AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
2,7
5360 notes
En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur Bis ?
5
17 critiques
4
73 critiques
3
162 critiques
2
112 critiques
1
33 critiques
0
10 critiques
Trier par :
Filtrer par :
Toutes les notes
ned123
J'ai vu un film... très touchant, émouvant sur la nostalgie avec des comédiens qui sont des experts de la comédie familiale, à savoir Franck Dubosc et Kad Merad, et aussi Alexandra Lamy, Julien Boisselier, -que j'adore- et Gérard Darmon... C'est drôle, touchant et sans prétention... Il y a de l'envie de faire plaisir, de l'envie de générosité et de douceur... C'est une bonne surprise, avec quelques moments vraiment prenant, et quelques moments un peu légers... Il y a de sacrés gags, des surprises totales, et des scènes désopilantes... Et le tout à la sauce des années 80, avec toutes les grandes stars de l'époque, aussi bien de la musique que du sport. On passe un excellent moment...
Pas terrible après ceux laisse regarder à ma grande surprise surtout avec les acteurs après je l sis regarde jusqu'à la fin
S’il y avait tout à craindre de cette comédie au pitch déjà vu, s’appuyant uniquement sur son duo vedette et piloté par un Dominique Farrugia qui était bien plus en verve quand il était Nul, le résultat est pourtant une vraie bonne surprise. Certes, le film ne prend pas beaucoup de risques (mais on a trop souvent vu Farrugia partir en sucette dans ses films pour lui reprocher ici une certaine sagesse), il reprend des situations déjà vues, joue la carte des sentiments (l’amour filial, l’amour de LA femme) mais c’est conduit avec charme et autorité, et cela ne manque, bien sûr, pas d’humour.
Si de nombreux gags sont dévoilés dans la bande-annonce (il faut bien attirer le chaland…), il n’empêche qu’ils sont bien présents et pertinents. Le ton y est davantage doux-amer que délirant, et il se dégage de l’ensemble (pour ceux qui étaient jeunes dans les années 1980) une évidente nostalgie pas bien difficile à faire naître mais réussie.
Ce n’est pas la comédie du siècle, elle n’invente pas grand-chose, mais elle est efficace. Le duo étant particulièrement inspiré (Kad Merad parfait en faux révolté, Franck Dubosc très juste en fils repenti), la sauce prend encore plus facilement. Un vrai moment sympathique, malgré ses évidentes maladresses et ses quelques ratés, bien loin devant « Les Tuche », « Camping » ou autres films du genre dont on a fait d’incompréhensibles reliques.
Si de nombreux gags sont dévoilés dans la bande-annonce (il faut bien attirer le chaland…), il n’empêche qu’ils sont bien présents et pertinents. Le ton y est davantage doux-amer que délirant, et il se dégage de l’ensemble (pour ceux qui étaient jeunes dans les années 1980) une évidente nostalgie pas bien difficile à faire naître mais réussie.
Ce n’est pas la comédie du siècle, elle n’invente pas grand-chose, mais elle est efficace. Le duo étant particulièrement inspiré (Kad Merad parfait en faux révolté, Franck Dubosc très juste en fils repenti), la sauce prend encore plus facilement. Un vrai moment sympathique, malgré ses évidentes maladresses et ses quelques ratés, bien loin devant « Les Tuche », « Camping » ou autres films du genre dont on a fait d’incompréhensibles reliques.
Malgré toute la sympathie que l’on peut ressentir pour lui, dire que la carrière de Dominique Farrugia en tant que réalisateur n’a rien d’exceptionnelle serait loin d’être un mensonge. Il signe généralement des œuvres assez sympathiques mais très oubliables. Bis n’échappe pas à cela. Si on apprécie Kad Merad et Franck Dubosc, on peut prendre du plaisir aux multiples gags même s’ils peuvent souvent être taxés de lourdeurs
spoiler:
(les multiples références aux carrières respectives des acteurs principaux ou le sketch plutôt drôle concernant le fait qu’il fallait savoir à quelle heure s’appeler quand on voulait être sûr de se parler au téléphone, les portables n’existant pas en 1986)
. Pour le reste, la réalisation n’a rien de mémorable et l’histoire reste amusante tout en étant très classique et convenue (à l’exception de son principe de départ). Bis est donc un film qui est loin d’être essentiel mais qui reste somme toute plutôt sympathique.
. Pour le reste, la réalisation n’a rien de mémorable et l’histoire reste amusante tout en étant très classique et convenue (à l’exception de son principe de départ). Bis est donc un film qui est loin d’être essentiel mais qui reste somme toute plutôt sympathique.
C'est sure , ceux qui n'ont pas connu le téléphone a cadran , le minitel et les leves vitre manuel dans le voitures ne peuvent pas comprendre (et doivent dont se rabattre sur camping....) , mais pout les autres c'est un retour dans le passé.
Ca fait du bien , tout comme ceux de 2040 trouveront sympa 2020 ..... c'est sympa ...
.
Ca fait du bien , tout comme ceux de 2040 trouveront sympa 2020 ..... c'est sympa ...
.
Les comédies de voyage dans le temps ne sont pas si faciles à réaliser. Mentionnons l'une des plus réussies et des plus divertissantes est Les visiteurs avec Jean Reno. C'est devenu une série de films ce qui n'arrivera pas avec celui-ci. Ce n'est pas que Bis soit un mauvais film ce n'est tout simplement pas un très bon film non plus. Le principe est assez simple, les personnages (Franck Dubosc, Kad Merad, Alexandra Lamy) sont présentés et c'est un peu poisson hors de l'eau. Sauf que c'est très prévisible et que vous pourriez avoir du mal à ressentir de la sympathie pour les personnages. Peut-être que vous ne le ferez pas du tout peut-être juste pour quelques scènes où ils ne gèrent vraiment pas bien leur situation. Soi-disant adultes mais avec des problèmes majeurs. Il y a du matériel ici mais il est un peu enterré. Pourtant cela assez décent pour divertir...
Voici ce que le cinéma français peut faire de plus fade.
Alors oui, il y a des subventions, oui, il faut que le cinéma français vive, oui il faut 10 films comme celui-ci pour voir émerger une comédie marquante, oui, oui, oui… mais c'est quand même une grande souffrance à regarder.
Il n'y a malheureusement aucune saveur, pas d'idées novatrices, pas de dialogues percutants.
Le scénario est vu, vu et revu. La mise en scène convenue. Les dialogues sont comme posés là sans trame réelle.
Des références sont là partout, pour rendre hommage au cinéma .
Malheureusement je préfère Dominique Farrugia comme acteur, producteur, que comme réalisateur.
Scénario: 1/4
Mise en scène: 1/2
Montage: 0,5/1
Musique: 0,75/2
Photo/effets: 1/2
Casting: 1,5/2
Jeux d'acteurs: 0,25/1
Coup de cœur: 2/6
Total: 8/20
Alors oui, il y a des subventions, oui, il faut que le cinéma français vive, oui il faut 10 films comme celui-ci pour voir émerger une comédie marquante, oui, oui, oui… mais c'est quand même une grande souffrance à regarder.
Il n'y a malheureusement aucune saveur, pas d'idées novatrices, pas de dialogues percutants.
Le scénario est vu, vu et revu. La mise en scène convenue. Les dialogues sont comme posés là sans trame réelle.
Des références sont là partout, pour rendre hommage au cinéma .
Malheureusement je préfère Dominique Farrugia comme acteur, producteur, que comme réalisateur.
Scénario: 1/4
Mise en scène: 1/2
Montage: 0,5/1
Musique: 0,75/2
Photo/effets: 1/2
Casting: 1,5/2
Jeux d'acteurs: 0,25/1
Coup de cœur: 2/6
Total: 8/20
Deux potes de longue date pris par la crise de la quarancinquantaine se retrouvent pris dans les couloirs du temps et ont l’occasion de tout changer en revenant à leurs 17 ans. Le premier est gynéco, las de sa femme, de sa fille, de sa vie ; le second passe de femmes en femmes, sans enfant et criblé de dettes a raté sa vie. Mais grâce à ce coup du sort, tout peut se rejouer.
Ce pitch a un sérieux goût de déjà vu, car il s’agit bien d’une version macho de « Camille redouble » doublé d’une version grosse comédie française populaire ; donc bien moins bien. Quand on lit le pitch, on se doute comment sont répartis les rôles entre Kad Merad et Franck Dubosc ; chacun dans son rôle à jouer pour la Xième fois la même partition. Rassurant pour un public peu exigeant, c’est malgré tout l’atout majeur d’un film pauvre ; car ils sont souvent drôles. En terminal en 1989 pour mon compte, ici les personnages y sont en 1986 ; donc le côté nostalgie via la reconstitution d’une époque au travers une myriade de madeleines fonctionne à plein. Et outre les deux comédiens, c’est aussi cela qui rend ce film bankable.
Donc peu de génie, peu d’originalité ; quelques bons gags malgré tout dont les séquences chez Barclay et Claude Berri dans lesquels les deux potes essaient de refourguer avant l’heure les scénarii de futurs films à succès (dont « Les ch’tis ») ou des titres musicaux à succès.
tout-un-cinema.blogspot.com
Ce pitch a un sérieux goût de déjà vu, car il s’agit bien d’une version macho de « Camille redouble » doublé d’une version grosse comédie française populaire ; donc bien moins bien. Quand on lit le pitch, on se doute comment sont répartis les rôles entre Kad Merad et Franck Dubosc ; chacun dans son rôle à jouer pour la Xième fois la même partition. Rassurant pour un public peu exigeant, c’est malgré tout l’atout majeur d’un film pauvre ; car ils sont souvent drôles. En terminal en 1989 pour mon compte, ici les personnages y sont en 1986 ; donc le côté nostalgie via la reconstitution d’une époque au travers une myriade de madeleines fonctionne à plein. Et outre les deux comédiens, c’est aussi cela qui rend ce film bankable.
Donc peu de génie, peu d’originalité ; quelques bons gags malgré tout dont les séquences chez Barclay et Claude Berri dans lesquels les deux potes essaient de refourguer avant l’heure les scénarii de futurs films à succès (dont « Les ch’tis ») ou des titres musicaux à succès.
tout-un-cinema.blogspot.com
Vu 5 ans après sa sortie à l’occasion d’une diffusion télévisée, « Bis » est un « Retour vers le futur » (Back To The Future, 1985) ou « La Machine à démonter le temps » (Hot Tub Time Machine, 2010) à la française et même simplement un « Camille redouble » (2012) au masculin. Donc, pas beaucoup d’originalité dans le concept. L’ensemble, lui, est vraiment moyen et certains gags s’étirent en longueur. Néanmoins, dans la filmographie bas de gamme de Dominique Farrugia où étonnamment son premier film « Delphine 1 – Yvan 0 » était ce qu’il a fait de mieux, « Bis » arrive qualitativement juste après. Ceci grâce à une belle complicité Kad Mérad / Franck Dubosc et à certains pans du scénario comme les scènes père-fils avec Gérard Darmon qui sont vraiment extraordinaires. Malheureusement, on pouvait faire tellement mieux avec cette histoire…
Guillaume
Ce n'est pas la plus fine et intelligente des comédies "à la française", mais par la générosité des acteurs et la bienveillance du scénario, difficile de rester de marbre devant les nombreuses scènes à l'absurdité assumée
Ce film ne va pas marquer par ses vannes mais plus par l'aspect nostalgique du film. Les souvenirs de cette époque sont cependant bien faits. Le tandem Dubosc/Merad ne fonctionne pas autant qu'on pourrait le croire.
Sur le thème rebattu du retour au passé et bien mieux traité par d'autres (Coppola, Lvovsky) ce film aligne des sketchs pas drôles pour Merad et Dubosc. Et les références aux Chtis, à Guetta, à Zidane jeunes etc. etc. sont d'une nullité et d'une beaufitude abyssale.
Ratage total.
Ratage total.
Je m'attendais à un navet absolu, mais quoi regarder d'intéressant devant des enfants? J'ai eu tout faux. Drôle et caucasse. Par contre trop de jurons devant des enfants. Tout faux quoi!
Vu ce film lors d'une diffusion tf1. je ne m'attendais pas a grand chose mais Je trouve les critiques un peu sévères. j'ai bien aimé, une belle morale, on se laisse embarqué dans l'histoire, sans être forcément de la génération 80. A voir vous ne serez pas déçu
L'idée de base du scénario était prometteuse, mais la mise en ouvre pèche part des longueurs, des répétitions de gags et le jeu imparfait des deux acteurs principaux, Franck Dubosc et Kad Mehrad. L'ensemble est finalement peu convaincant
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse