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    The Lobster
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    3,3
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    414 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 10 janvier 2021
    Je me suis ennuyé à mourrir j’ai détesté ce moment où il se prive de sa main mais c’est quoi ce délire ? C’est quoi ce trip punitions ? ! Je me suis même endormi devant ! Ça mérite même pas une étoile spoiler:
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 8 janvier 2021
    Nul du début à la fin. Scénario plus que décalé ou rien n'est expliqué. Le réalisateur doit être fou. Ne vous fiez ps aux avis ils sont erroné. Histoire sans suite, surprenant, déroutant et sans continuité. J'ai été mal à l'aise tous le long du film.................
    Jo Bass
    Jo Bass

    8 abonnés 31 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 avril 2021
    Au début personnellement j'ai été intriguée par cette société qui été présenté dans le film,
    puis plus le film avance plus j'ai été désintéressé, parce qu'au final on n'as pas vraiment compris où le réalisateur a voulut nous mener.
    Le film au début a un bon rythme mais vers le milieu tout part en vrille, on ne comprend plus grand chose et ça tourne en rond,
    les absurdités ne m'ont pas pour autant dérangé car c'est le style de yorgos lanthimos mais le manque de but et de scénario si.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 25 novembre 2020
    Film saisissant avec une histoire inquiétante et déshumanisée entre Orwell et Kafka. De la science-fiction qui fait réfléchir sur la condition humaine et la vie en société. Finalement tout le monde semble près à accepter les règles même les plus absurdes afin de pouvoir vivre en société. Un film qui encourage le mariage blanc...à moins d'aimer les animaux!
    P~❥
    P~❥

    8 abonnés 341 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 octobre 2020
    L'ambiance du film est clairement loufoque et burlesque, l'atmosphère est assez glauque et malsain aussi. On ne comprends pas bien où va aller l'histoire, je me demande quel est le niveau de psychiatrie de l'auteur de ce film pour pondre un truc pareil !

    Les personnages ne sont ni attachants ni intéressants, les scènes glauques s'enchaînent sous couvert de nous faire parvenir quelques messages [SPOILERS\ Pressions de la société pour être en couple peu importe les circonstances / il faut rentrer dans le moule / les célibataires sont des reclus de la société qui vivent à l'état animal, mais au fond ils cherchent quand même l'amour, quitte à se crever les yeux pour le vivre totalement/ vaut mieux être en couple malheureux plutôt que seul heureux, mais au final on ne peut pas vraiment être heureux si on est seul ...\SPOILERS]
    Conclusion : on tente de faire passer une moral avec ce film qui nous dépeint un ramassis de clichés et de stéréotypes sociologiques sans aucune nuance
    La fin est complètement absurde elle gâche encore plus le film qui n'était déjà pas très crédible
    Hotinhere
    Hotinhere

    557 abonnés 4 965 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 mars 2024
    Une fable dystopique absurde par moment mais intrigante puis fascinante, brillamment mise en scène, et portée par un casting impeccable.
    Kubrock68
    Kubrock68

    42 abonnés 1 264 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 juillet 2020
    Les célibataires ne sont plus autorisés, il faut soit trouver un/une partenaire ou devenir un animal. le résumé en lui-même peut faire peur. Comme toujours avec Lanthimos il faut du temps pour décoder ce qu'il se passe à l'écran. Fort heureusement la partie transformation en animal n'est pas développée, celle de la création d'un couple est assez étonnante. Je ne suis pas sûr de comprendre ce que le réalisateur veut nous dire sur le couple. il faut préciser étant donné l'originalité du thème que le film se regarde agréablement.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 587 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 juin 2020
    Étant grec je devrais aimer The Lobster et bien non. Les acteurs sont moyen mais le film est un désastre. Cela se veut très artistique avec une histoire très lente et tout le monde a l'air artsy. Mais au fur et à mesure l'histoire devient complètement ridicule. Le film se transforme en une coquille vide en une sorte de chose prétentieuse. Le film veut être de l'art mais c'est tellement mauvais. Je me demandais qui avait réussi à convaincre les acteurs que c'était un bon travail à assumer. L'art pour l'art peut être bon mais vous pouvez vraiment échouer si vous en faites trop. Peut-être pouvons-nous inventer un nouveau terme : cinéma désespéré. Désespéré d'être spécial et prétentieux...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 avril 2020
    Pour son premier film en langue étrangère, Yorgos Lanthimos opta pour les décors naturels de la côte ouest de l’Irlande. Un choix judicieux dans la mesure où le monde fantastique qu’il dépeint ressemble étroitement au nôtre. Il s’agit d’une sorte d’univers parallèle où la médecine, et les rapports sociaux ont suivis d’autres embranchements. Ancien publicitaire, Lanthimos, le plus cynique des grecs après Diogène, affectionne les ralentis et l’image soignée pour mettre en perspective les difformités de ses microcosmes.
    Peu après « Canines », mais avant la basse cour de « La favorite », Lanthimos donne au bestiaire une place prépondérante. En effet, toute personne qui ne remplit pas les conditions de vie en société est tout bonnement métamorphosée en l’animal de son choix. Toutefois, l’aspect fantastique s’éclipse vite pour une allégorie sur les maux de nos sociétés modernes. Ces transformations sont physiques bien évidemment, mais avant tout morales, car la faculté de raisonner, de se projeter dans l’avenir s’estompe lorsque l’individu est métamorphosé. Être une bête, c’est vivre au jour le jour. La société libère l’Homme de sa sauvagerie originelle. Mais sommes nous libres pour autant ?

    Fraîchement divorcé, le protagoniste est interné dans un centre où il est sommé de trouver l’âme sœur dans un délais de 45 jours. En cas d’échec, il sera transformé en homard, un animal qu’il affectionne. C’est par l’intermédiaire de cet hôtel luxueux que nous découvrons cette société analogue à la nôtre. En cet internat pour célibataire, la bisexualité n’est pas possible pour la simple raison qu’elle ne rentre pas dans les cases d’une logistique bureaucrate ne tenant aucunement compte des individualités. Au cœur de cette société, les rapports de séduction sont régis par un trait caractéristique qui définit chaque pensionnaire. Ainsi, le boiteux ne semble pouvoir nouer de relation qu’avec une personne qui dispose d’un handicap similaire au sien. Pire, une certaine ascension sociale est décrite. Par une anecdote, nous apprenons qu’une épouse a été rejeté pour la simple raison qu’elle n’était titulaire que d’une Licence alors que la nouvelle conquête de son mari possédait un Master. La mise en avant excessive d’un trait caractéristique est tellement superficielle que toute relation en devient absurde. Comment résumer la complexité d’une personne en un seul signe distinctif ? Comment valoriser une spécificité au sein d’un rapport de séduction lorsque les codes vestimentaires et sociaux sont identiques pour tous les pensionnaires ? En effet, le protagoniste ne peut que revêtir des costumes identiques avec comme seul choix possible la couleur blanche ou bleue de sa chemise. Un ensemble agrémenté d’un cadenas de chasteté entravant toute jouissance individuelle.

    En un théâtre de l’absurde, les méfaits de la solitude sont mis en scène. Le formatage passe par l’esprit, mais aussi par le corps. Un pensionnaire coupable de masturbation sera brûlé à la main, l’endroit par lequel il a péché. Les rapports de séduction sont similaires au démarchage. L’une propose une sexualité débridée pour sauver sa peau, l’autre s’invente un caractère qui n’est pas le sien. Ceux qui parviennent à « s’aimer » ne sont pas libres pour autant. En effet, la psychologie au sein des couples est examinée par la direction de l’établissement. Cette violation de l’intimité peut sembler exagérée, mais elle ne diffère pas foncièrement des interminables auscultations psychologiques auxquels les couples de notre monde bien réel sont soumis dans le cas d’une procédure d’adoption. De la même manière, la focalisation de la séduction sur une ou plusieurs marques distinctives n’est qu’un prolongement des attributs utilisés par les sites de rencontre en ligne. Il n’y a pas ici une différence de nature, mais une différence de degré. Rationaliser l’amour, le réduire à des cases à cocher est le meilleur moyen d’occulter son éclat. Lors de la première danse du protagoniste, le sang s’échappe du nez de sa partenaire. Cet évènement aurait pu apporter un peu d’imprévu, une lueur d’humanité, mais non, il se converti en un processus descriptif des techniques de nettoyage sur tissu souillé. Une sorte de tue l’amour en somme. En pension, diverses activités sont proposées. Parmi elles, la chasse à l’homme. C’est par cette curieuse discipline que nous découvrons l’autre versant de la société imaginaire.

    Le changement est brutal. De la symétrie architecturale de l’hôtel pour célibataires non endurcis, nous passons à la forêt foisonnante où vivent les rebelles. Traqués par la société, ces rebelles constituent une communauté où tout rapport de séduction est prohibé. Il s’agit de l’antithèse parfaite de la société dominante. Par un concours de circonstances, le protagoniste sera amené à côtoyer les deux mondes antagonistes. C’est malheureusement dans le second qu’il rencontrera l’amour. Contrairement aux pensionnaires de l’hôtel, les rebelles peuvent se mouvoir et jouir en toute liberté. À la seule condition que ce soit en solitaire. Tout manquement aux règles instaurées n’aboutit pas ici par une métamorphose, mais à une mutilation à l’endroit même où le péché a eu lieu. Une forme de torture similaire s’applique au sein de deux microcosmes pourtant frontalement opposés. Lors d’une séquence d’infiltration, Lanthimos exacerbe l’absurdité du couple sous la contrainte d’une arme.

    Chez les rebelles, musique en solitaire et autres masturbations sont préconisés. Mais sans amour, sans partage, que vaut la jouissance ? Ce simple rapport mécanique au corps ne diffère pas tant de la mécanique de l’esprit pratiquée au sein de la société dominante par l’intermédiaire de conversations d’une futilité absolue. Les rapports de séduction forcés aboutissent au même résultat que les interactions sans sentiments. Dans la forêt, la véritable communication découlera d’un langage des signes improvisé entre les deux amants pour ne pas éveiller les soupçons. Ce langage artificiel est pourtant le seul qui trouve un sens dans le film. Mais à un moment, le naturel revient au galop. Les amants seront démasqués lors d’une escapade en ville, le seul lieu où un rapprochement leur est autorisé par les rebelles pour s’infiltrer. Ainsi, la tentation sera plus grande que le refoulement. Un châtiment corporel aura lieu. Par duperie, la vue sera ôtée à l’amante. Dans un camps comme dans l’autre, la compassion n’a pas sa place. Nous pouvons relever un parallèle entre deux personnages cruels : une pensionnaire de l’hôtel particulièrement antipathique et la leader des rebelles. Dans les deux cas, les personnages seront renvoyés dos à dos et connaîtront un sort funèbre. Car celui qui tient son pouvoir de la cruauté ne le conservera pas perpétuellement.

    Plus qu’à l’aide d’une caractéristique commune, l’amour puise sa source dans l’empathie. Une notion qu’aucune des deux sociétés n’est en mesure de proposer. À cause du châtiment évoqué, les amants perdront leur spécificité commune, mais leur passion restera intacte.
    Pourtant, le final est paradoxal car le protagoniste se crève les yeux ou du moins envisage de faire (un mystère du montage) pour se plonger dans le même état que son âme sœur. Rapprocher les êtres par le seul prisme du trait en commun est ridicule. Cela en dit long sur les interactions au sein de nos sociétés modernes.
    Toutefois, il ne faut pas occulter la nature empathique des rapports amoureux qui se fondent sur la compréhension et sur un horizon commun, donc sur une certaine convergence entre deux êtres.

    Certes, l’amour est aveugle, mais il tire profit des autres sens.
    Charlotte28
    Charlotte28

    124 abonnés 2 007 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 avril 2020
    Ce cruel conte pessimiste à l'atmosphère confinée (symbolisée par la musique pesante et la voix-off lancinante) met en exergue la ridicule dangerosité de tout système dictatorial, conférant au film une dimension politique, au-delà de la réflexion sur la possibilité d'entraver le sentiment (amoureux). Outre le blâme de ces limites gouvernementales et/ou sociétales, le réalisateur dépeint des êtres humains - portés par des interprétations impeccables - en demande de règles et de directions, bien incapables de s'auto-réguler en liberté. Dans cette dystopie, la seule lueur d'espoir semble bien celée en chaque individu qui saura ou non la rendre brillante...
    tyrionFL
    tyrionFL

    22 abonnés 384 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 avril 2020
    The lobster est un film des plus malsains et déplaisants.
    Pourtant, ses attributs font de ce film une réussite.
    Ce film de Yorgos Lanthimos est éprouvant et vraiment désagréable mais je pense que c'est voulu car le film se passe dans une dystopie atroce ou les personnages sont soumis à un régime tellement absurdes qu'ils semble s'y être accommodés.
    Tous les personnages sont froids presque inhumains habités par la volonté de paraître.
    Soit pour pouvoir être en couple avec quelqu'un soit pour cacher ses sentiments et pouvoir rester seuls.
    Si le film est aussi glauque c'est pour la froideur de ses relations humaines qui nous amènent à voir des scènes impitoyables qui semblent être quotidiennes pour tous.
    The Lobster est aussi froid que le désert de Sibérie et reste cohérent dans cette tristesse latente tout le long grâce également à ses éléments qui paraissent complètement idiots hors de cette réalité.
    C'est l'un des films les plus terrifiants que j'ai vu et cette singularité le rend formidable.
    San D
    San D

    71 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 avril 2020
    dérangeant, drôle, touchant, décalé, un mélange de sensations............un conte cruel, à ne pas regarder comme un film quelconque mais se préparer avant.
    cameradine
    cameradine

    21 abonnés 90 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 mars 2020
    Prix du Jury du Festival de Cannes en 2015, ce film n’est pas, contrairement à ce qu’on pourrait croire à écouter la voix off, une adaptation de roman, mais bien un scénario original. Le cinéaste grec Yórgos Lánthimos et son co-scénariste Efthýmis Filíppou explorent les thèmes de l’amour et du regard de la société sur le couple, mais dans un style dénué de romantisme ! Les situations décrites sont décalées voire surréalistes ; les personnages, déshumanisés, ont des relations extrêmement codifiées et communiquent avec des phrases très premier degré. Ce n’est pas « drôle » à proprement parler, mais cela donne une sorte d’humour absurde, qui créée le malaise (d’autant que, si on ne voit pas beaucoup de scènes violentes, la cruauté de certains actes est très fortement suggérée). Cette atmosphère imprègne le film de bout en bout (comme la présence discrète de divers animaux dans le décor : poneys, chameaux… rappels constants du sort des malheureux célibataires). Si le manque de réponses aux questions suscitées est parfois frustrant, les ellipses sont néanmoins très bien utilisées. Ainsi, cela permet d’être surpris par la deuxième partie du film, spoiler: auprès des Solitaires, car alors qu’on les prenait pour des victimes, ceux-ci s’avèrent aussi stricts et sans pitié que ceux qu’ils ont fui
    . Seul le couple formé par Colin Farrell (méconnaissable) et Rachel Weisz semble spoiler: dans un premier temps
    échapper à l’absence de sentiments qui fait la norme (les couples devant être assortis selon des exigences très précises). spoiler: Pourtant, eux aussi semblent vouloir se conformer au diktat de la société (jusqu’à quel point peut-on être conditionné ?)
    . La fin, bien qu’ouverte, fait froid dans le dos ! Un film dérangeant et singulier à découvrir!
    Raphael P
    Raphael P

    1 abonné 11 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 mars 2020
    quand on fait des cauchemars il faut éviter de les concrétiser en film ou alors il faut un minimum de travail pour le rendre visionnable
    Romain K
    Romain K

    46 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 janvier 2020
    Absurde et génial, tellement actuel .Ce genre de cinéma n'est pas à la portée du spectateur lambda en quête de effets spéciaux et de films pop corn . Un des films les plus barrés et original qui m'a été donné de voir .
    Le realisateur est un futur grand de part son esthetisme et par les sujets qu' il aborde .
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