que l’on se demande par moment si l’auteur n’a pas perdu le fil de son histoire.
En somme, un joli film émouvant certes, mais pas comparable à l’IMMENSE Forrest Gump, comme la promo aime à faire l’allusion.
Robert Zemeckis est un vieux routier qui a fait des films aussi célèbre que Forrest Gump et les 3 films Retour vers le futur !!!
Cette fois ci, c’est tiré d’une histoire vraie,
un homme qui aimait trop les escarpins se fait tabasser par des brutes épaisses et Robert Zemeckis nous montre
comment cet homme essaie de se reconstruire à travers un monde miniature où on a du mal à faire la part des choses
entre rêves, fantasmes, réalité.
Le réalisateur bricolo (on pense à Michel Gondry?) fait sans cesse, des aller-retour entre les personnages animés, ancrés dans la réalité de la 2ème guerre mondiale en Belgique et les vraies personnes de sa vie…
J’ai eu beaucoup de mal à rentrer dans le film et puis on découvre peu à peu les clés qui permettent de pénétrer son univers mi naïf mais aussi, empli de fantasmes sur les femmes qui l’entourent…..
J’avais découvert Steve Carell au sommet dans Foxcatcher, il confirme dans ce personnage complexe.
Cette fois ci, c’est tiré d’une histoire vraie,
un homme qui aimait trop les escarpins se fait tabasser par des brutes épaisses et Robert Zemeckis nous montre
comment cet homme essaie de se reconstruire à travers un monde miniature où on a du mal à faire la part des choses
entre rêves, fantasmes, réalité.
Le réalisateur bricolo (on pense à Michel Gondry?) fait sans cesse, des aller-retour entre les personnages animés, ancrés dans la réalité de la 2ème guerre mondiale en Belgique et les vraies personnes de sa vie…
J’ai eu beaucoup de mal à rentrer dans le film et puis on découvre peu à peu les clés qui permettent de pénétrer son univers mi naïf mais aussi, empli de fantasmes sur les femmes qui l’entourent…..
J’avais découvert Steve Carell au sommet dans Foxcatcher, il confirme dans ce personnage complexe.
Un très beau film sans temps mort à la belle musique. On s'habitue très vite aux allers et retours entre réalité et virtuel. Carell est magique dans ce rôle.
Robert Zemeckis est assurément un conteur de talent : scénariste de plusieurs films (1941 de Steven Spielberg) et réalisateur d’encore plus de films (Qui veut la peau de Roger Rabbit, Forrest Gump) voire scénariste et réalisateur (Retour vers le futur 1 2 3). Avec Bienvenue à Marwen, il porte à l’écran l’histoire réelle d’un homme qui, suite à une violente agression, s’échappe de la vie réelle en se réfugiant dans un village peuplé de figurines où il reprend le contrôle de sa vie. Cet homme est admirablement bien joué par Steve Carrel, mondialement connu grâce à la version américaine de la série déjantée The Office (No god, No!). Il a dans ses deux mondes - réel et virtuel - des amies, telles Eiza González dans le rôle de la jeune et belle collègue, Merritt Wever dans le rôle de la bonne copine, ou Leslie Mann dans le rôle de la gentille voisine… et des ennemis terrifiants : des nazis! Comme avec Forrest Gump, pas de super héro ici, juste des gens simples et émouvants. Côté son, la musique est bonne et éclectique (Cat Scratch Fever !). Au final, le film est un peu lisse, mais à voir, ne serait-ce que pour la technique employée par Robert Zemeckis qui passe d’un monde à l’autre avec virtuosité.
Un O.V.N.I , une perle !
Ce film très original, basé sur une histoire vécue, met en scène un artiste qui a subit une agression extrêmement violente et gratuite et qui se reconstruit dans un monde imaginaire peuplé de poupées style Barbie, aux visages des personnes de son entourage. Pour faire face à ce traumatisme, il se réinvente ,sans fin , une vie par le biais de ces poupées , de victime il devient le héros de ses histoires et les immortalise grâce à la photographie.
Un sujet pas facile à traiter mais particulièrement intéressant dans le décalage de l'homme brisé physiquement, presque désocialisé et la force de l'esprit qui trouve un chemin pour survivre.
Ce film très original, basé sur une histoire vécue, met en scène un artiste qui a subit une agression extrêmement violente et gratuite et qui se reconstruit dans un monde imaginaire peuplé de poupées style Barbie, aux visages des personnes de son entourage. Pour faire face à ce traumatisme, il se réinvente ,sans fin , une vie par le biais de ces poupées , de victime il devient le héros de ses histoires et les immortalise grâce à la photographie.
Un sujet pas facile à traiter mais particulièrement intéressant dans le décalage de l'homme brisé physiquement, presque désocialisé et la force de l'esprit qui trouve un chemin pour survivre.
ffred
Nouvelle réussite technique pour ce nouveau film de Robert Zemeckis. Les deux histoires en parallèle, la vraie vie de Mark (tirée de faits réels) et celles des poupées, donnent quelque chose d'assez intéressant. Le scénario insuffle assez d'émotion et de suspens pour nous émouvoir et nous tenir en haleine jusqu'au bout. Même si on appréhende aisément les différentes étapes du récit et le dénouement. Steve Carrell est vraiment très bien, le reste du casting aussi (Diane Kruger n'apparaissant que sous forme de poupée), mais on ne s'attache pas vraiment à leurs personnages. On passe donc un bon moment devant un film très réussi sur la forme, beaucoup plus classique sur le fond, malgré une belle histoire de retour à la vie. Sympathique et touchant mais pas inoubliable donc...
Adrien J.
Malgré une mise en scène impeccable, une réalisation des plus originale et des effets spéciaux extraordinaires, j'ai été très déçu par le Long métrage.
Le rythme est inégal, il y a par moments des longueurs et l'histoire ne m'a au final pas intéressé plus que ça. De plus je n'ai malheureusement pas réussi à m'identifier au personnage pourtant très bien interprété par Steve Carell.
Le rythme est inégal, il y a par moments des longueurs et l'histoire ne m'a au final pas intéressé plus que ça. De plus je n'ai malheureusement pas réussi à m'identifier au personnage pourtant très bien interprété par Steve Carell.
Si je devais décrire ce film en 1 mot: adorable:
Le film est original, émouvant, il y règne une atmosphère poétique tout le long, un univers atypique auquel on se laisse volontiers prendre et ses personnages sont attachants.
Si je devais décrire ce film en 2 mots:
adorable mais:
Adorable mais la femme aux cheveux bleus est insupportable dans sa VF;
Adorable mais l'année lumière est une unité de mesure de distance et non une unité de mesure de temps...
Excellente surprise de début d'année.
Le film est original, émouvant, il y règne une atmosphère poétique tout le long, un univers atypique auquel on se laisse volontiers prendre et ses personnages sont attachants.
Si je devais décrire ce film en 2 mots:
adorable mais:
Adorable mais la femme aux cheveux bleus est insupportable dans sa VF;
Adorable mais l'année lumière est une unité de mesure de distance et non une unité de mesure de temps...
Excellente surprise de début d'année.
Excellent film sur le harcèlement et la différence entre chaque être humain . Un film qui ne laisse pas indifférent et qui fait réfléchir , rire , pleurer . ATENTION futur chef d'œuvre en vue .
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