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    The Lobster
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    3,3
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    414 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 12 novembre 2015
    Comme pour Canine, le réal aime installer un univers étrange, absurde qui dans un premier temps peut sembler excitant. Mais très vite, l'artifice est palpable et le manque de contenu pointe le bout de son nez. C'est un film de petit malin mais à très courte portée. Dommage.
    Olivier M.
    Olivier M.

    27 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 novembre 2015
    C'est un film d'atmosphère, dans un monde qui ressemble au nôtre, mais gouverné par des règles fantastiques et absurdes (mais extrêmement logiques et cohérentes: on comprend tout ce qui se passe). Ca fait un peu penser à du Bertrand Blier (genre "Buffet froid").

    Colin Farrell est excellent dans son personnage de mec un peu largué (la distribution est très bonne).

    Je ne me suis pas ennuyé à la découverte de l'univers imaginé par le metteur en scène, il y a des passages très drôles, d'autres particulièrement noirs... car si l'amour reste un moyen d'échapper à l'absurdité des règles des groupes opposés, mais tout aussi totalitaires et délirants qui s'opposent, le prix à payer est très lourd.

    Il m'a quand même manqué un petit quelque chose indéfinissable pour que je passe à 4 ou plus.... peut-être une question de rythme un tout petit peu trop lent pour moi.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 10 novembre 2015
    Ok, un film "d'auteur" (comprendre prise de tête) réalisé par un Grec, c'est vrai que de base, ça ne motive pas vraiment à aller voir.
    En plus, j'ai une petite aversion pour Léa Seydoux donc on a été obligé de m'y trainer à ce film.
    Et quand j'en suis sorti, j'ai été bouche bée.

    C'est ce genre de film où quand tu en sors, tu passes environ 2 ou 3 heures à essayer de tout comprendre et facilement une semaine à se prendre la tête sur tous les symboles et toute la symbolique du film.

    On y retrouve un excellent Colin Farrell dans le rôle du célibataire veuf obligé de retrouver une femme sous 45 jours sous peine de se faire transformer en animal et surtout une éblouissante Rachel Weisz pour jouer un des principaux personnages féminins.

    Car oui, ce film fait la part belle aux rôles féminins et pas des rôles de potiches ou de "femmes libérées" cliché comme on peut malheureusement en voir dans le cinéma "mainstream" et même dans ce genre de production mais des rôles de personnages forts, avec un caractère qui évolue au fil du film, qui nous procurent des émotions partagées, pour résumer des personnages extrêmement bien écrits.
    Rachel Weisz, Olivia Colman, Léa Seydoux éclipsent presque par leur prestation un Colin Farrell excellent surtout dans ce genre de film où l'on a pas l'habitude de le voir.

    Mention spéciale pour Ariane Labed que j'ai découvert et qui m'a époustouflé.

    Que dire de plus?
    La réalisation est au top hormis un léger problème de rythme arrivant milieu de film et qui a tendance à endormir un peu mais qui est vite compensé par les péripéties de fin poignantes.
    Une histoire complètement décalée mais qui, malgré son côté absurde, est touchante et pleine de sens au final.

    Je ne suis pas trop fan de ce genre de film, le dernier que j'ai été voir devait être "The Master" et j'ai pas super aimé, je préfère (Désolé aux cinéphiles) le cinéma "mainstream" mais celui-ci, merde... Il est vraiment bon et a réussi à me renouer avec le genre.

    Courez-y.
    Flaw 70
    Flaw 70

    260 abonnés 422 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 novembre 2015
    Yórgos Lánthimos est un cinéaste brillant et radical mais assez peu connu qui arrive à étudier les dérèglements de notre monde avec une intelligence et une justesse admirable. Dans Canine, un de ses précédents films et chef d'oeuvre absolu, il filmait avec une froideur terrible l'étouffant cocon familiale avec tout ce qu'il comporte de malsain dans sa politique surprotectrice. Un film indiscutablement personnel et dérangeant qui faisant néanmoins écho dans chacun de nous s'imposant comme une oeuvre terriblement pertinente mais qui ne connut pas la notoriété qu'elle aurait méritée. Néanmoins il retourne au Festival de Cannes avec son nouveau film mais cette fois-ci en compétition officielle, Canine ayant été dans la catégorie Un Certain Regard en 2009, et gagna le Prix du Jury, ce qui lui attira une certaine notoriété. Avec ce nouveau film, Lánthimos se fait plus accessible pour le public sans pour autant perdre sa radicalité, il offre une oeuvre qui lui appartient complètement mélange d'absurde loufoque qui prête à rire mais qui aussi traduit l'horreur d'un quotidien. On rit beaucoup devant ses situations improbables, ses réactions dégénérés et ses règles qui n'ont pas de sens car la réalité de l'oeuvre s'entrechoque constamment avec la nôtre et l'hilarité prend le dessus mais c'est souvent un rire jaune et malaisant. Car ici quant Lánthimos étudie les mécaniques de nos relations, de nos vies de couples et s'intéressent à leurs pourquoi, il ne déformera pas la réalité, il va nous l'offrir dans sa forme la plus pur attirant notre attention sur la vacuité de celle-ci et surtout sur l'absurdité de nos sentiments et le vide de nos existences. C'est notre réalité qui devient déformée car on tente à tout prix et vainement de lui donner un sens alors qu'il n'y en as aucun. C'est donc un film déprimé et très juste qui nous posent à nous interroger sur nous-même et sur ce que l'on tente d'accomplir en trouvant notre "moitié" et personnellement je partage totalement les réflexions de l'oeuvre qui font écho avec mon être le plus profond ce qui en déclencha mon amour le plus profond à son égard. Ce qui est totalement paradoxale car c'est ce que le film va dénoncer, on aime une personne ou même une chose pour ce qu'elle évoque par rapport à nous. On l'aime car elle à les mêmes centres d'intérêts que nous, une même particularité, le même humour et etc. On ne l'aime pas pour qui elle est mais on l'aime pour l'image qu'elle nous renvoi de nous-même, on l'aime car elle possède une part de nous. Ici tout le monde recherche une personne à laquelle elle peut s'identifier, un homme qui boite recherche une femme qui boite, un myope recherche une myope et etc. Créant des relations factices dénuée de réels sentiments et surtout dénuée de connaissances de l'autre. Chaque questions que deux personnes se posent pour se draguer sont impersonnelles et superficiels. Mais ici Lánthimos ne se contente pas juste de montrer la réalité des couples, il fait une critique de la société en général, tout le monde en prend pour ses grades comme les solitaires qui se complaisent dans leurs formes d’élitismes ou même de la société de consommations en générales qui "force" les gens à se mettre en couple au point de les exclure si ce n'est pas le cas. On est donc face à un récit très dense qui n'hésite pas aller très loin dans son étude des dérèglements du monde faisant souvent preuve de beaucoup d'imagination et d'ingéniosité soignant les moindres détails. C'est d'autant plus prodigieux que l'ensemble se révélant très dense et que le cinéaste ne perd jamais la maîtrise sur son histoire. L'intrigue est divisée en deux parties, une qui sera plus sociétaire et l'autre plus dans le cadre de l'intime, qui se répondent à merveille et qui sont toutes deux passionnantes malgré un cassure un peu brut qui pourrait surprendre de prime abord. Mais tout ça s'entremêle avec harmonie et cohérence pour nous mener à une conclusion terrible et brillante qui pose les bonnes questions avec une subtilité incroyable. D'ailleurs le film utilise beaucoup de symbolique pour faire comprendre son propos comme lorsqu'il utilise la myopie de son personnage, il ne voit pas très loin de manière littérale et métaphorique. Cela résume l'aspect des relations humaines, on regarde en surface mais en s'intéressant que très peu à la profondeur. Et Lánthimos pose la question de savoir ce qui se passe que lorsque ce qui nous intéresse en surface disparaît brusquement. Serons-nous toujours capable d'aimer l'autre ? Où aimions-nous juste ce qui nous rapprochais d'elle ? Devons-nous recréer une connexion ? A quel prix ? Et surtout, pourquoi ? Au final c'est les questions que l'on se posera et pourtant elles sont dérisoires, le propos nous le démontre bien, on cherche à créer un point commun avec l'autre pour aimer ce point commun et non l'autre personne. Les seules questions que devrait se poser les personnages, celles qui comptent vraiment, ils ne se les posent pas et de se simple constat l'oeuvre pose beaucoup de vérités. Car est ce que l'on aime vraiment l'autre ? Si c'était le cas on accepterais ces différences et apprendrais à la connaitre plutôt que tenter désespérément de créer des connexions factices pour trouver une raison de rester ensemble. Le film nous laissant de manière habile et radicale sur ce constat amer et anti-romantique. Ici Lánthimos s'entoure d'un casting reconnu, ce qui devrait aider à son cinéma à se faire connaitre surtout qu'il a choisi des acteurs charismatiques et talentueux. Colin Farrell se montre brillant dans une interprétation complexe entre sentiments refoulés, gaucherie et intensité tandis qu'il est soutenu d'une Rachel Weisz plus talentueuse que jamais et pleine de justesse. Le casting secondaire plus discret mais tous aussi impeccable comporte un Ben Whishaw succulent de froideur, John C. Reilly est ici discret mais toujours aussi excentrique et Léa Seydoux offre une interprétation monolithique et lugubre qui ne plaira pas à ses détracteurs mais qui s'inscrit parfaitement dans le ton du film. Celui-ci possède une réalisation aux petits oignons, la photographie joue habilement des couleurs ternes appuyant l'aura dépressif de l'oeuvre, le montage fait durer les scènes pour une impression de lenteur sans pour autant sacrifier le rythme et les musiques sont parfaitement choisis. Après la mise en scène de Yórgos Lánthimos peut laisser certains dubitatifs si ils ne sont pas amateurs de films d'auteurs dépressifs car on retrouve ici toute la grammaire de ce genre de cinéma. Une grammaire que le cinéaste maîtrise à la perfection et qu'il restitue avec ingéniosité et une beauté plastique indéniable à l'image des quelques séquences aux ralentis qui offrent des spectacles opératiques en décalages avec la brutalité des situations. En conclusion The Lobster est un chef d'oeuvre, s'imposant comme un des films les plus majestueux de l'année. On plonge tête la première pour une immersion intense et addictive dans un univers atypique qui n'est que l'interprétation littérale et pure du nôtre. Sous le regard de Yórgos Lánthimos on prend conscience de n'être que la farce tandis qu'il expose les dérives de notre monde et de notre humanité avec une justesse admirable. Tout est parfaitement écrit et maîtrisé sans en négliger la densité ni ce qui fait sa personnalité. Le cinéaste reste toujours aussi radical et dépressif offrant un film sans pareil et pourtant accessible, nous invitant sagement dans ce mélange d'absurdités vraies et de vacuités pertinentes pour un torrent incessant de paradoxes qui traduit à merveille ce qu'est la vie. Ajoutez à ça une casting exemplaire ainsi qu'une mise en scène parfaite si on sait l'apprécier et on obtient un immanquable et ce qui est probablement le meilleur film de l'année.
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    694 abonnés 2 746 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 novembre 2015
    "The Lobster" un film énigmatique et passionnant. Et vous quel animal seriez vous ?
    La critique :

    http://www.justfocus.fr/cinema/critique-the-lobster-realise-par-yorgos-lanthimos.html
    Ewen Blake
    Ewen Blake

    156 abonnés 1 197 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 novembre 2015
    Un summum de l'absurde entre Ionesco et Wes Anderson. En fait ce film est tellement fou que je n'ai même pas vu de critique qui le comprenne ou à minima le critique de façon satisfaisante. J'ai bien accroché lors de la première partie, charmé par l'absurdité, l'inventivité et l'atmosphère grisâtre travaillée. J'ai ri à l'écoute des speechs explicatifs et des énormités de la voix off. Au delà de son potentiel comique The lobster nous force à nous interroger en permanence (ne serait-ce que pour suivre l'histoire) et on se surprend à divaguer sur des possibilités scénaristiques auquel le cinéaste n'a peut-être jamais songé. Ainsi, lorsqu'on apprend que l'exclusion de cette société dystopique percluse de règles ridicules ne signifie en rien vivre libre, mais subsister à l'écart sous des lois tout aussi rigides (et stupides), on se demande s'ils ne font pas eux aussi partie du système (surtout au vu de l'objectif de leur rébellion : traquer les faux couples). Quel plaisir aussi de voir un film au schéma narratif si unique. The Lobster offre aux spectateurs lassés par des centaines de visionnages aux constructions invariables un scénario tout à fait singulier. Malheureusement concilier une succession de non sens avec une progression du récit n'est pas chose aisé et j'ai eu du mal à rester fasciné au fil d'une deuxième partie moins fine, moins drôle et dont on ne sait toujours pas où elle va. Au final, même si l'oeuvre globale ne m'a pas touché autant que je l'aurai voulu quelques scènes cultes méritent à elles seules le déplacement. Comme le dit la directrice "lobster is a very good choice". Quelques scènes : l'âne, le chameau, le langage des signes, le speechs des loups, le saignement de nez, la voie off en bus.
    Didier2007
    Didier2007

    13 abonnés 20 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 novembre 2015
    La bande annonce laissait entrevoir un film décalé avec une bonne dose d'humour absurde. Le résultat est pathétique. Le film est plat, triste, avec très peu de situations ironiques. Bref, un film qui selon moi ne sert a rien....à éviter absolument !
    andika
    andika

    106 abonnés 320 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 novembre 2015
    The Lobster est un film différent, novateur qui apporte un souffle assez vivifiant je dois dire. Alors oui, je dois quand même vous prévenir qu’une partie d’entre vous n’adhérera absolument pas, pensera que c’est de la merde, ne tiendra pas jusqu’au bout et ce serait une grave erreur. Il est si facile de passer à côté de ce film et c’est tellement dommage.

    Le pitch est simple. Il faut être en couple ou sinon, on est transformé en animal, il n’y a pas d’alternative. Pour trouver une compagne, les bons citoyens se rendent dans un hôtel afin d’y faire des rencontres. En partant de ce postulat totalement dingue, le film démarre et les personnages sont crédibles.

    C’est un film sur le totalitarisme, sur l’amour, la romance, le couple, la magie, la poésie. Il est vrai que dans nos sociétés occidentales, il existe un peu une terreur du couple qui devrait représenter une certaine norme. Il faudrait se conformer à cet usage afin d’être comme les autres.

    Mais l’amour ce n’est pas cela, on ne se met pas en couple parce qu’on le doit mais parce qu’on le désire et les exemples montrés dans ce film le montrent bien.

    A l’opposée de la dictature du couple, il y a également la dictature de la solitude dans ce même film représentés par les Solitaires emmenés par une Léa Seydoux étonnante.

    Alors comment faire dans ce monde afin de conserver son libre arbitre, sa capacité à faire des choix ? Il convient d’enfreindre les règles et le personnage de Colin Farell le fait à merveille, notamment dans une scène allégorique avec l’excellente Rachel Weisz. Sur le son de Jeux interdits joué à la guitare, nos deux tourtereaux enfreignent totalement les règles et c’est bien jouissif (et surtout symbolique de part le titre de cette musique mais vous l'aviez compris). L’attirance, le couple, tout cela ne se fonde pas sur des similitudes, des points communs comme le montre bien le film. Non, il y a une sorte de facteur X qu’on ne peut pas expliquer, quelque chose qui prend aux tripes et qui semble être l’évidence même.

    Enfin, il est très amusant de remarquer la liberté de ton dans l’écriture d’une histoire qui dépeint un cadre aussi rigide et austère. En effet, les auteurs n’hésitent pas à employer des mots crus pour notre plus grand plaisir. De plus, la bande originale est excellente et la photographie est très belle. The Lobster est une expérience à tenter.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 30 novembre 2015
    Ce film est d'une froideur déconcertante et ne s'assume même pas, malgré la bande-annonce qui semblait dire le contraire. Il se perd au milieu de son scénario, partant pourtant d'une idée originale qui aurait mérité un meilleur traitement et un meilleur retournement de situation, encore plus ennuyant que la première partie du film. Ce film est plat et même pas esthétique pour rattraper le coup. Passez votre chemin, il n'en vaut pas la peine... sauf si vous aimez l'ennui, auquel cas, courrez y !
    DAVS25
    DAVS25

    4 abonnés 140 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 novembre 2015
    Un film très particulier où l'on retrouve un Colin Farrel complètement transformé dans un scénario qui nous réserve des surprises a chaque scène. Dommage que la fin du film ne soit pas à la hauteur.
    Filipix
    Filipix

    3 abonnés 21 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 novembre 2015
    ennuyeux ! boring ! nul ! je me donnais des claques pour ne pas m'endormir !

    l'idée n'est pas mauvaise mais tout est lent et déprimant !

    et le final est pitoyable !

    Film réservé aux intellectuels qui se croient plus intelligents que les autres ...
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 9 novembre 2015
    "Burelesque" n'est pas un adjectif assez négatif pour décrire The Lobster.
    Je n'ai pas compris l'intrigue du film, et je pense même qu'il n'y en avait pas. Des couleurs un peu ternes tout comme les personnages.
    Aucune empathie n'est vraiment permise, ce qui est plutôt frustrant.
    octopus_fr2002
    octopus_fr2002

    74 abonnés 156 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 9 novembre 2015
    L'idée de départ m'avait séduite, et je pensais voir un film baroque et délirant dans le style de ceux de Peter Greenaway. Le héros, genre clown blanc dépressif nous communique si bien sa déprime que très vite on s'ennuie dans cet univers absurde, sans charme et pour tout dire sinistre. Cela n'en finit pas et on ressort de la salle éprouvé par cette cruauté gratuite et pesante. Quelle horrible vision de la vie et de l'amour!!!
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 11 novembre 2017
    Le film le plus bizarre que j’ai vu au cinéma
    Dire que c’est bien parce que ça reflète la société d’aujourd’hui, je trouve que c’est très vite résumé...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 9 novembre 2015
    Superbe oeuvre, qui permet de remettre en question notre société de manière intelligente et divertissante !
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