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Un visiteur
4,0
Publiée le 22 février 2015
Un film qui se laisse regarder c'est pas le film de la décennie mais il fait rire et c'est bien le principe d'une comédie et même moi qui avait -8 ans en 1986 j'ai compris la plupart des références
Plutôt déçu par cette pseudo-comédie où nos deux acteurs principaux revivent leur année de Bac 1987 avec le potentiel pour changer le présent 2018. Pas assez d'humour même si le duo est sympathique. On sent un manque de travail dans le scénario malgré quelques petits rappels filmographiques sympas. Le final n'a rien d'original. On passe un moment agréable vite oublié malgré la nostalgie des années 90 qui méritait un meilleur appuie.
Farrugia a réussi à faire mouche en utilisant des acteurs qu'on voit partout et dont on pourrait se lasser, avec un thème qui n'est pas nouveau. Mais finalement, le fait de mettre deux personnes qui voyagent dans le passé et qui en sont conscientes toutes les deux change pas mal de choses et apporte une dimension et un recul vraiment intéressant sur la vie en général. On ne s'ennuie pas du tout, on rigole parfois et on a même envie de le revoir dans quelques temps. Un très bon film dans sa catégorie dont je n'attendais rien.
Combien de films racontent déjà l'histoire d'un voyage dans le temps qui permet au héros de revivre son adolescence ? Un sujet déjà vu et revu qui n'empêche pas Dominique Farrugia d'en remettre une couche avec son nouveau film Bis. On est bien curieux de voir si le réalisateur a su encore trouver quelque chose d'original à raconter sur ce thème.
C'est un film bien déprimant que nous propose Dominique Farrugia avec Bis. Patrice et Eric sont deux héros qui n'aiment pas la vie qu'ils mènent et nous le font bien ressentir. spoiler: Le premier est un gynécologue de renom qui enchaîne les séances de dédicaces et a fini par oublier ce qui l'avait séduit chez sa femme. Le second est un restaurateur criblé de dettes qui prépare son exil pour fuir ses problèmes. Les éclats de rires se font très rare dans ce début de film et ce qui va suivre n'est pas plus brillant.
Dominique Farrugia a bien choisi le titre de son film en l’appelant Bis car s'il résume bien la chance de recommencer sa vie, ce titre illustre bien aussi l'honteux recopiage de scénarios de comédies américaines à l'humour graveleux que doit affectionner le fan du Saturday Night Live qu'il est. On pense notamment à La Machine à Démonter Le Temps qui renvoyait déjà une bande d'amis en 1986. L'idée d'échanger leurs vies vient clairement d'Echange Standard qui sans voyage dans le temps avait tout de même le même genre de point de départ fantastique.
Bis voudrait nous replonger dans l'ambiance des années 80 malheureusement rien dans la réalisation ni dans les décors nous replonge vraiment dans la nostalgie de cette époque aussi bien que ce que Ping Pong Summer avait pu le faire. Les scènes dans les rues sont en une espèce de dessin animé super moche pour cacher la misère de la reconstitution et ce n'est pas le son de quelques vieilles pubs et deux trois accessoires qui vont nous faire croire à ce voyage dans le temps.
Cette histoire d'amourettes d'ados ressemble fort à un épisode d'Hélène et Les Garçons et reste avare en scènes vraiment drôles. Difficile d'accrocher lorsque Kad Merad va raconter le pitch de Bienvenue Chez Les Ch'tis à un producteur de cinéma où qu'il fait référence à Camping en interpellant Franck Dubosc. Ce n'est qu'une partie de la bonne dizaine d'incohérences de ce scénario écrit pourtant à six mains. Il est notamment dommage de les voir quasiment tout le temps avec leur têtes de "vieux" alors qu'ils sont censé avoir retrouvé leur physique de 17 ans.
Quel dommage que Dominique Farrugia insiste pour travailler avec Franck Dubosc, déjà héros de son précédent film Le Marquis. L'acteur ne semble toujours pas capable de décrocher de son rôle de playboy ringard et ne facilite pas le travail à Kad Merad qu'on a connu bien plus inspiré autrefois mais qui déçoit lui aussi de plus en plus, ce n'est pas Alexandra Lamy qui relèvera le niveau mais le film permet de faire la connaissance de la jolie Eden Ducourant qui joue sa doublure jeune. Celui qui tire le mieux son épingle du jeu est Gérard Darmon, drôle et touchant en père du personnage de Franck Dubosc.
En dehors de son premier film Delphine : 1 / Yvan : 0 qui portait encore l'empreinte des Nuls, on ne peut pas dire que la carrière de Dominique Farrugia en tant que réalisateurs soit vraiment marqués par de grandes réussites. En replongeant en 1986 où Les Nuls n'existaient pas encore, c'est comme si le réalisateur avait perdu tout son humour. Ce scénario usé à la corde et le manque d'idées fraîches et originales font de Bis une comédie bien dispensable.
Une comédie sympathique et assez nostalgique avec deux, trois situations marrantes mais rien de transcendant non plus. On a connu Farrugia plus inspiré !
Farrugia nostalgique de ces années-là, sauf que la mayonnaise ne prend pas vraiment, dû à une réalisation et un montage trop fadasse. 2 étoiles et demie.
La France est un pays de nostalgiques. Et ça, Dominique Farrugia l'a très bien compris. Il a su qu'il y avait un filon à exploiter. Alors avec deux acteurs comiques français de premier plan (Kad et Franck Dubosc mais ça aurait pu être sans problème Dany Boon, Gad Elmaleh, Jamel, Elie Semoun ou Kev Adams) histoire d'assurer un succès d'audience pour TF1 le samedi soir chez Arthur pour la promo et le dimanche à 20h50 quand Bis sera diffusé, il les propulse en plein milieu des années 80. On va évidemment retrouver tout le folklore de l'époque. Je ne vais pas tout citer mais il y a forcément Mitterrand au pouvoir, les blousons en jean, les baladeurs, les flippers dans les bars, les parents réacs, le bac alors diplôme de référence (aujourd'hui, c'est pas pareil, tout le monde l'a), etc, etc. Pour l'un, ce coup du destin va lui permettre de réparer les erreurs du passé (avec son père) et pour l'autre d'avoir conscience de la chance qu'il a d'évoluer de nos jours. Parce que tout ce qui compte, c'est la famille, d'avoir un travail, de se caser, d'avoir des enfants, de bien se dire qu'on s'aime. Peut-être parce que c'est un socle solide sur lequel s'appuyer pour affronter les embûches de la vie à l'extérieur. De la part de Farrugia, on n'est plus trop dans l'esprit des Nuls. Il faut que tout finisse bien parce que ça rassure les gens qui vont voir son film au cinéma pour oublier leurs galères du quotidien. Parce que non. Même si ce serait bien pratique, on ne peut pas faire un tour dans le passé et tout recommencer comme un personnage de jeu vidéo après un Game Over. Alors, pourquoi pas. J'ai de la sympathie pour l'ancien Nul et le réalisateur de Delphine 1 - Yvan 0. J'ai envie d'adhérer à cet optimisme. Peut-être parce que moi aussi, j'aimerais bien être à leur place.
Une comédie hilarante qui sait se rendre original réalisé par Dominique Farrugia qui ne manque pas d'idée !! Deux copains de toujours ayant des problèmes avec leurs couples se voient revenir dans les années 80 et plus spécialement en 1986 à l'age de 17 ans. C'est pas facile au début de revenir en arrière à la période pubère , les mobilettes, le minitel, les téléphones avec un fil, les petites copines, les parents, le bac mais ils ont décidé de changer leurs vies en commun, l'un futur médecin et l'autre plus varié mais ils vont vite se rendre compte que non. Son collègue Alain Chabat de l'époque des "Nuls" a fait le film "Didier" qui n'était pas facile à monter mais avait réussi avec crédibilité, Dominique Farrugia fait de mème et on y croit. On rigole, on est nostalgique de cette époque là et ça fait du bien. De plus, le cinéaste arrive a faire dans le bon tempo à ses deux comédiens principaux Kad Merad et Franck Dubosc qui nous avaient habitués a surjouer jusqu'à présent et, ici, ils ont la justesse pour nous faire rire. Il y a de bons acteurs secondaires comme Gérard Darmon, Alexandra Lamy ou Julien Boisselier. J'en suis sorti avec le sourire.
J'ai vu un film... très touchant, émouvant sur la nostalgie avec des comédiens qui sont des experts de la comédie familiale, à savoir Franck Dubosc et Kad Merad, et aussi Alexandra Lamy, Julien Boisselier, -que j'adore- et Gérard Darmon... C'est drôle, touchant et sans prétention... Il y a de l'envie de faire plaisir, de l'envie de générosité et de douceur... C'est une bonne surprise, avec quelques moments vraiment prenant, et quelques moments un peu légers... Il y a de sacrés gags, des surprises totales, et des scènes désopilantes... Et le tout à la sauce des années 80, avec toutes les grandes stars de l'époque, aussi bien de la musique que du sport. On passe un excellent moment...
Ce n'est pas la plus fine et intelligente des comédies "à la française", mais par la générosité des acteurs et la bienveillance du scénario, difficile de rester de marbre devant les nombreuses scènes à l'absurdité assumée
ben, écoutez, j'ai passé un très bon moment à regarder ce film ! Très déçu par "années 80" qui était vraiment pourri en tous points... là, belle surprise malgré quelques passages nyanyan. Bref, j'ai bien émié, j'ai adhéré aux sketchs et j'ai même rigolé à certains moments ! A voir et à revoir.
Ah qu'il est bon d'imaginer pouvoir revenir dans son passé et corriger quelques détails au risque de perturber le continuum espace temps ! Le thème a certes déjà été traité au cinéma, de manière spectaculaire dans Retour Vers Le Futur. Ici les héros partent de 2014 pour revenir en 1986, dans leurs propres corps d'adolescents, mais avec leurs souvenirs d'adultes. Ils sont donc beaucoup plus mûrs que leur âge, savent pardonner, savent accorder de l'importance à ce qui en a vraiment et qu'on met une vie à comprendre. Comme par exemple lorsque Éric (Franck Dubosc) comprend qu'il ne parle plus à son père (Gérard Darmon) depuis des années pour s'être enfui en voyant ce dernier arriver dans sa camionnette pour le chercher au lycée : "C'est à cause de ça qu'on ne s'est plus parlé pendant tout ce temps ?" Sa mère de lui répondre : "C'était il y a deux jours !" Quant à Patrice (Kad Merad), le voir tirer sur le téléphone fixe de chez ses parents est hilarant ! Son interprétation de la chanson L'envie d'aimer est stupéfiante, à se demander si c'est vraiment lui qui chante. Le film regorge de clins d'œil et d'hommages par exemple lorsque Kad Merad s'exclame, comme le fait Franck Dubosc dans Camping : "Bah alors, on n'attend pas Patrice ?" Les synopsis de Bienvenue Chez Les Ch'tis, ou encore des Visiteurs sont clairement des hommages de ces films qui ont marqué la culture populaire en France. On peut aussi supposer que le jeune Patrice aide à l'accouchement de Sabrina, petite amie d'Eric qu'on voit au début du film et qui dit être née en 1986. Entre les nombreux gags se glissent aussi des moments touchants de relations entre générations, ou encore de réflexion sur nos existences : "La vie est un brouillon qu'on ne peut pas mettre au propre." Les spectateurs nés dans les années 1970 vont forcément adorer la bande originale de leur adolescence. Ils retrouveront aussi avec plaisir le Walkman et le 103SP. Les décors et les costumes replongent dans cette époque avec une grande efficacité. Une belle comédie bien pensée, bien réalisée et bien jouée, à voir sans nostalgie.
Une très sympathique comédie, tendre et nostalgique, avec une touchante interprétation de Franck Dubosc et de Kad Merad. Gérard Darmon et Julien Boisselier sont épatants dans les rôles des deux pères. Des acteurs connus et un thème pas vraiment original mais une belle réussite qui est à voir et à revoir.
Je suis habituellement bon public pour les comédies, sachant qu'il est fort difficile de faire rire. Mais là, franchement, j'ai détesté cet humour à 2 balles. Pourtant, l'idée de base était sympa, avec ce retour dans les années 80, pas mal reconstitué du reste. Mais l'ensemble manque sérieusement de liant, sans doute à cause d'un scénario trop faible, et il n'y a guère de trouvailles. Si on esquisse par ci par là un sourire, on ne rit quasiment pas. Et je ne vois vraiment pas l'intérêt de montrer Franck Dubosc et Kad Merad à poil (c'est drôle ça ?). En plus, c'est beaucoup trop long. Bref , pour moi évitable.