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    The Lobster
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    414 critiques spectateurs

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    colombe P.
    colombe P.

    130 abonnés 695 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 octobre 2015
    Quelle déception ! Quel film mauvais, triste, lugubre, méchant, cruel !
    Dans la salle nous étions 11 personnes et 5 sont parties. Bien leur en a pris, car plus le film avance, pire c'est.
    Enorme perte de temps et d'argent.
    axelle J.
    axelle J.

    118 abonnés 501 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 31 octobre 2015
    Je suis très bon public, j'apprécie beaucoup de styles d'histoires et de films mais là ça ne passe pas du tout.
    Ce film est particulièrement dérangeant et cruel.
    Pourquoi avoir inventé un tel scénario ?
    dominique P.
    dominique P.

    838 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 octobre 2015
    J'attendais ce film avec impatience, le sujet m'intéressait et m'intriguait et au final j'ai carrément détesté.
    Les acteurs jouent très bien mais quelle horreur cette histoire.
    Tout est glauque, malsain, affreux, horrible.
    C'est très rare que je déteste un film mais avec celui-ci c'est vraiment le cas.
    SebD31
    SebD31

    91 abonnés 553 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 octobre 2015
    A la fois tragi-comédie, film romantique, et oeuvre de science-fiction, "The Lobster" est l'une des plus belles réussites du dernier festival de Cannes.

    Dans un futur proche, la société interdit à toute personne d'être célibataire. Si on l'est, on est envoyé dans un hôtel plutôt original. En effet, en ses lieux, chaque personne a 45 jours pour trouver l'âme sœur sinon elle sera transformée en l'animal de son choix.

    Pourquoi ce titre ? The lobster en anglais signifie le homard. C'est en cet animal, que le personnage interprété par un Colin Farrell méconnaissable, souhaiterait se réincarner. Un homard vit 100 ans, selon ses propres mots.

    A partir de ce scénario invraisemblable, Yorgos Lanthimos nous livre une fable d'une noirceur absolue, où l'humanité semble être réduite à son strict minimum. Dans un décor d'une immense froideur, le spectateur assiste impuissant, à une valse de pantins déshumanisés, voués à une mort certaine ou à une vie malheureuse. En reniant leur éthique pour vouloir séduire l'autre et donc rester en vie, certains célibataires trouvent un conjoint. Dans ce monde là, il n'y a point de morale. Seuls les plus manipulateurs peuvent s'en sortir.

    Perdus dans les bois, "les Solitaires", des célibataires jadis condamnés à une mort imminente et ayant fui l'hôtel, essaient de survivre. Dirigés par une femme interprétée par une Léa Seydoux machiavélique, ils ne peuvent ni s'aimer ni accomplir l'acte de chair. Là encore, l'humanité semble absente. Pourtant, une improbable histoire d'amour est sur le point de naître. Oui, mais à quel prix ?

    Désespéré, "The Lobster" est une puissante diatribe sur une humanité en perdition, où le conformisme triomphe de toute morale. Seules les personnes en couple représentent le bonheur. Être célibataire est une tare. Confronter toute personne seule à une mort certaine, ne fait que renforcer son côté individualiste et tend à effacer sa propre identité. Finalement, Lanthimos filme une société artificielle, toute en contradiction, à l'image d'un monde moderne où le lien social diminue, malgré la multiplication des moyens de communication.
    ffred
    ffred

    1 705 abonnés 4 019 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 octobre 2015
    Découvert en 2009 avec le dérangeant et très réussi Canine, le cinéaste grec Yorgos Lanthimos s'est vu couronné du prix du jury à Cannes cette année pour son premier film en anglais (la palme aurait été méritée) avec un casting international quatre étoiles. Ils sont d'ailleurs tous impeccables. Rachel Weisz, qui n'apparait que dans la seconde partie du film, est sublime (mais est-il besoin de le préciser?). Face à elle, on retrouve un Colin Farrell bedonnant, parfait de bout en bout. Le reste de la distribution est au diapason, de John C.Reilly à Ben Whishaw et de (la géniale) Olivia Colman aux françaises Léa Seydoux et Ariane Labed. Quant au film, il est bouleversant (les dernières images sur Rachel Weisz vont longtemps rester gravées dans mon esprit). S'il est moins loufoque et bizarre que Canine, il n'en reste pas moins surréaliste, féroce, cruel et cyniquement drôle (dans la première partie). Le réalisateur a su crée un futur angoissant et absurde auquel on croit instantanément (la scène d'entrée donne le ton et on la comprend plus tard). The Lobster est aussi réussi sur la forme que sur le fond : parfaitement mis en scène, sublimement écrit (sans doute le scénario le plus délirant et le plus original de l'année). La musique assourdissante et la voix-off m'agaçaient un peu au début mais finissent très vite par se fondre dans le décor. Un film terrible qui nous surprend à chaque scène et qui remue une multitude d'émotions en nous, et, pour moi, surtout sur l'amour et la solitude (même s'il brasse beaucoup d'autres thèmes). On en ressort aussi fasciné que désespéré, avec une grande sensation de tristesse et de mélancolie. Après Mon roi, une autre grosse claque dans la gueule. Hypnotique. Chef d'oeuvre.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 29 octobre 2015
    Très très bon film, ça fait du bien de voir de la SF .... avec un scénario!
    Et j'ai beaucoup ri devant les séquences (volontairement) absurdes lors des réunions générales à l'hôtel
    Si par contre quelqu'un peut me dire pourquoi il faut ABSOLUMENT avoir un point commun avec son partenaire pour former un couple(saigner du nez, boiter,...) car je n'ai pas compris la raison!
    Jorik V
    Jorik V

    1 274 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 octobre 2015
    Prix du jury mérité lors du dernier Festival de Cannes, « The Lobster » pourrait également se voir attribué le prix de l’originalité haut la main, et même celui du scénario avec une histoire pareille. Car c’est original certes, mais cette fable est aussi totalement maîtrisée. Il faut cependant être quelque peu azimuté pour avoir une idée de film pareille ! Complètement absurde et iconoclaste, le film surprend toujours. Jusque dans la cohérence parfaite de son univers. C’est bien de sortir des sentiers battus mais encore faut-il assumer jusqu’au bout et sur la durée. Mais le grec Yorgos Lanthimos s’y connait en récits complètement fous. Il n’y a qu’à se souvenir de son bizarre et intriguant « Canine » où, privés du monde extérieur, les enfants d’une famille ne nommaient pas les choses par leur appellation mais celle que leur donnait les parents. Dans « The Lobster », toute l’étrangeté de l’histoire est cadrée au millimètre près et jamais il ne se fait dépasser par des incohérences ou des failles narratives ; son univers est vraiment maîtrisé du début à la fin.
    Visuellement, on pourra trouver cela laid au début. Tout est gris, terne et triste. Mais finalement cela concourt au charme particulier du film et rentre en adéquation avec le fond. On ira même jusqu’à trouver cette grisaille, belle et homogène. Certains plans, totalement inimaginables et inconcevables avant de les voir se dérouler sous nos yeux dans « The Lobster », sont d’une beauté à couper le souffle et véritablement jouissifs, ressemblant un peu à du Dali. Par exemple, voir Colin Farrell et Rachel Weisz converser dans les bois écossais à l’aide d’un curieux code gestuel tandis qu’un chameau passe derrière eux comme si de rien n’était. C’est aussi ça l’originalité : être surpris. On apprécie aussi les quelques traits d’humour ubuesques voires noirs et le fait que le film parvient à se renouveler sans cesse. En effet, il est coupé en deux parties distinctes, voire plus si l’on creuse, qui s’emboitent et se complètent admirablement.
    On peut jauger « The Lobster » comme une dystopie mais loin, très loin, de celles que nous montrent les « Hunger Games » et consorts. Plus intelligente, on est face à une dictature de l’amour, du couple et du bien-pensant. Peut-être un peu long parfois, le long-métrage se distingue également par son casting haut de gamme et international parfaitement trouvé. D’une Léa Seydoux impitoyable en chef des Solitaires à un John C. Reilly zozotant, on prend plaisir à les retrouver là. Et on confirme qu’il est préférable de voir Colin Farrell dans des films indépendants de ce genre que dans des blockbusters qui lui réussissent (commercialement parlant) beaucoup moins. Au final, une ode à l’amour constamment surprenante dont on ne sait jamais où elle va nous emmener… Hormis une fin peut-être trop abrupte et ambigüe.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 29 octobre 2015
    Je suis très déçue par ce film. Certaines scènes sont cruelles. L'ambiance est claustrophobique et m'a mis mal à l'aise
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 29 octobre 2015
    Mon dieu ce que c'est mou. C'est long, mais c'est long !!! Tout est désespérant dans ce film : les dialogues, les personnages, l'intrigue. Même si c'est le but du film, c'est vraiment trop n'importe quoi. Pourtant le film commence bien, mais passé la moitié, on s'ennuie ! Et la musique ! Au secours.
    Dyaz
    Dyaz

    3 abonnés 42 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 octobre 2015
    Film tordu, qui m'a rappelé ces pièces de théâtre de l'absurde enseignées au Lycée avec lesquelles j'avais déjà beaucoup de mal à l'époque. Bizarrement, le film m'a tenu en haleine tous le long, je ne saurai pas dire pour quelle raison vu sa lenteur excessive. Si au final le film se laisse regarder et interpelle en abordant de façon imagée des sujets intéressants, notamment la question centrale de l'amour que l'on ne peut ni forcer ni arrêter ; la fin est quant à elle une grande déception. Ce n'est peut être que moi, mais j'en ai marre de ces films qui ne se terminent pas vraiment.
    selenie
    selenie

    6 266 abonnés 6 185 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 octobre 2015
    4ème long métrage, ce film est son premier hors Grèce et premier en langue anglaise avec, en prime, un casting international. Résultat un film hors des sentiers battus, assez unique, qui a raflé le Prix du Jury au dernier Festival de Cannes. Le spitch a de quoi laissé perplexe... Excellent point pour l'originalité et l'audace d'un tel sujet dans un style anti-commercial, complètement décalé. Un conte âpre et loufoque qui offre peu de place à l'optimisme. Une jolie surprise.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 octobre 2015
    Vu le jour de la sortie, cet univers m'a vraiment surpris et j'ai trouvé l'histoire tellement originale. Des moments parfois assez crus et certains parfois vraiment drôle, il y a de tout dans ce film et franchement il a su m'emporter avec ses ralentis et sa photographie si parfaite! Mention spéciale pour Jessica Barden que je revois pour la 3eme fois dans un film, c'est toujours un plaisir. Pareil pour son acolyte au "beaux cheveux" qui est une très bonne actrice. Ce film est l'un des meilleurs de l'année franchement à voir si vous ne l'avez pas encore vu.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 29 octobre 2015
    malgré quelques scènes plutôt bien, j'ai trouvé l'ensemble du film nul ,vide et ennuyeux, j'ai été énormément déçu
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 30 novembre 2015
    The Lobster excitera les sens visuel et auditif des cinéphiles comme le homard excite les papilles des fins gourmets. Colin Farrell, avec ses faux airs de Dirk Borgade dans Mort à Venise, tient ici son meilleur rôle, sublimé par la perfection visuelle et musicale de cette oeuvre magnifiquement inclassable.
    traversay1
    traversay1

    3 588 abonnés 4 866 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 octobre 2015
    Avant 2009, le cinéma grec se résumait à un seul nom : Angelopoulos (bâillements polis). Et puis, tel un OVNI, est arrivé Canine, d'un dénommé Yorgos Lanthimos. Farfelu, étrange et inquiétant film. Après Alps, The Lobster a marqué cette année le retour du cinéaste à Cannes (Prix du Jury), son premier film en anglais qui est sans doute ce qu'il a fait de mieux depuis ses débuts. Au menu : Homard et crudités (dans tous sens du terme). Il faut aimer son steak tartare saignant pour apprécier The Lobster, dystopie sous forme de fable, imprévisible et cruelle, quoique romantique en définitive mais à la manière Lanthimos, c'est à dire avec une férocité à toute épreuve. On peut trouver de nombreuses interprétations à cette allégorie du couple, dictature imposée, et l'on peut aussi estimer que l'exercice tourne au systématisme absurde mais au moins le réalisateur va jusqu'au bout de ses idées, fussent-elles franchement délirantes. On note certes que la deuxième partie est plus faible que la première mais le film ne dévie pas vraiment de sa trajectoire dans son double univers halluciné. Lanthimos est également un extraordinaire directeur d'acteurs : Colin Farrell est transfiguré et jusqu'à nos françaises dans des rôles mineures : Ariane Labed et Léa Seydoux qui épatent par leur justesse dans l'étrangeté. Là où souvent les cinéastes s'égarent, stylistiquement parlant (voix off, musique prégnante, ralentis), Lanthimos utilise ces procédés pour donner encore plus de bizarrerie à son film. On ne sait pas c'est du lard ou du cochon mais The Lobster a la séduction des oeuvres inclassables, conceptuelles et glaçantes par leur humour morbide.
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