AlloCiné
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Votre avis sur Brooklyn ?
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benoitG80
"Brooklyn" se présente sous deux aspects et deux facettes... On y entre d'emblée avec un certain plaisir, l'héroïne, Eilis irlandaise, étant à la fois douce, sensible avec sa part de fragilité et de timidité assurée; son personnage incarné pas Saoirse Ronan illumine presque l'écran.
Son arrivée dans le Brooklyn de New York en tant qu'immigrée irlandaise comme tant d'autres l'ont vécu lors des années 50, au sein de cette pension pour jeunes-filles délurées, va révéler des moments drôles qui vont ponctuer avec bonheur la découverte de la vie américaine.
Ces passages sont très frais avec des échanges espiègles de plus en plus attendus entre Madame Kehoe cette maîtresse de maison clairvoyante qui tient sous son aile ses petites protégées qu'elle cerne d'ailleurs très bien, comme le fait aussi le Père Flood...
L'Amour sera comme de bien entendu au rendez-vous, et en même temps le remède à sa transformation son épanouissement et son intégration totale !
Et pour nous combler le cinéaste nous gâte d'une reconstitution superbe et colorée comme une petite friandise. Du vintage pour de vrai avec des décors et des carrosseries américaines superbes.
La suite avec ce retour au pays sera par contre moins convaincante, en plaçant Eilis dans une situation ambigüe qui à mon avis, nuit ici à son image par la stratégie que celle-ci adopte...
Son personnage joue sur plusieurs tableaux et son attitude qui manque curieusement de franchise, laisse perplexe et ne colle pas avec l'esprit de l'histoire...
Le film verse de plus vers le larmoiement à outrance, dont pas mal de scènes mièvres appauvrissent alors l'intérêt accordé à l'origine !
Au final, après un bon début, cette réalisation de John Crowley sur un scénario de Nick Hornby, dévient de plus en plus fade, finit par manquer de force, l'héroïne Ellie ne convainc plus comme on le sentait au début...
Un film pas désagréable du tout à regarder, mais un peu bancal tout à coup et qui semble même dater dans sa construction et sa conception, sans la véritable tension dramatique espérée, ce qui en aurait véritablement fait une œuvre plus poignante et percutante...
Son arrivée dans le Brooklyn de New York en tant qu'immigrée irlandaise comme tant d'autres l'ont vécu lors des années 50, au sein de cette pension pour jeunes-filles délurées, va révéler des moments drôles qui vont ponctuer avec bonheur la découverte de la vie américaine.
Ces passages sont très frais avec des échanges espiègles de plus en plus attendus entre Madame Kehoe cette maîtresse de maison clairvoyante qui tient sous son aile ses petites protégées qu'elle cerne d'ailleurs très bien, comme le fait aussi le Père Flood...
L'Amour sera comme de bien entendu au rendez-vous, et en même temps le remède à sa transformation son épanouissement et son intégration totale !
Et pour nous combler le cinéaste nous gâte d'une reconstitution superbe et colorée comme une petite friandise. Du vintage pour de vrai avec des décors et des carrosseries américaines superbes.
La suite avec ce retour au pays sera par contre moins convaincante, en plaçant Eilis dans une situation ambigüe qui à mon avis, nuit ici à son image par la stratégie que celle-ci adopte...
Son personnage joue sur plusieurs tableaux et son attitude qui manque curieusement de franchise, laisse perplexe et ne colle pas avec l'esprit de l'histoire...
Le film verse de plus vers le larmoiement à outrance, dont pas mal de scènes mièvres appauvrissent alors l'intérêt accordé à l'origine !
Au final, après un bon début, cette réalisation de John Crowley sur un scénario de Nick Hornby, dévient de plus en plus fade, finit par manquer de force, l'héroïne Ellie ne convainc plus comme on le sentait au début...
Un film pas désagréable du tout à regarder, mais un peu bancal tout à coup et qui semble même dater dans sa construction et sa conception, sans la véritable tension dramatique espérée, ce qui en aurait véritablement fait une œuvre plus poignante et percutante...
Sylvain P
On présente Brooklyn comme un film sentimental dans une Amérique fantasmée des années 50, mais il s'agit surtout d'un film sur le déchirement et les choix difficiles à faire au cours d'une vie. Le ton est un peu ampoulé, comme dans tous les films hollywoodiens « à Oscars » mais Saoirse Ronan donne brillamment vie à cette jeune femme. Embarquez.
tixou0
Un joli film nostalgique (la scène, pour la partie américaine, est dans les deux plus grandes communautés catholiques du New York d'alors, l'irlandaise, et l'italienne - nous sommes encore au temps de l'immigration qui a bâti les E-U, l'immigration européenne, pendant les "fifties"). Eilis Lacey (Saoirse Ronan - américaine de naissance, mais née de deux parents irlandais, et élevée sur la terre d'origine de ses auteurs), l'Irlandaise, vient tenter sa chance de l'autre côté de l'Atlantique, poussée par sa soeur Rose - elle est accueillie et entourée par sa communauté, à "Brooklyn" - dont le sympathique père Flood, alias Jim Broadbent. Elle y rencontre Tony Fiorello (Emery Cohen), le "rital", un jeune plombier ambitieux et travailleur. Mais un destin cruel va la faire revenir en Irlande -
spoiler:
la disparition brutale et prématurée de Rose a laissé sa mère, déjà veuve depuis très longtemps, dans une grande détresse.
Simples "vacances" ?... Auréolée de sa gloire d'"Américaine", elle est rapidement populaire dans son ancienne petite ville, on lui offre un travail intéressant, elle est courtisée par le "riche" (au niveau local...) Jim Farrell (Domhnall Gleeson)... spoiler: mais un vilain commérage va lui rendre sa lucidité : Tony l'attend en Amérique, où sa vie est désormais...
Flirtant souvent avec le mélodrame, et "romance" par d'autres aspects, ce long métrage britannico-irlandais, mais aussi canadien, mérite cependant, au final, d'être classé en "film d'apprentissage", voire "portrait de femme" (et des plus réussis..). Belle réalisation classique (de John Crowley - "Boy A"), et un superbe rôle pour la très jeune Saoirse (à peine 22 ans), déjà remarquée dans "Lost River", en "Rat".
Simples "vacances" ?... Auréolée de sa gloire d'"Américaine", elle est rapidement populaire dans son ancienne petite ville, on lui offre un travail intéressant, elle est courtisée par le "riche" (au niveau local...) Jim Farrell (Domhnall Gleeson)... spoiler: mais un vilain commérage va lui rendre sa lucidité : Tony l'attend en Amérique, où sa vie est désormais...
Flirtant souvent avec le mélodrame, et "romance" par d'autres aspects, ce long métrage britannico-irlandais, mais aussi canadien, mérite cependant, au final, d'être classé en "film d'apprentissage", voire "portrait de femme" (et des plus réussis..). Belle réalisation classique (de John Crowley - "Boy A"), et un superbe rôle pour la très jeune Saoirse (à peine 22 ans), déjà remarquée dans "Lost River", en "Rat".
Belle adaptation de la nouvelle de Colm Toiblin.
Nous sommes en plein entre-deux-guerres: Eilis, jeune irlandaise exploitée comme tant d'autres, n'a a l'esprit que le rêve américain. Sa sœur Rose qui croit en elle lui trouve le moyen de rendre ce rêve inimaginable possible en ne lui révélant toutefois pas la véritable raison. Et la frêle et timide jeune fille embarque ainsi pour New-York ou elle va petit-a-petit prendre confiance en elle et trouver ce qu'elle était venue chercher et plus encore. Jusqu'à ce que l'Irlande se rappelle a elle.
Il est certaines fois ou vous aimeriez vous rendre au cinéma sans prise de tête aucune et passer un agréable instant quelque peu a l'eau de rose: Brooklyn est le film qu'il vous faut.
Un récit sans aucune surprise mais fort bien reconstitué et surtout une certaine légèreté qui fait du bien.
Saoirse Ronan est absolument magnifique trouvant un vrai rôle de femme et ce premier rôle "irlandais" va a ravir a la new-yorkaise de sang irlandais. Domnhall Gleesson est également touchant. Très jolie musique également.
A recommander...
Nous sommes en plein entre-deux-guerres: Eilis, jeune irlandaise exploitée comme tant d'autres, n'a a l'esprit que le rêve américain. Sa sœur Rose qui croit en elle lui trouve le moyen de rendre ce rêve inimaginable possible en ne lui révélant toutefois pas la véritable raison. Et la frêle et timide jeune fille embarque ainsi pour New-York ou elle va petit-a-petit prendre confiance en elle et trouver ce qu'elle était venue chercher et plus encore. Jusqu'à ce que l'Irlande se rappelle a elle.
Il est certaines fois ou vous aimeriez vous rendre au cinéma sans prise de tête aucune et passer un agréable instant quelque peu a l'eau de rose: Brooklyn est le film qu'il vous faut.
Un récit sans aucune surprise mais fort bien reconstitué et surtout une certaine légèreté qui fait du bien.
Saoirse Ronan est absolument magnifique trouvant un vrai rôle de femme et ce premier rôle "irlandais" va a ravir a la new-yorkaise de sang irlandais. Domnhall Gleesson est également touchant. Très jolie musique également.
A recommander...
Un joli portrait de femme mais un film un peu trop classique pour se démarquer et pour me transporter vraiment. C'est propre, bien mis en scène, avec même quelques touches d'humour bienvenues, mais cela manque un peu d'originalité et de puissance. Saoirse Ronan, de tous les plans, porte le film sur ses épaules et demeure très juste, arrivant à montrer avec beaucoup de nuances l'évolution de son personnage. Par contre, Emory Cohen, qui joue le petit ami du personnage principal, manque cruellement de charisme, rendant au finale le couple peu attachant.
traversay1
A première vue, le thème de Brooklyn est familier : comment une jeune irlandaise s'adapte à sa vie américaine entre nostalgie de sa terre natale, moqueries autour de son provincialisme, intégration progressive, début de romance ... A partir du roman de Colm Toibin et du scénario de Nick Hornby (dont on connait la patte gracile), le film est mis en scène par John Crowley de manière très douce, avec des couleurs tendres et pastel, recréant un Brooklyn du début des années 50 presque rêvé. Il est assez facile de critiquer Brooklyn pour son manque d'aspérités ou tout du moins son aspect édulcoré. Mais il y a dans le film une élégance modeste et un charme désuet qui en font une oeuvre d'un classicisme intemporel, rehaussé par une écriture fluide et une interprétation haut de gamme, toujours dans un registre humble et tendre. Soirse Ronan, et ce n'est pas seulement à cause de ses origines, s'y révèle bouleversante d'ingénuité et de caractère, le coeur entre les deux rives de l'Atlantique. Avec ses couleurs vives et son empathie pour des personnages positifs, Brooklyn exhale un parfum de pureté et de générosité qui ne fera pas fondre seulement les midinettes.
Le film raconte l'histoire d'Eilis Lacey, une jeune immigrante irlandaise à Brooklyn dans les années 1950. Malgré quelques longueurs, Brooklyn reste un film agréable porté par son actrice principale, Saoirse Ronan.
RedArrow
Il faut le reconnaître, sans une Saoirse Ronan touchée par la grâce, on en arriverait presque à se demander comment "Brooklyn" arrive à tenir debout.
Le film ne se résume qu'à un récit romanesque aux quelques rebondissements dramatiques déjà vus une bonne cinquante de fois (2 hommes, 2 amours, 2 continents, 2 vies, un choix), engoncé dans un flot de bons sentiments quasi-surréaliste et où même un Nick Hornby, scénariste, peine à insuffler un peu de vie par sa verve (merci tout de même aux quelques fulgurances dans les dialogues notamment ceux d'une irrésistible Julie Walters dans la première partie).
Du côté de l'emballage, rien d'époustouflant à signaler : une réalisation classique de John Crowley qui ne fait rien pour tenter de transcender la banalité du propos, une lumière et une (jolie) photographie qui se contentent de s'adapter aux décors des deux pays en fonction des états d'âme de l'héroïne, des seconds rôles qui font bien le job hormis un Emory Cohen en plombier italien beau gosse (oui, un épisode de "Desperate housewives "à lui tout seul) pas crédible pour un sou... Rien de totalement désagréable mais on cherche tout de même à comprendre le but de toute cette débauche d'énergie pour un si classique mélodrame.
Mais, il y a "elle", capable d'emporter tout ça par un regard, un sourire, des larmes (elle en a visiblement des hectolitres à revendre), d'incarner une jeune femme à un tournant de son existence en nous faisant bêtement gober toutes les facilités d'une histoire que l'on semble connaître à l'avance et, mieux, de la faire passer à un tel niveau que "Brooklyn" arrive même à nous faire décoller le temps de quelques scènes.
Merci miss Ronan, votre nomination à l'Oscar de la Meilleure Actrice n'est pas volée, il est juste dommage que "Brooklyn" ne soit pas un écrin à votre hauteur.
Le film ne se résume qu'à un récit romanesque aux quelques rebondissements dramatiques déjà vus une bonne cinquante de fois (2 hommes, 2 amours, 2 continents, 2 vies, un choix), engoncé dans un flot de bons sentiments quasi-surréaliste et où même un Nick Hornby, scénariste, peine à insuffler un peu de vie par sa verve (merci tout de même aux quelques fulgurances dans les dialogues notamment ceux d'une irrésistible Julie Walters dans la première partie).
Du côté de l'emballage, rien d'époustouflant à signaler : une réalisation classique de John Crowley qui ne fait rien pour tenter de transcender la banalité du propos, une lumière et une (jolie) photographie qui se contentent de s'adapter aux décors des deux pays en fonction des états d'âme de l'héroïne, des seconds rôles qui font bien le job hormis un Emory Cohen en plombier italien beau gosse (oui, un épisode de "Desperate housewives "à lui tout seul) pas crédible pour un sou... Rien de totalement désagréable mais on cherche tout de même à comprendre le but de toute cette débauche d'énergie pour un si classique mélodrame.
Mais, il y a "elle", capable d'emporter tout ça par un regard, un sourire, des larmes (elle en a visiblement des hectolitres à revendre), d'incarner une jeune femme à un tournant de son existence en nous faisant bêtement gober toutes les facilités d'une histoire que l'on semble connaître à l'avance et, mieux, de la faire passer à un tel niveau que "Brooklyn" arrive même à nous faire décoller le temps de quelques scènes.
Merci miss Ronan, votre nomination à l'Oscar de la Meilleure Actrice n'est pas volée, il est juste dommage que "Brooklyn" ne soit pas un écrin à votre hauteur.
j y suis allez un peu a reculons au depart c etais juste pour combler le trou entre le travail et l avp de rosalie blum
Mais il faut croire que je suis fleur bleu comme garcon car j ai bien aimer alors certes c est pas original . Du deja vu avec un debat assez classique ! Une affaire de coeur !
Mais je me suis laisser prendre au jeu de cette histoire d amour entre deux garcon avec cette fille qui pas sur d elle debarque a new york pour se chercher une vie et qui trouve mais qui est rappeler dans sa contree natale l irlande
De beau paysage de belles images de bons senyiment un accent irlandais agreable a enténdre :
Bref a voir pour passer un bon moment :)
Mais il faut croire que je suis fleur bleu comme garcon car j ai bien aimer alors certes c est pas original . Du deja vu avec un debat assez classique ! Une affaire de coeur !
Mais je me suis laisser prendre au jeu de cette histoire d amour entre deux garcon avec cette fille qui pas sur d elle debarque a new york pour se chercher une vie et qui trouve mais qui est rappeler dans sa contree natale l irlande
De beau paysage de belles images de bons senyiment un accent irlandais agreable a enténdre :
Bref a voir pour passer un bon moment :)
Un film émouvant...éclairé par la présence lumineuse de l'actrice principale...un très bon mélo.....un film à voir essentiellement pour ses acteurs...
"Brooklyn" est une comédie romantique/dramatique plutôt réussi. On suit les aventures d'une jeune irlandaise qui part vivre son rêve américain à New York. Le film est touchant, les acteurs sont frais et vrai , on passe un agréable moment, mais il manque un peu de rythme.
Brooklyn est un bon et beau film. Un film reparti bredouille (ou plutôt brocouille comme on dit chez nous dans le bouchenois comme qui dirait les Inconnus) des 88ème Oscars en 2016 avec d’autres films (coucou Seul Sur Mars) malgré pourtant 3 nominations (et 7 pour le film de Ridley Scott hyper déçu). Bref un joli film bien fait qu’est ce drame romantique qui trace le destin d’une jeune irlandaise quittant son pays natal pour émigrer aux USA. Une jolie histoire d’amour s’en découlera.
Très agréable à suivre, le métrage est convaincant dans ce qu’il nous propose, l’histoire est simple et bonne adapté du roman éponyme de Colm Tóibín (on ne peut pas trouver plus Irlandais là^^). Sûr que le film est réussi et pourtant on ne sent aucune inventivité, aucune originalité qui aurait permis à l’œuvre de s’envoler. Les émotions sont présentes, et le rire aussi à quelques passages. Le film est toujours juste.
Reste le côté technique bien maîtrisé et une reconstitution des années 50 bien travaillée. La bande son plutôt bonne, aide bien aussi de ce côté-là avec même un passage plutôt sympa d’une complainte chanté en irlandais.
Le réalisateur irlandais de surcroît John Crowley signe son 5ème long métrage avec réussite, très belle réalisation d’ensemble. Il y invite un joli casting americano-british-irlandais avec la belle et talentueuse Saoirse Ronan (hey on est de la même année^^), Emory Cohen, puis le trio d’une belle saga avec Domhnall Gleeson (coucou Harry Potter 7) une vraie révélation en ce moment tout aussi bon que son père, Jim Broadbent (coucou Harry Potter 6 et 7.2), Julie Walters (coucou à la saga entière Harry Potter) tous véritablement excellents.
Même s’il ne révolutionne rien, il maîtrise son sujet et donne envie d’aller faire un ptit tour en Irlande et à Brooklyn.
Ma note : 7.5/10 !
Très agréable à suivre, le métrage est convaincant dans ce qu’il nous propose, l’histoire est simple et bonne adapté du roman éponyme de Colm Tóibín (on ne peut pas trouver plus Irlandais là^^). Sûr que le film est réussi et pourtant on ne sent aucune inventivité, aucune originalité qui aurait permis à l’œuvre de s’envoler. Les émotions sont présentes, et le rire aussi à quelques passages. Le film est toujours juste.
Reste le côté technique bien maîtrisé et une reconstitution des années 50 bien travaillée. La bande son plutôt bonne, aide bien aussi de ce côté-là avec même un passage plutôt sympa d’une complainte chanté en irlandais.
Le réalisateur irlandais de surcroît John Crowley signe son 5ème long métrage avec réussite, très belle réalisation d’ensemble. Il y invite un joli casting americano-british-irlandais avec la belle et talentueuse Saoirse Ronan (hey on est de la même année^^), Emory Cohen, puis le trio d’une belle saga avec Domhnall Gleeson (coucou Harry Potter 7) une vraie révélation en ce moment tout aussi bon que son père, Jim Broadbent (coucou Harry Potter 6 et 7.2), Julie Walters (coucou à la saga entière Harry Potter) tous véritablement excellents.
Même s’il ne révolutionne rien, il maîtrise son sujet et donne envie d’aller faire un ptit tour en Irlande et à Brooklyn.
Ma note : 7.5/10 !
Un très bon film qui traite qui raconte l’émancipation d’une jeune femme qui passe de l’ancien monde au nouveau monde. Mis à part le romantisme du film, le long-métrage traite du mal du pays, de l’exil et des choix cornéliens à faire dans une vie.
Après s’être affranchie de son milieu familial, l’héroïne va apprendre à s’affirmer et s’adapter dans cette société (l'apparence, costume, manière de vivre) tout en faisant face à un dilemme romanesque.
Déjà vus dans le très bon « Lovely Bones » et l’excellent « Hanna », Saoirse ronan joue très bien cette jeune rouquine naïve qui apprend à s’affirmer et les seconds rôles très utiles à l’histoire et bien écrit sont très bons notamment Emory Cohen, brillant lors d’une scène de bal et qui a des faux airs de Marlon Brando.
Après l’excellent drame « The immigrant » sorti en 2014, Brooklyn traite la thématique de l’immigration féminine sous un angle plus conventionnel sur un rythme assez lent avec une photographie trop classique.
Après s’être affranchie de son milieu familial, l’héroïne va apprendre à s’affirmer et s’adapter dans cette société (l'apparence, costume, manière de vivre) tout en faisant face à un dilemme romanesque.
Déjà vus dans le très bon « Lovely Bones » et l’excellent « Hanna », Saoirse ronan joue très bien cette jeune rouquine naïve qui apprend à s’affirmer et les seconds rôles très utiles à l’histoire et bien écrit sont très bons notamment Emory Cohen, brillant lors d’une scène de bal et qui a des faux airs de Marlon Brando.
Après l’excellent drame « The immigrant » sorti en 2014, Brooklyn traite la thématique de l’immigration féminine sous un angle plus conventionnel sur un rythme assez lent avec une photographie trop classique.
Brooklyn, un petit bijoux dans un écrin de cristal très fragile et pourtant fort à la fois. D'une tendresse légère et d'une douleur profonde en même temps. Voilà le ressenti que j'ai après ma séance.
L'histoire de ce film est telle une fleur sur le point d'éclore. Légère, petite et fragile mais devant de plus en plus forte au fil du temps, pour finir par s'épanouir et devenir magnifique...
[La suite sur mon blog]
L'histoire de ce film est telle une fleur sur le point d'éclore. Légère, petite et fragile mais devant de plus en plus forte au fil du temps, pour finir par s'épanouir et devenir magnifique...
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orlandolove
Porté par une histoire simple et dépourvue d'antagonisme, les enjeux de Brooklyn n'en sont pas moins immenses et universels. Le classicisme a parfois du bon...
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