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    Good Kill
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    3,1
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    187 critiques spectateurs

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    islander29
    islander29

    882 abonnés 2 384 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 avril 2015
    on pourra quand même reprocher au scénario d'être répétitif, (c'est le point faible) toutes les dix minutes, je vise sur mon écran, j'envoie un missile......Un peu la même chose à la maison, je parle avec ma femme qui fait la gueule....Mais cela fonctionne quand même d'une part parce que le film offre une nouvelle vision de la guerre, de Las Vegas on cible l'Afghanistan avec des drones, et que d'autre part, le personnage principal (Ethan Hawke) vit un drame existentiel plutôt pesant, il se débat intérieurement entre le réel et le virtuel, ce qui constitue un beau sujet d'actualité pour bon nombre d'entre nous, rivés à nos écrans d'ordinateur ou de jeux......La belle idée du film, car il y en a plusieurs est d'analyser le comportement des américains dans cette guerre et de façon assez "propre" d'en faire une autocritique......Côté technique peu ou prou de musique, des paysages de déserts intéressants, et une photographie clairsemée de Las Vegas.....On aurait aimé davantage de tension brute peut être, mais l'on sera se contenter d'un film assez nouveau dans son éclairage et qui remet en questions certains principes.....Pas mal
    benoitG80
    benoitG80

    3 435 abonnés 1 464 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 avril 2015
    "Good Kill" a l'intérêt premier de nous offrir une vision pour le moins critique d'une guerre à distance, comme le serait ni plus ni moins un jeu vidéo, mais ici avec un enjeu terrible et sans retour, puisque la mort infaillible est au bout du bouton !
    Des combats sans risques, assis bien confortablement puisque seuls ces fameux drones surveillent, puis surtout opèrent avec une précision chirurgicale !
    C'est cet aspect très prenant qui saute aux yeux, par entre autre le jeu tout en nuances et en sensibilité du commandant Tommy Egan, homme plus fragile qu'il n'y paraît, plutôt perturbé et même ravagé par ses doutes, et cette situation qui le protège et l'isole, tout en le privant de piloter son avion, un besoin, une passion essentielle pour lui...
    À ce titre, Ethan Hawke est d'une justesse étonnante, en nous laissant découvrir ses états d'âme, ses fêlures intérieures aussi bien dans son cadre professionnel de tueur implacable sur écran, que dans celui de sa vie de famille compliquées qui en subit indirectement les conséquences !
    Ce film est assurément très instructif et littéralement effrayant, quand on songe aux images très détaillées que suivent ces soldats et par ricochet le spectateur ébahi qui en découvre les secrets, et uniquement depuis ces containers alignés, impersonnels et climatisés basés à Las Vegas !
    Après avoir exécuté les ordres sans pouvoir rechigner ou discuter, et donc de faire feu sur tout ce qui lui est demandé, de voir sortir ce commandant reprendre sa voiture pour retrouver sa famille dans un quartier tiré au cordeau aux maisons parquées, alignées et impeccables, est tout bonnement surréaliste et incroyable !
    Au fond avec cette réalisation, Andrew Nicoll n'est pas bien loin de la SF, presque prêt à rattraper son excellent "Bienvenue à Gattaca" !
    C'est pourtant malheureusement ici une vraie réalité qui est dessinée et dont l'issue est fatale, et on perçoit la destruction à petit feu de cet homme à bout de tout.
    La mise en scène est vraiment au point, ne serait ce que par le contraste saisissant de ces allers retours incessants entre cette base militaire et sa maison, en passant par les lumières de Las Vegas, ville toute illuminée, elle offerte à tous les plaisirs...
    On ressort de la salle avec effroi, plutôt secoués et impressionnés de cette façon de faire la guerre !
    Ladyoscar L.
    Ladyoscar L.

    6 abonnés 46 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 avril 2015
    Good Kill apparaît maladroit et pavé de bons sentiments, ce qui amoindrie la critique sociale et politique tenue par le film. Ici, l'armée et ses drônes n'est pas si mauvaise que ça, et la CIA est la grande méchante de l'histoire. Bref du consensus un peu mou.
    Si la mise en scène des images de drônes avec en contre-point ces militaires enfermés dans leur "boite" en plein désert est intéressante, elle manque de souffle. Dommage.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 27 avril 2015
    Je ne me souviens pas d'avoir vu un film aussi ennuyeux de ma vie !

    Pourtant le sujet est extremement interessant mais ce film et plat, sans aucun intéret. Je me suis meme endormie !
    dagrey1
    dagrey1

    101 abonnés 655 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 avril 2015
    FIlm posé, Good kill décrit le quotidien de miltaires pilotes de drones torpillant des faubourg de Las Vegas les bases arrières des talibans afghans et yéménites. Le personnage central du film interprété par Ethan Hawke est un ancien pilote de F16 reconverti dans ce nouveau type de guerre moderne. Le déroulement du film montre la puissance de ces moyens mais également les dommages collatéraux causés sur le terrain comme l'absence d'états d'âme des commanditaires, le tout pouvant poser des cas de conscience aux militaires chargés d'exécuter les missions. Le casting est bon particulièrement Ethan Hawke en taiseux tourmenté, Bruce Grinwood en chef d'unité et Zoé Kravitz dans le rôle du caporal Suarez. Ce qui m'a le plus marqué est la cadre contrasté des "zones de guerre" si on peut les nommer de la sorte:l'univers cliquant de Las vegas avec ses pavillons proprets et son soleil de plomb face au désert aride et aux habitations simples de l'Afghanistan ou du Yemen.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 27 avril 2015
    ennuyeux......
    le sujet meritait d'etre mieux traité, le seul bon point du film est qu'il montre trés bien l'utilisation des drones de combats et les dommages parmi les civils, sinon, bof.....
    Quentin V.
    Quentin V.

    62 abonnés 77 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 avril 2015
    Good Kill est un film agréable, un peu lent il faut bien le dire mais c'est le sujet qui impose cette lenteur et après tout, ça fonctionne bien comme ça. J'ai lu des articles comparants Good Kill à American Snyper... Je ne comprends pas qu'on puisse comparer ces 2 films. Certes, le sujet est peu ou prou le même, mais dans l'un, on suit un soldat sur le terrain, qui n'a pas d'états d'âme à supprimer les cibles qu'il a dans sa lunette, et de l'autre, on a un pilote de chasse déchu, qui contrôle désormais des drones depuis une base aux États-Unis et qui petit à petit se demande si sa mission est légitime.

    Dans Good Kill, on n'est à aucun moment projeté sur le théâtre des opérations, on voit toujours tout via l'écran de contrôle, dans le silence (pas de bruit d'explosions, rien) on ne quitte pas la petite boîte et le spectateur est mit en position de voyeur sur ce qui se passe à l'écran, comme pour lui signifier, tenez, regardez c'est comme ça que ça se passe. Ça instaure une certaine froideur, à l'image du jeu d'Ethan Hawke plus placide que jamais en personnage tout droit échappé de Top Gun (vestimentairement parlant en tout cas) mais dépressif. Je déplore un petit cliffhanger final vraiment pas utile et qui vient un peu foutre en l'air toute la longue et difficile construction psychologique du film, on en a vraiment pas besoin et ça apporte une touche "film mainstream" qui n'est pas du tout à l'image du reste du long métrage.

    En conclusion, Good Kill est agréable mais souffre de quelques défauts qui m'ont empêché, personnellement, de l'apprécier à 100%. Cependant, il mérite d'être vu de part les questions qu'il soulève, notamment sur l'étique de l'utilisation des drones et de comment s'en sert l'administration !
    Flaw 70
    Flaw 70

    264 abonnés 422 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 avril 2015
    Andrew Niccol est un cinéaste intéressant mais inégal, qui après un excellent début de carrière s'est embourbé dans les films calibrés et insipides avec le sympathique mais inoffensif In Time et le mauvais The Host. Il s'est d'ailleurs toujours imposé meilleur scénariste que metteur en scène, étant un faiseur au style assez classique sur la forme, mais il est un auteur captivant sur le fond. Traitant de thèmes sociétales pertinents, il a surtout su traiter des sujets d'éthiques et de moralités avec une rare subtilité et une élégante sobriété, deux choses qu'il a un peu perdu ses derniers temps. Mais ici il est clair qu'il revient à ses premiers amours, même si il ne signe pas son meilleur film loin de là et que celui-ci est pleins de défauts et maladresses, il signe son film le plus réussi depuis Lord of War et ses plus belles qualités fond qu'il en devient instantanément passionnant. Pour ce qui est du scénario le film manque néanmoins de subtilité, comme si cet aspect de l'écriture avait définitivement disparu, et cela se traduit surtout par la caractérisation des personnages. Que ce soit l'alcoolisme du personnage principal qui tient du cliché, la relation avec sa femme qui se montre générique et attendu ou le faite qu'au sein de l'équipe chaque rôle est un stéréotype. Le colonel est le mentor compréhensif, les deux hommes des abrutis bourrins et patriotique et que la femme soit celle qui remet les choses en doutes, questionnent et s'insurgent passant aux yeux de ses collègues pour la "faiblesse" du groupe. Tout cela est très téléphoné et parfois agaçant surtout que la relation qui se tisent entre cette femme et le personnage principal et sans aucun doute la moins intéressante que Niccol aurait pu choisir. Donc tout ça handicap grandement l'ensemble l'empêchant d'être le grand film qu'il aurait pu être néanmoins les personnages ne sont pas le principal intérêt du film malgré ce que les apparences pourrait nous faire croire, l'intérêt vient de l'univers dans lequel ils évoluent. Et en ça le film va poser des questions indéniablement pertinentes et va taper juste dans ses dénonciations. En ça il est l'antithèse par faite de American Sniper qui se contentait de tâtonner maladroitement dans ses critiques et qui ne semblait pas trop savoir où aller. Niccol lui n'hésite pas et offre un des ses films rares qui osent vraiment dire les choses même si parfois il les dit avec maladresses. Mais plus que de parler de la guerre en elle même il va parler de l'impact qu'elle à sur ceux qui la fond même si ceux-ci ne sont pas directement impliqués et choisir de parler d'un homme qui fait la guerre depuis un container à Las Vegas est judicieux car il parle avant tous de l'implication d'un pays. Il représente d'une certaine manière les civils qui même chez eux subissent les tourments d'une guerre inutile et sans fin comme un cercle vicieux car le film à raison, la principale source de recrutement pour les terroristes est l'armée américaine, tant qu'elle sera là il y aura des terroristes et inversement, c'est fatalement inévitable. Et surtout cela mène à la paranoïa, à la surveillance abusive, ici tout le monde surveille tout le monde, à la surprotection et donc à l'enfermement, l'isolation et l'aliénation. Et tout cela le film va le traiter avec subtilité et beaucoup de sobriété, l'aliénation du personnage a déjà eu lieu, on n'en voit que les conséquences, son enfermement ce fait à la fois physique, qu'il soit dans le container ou dans cette banlieue sans âme dont il en est le prisonnier, et à la fois mental, il s'isole de sa famille car il se sent oppressés par son couple et ses propres démons et surtout il est prisonnier de son rêve qu'il ne pourra plus atteindre. Sur ça le film se fera en portrait psychologique plus fin que l'on pourrait croire et il traite de questionnements éthiques et moraux judicieux et qui ne s'étendent pas qu'au problème qu'est la guerre mais qui s'étendent jusqu'à l'individu au sein de son quotidien. Sinon au sein de tous cela ce qui sera la plus grosse maladresse du film, c'est son final. Dans l'idée et dans ce que cela représente c'est du tout bon mais c'est l'exécution qui pose problème et qui prête à confusion car elle fait un peu l'ode à la justice personnelle alors qu'au final elle veut juste parler de libération à la fois allégorique et figurée spoiler: ( en libérant cette femme de cette routine funeste, le héros se retrouve seul, il n'est plus surveiller, il prend ses propres décisions et il se libère, à la fois des ses démons intérieurs, de sa routine et de ce caisson de métal. En gros il reconnecte avec lui-même, il se libère mais il libère aussi la femme violentée )
    . Pour ce qui est du casting tous les acteurs sont impeccables et arrive à extirper leurs personnages des stéréotypes grâce à leurs nuances de jeu. January Jones offre une prestation un peu plus classique que les autres mais elle brille par sa justesse de jeu, Bruce Greenwood est excellent tandis que le duo formé par Zoë Kravitz et Ethan Hawke fonctionne merveilleuse bien grâce à l'alchimie évidente que partage les deux acteurs. D'ailleurs Zoë Kravitz signe très clairement son meilleur rôle, elle est ici incroyablement juste et touchante tandis que Ethan Hawke se montre parfait dans son interprétation intériorisée et habitée, il est comme à son habitude parfait et tient le film sur ses épaules sans jamais flancher. La réalisation dispose d'une magnifique photographie et d'une très bonne sélection musicale, qui ne se fait jamais pompeuse ou grandiloquente. La mise en scène de Andrew Niccol est classique mais efficace, il arrive à retransmettre avec habilité l'enfermement de son personnage grâce à la claustrophobie avec des endroits très cloisonnés et une caméra qui filme au plus près des corps. Cela se traduit aussi par un montage très linéaire et un habile sens du cadrage qui capte habilement l'absence de mouvement même lors d'une séquence onirique qui traduit le rêve du personnage, filmé par l'épuration et l'enfermement ce qui traduit bien l’inaccessibilité de celui-ci. C'est donc une mise en scène assez symbolique que nous offre Niccol et qui se montre assez bien pensée. En conclusion Good Kill est un bon film qui prouve que Andrew Niccol n'est pas encore totalement perdu dans les blockbusters sans âme et qu'il dispose d'encore quelques cartouches pour nous surprendre. Néanmoins ici il se montre assez maladroit dans l'exécution de certaines de ses idées ce qui peut rendre certains de ses messages assez nébuleux et au contraire il peut parfois manquer cruellement de subtilité dans la caractérisation de ses personnages cédant aux clichés et aux stéréotypes. Mais tout cela ne fait pas le point face aux immenses qualités du film qui évite la plupart des pièges de ce genre de plaidoyer et qui se montre bien plus passionnant et universelle que prévu. C'est donc un film rare et précieux qui mérite d'être vu, il n'est pas parfait et ne fera pas l'unanimité mais il est magistralement interprété, assez finement écrit et bien mis en scène.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 27 avril 2015
    Au lieu de comparer Good Kill à American Sniper – comparaison qui n'est pas injustifiée : les deux films commencent par l'exécution à distance d'une femme voilée et d'un enfant – il faudrait plutôt le rapprocher de Top Gun de Tony Scott. Dans une autre époque, celle de Reagan, le héros de Good Kill, Thomas Egan (Ethan Hawke) aurait pu piloter des F-16 et vivre, peut-être, une histoire d'amitié amoureuse avec l'un de ses coéquipiers. Mais Egan est un pilote déchu, privé d'épopée : depuis sa base établie à Las Vegas, au bord du désert, il dirige sur des écrans des drones de combat qui s'écrasent ponctuellement sur des talibans. La même scène se répète invariablement tout au long du film : dans un décor oriental qui ressemble à une plate-forme de jeu, Egan doit viser ses cibles, actionner un joystick et compter jusqu'à trois avant de tout faire exploser : voitures et terroristes, femmes afghanes et enfants. Dans la répétition de cette morne tâche, le film d'Andrew Niccol voudrait saisir quelque chose de la fatigue du héros américain. Vêtu d'une combinaison grise couverte d'écussons, Ethan Hawke ressemble pourtant davantage à un employé de chez Speedy au bout du rouleau. Son jeu offre une synthèse de tout ce qui se fait de pire dans le cinéma américain actuel : visage impassible, voix mate, presque éteinte, on atteint ici le comble de l'underacting, véritable tendance de fond (voir les lutteurs de la Foxcatcher Team) qui fait regretter l'énergie grandiloquente de Pacino ou Nicholson. Mais Good Kill ne s'en tient pas au portrait de son héros dépressif, il veut aussi, comme autrefois le médiocre Gattaca, défendre une thèse, opposer la morale du héros à celle d'un système. Egan accepte donc d'être un gamer au service de l'armée américaine, il prend même un certain plaisir à crier « good kill » (« dans le mille ») quand ses drones meurtriers atteignent leurs cibles. Mais il se révolte lorsqu'il voit un taliban violer une femme sous l'oeil indifférent de sa hiérarchie. La restauration de la morale passera donc par une vengeance personnelle, où le héros s'offre en réalité un pur plaisir de gamer : celui de se détourner un instant de sa mission pour finir sa partie en solo. Et il joue tellement bien que le film se termine, nous montrant Egan délivré du Mal : aucune hantise ne demeure dans ses yeux, il prend sa voiture et quitte sa base le cœur léger. Ayant tué son taliban, il a au moins sauvé une femme afghane du viol et de la barbarie. Comme tous les mauvais films – et celui-ci est particulièrement mauvais – Good Kill finit par faire l'apologie de ce qu'il prétend dénoncer : à savoir la « guerre électronique » qui a pris forme avec l'opération Tempête du désert au début des années 90, lors de la Guerre du Golfe, faisant de toutes les guerres ultérieures des guerres-fantôme. Mais n'est-ce pas devenu un lieu commun de le dire, et pire encore, de le montrer dans un film ? Le succès populaire d'American Sniper aux Etats-Unis ne témoigne-t-il pas, au contraire, d'un immense besoin de légende, quand bien même celle-ci serait hantée ? C'est sans doute la raison pour laquelle Good Kill, en plus d'être mauvais, paraît si vain et stupide : voulant dire quelque chose de la guerre et de l'héroïsme américain, le film n'a finalement dressé qu'un portrait de gamer sous addiction, frappant finalement en plein dans le mille d'à côté.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 26 avril 2015
    très correct ; bien vu le " problème " d' etre un militaire , tueur , qui ne risque jamais sa propre vie , et mene une vie de famille totalement normale " dans les clous " .
    iceman7582
    iceman7582

    51 abonnés 1 169 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 avril 2015
    Un bon film au scénario aussi intéressant que sensible. Bien filmé et bien monté, aucune erreur à noter de ce côté. Le casting est très bon avec une mention particulière pour ethan hawke sidérant de froideur ! Le point négatif c'est la lenteur globale du film et le manque de rythme et d'action mais ce n'est pas le but recherché par le réalisateur. On ressort de ce film avec tout un tas de question éthique sur la guerre moderne... A voir pour les passionnés du genre. Les autres risquent de s'ennuyer un peu.
    LaNcelot44
    LaNcelot44

    35 abonnés 143 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 avril 2015
    Ce sujet pourtant passionnant est si mal traité... Tous les acteurs sont impeccables, sauf le principal ce qui rend le film carrément gênant. Mais toujours moins que le scénario complètement plat, là où on attend une progressivité, une prise de conscience, une remise en question, on ne trouve que la même chose, les mêmes missions, répétées inlassablement sans évolution et la froideur antipathique d'un homme déjà malade avant d'être confronté à toute problématique. Décevant.
    traversay1
    traversay1

    3 677 abonnés 4 890 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 avril 2015
    Une sale guerre, cela se fait salement. Ok, tout le monde est au courant, et puis ? Tommy, le "héros" de Good Kill est aux ordres. Au lieu d'être le Top Gun qu'il rêvait d'être, le voici à des milliers de kilomètres de l'Afghanistan aux commandes d'un jeu vidéo qui consiste à détruire les ennemis talibans, dommages collatéraux compris. Mais c'est pour de vrai qu'il appuie sur la détente même si les morts semblent virtuels. Drone de drame ! Pas étonnant qu'il devienne schizophrène notre militaire volant, cloué au sol, dans la banlieue de Las Vegas. Andrew Niccol avait entre les mains un sujet brûlant. Il en tire un film répétitif, appuyant sans cesse là où c'est censé faire mal et mettant en parallèle une vie de couple qui part en lambeaux. Quand il signait Lords of War sur les marchands d'armes sans scrupules, le cinéaste était autrement inspiré. Good Kill, qui prêche des convaincus, est somme toute inoffensif. Pire, il est ennuyeux et crispé dans sa thématique comme les mâchoires d'Ethan Hawke.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 26 avril 2015
    Un film un peu lent mais qui jette un sacré pavé dans la mare... Qui surveille qui ? Qui sont-ils pour décider de ce qui est juste ? Le film évoque des pratiques très discutables...
    Citrouilleman
    Citrouilleman

    78 abonnés 607 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 avril 2015
    Un film répétitif mais plutôt intéressant qui montre les dessous de ce que nous appelons "la guerre propre" ou "les frappes chirurgicales". Un film plutôt subversif qui permet de mettre en évidence le décalage entre les populations pauvres du sud et les riches du nord qui se proclament les gendarmes du monde. Pas mal.
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